Manuel Valls prend la défense de Cazeneuve et... par lemondefr
valls - Page 46
-
Manuel Valls prend la défense de Cazeneuve et des policiers par Le Monde.fr
-
L'actualité des socialistes du 20 octobre au 2 novembre (mise à jour)
A la une
Plus de huit Français sur dix déclarent ne pas souhaiter que François Hollande se représente à l'élection présidentielle de 2017, selon un sondage réalisé par Odoxa pour CQFD, I>Télé et Le Parisien Aujourd'hui en France et publié samedi.
26 octobre
Libé - Sept sympathisants PS sur dix contre un nouveau nom
Alors que le Premier ministre souhaite construire la «maison commune» de «tous les progressistes», la majorité des sondés, toutes sensibilités politiques confondues, ne souhaitent pas que le PS change de nom.
Le Parisien - PS : les Français préfèrent sa rénovation plutôt que sa mise à mort
Le PS n'est pas encore mort. Pas dans l'esprit des Français en tout cas. Le Parti socialiste a beau être en crise, l'opinion ne voit pas vraiment l'intérêt de le dissoudre, ni même de le rebaptiser. A en croire deux récents sondages vous êtes en effet une majorité - et a fortiori parmi les sympathisants du PS - à préférer une rénovation du parti de la rue Solférino plutôt qu'une dissolution.
Slate - Cambadélis, l'homme qui doit sauver la vieille maison socialiste
Le premier secrétaire du PS ne veut pas être le liquidateur du parti.
Le premier secrétaire d’un Parti socialiste au pouvoir remplit d’ordinaire un rôle secondaire. Ce n’est alors qu’une fonction d’accompagnement. Le numéro un de la formation gouvernementale a pour mission de mettre en musique le soutien à l’exécutif et de faire avaler aux militants ses choix les plus surprenants au regard de l’orthodoxie idéologique.
Les Echos - Grunberg : « Hollande est pris en étau entre l’Europe et le Parti socialiste »
Pour Gérard Grunberg, politologue au centre d’études européennes de Sciences po, le face à face entre Paris et Bruxelles sur le budget est compliqué par la crise interne au PS. Cette dernière risque selon lui de conduire le chef de l’Etat à privilégier le bras de fer avec la Commission.
L'Obs - Manuel Valls enterre la "gauche passéiste" : l'après-Hollande a déjà commencé
Manuel Valls lors d'une session de questions au gouvernement à l'Assemblée, le 10 septembre 2014 (M. BUREAU/AFP).
Les ambitieux aiment avoir un train d'avance. Chez les socialistes, on est déjà dans l'après-Hollande et les grandes manœuvres ont commencé. Manuel Valls propose une refonte de la gauche en l'ouvrant au centre. Quant à Benoît Hamon, il se positionne en révolutionnaire pour s’emparer du parti socialiste, pendant qu’Arnaud Montebourg prépare déjà sa candidature à la présidentielle.
L'Obs - Lettre de la Commission sur le budget publiée: Hollande rate l'occasion d'être transparent
LE PLUS. François Hollande s'est fait cordialement taper sur les doigts par Bruxelles. La Commission européenne a envoyé une lettre à la France pour lui signifier son désaccord avec le budget 2015. Des élus PS réclamaient la publication de ce courrier. Ils ont eu gain de cause grâce à Mediapart. Hollande aurait-il dû devancer le site d'information ? Analyse de l'éditorialiste Jean-Marcel Bouguereau.
BUDGETLEAKS - "C'est une lettre très banale et on peut ne pas publier des lettres très banales qui demandent simplement de l'information et qui demandent à poursuivre le dialogue." C'est ainsi que François Hollande justifie son refus de rendre publique la lettre de la Commission européenne adressée au ministre des Finances Michel Sapin, au sujet du projet de budget de la France pour 2015.
25 octobre
Le Monde - L’Assemblée vote la modulation des allocations familiales
A quelques voix d’écart, les députés ont adopté un amendement au budget de la sécurité sociale qui met fin à l’uniformité des allocations familiales.
