Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualités socialistes - Page 1232

  • Cinq colonnes à la une - Des tsars à Lénine (INA, 1962)

    A l'occasion du 45ème anniversaire de la "révolution d'Octobre" que l'U.R.S.S. va bientôt célébrer, "Cinq Colonnes à la une", présente cet extraordinaire document d'archives qui retrace les principaux évènements de la révolution russe de 1898 à 1922, c'est-à-dire des derniers jours du Tsar Nicolas II à la naissance du communisme sur le plan international et à la mort de Lénine.

  • Julien Dray : "Il y a un problème d’organisation de l’Islam de France"


    Julien Dray : "Il y a un problème d... par franceinter

  • Cinq colonnes à la une - Rétrospective Algérie

    Montage d'extraits de sujets du magazine "Cinq colonnes à la une" consacrés à la guerre d'Algérie. Cette rétrospective, réalisée par Hubert KNAPP, contient également des images inédites, jamais diffusées à la télévision.Pierre DUMAYET dans une salle de montage explique tout d'abord la démarche choisie par "Cinq colonnes" : de 1959 à 1963, les équipes du magazine ont tourné vingt fois en Algérie.

  • Fondation Jean Jaurès - "Disputes" : les débats de juin

    Trois essais et des coups de coeur font l'objet de ce nouvel opus de l'émission "Disputes". Une heure de débats en ligne, dédiée à l’actualité éditoriale des idées, et imaginée par la Fondation Jean-Jaurès, l’université Paris Diderot, Slate.fr et le Panorama des idées.

    Pour ce second numéro, les « disputeurs » évoquent :
    - Migrants et réfugiés de Claire Rodier (La Découverte)
    - La politique de l'inimitié d'Achile Mbembe (La Découverte)
    - Le dernier qui s'en va éteint la lumière de Paul Jorion (Fayard)

  • Fondation Jean Jaurès - Disputes : l'émission de l'actualité des essais

    La Fondation Jean-Jaurès, en partenariat avec l’université Paris Diderot, Slate.fr et le Panorama des idées, lance en ligne une nouvelle émission, "Disputes", dédiée à l’actualité éditoriale des idées. Un débat en profondeur sur trois essais et des coups de coeur.

  • Observatoire des inégalités - De moins en moins de jeunes sans diplôme

    15 juillet 2016 - 9,3 % des 18-24 ans ont quitté l’école avec, au maximum, le brevet. Ils étaient 41 % en 1978. Article extrait du Centre d’observation de la société.


    En 1978, 41 % des jeunes de 18 à 24 ans avaient quitté le système scolaire avec au mieux le brevet de fin de troisième et ne suivaient aucune formation. Ils sont qualifiés par le ministère de l’Éducation nationale de « sortants précoces » (voir la définition en encadré). Depuis, la proportion a été divisée par quatre et s’établit à 9,3 % en 2015 selon les données publiées par Eurostat. Cela représente environ 80 000 jeunes par an.
    Si l’on observe les évolution de longue période, l’élévation du niveau de qualification de la population et la diminution de la part des peu diplômés sont nettes. La description souvent faite d’un système scolaire produisant de l’échec en masse est trompeuse. Parmi les 9,3 % de sortants précoces, une partie a continué au lycée sans obtenir le bac. La population d’illettrés parmi les jeunes est inférieure à 5 %

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • L'Observatoire des inégalités - Les dix quartiers prioritaires les plus pauvres de France

    19 juillet 2016 - Les quartiers les plus en difficulté affichent des taux de pauvreté supérieurs à 70 %. Près de deux fois plus que dans l’ensemble des quartiers prioritaires de la ville et cinq fois plus que la moyenne nationale. Notre classement des dix quartiers prioritaires les plus pauvres de France.


    Avec un taux de pauvreté de 87 % [1], le quartier « Résidence Sociale Nicéa » à Nice est le plus pauvre des quartiers prioritaires de France, suivi du quartier « Jeanne D’Arc – Clisson » dans le 13e arrondissement de Paris avec un taux de 74,8 % et « Pous Du Plan », situé à Carpentras dans le Vaucluse, avec un taux de 72,1 %, selon les données 2012 de l’Insee. Ces taux de pauvreté sont sans commune mesure avec la moyenne des quartiers les plus en difficulté [2] (42 %), dont le niveau est déjà considérable.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Slate - Pour survivre, la gauche devrait-elle abandonner le progrès?

    La gauche reste accrochée au progrès. Mais le progrès qu’elle plébiscite est celui de la technologie et des machines, le tout au service des élites. C’est en tout cas ce que tentent de prouver les deux livres à contre-courant «Le Progrès sans le peuple» et «Le Progrès m’a tuer».

    Le philosophe Régis Debray se plaît souvent à rappeler un dialogue entre deux artistes du XIXe siècle, Honoré Daumier et Jean-Auguste-Dominique Ingres: alors que le premier lance doctement qu’«il faut être de son temps», le second répond: «Mais si l’époque a tort?» Cette conversation illustre très bien la complexité du débat sur le progrès. «Il faut être absolument moderne», écrivait Arthur Rimbaud dans Une saison en enfer. Mais qu’est-ce garantit que la modernité est nécessairement bonne? La gauche est aujourd’hui face à ce dilemme.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • La Règle du Jeu - Terrorisme islamiste : rester unis et lucides - Séminaire RDJ Janvier 2015

    Terrorisme islamiste : rester unis et lucides
    Séminaire RDJ du 18 janvier 2015
    Débat animé par Alexis Lacroix
    Avec : Waleed Al-Husseini, Bernard Schalscha, Meïr Waintrater, Michaël Bar-Zvi, Isabelle Kersimon

  • Le Figaro - Laurent Bouvet : l'islamisme, la gauche et le complexe colonial

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Dans un entretien fleuve, Laurent Bouvet décrypte les origines et les rouages de l'islamo-gauchisme. A la recherche d'un nouveau prolétariat, cette gauche aveuglée voit dans les islamistes des damnés de la terre à défendre.
    _________________________________________________________________________________________

    Laurent Bouvet est professeur de Science politique à l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Il a publié L'Insécurité culturelle chez Fayard en 2015.


    FIGAROVOX. - Comment expliquez-vous la difficulté d'une partie des intellectuels de gauche à penser l'islamisme voire simplement à prononcer son nom? La communauté musulmane est-elle devenue le nouveau prolétariat d'une certaine gauche?

    Il y a sans doute plusieurs explications possibles à ce qui est chez certains intellectuels, journalistes, chercheurs… de l'aveuglement, plus ou moins volontaire, et chez d'autres, peu nombreux en fait, un choix déterminé, politique voire idéologique. Je privilégierai ici comme explication structurelle ce que l'on pourrait nommer le complexe colonial.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________