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Actualités socialistes - Page 107

  • Euractiv - Nucléaire : l’Allemagne et l’Italie illustrent le fossé qui se creuse dans l’UE

    Dans le même week-end, le chancelier Olaf Scholz a réaffirmé que le nucléaire n’avait pas sa place dans le bouquet énergétique du pays, tandis que l’Italie s’est engagée à accélérer son intégration afin de réduire les coûts, de sauver l’économie et de favoriser la transition verte.

    L’inclusion du nucléaire par la Commission européenne comme source d’énergie verte dans le règlement sur la taxonomie a mis en évidence les divisions à travers l’Europe. Les États membres se chamaillent sur la question de savoir si cette source d’énergie peut réellement être considérée comme verte et durable.

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  • #CamPuS23 L'Europe sera celle du progrès social ou ne sera pas !

    Samedi 26 août se tenait la table-ronde de notre #CamPuS23 consacrée à l'Europe, animée par Nora Mebarek, députée européenne, co-cheffe de la Délégation de la gauche sociale et écologique au Parlement européen, et Raphaël Glucksmann, députée européen Place publique, co-chef de la Délégation de la gauche sociale et écologique au Parlement européen Intervenant·e·s : - Édouard Martin, ancien député européen. Il travaille actuellement dans le secteur de l'insertion professionnelle et préside par ailleurs l'association BRIDGE (Bâtir le renouveau industriel sur la démocratie et le génie écologique) ; - Ludovic Voet, secrétaire confédéral à la Confédération européenne des syndicats ; - Aurore Lalulq, Députée européenne Place publique, membre de la Délégation sociale et écologiste au Parlement européen, économiste ; - Yannick Jadot, député européen, ancien candidat EELV à l’élection présidentielle ; - Mathilde Imer, militante écologiste, co-initiatrice de la Convention citoyenne pour le climat, cofondatrice et porte-parole de la primaire populaire ; - Hend Mgaieth, présidente de l’Union internationale de la jeunesse socialiste (IUSY) ; - Christophe Clergeau, député européen, secrétaire national adjoint du Parti socialiste à la Coordination, secrétaire national du Parti socialiste à l'Europe, conseiller régional des Pays de la Loire.

  • La vie des idées - Le grand jeu de cartes des barres À propos de : Renaud Epstein, On est bien arrivés. Un tour de France des Grands ensembles, Le Nouvel Attila

    Loin de constituer un monde gris et uniforme, les grands ensembles d’habitat social érigés dans les années 1960 abritent un foisonnement de vies et de mémoires, comme le montre Renaud Epstein à partir d’une importante collection de cartes postales les figurant.

    Le livre de Renaud Epstein prolonge le geste à la fois artistique, politique et sociologique par lequel cet auteur, enseignant-chercheur à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, refuse les représentations stéréotypées des grands ensembles et les choix politiques les condamnant aujourd’hui, pour une partie d’entre eux, à la destruction.

    « Tout a commencé en 1994 dans un bar-tabac de la ZUP [Zone à Urbaniser en Priorité] des Trois Ponts à Roubaix où je menais ma première recherche sur la politique de la ville », écrit-il pour introduire son nouvel ouvrage (p. 9). Il y trouve sa première carte postale de grand ensemble au milieu d’autres cartes de vœux. Il en débute la collection un peu au hasard de ses trouvailles dans les communes où ses enquêtes le mènent, puis plus systématiquement en fouillant brocantes et vide-greniers.

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  • Non Fiction - Les évolutions de la frontière : de la barrière à la gare de triage

    A rebours des discours liés à l’ouverture des frontières, le sociologue Steffan Mau analyse leurs reconfigurations et le renforcement de leur fonction de triage.

    La chute du mur de Berlin a symbolisé pour beaucoup la fin des frontières et l’accélération de la mondialisation, reposant sur une circulation accrue des biens, des capitaux et des personnes. A contrario, la pandémie de covid-19 fut un moment exceptionnel de brusque fermeture des espaces nationaux. Pour autant, comme l’explique le sociologue allemand Steffen Mau, auteur par ailleurs d’un livre remarqué sur l’ex-RDA (Lütten Klein : vivre en Allemagne de l’est), dans La Réinvention de la frontière au XXIe siècle, cette ouverture des frontières est une illusion d’optique. Tout le monde n’a pas les mêmes facilités pour les franchir. A ce titre, les dernières décennies ont renforcé cette tendance.

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  • #CamPuS23 Les socialistes au service des classes populaires : retour sur l’action de nos parlementaires

    Samedi 26 août se tenait la table-ronde de notre #CamPuS23 consacrée à l'action de nos parlementaires « au service des classes populaires », animée par Boris Vallaud, député des Landes, président du groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale, et Patrick Kanner, sénateur du Nord, président du groupe Socialiste, écologiste et républicain au Sénat.