Le Monde - Les querelles du PS s'immiscent dans l'examen du budget de la Sécurité sociale
Les députés « frondeurs » ont cherché à supprimer, ou au moins à reculer, la réduction de la contribution sociale de solidarité des sociétés, pour éviter des économies au détriment de la branche famille.
L'Obs - Le PS n'est pas une "Playstation". C'est plutôt un jeu vidéo
"L'Obs" s'est installé sur son canapé fétiche, a dépoussiéré sa vieille manette et a allumé sa console pour mieux jouer à un des meilleurs jeux vidéo de l'année : "La folle semaine du Parti socialiste".
"Qu’ils se taisent." Figure de l’aile gauche du PS, Henri Emmanuelli a fustigé, jeudi 23 octobre, les "sociaux-libéraux" du PS que sont à ses yeux Manuel Valls et Jean-Marie Le Guen, assurant que leur ligne n’est pas majoritaire au sein du Parti socialiste. Réponse ce vendredi 24 octobre du berger à la bergère de la part du secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen.
L'Obs - Le contenu de la lettre de Bruxelles à la France enfin dévoilé
Des députés socialistes réclamaient la publication de ce courrier jugé "banal" par François Hollande. C'est finalement Mediapart qui l'a rendu public.
Le Point - 7 sympathisants socialistes sur 10 opposés au changement de nom du PS
Après les déclarations de Manuel Valls et les réactions de certains cadres socialistes, 69 % des sympathisants disent non à un nouveau nom pour le parti.
PlayStation : un dirigeant PS se ridiculise en parlant de jeux vidéo
Jean-Christophe Cambadélis s'est ridiculisé en tentant d'utiliser le mot PlayStation lors d'une interview. Le résultat donne une fois de plus, une vision réductrice et abêtissante des jeux vidéo
Le Parisien - Fracture au PS : les échanges d'amabilités continuent
Les appels au rassemblement de Cambadélis ou Bartolone ne semblent pas avoir été entendus par tous. L'aile gauche et l'aile droite du PS continuent de s'écharper, alors que la fracture au sein du PS ne cesse de s'agrandir depuis trois jours et le vote du budget 2015.
Le Parisien - VIDEO. Cambadélis : «PS, cela ne veut pas dire PlayStation»
Exaspéré par la guerre qui fait rage parmi ses camarades, Jean-Christophe Cambadélis appelle au cessez-le-feu. Et reste ferme sur le nom du parti : pas question d'en changer.
Le Monde - Budget : les députés PS veulent voir la lettre de Bruxelles à Paris
Plusieurs députés socialistes réclament à l'exécutif que soit rendue publique, comme en Italie, la lettre adressée par la Commission européenne au gouvernement français sur le budget 2015. La rapporteure générale du budget, Valérie Rabault, a adressé, vendredi 24 octobre, une demande officielle au ministre des finances, Michel Sapin, en ce sens.
Huffington Post - Parti socialiste : Aubry ou Hamon, l'impossible incarnation des frondeurs
Entre une majorité chancelante à l'Assemblée nationale, les menaces d'exclusion qui volent par médias interposés et un bureau politique au bord de la crise de nerfs, rien ne va plus au PS. Des tensions qui ne devraient pas s'apaiser tant que l'abcès de la ligne politique de l'exécutif, contestée par une frange croissante de l'appareil, n'aura pas été percé par un congrès dont on attend encore la date.
24 octobre
Le député PS Henri Emmanuelli a estimé jeudi que la ligne défendue par les sociaux-libéraux, Manuel Valls en tête, n'était "pas majoritaire à gauche" ni au PS et leur demande de se taire et de "faire leur travail" et non de la "philosophie de bazar".
Libé - Le PS pas prêt d’être en coloc avec les centristes
Division. Les cadres socialistes refusent l’idée de Valls d’un rapprochement des «progressistes».
Tout est histoire de fondations. En relançant jeudi dans l’Obs l’idée d’une «maison commune» dont le salon serait occupé par le PS, Manuel Valls a repris une formule déjà testée par… Martine Aubry. C’était en juillet 2009.
Libé - La «maison commune» de Valls, une vieille idée d'Aubry ?
La formule avait déjà été utilisée en 2009 par l'ex-chef du PS. Le périmètre couvrait toute la gauche, pas le centre.
Le Monde - Valls plaide à nouveau pour une redéfinition du PS
Le Parti socialiste poursuit sa rupture. Alors que Benoît Hamon, Aurélie Filippetti ou encore Martine Aubry et Claude Bartolone se démarquent de l'éxécutif, Manuel Valls plaide à nouveau jeudi matin pour une redéfinition du PS dans une « gauche pragmatique, réformiste et républicaine ».
Libé - Bagarre générale chez les socialistes
L'ex-ministre Benoît Hamon accuse le gouvernement de mener une politique économique qui «menace la République» tandis que le Premier ministre veut «en finir avec la gauche passéiste». De quoi mettre tout le monde en désaccord.
L'Obs - EXCLUSIF. Manuel Valls : "Il faut en finir avec la gauche passéiste"
Le Premier ministre lance un défi à la gauche : "se réinventer ou mourir". Entretien à lire dans "L'Obs", en kiosque le 23 octobre. Extraits.
Le Monde - Cambadélis : rester unis au PS, une « urgente nécessité »
Il a revêtu pour l’occasion ses habits de casque bleu. Jean-Christophe Cambadélis a tenu une conférence de presse jeudi 23 octobre rue de Solférino pour appeler tous ses camarades au calme. Organisée dans l’urgence, la déclaration aura été brève... 2 minutes et 45 secondes exactement. « Les dirigeants socialistes doivent maîtriser leurs propos, a lancé le premier secrétaire du PS. Les socialistes doivent rester unis. Les courants socialistes doivent débattre sans se battre. »
Le Monde - Bartolone juge que changer le nom du PS serait « une faute »
Réagissant aux propos de Manuel Valls dans un entretien à L'Obs mercredi où le premier ministre évoquait l'idée de changer le nom du Parti socialiste – une proposition qu'il avait déjà formulée en 2007 et en 2011 –, Claude Bartolone a estimé que c'était « une faute ».
Le président socialiste de l'Assemblée nationale demande la fin de la guerre au PS. Il renvoie dos à dos "les soi-disant modernes" et les "soi-disant archaïques".
Les Echos - « Je suis socialiste depuis 30 ans », réaffirme Manuel Valls
Le Premier ministre s’est exprimé jeudi matin sur RMC et BFMTV, alors même que le Parti socialiste apparaît divisé, tant sur le fond que sur la formeLibé - Bartolone invite Valls à se concentrer sur son travail de Premier ministre
L'idée avancée par Manuel Valls de changer le nom du PS «est une faute», estime le président de l'Assemblée nationale.
Les Echos - Après Aubry, Valls creuse le fossé entre socialistes
Le Premier ministre dit vouloir en finir avec la « gauche passéiste ».Certains socialistes se demandent s’il ne prépare pas sa sortie de Matignon.
C’est un parlementaire proche de François Hollande qui s’indigne : « A ce rythme-là, la dissolution va devenir salutaire ! ». C’est un pilier du PS qui se désole : « Personne ne veut vraiment la crise mais tout le monde commence à jouer avec, c’est dangereux ».En cause, l'incroyable journée - une de plus - vécue ce mercredi par le parti socialiste et l’exécutif. Une journée qui a encore accrue le fossé en train de se creuser au sein du parti du Président.
Libé - Une alternative à la ligne Valls
Pour son retour, Martine Aubry s’oppose à une gauche libérale qui dit n’avoir aucun tabou sur les 35 heures ou le travail du dimanche.
23 octobre
Regards - Benoît Hamon au bord de la rupture
L’ancien ministre de l’Éducation, chef du courant Un monde d’avance a franchi un cap dans la critique de l’exécutif. Pour Benoît Hamon, elle « menace la République ». Le porte-parole du gouvernement lui répond en lui indiquant la porte de sortie du PS.