  • Réduction de la dette : qui va payer la facture ? - 28 Minutes - ARTE

    22 août 2023 #France #Economie #Budget2024 Alors que la dette française a officiellement dépassé les 3 000 milliards d’euros, le gouvernement prévoit 15 milliards d’euros d’économies en 2024. Mais où les trouver ? On en parle avec Gaëlle Macke, Stéphanie Villers et Dany Lang.

  • Non Fiction - Évaluer les personnes : entretien avec Nathalie Heinich

    Contre une vision qu'elle juge trop militante de la sociologie, Nathalie Heinich propose une approche pragmatique pour rendre compte de la manière dont on attribue des valeurs aux personnes.

    Nathalie Heinich poursuit dans cet ouvrage, La Valeur des personnes, son analyse des processus d'évaluation auxquels se livrent les individus en société, en mobilisant les outils théoriques qu'elle avait dégagés dans son ouvrage précédent, Des Valeurs. Une approche sociologique, à propos duquel elle avait déjà donné à Nonfiction un long entretien. Elle apporte ici des précisions utiles quant aux implications de cette sociologie des valeurs, appliquée cette fois-ci aux personnes, s'agissant des discriminations ou encore des inégalités.

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  • L'article de la semaine : Fondation Jean Jaurès - Pour une école du « nous ». Vivre l’altérité à l’école, le pari gagnant d’une Nation

    Critiquée par la droite pour sa faillite et par la gauche pour son incapacité à réduire les inégalités sociales, l’école est au cœur de débats partisans. La question de la mixité sociale et scolaire comme réponse potentielle aux problèmes actuels de l’école incarne, par les réactions virulentes qu’elle suscite, l’opposition de deux visions qui semblent irréconciliables. Pourtant, une école du « nous » qui met au cœur l’apprentissage et l’expérience épanouie de l’altérité peut contribuer à fabriquer un nouveau consensus national, apaisé et constructif, autour d’une école de la République pour toutes et tous. Cette ambition est à la fois indispensable, efficace et réalisable.

    Introduction

    L’école du nous est indispensable 
    Parce que la société se délite et que l’école n’y échappe pas : il y a urgence à agir et à agir fortement !
    Parce que cela accélère le développement des compétences psychosociales des élèves 
    Parce que nous avons besoin de partager un langage commun pour mieux nous comprendre 
    Parce que l’intelligence artificielle ne sait pas (encore) remplacer l’intelligence relationnelle 
    Parce que c’est ce que souhaite la communauté éducative 

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  • Elections européennes : le Parti socialiste s'accorde sur le principe d'une liste autonome, avant le vote des militants le 5 octobre

    La gauche en ordre dispersé. Le Parti socialiste a adopté, mardi 5 septembre dans la soirée, à l'unanimité de son bureau national, son texte d'orientation stratégique pour les élections européennes, qui prévoit le principe d'une liste autonome. Ce texte sera soumis le 5 octobre au vote des militants, a annoncé le parti.

    Le bureau national a également voté à l'unanimité le contenu programmatique du projet européen, lui aussi soumis au vote des militants à la même date, et qui peut faire, lui, l'objet d'amendements par les fédérations, jusqu'à la tenue d'une convention nationale de clôture le 14 octobre. La tête de liste et la composition de la liste ne devraient pas être décidées avant la fin de l'année, les élections européennes étant prévues le 9 juin 2024.

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    L'Humanité - Européennes : le Parti socialiste veut faire cavalier seul

    Le Bureau national du Parti socialiste a acté à l’unanimité, le 5 septembre, le principe d’une liste autonome pour les élections européennes. La décision sera soumise au vote des militants le 5 octobre.

    Pas d’alliance à gauche pour le Parti socialiste, qui conduira une liste autonome aux élections européennes, le 9 juin 2024. C’est la décision prise à l’unanimité par son Bureau national, réuni le mardi 5 septembre dans la soirée, pour se prononcer sur son texte d’orientation stratégique et son programme européen, qui seront soumis au vote des militants, le 5 octobre prochain.

    « La liste que nous construirons s’inscrira dans la démarche collective de la famille socialiste et sociale-démocrate européenne du PSE (Parti socialiste européen) », détaille le parti dans ce texte d’orientation stratégique.

  • Observatoire des inégalités - Du collège à la fac : de moins en moins d’enfants d’ouvriers, de plus en plus d’enfants de cadres

    Du collège aux études supérieures : de moins en moins d’enfants d’ouvriers, de plus en plus d’enfants de cadres Au fil de la scolarité, la part des enfants d’ouvriers se réduit alors que celle des cadres supérieurs s’accroît. Il y a deux fois moins d’enfants d’ouvriers sur les bancs de l’université qu’au collège. Les inégalités sociales sont visibles dès les petites classes. Peu ou prou, tous les élèves vont jusqu’en troisième, quel que soit leur milieu social d’origine. Mais c’est à partir de la fin du collège que la composition sociale des filières diverge. Pour le mesurer, il suffit d’observer l’évolution de la part des enfants de cadres supérieurs et celle des enfants d’ouvriers. Au fil de l’avancée dans la scolarité, les premiers sont de plus en plus présents, alors que les seconds le sont de moins en moins.