L'Obs - Valls enterre la "gauche passéiste" : "l'après Hollande" a déjà commencé
LE PLUS. Dans "L'Obs" à paraître ce jeudi 23 octobre, Manuel Valls explique qu'il faut "en finir avec la gauche passéiste". De son côté, Benoît Hamon déclarait mercredi que la politique de François Hollande "menace la République". Et pendant ce temps-là, Montebourg enchaîne les réunions politiques. Comment comprendre ces sorties ? On en parle avec Jean-Marcel Bouguereau.
Le Nouvel Obs - La fronde socialiste devient guerre ouverte
par Elizabeth Pineau et Julien Ponthus
PARIS (Reuters) - Attaque en règle de Martine Aubry, sécession d'anciens ministres, vote de justesse sur le budget 2015 et banderilles du Premier ministre à sa gauche: la fronde socialiste fait tanguer un gouvernement amarré à une majorité plus fragile que jamais.
Le Monde - Le plaidoyer de Valls pour une « gauche pragmatique et réformiste »
Alors que le Parti socialiste règle ses comptes publiquement après les défections, puis les déclarations de plusieurs anciens ministres, le premier ministre Manuel Valls revient, dans une longue interview donnée a L'Obs à paraître jeudi 23 octobre, sur ce qu'il considère être les bases d'un PS nouvelle génération, pour « en finir avec la gauche passéiste, qui s'attache à un passé révolu et nostalgique, hantée par le surmoi marxiste et par le souvenir des “Trente Glorieuses” ».
Le Monde - Crise au PS : « Un parti qui a toujours été capable des synthèses les plus extrêmes »
Alors que la crise couve chez les socialistes depuis l'abstention des anciens ministres socialistes Benoît Hamon et Aurélie Filippetti lors du vote sur le volet recettes du budget 2015, Nicolas Chapuis, journaliste au service politique du Monde, a répondu à vos questions.
Le Monde - En décorant Valls, Hollande en profite pour ironiser sur les hommes « controversés »
François Hollande, président de la République, a profité, mercredi 22 octobre, de la remise des insignes de grand-croix de l'ordre du Mérite à son premier ministre, Manuel Valls — comme il est d'usage depuis 1974 quand le chef du gouvernement exerce ses fonctions depuis six mois — pour multiplier les sous-entendus politiques.
Le Monde - Benoît Hamon s'attire les foudres du PS
« Les socialistes doivent débattre sans se battre, a expliqué au Monde, mercredi 22 octobre, le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. Il n'est pas anormal d'avoir des débats sur la situation économique actuelle. Mais on ne peut pas dire pour autant : “le gouvernement menace la République.” On ne peut pas tenir des propos comme ça. C'est le FN qui menace la République. »
Benoît Hamon a appelé le président à réunir toutes les gauches, contredisant la volonté de "rupture" de Manuel Valls.Libé - Hamon : «Je ne vais pas quitter le PS»
L'ancien ministre, attaqué par le premier secrétaire du PS pour s'être abstenu sur le vote du budget, a vivement critiqué le gouvernement dont il était membre il y a encore deux mois
LCP - Mandon sur Hamon : "La France n’a pas besoin de ces prophètes de malheur"
Le secrétaire d’État à la Réforme de l’État, Thierry Mandon, a jugé mercredi les propos de Benoit Hamon "grotesques", qualifiant l'ancien ministre et les frondeurs socialistes de "prophètes de malheur".
Le Monde - Attaqué au sein du PS, Gérard Filoche « n'a pas l'intention de partir »Gérard Filoche, membre du bureau national du Parti socialiste (PS), n'a que faire de la vague d'indignation provoquée par deux de ses tweets écrits après la mort brutale du président-directeur général de Total, Christophe de Margerie. Et encore moins de l'injonction du premier ministre Manuel Valls, qui a indiqué devant l'Assemblée nationale que M. Filoche ne « méritait pas » de rester au PS
FranceTVinfo - Qui est Gérard Filoche, le poil à gratter du PS?
Ce membre remuant du bureau national du PS risque d'être sanctionné par son parti après avoir qualifié de "suceur de sang" le patron de Total, mort lundi.
C'est sur le terrain des idées que Martine Aubry a décidé de placer son retour politique. Beaucoup de réchauffé avec le concept de "care" et sa société bienveillante, mais aussi la référence à une jeune économiste italo-américaine, très attachée à l'idée d'Etat entrepreunarial. Dans son livre, Mariana Mazucatto, la nouvelle référence économique de Martine Aubry, démystifie, entre autres, l'idée d'une Silicon Valley bâtie grâce à des génies de l'innovation et réhabilite l'Etat stratège.
22 octobre
BFMTV - Pour la presse, "le véritable adversaire de Hollande a un visage, celui d'Aubry"
Au lendemain de la charge de Martine Aubry contre le gouvernement, la presse titre sur ces frondeurs qui ont désormais "une figure de proue", prête à se poser "en recours" face à François Hollande.
Les Echos - Stéphane Le Foll : « Les points soulevés par Martine Aubry méritent débat »
Après Arnaud Montebourg, Martine Aubry souhaite désormais une réorientation de la politique économique. Y a-t-il une fracture entre deux socialismes ?Le Monde - Les députés approuvent à une courte majorité la partie recettes du budget 2015
La partie recettes du projet de loi de finances pour 2015 (PLF 2015) a été approuvée, mardi 21 octobre à l'Assemblée nationale, à une courte majorité : 266 voix pour, 245 contre et 56 abstentions, comme l'a constaté notre journaliste parlementaire présente lors du vote.
Libé - Aubry veut une inflexion, l’exécutif reste inflexible
Hollande et Valls restent fermes après que la maire de Lille a réclamé une réorganisation de la politique économique.
Une socialiste aux recettes d’un autre temps. Voilà comment les partisans de la ligne gouvernementale se sont attachés à dépeindre Martine Aubry, après que cette dernière a critiqué dimanche dans les grandes largeurs la politique économique menée par François Hollande et Manuel Valls.
21 octobre
BFMTV - Critiques de Martine Aubry: Jean-Christophe Cambadélis calme le jeu
Au lendemain des déclarations fracassantes de Martine Aubry, le Premier secrétaire du Parti socialiste a réservé ses premières réactions à BFMTV. Selon-lui, la maire de Lille n'a pas "d'arrière-pensée" et veut être "utile" à sa formation.
Le Nouvel Obs - Aubry - Montebourg : une ligne, deux trajectoires
L'ex-première secrétaire du PS et l'ancien ministre de l'Economie se retrouvent sur la critique de la politique économique. Pour le reste, c'est une autre histoire...
Le Figaro - Les critiques de Martine Aubry, la première des «frondeurs»
«À l'exception peut-être de la réforme fiscale, les sujets d'opposition entre Martine Aubry et ce que l'exécutif va réellement mettre en œuvre vont se réduire à l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette…» C'est ce que croit savoir un responsable de la rue de Solferino, persuadé que l'influence grandissante d'un PS dirigé par Jean-Christophe Cambadélis parviendra à créer un consensus politique entre François Hollande et la maire de Lille.
Le Monde, Françoise Fressoz - Les bons et les moins bons conseils de Martine Aubry
Prenons au mot Martine Aubry. Faisons abstraction de ses relations détestables avec François Hollande.
Oublions la période historique à laquelle elle se réfère pour justifier son offensive politico-médiatique : 1991-1993, la pire qu'ait connue la gauche au pouvoir sous la Ve République, trois années marquées par le chômage de masse et le discrédit moral et qui avaient débouché sur une raclée historique pour le PS aux élections législatives de 1993 !
Slate - «Frondeuse», Aubry? La moitié de ses soutiens ont voté la confiance à Valls
La presse de ce lundi 20 octobre relaie largement l'idée d'un retour dans le jeu politique de Martine Aubry, après l’interview que celle-ci a accordée au Journal du Dimanche. Libération, par exemple, s’est fendu d’un titre évocateur: «La frondeuse».
Ce qualificatif est-il approprié? «Frondeurs» désigne, depuis plusieurs mois, ce groupe de députés qui conteste régulièrement les choix, notamment économiques, du gouvernement, et a marqué son opposition lors de plusieurs votes importants.
Le Monde (blog) - Les promesses tenues et brisées par le gouvernement depuis la rentrée
Tous les quinze jours, Lui Président passe au crible l'actualité des promesses de campagne de François Hollande.
Le Lab - Des députés socialistes règlent leurs comptes sur Twitter sur fond de réserve des votes sur le projet de loi de finances
Séance houleuse à l'Assemblée nationale, lundi 20 octobre au soir. Les députés reprenaient l'examen du projet de loi de finances pour 2015. Mais après avoir perdu sur un amendement des radicaux de gauche, le gouvernement, par la voix du secrétaire d'État au Budget Christian Eckert, a fait appel à la réserve des votes sur le reste des amendements en discussion (environ 200), procédure qui permet de reporter l'ensemble des votes à une date ultérieure, programmée à l'avance, et donc de s'assurer une majorité en jouant sur le nombre de députés présents dans l'hémicycle, comme l'explique le blog Les cuisines de l'Assemblée
20 octobre
Le Nouvel Obs - Aubry éreinte la politique économique de Hollande et se pose en chef des frondeurs
Plutôt discrète depuis le début du quinquennat, Martine Aubry est passée à l'offensive en éreintant dans un entretien au Journal du dimanche la politique économique de François Hollande et de Manuel Valls et en se posant clairement en chef de file des députés PS frondeurs.
Le Monde - Martine Aubry apporte son soutien aux « frondeurs » du PS
Dans un entretien au Journal du dimanche, publié dimanche 19 octobre, la maire de Lille, Martine Aubry, demande au président, François Hollande, et au premier ministre, Manuel Valls, d'engager une « réorientation de la politique économique » dans un sens plus favorable à la croissance. Selon elle, le gouvernement doit « emprunter le bon chemin dans les deux ans qui viennent », faute de quoi la gauche va « échouer » en 2017.
Libé, L.Joffrin - Martine Aubry, la social-démocratie et quelques dizaines de milliards
Eternel pharisaïsme des socialistes français… Pendant des lustres et jusqu’à une date très récente (quelques années au plus), il était entendu dans la doxa du PS que les sociaux-démocrates revendiqués se situaient à la droite du parti. La gauche socialiste, au même moment, communiait au culte de «la rupture», de «l’autre politique», de la fidélité à l’anti-capitalisme traditionnel du parti (et essentiellement verbal). Voici que Martine Aubry, qui fait un geste de plus pour prendre la tête de la contestation de gauche de la ligne Valls-Hollande, se réclame, pour marquer sa différence… de la social-démocratie.
Le Figaro - Les propositions de Martine Aubry pour relancer l'économie
Un «pacte» entre l'État et les collectivités locales, mieux cibler la répartition des aides aux entreprises, créer un impôt unique... Dans une interview au JDD, la maire de Lille fait part de ses idées.
Les Echos - Aubry prend la tête de la fronde contre Valls et Hollande
La maire PS de Lille réclame une « réorientation de la politique économique ». Prononçant un réquisitoire contre le chef de l’Etat, elle veut reprendre 20 milliards de baisses de charges aux entreprises.
Le Monde - Les « frondeurs » du PS saluent le soutien de Martine Aubry
Plusieurs membres de l'aile gauche du Parti socialiste se sont réjouis, dimanche 19 octobre, des prises de position de Martine Aubry qui a critiqué vivement la politique économique du gouvernement.
Le Nouvel Obs - Pourquoi Aubry est sortie de son silence
La maire de Lille a laissé deux ans à Hollande pour mettre en place sa politique. Désormais, elle est décidée à se faire entendre. Et à agir.
Hollande : "Les réformes se poursuivront à un rythme encore accéléré" jusqu'en 2017
S'exprimant face à un parterre de patrons de grandes entreprises étrangères, ce dimanche soir, le chef de l'Etat a assuré que les réformes se "poursuivront" à un "rythme accéléré", jusqu'en 2017. Une réponse indirecte aux critiques formulées par Martine Aubry.
Le Parisien - Macron «en désaccord» avec Aubry défend sa politique
Après avoir fait entendre à plusieurs reprises sa «petite musique» depuis la rentrée, Martine Aubry donne de la voix ce dimanche. La maire de Lille se positionne comme recours pour le Parti socialiste, en lançant de vives critiques contre la politique économique menée par François Hollande et Manuel Valls dans un entretien au Journal du Dimanche.
-
Claude Bartolone à Manuel Valls : "Concentre-toi sur ton travail de Premier ministre"
-
Bourdin Direct: Manuel Valls - 23/10
-
Europe 1 : Manuel Valls met le feu au PS
-
Valls - Aubry : les deux gauches sont-elles en guerre ? par L'Obs
Valls - Aubry : les deux gauches sont-elles en... par LeNouvelObservateur -
L'actualité des socialistes du 13 au 20 octobre (mise à jour)
A la une
Le Monde - Qui sont les expatriés français ?
Convaincue que la France perdait ses « forces vives », l'UMP avait demandé, le 9 avril, la création d'une commission d'enquête parlementaire pour évaluer l'ampleur du phénomène. Six mois plus tard, le rapport rendu public, mercredi 15 octobre, par Yann Galut, député PS du Cher, conteste cette analyse alarmiste. Au-delà des conclusions qu'il tire, il permet aussi, en creux, de mettre des visages sur ces expatriés français, qui ne sont pas que des « cerveaux en fuite ».
18, 19 et 20 octobre
L'Express - Cinq questions sur la VIe République
Les débats sur le passage de la Ve à la VIe République se cristallisent sur quelques questions comme la suppression (ou non) du Premier ministre et le statut du président de la République, ce fameux "monarque républicain" intouchable.
Le JDD - Comment Valls a convaincu le PRG de rester au gouvernement
Les radicaux de gauche ont confirmé à l’issue du comité directeur du parti qu'ils restaient bien au gouvernement. François Hollande et Manuel Valls ont donné au PRG des gages suffisants, comme le montre la longue lettre adressée par le Premier ministre à la direction du parti, que leJDD.fr s'est procurée.
Le gouvernement et la majorité sont arrivés vendredi soir à un compromis sur la baisse des dotations aux collectivités locales, qui sera en partie compensée par une aide à leurs investissements.
Lyon Capitale - PRG : Thierry Braillard restera dans le gouvernement
Fin du suspens, le comité directeur du Parti radical a voté : le PRG ne quittera pas le gouvernement. Conséquence logique de cette décision, le Lyonnais Thierry Braillard restera secrétaire d'État aux Sports.
Le Point - Écotaxe - Delphine Batho : "Il faut renationaliser les autoroutes"
Quand Ségolène Royal propose la gratuité des autoroutes le week-end, Delphine Batho, l'ancienne ministre de l'Écologie, propose de les renationaliser. Le débat fait rage.
Les Echos - Allocations familiales : Jospin l’avait fait... avant d’y renoncer
Pendant un an, en 1998, les allocations familiales ont été plafonnées. Mais la mesure a été supprimée au profit d’un abaissement du quotient familial.
Le Monde - Le gouvernement reste ferme face aux chercheurs en colère
« On sent l’intérêt du public, des élus, des médias qui grandit au fil des jours sur l’avenir de la recherche et l’emploi », s’enthousiasme Patrick Lemaire. Ce biologiste de Montpellier est à l’initiative de Sciences en marche qui, depuis le 25 septembre, a mis sur les routes de France quelque 1 300 chercheurs. A pied, à vélo, ils convergent vers Paris, avec en point d’orgue la manifestation de vendredi 17 octobre.
17 octobre
Le Nouvel Obs - Les allocations familiales seront modulées selon les revenus dès 2015
Cette modification au projet de budget de la Sécurité sociale a été obtenue par les députés PS. La prime à la naissance ne sera pas diminuée, comme cela était prévu initialement.
BOITE A ARCHIVES - Les jeunes socialistes sont là pour combler les trous de mémoire du gouvernement. Dans un communiqué publié ce 16 octobre, le MJS, connu pour sa liberté de parole à l'égard de l'exécutif, ressort du placard la campagne menée par le groupe socialiste en 2008 contre la généralisation du travail du dimanche voulue par la droite. Ils réagissent ainsi au projet de loi d'Emmanuel Macron dans lequel le ministre de l’Économie proposer d'autoriser jusqu'à 12 ouvertures dominicales par an aux commerces non alimentaires.
Le JDD - Macron, "une cible commode"?
Quelques semaines seulement après sa nomination à l'Economie, le jeune ministre Emmanuel Macron fait l'objet de toutes les critiques, de droite comme de gauche. Il ne cache plus son agacement.
LE PLUS. Emmanuel Macron est à nouveau la cible de critiques. Après les "illettrées" de Gad, le ministre de l'Économie a expliqué qu'avec son projet de développement des autocars en France "les pauvres voyageront plus facilement". Un nouveau dérapage ? Pour notre chroniqueur Bruno Roger-Petit, ces attaques témoignent plutôt d'un climat politique délétère.
Les Echos - Budget 2015, l'ultime occasion manquée du quinquennat
Dans un contexte d’atonie économique et de déficits abyssaux, ce deuxième budget de la majorité portait les espoirs d’une partie de la gauche et des Français. Ersatz budgétaire, le PLF 2015 est finalement loin d’être à la hauteur.Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis s’inquiète de « la “zemmourisation” du débat français »
Halte à « la “zemmourisation” du débat français ». C’est le cri d’alarme du patron du Parti socialiste. La « zemmourisation » est une allusion au livre d’Eric Zemmour La Faillite française (Albin Michel), qui connaît le succès en librairies. « Tous les thèmes réactionnaires classiques ont pris le dessus : l’identité par rapport à l’égalité, la liberté pour les Français de souche, et pas pour ceux qui sont issus de l’immigration. C’est extrêmement grave », déplore Jean Christophe Cambadélis, invité mercredi 15 octobre de l’émission « Questions d’info » sur LCP, en partenariat avec Le Monde, France Info et l’AFP.
16 octobreLe Monde - « En France, il est impossible de remettre en cause la toute-puissance du nucléaire »
Président de la commission du développement durable de l'Assemblée nationale depuis juin 2012, Jean-Paul Chanteguet, député PS de l'Indre, a activement suivi l'élaboration du projet de loi sur la transition énergétique pour la croissance verte, adopté mardi 14 octobre par les députés. Il explique pourquoi, à ses yeux, ce texte n'est pas à la hauteur des enjeux.
15 octobre
Le Nouvel Obs - Hollande, Ayrault et des SMS... Batho raconte les dessous de son limogeage
Dans son livre "Insoumise", l'ancienne ministre de l'Ecologie Delphine Batho livre le récit, et les textos échangés, minute par minute, de son expulsion.
Libé - A EDF, Hollande tourne la page Proglio
Selon nos informations, le chef de l'Etat a tranché et ne reconduira pas l'influent patron à la tête du groupe.
Libé - François Hollande : «Si vous enviez la pauvreté, essayez-la»
A Clichy, lors d'une table ronde avec des représentants de plusieurs associations, le Président a tenté de défendre son plan de lutte contre la pauvreté, lancé en 2013. Sans convaincre.
Le Nouvel Obs - Autoroutes gratuites : "Les inventions à la con c'est gratuit toute la semaine"
Ségolène Royal propose de rendre gratuites les autoroutes le week-end. Une idée repoussée par Manuel Valls et très largement moquée sur les réseaux sociaux.
Libé - «Vive la gauche» publie sa contribution aux états généraux du PS
Le collectif «Vive la gauche», qui rassemble notamment les «frondeurs» socialistes, réclame une réforme fiscale, un «rythme de réduction des dépenses publiques «adapté à la conjoncture», une «réorientation» de l’Europe et une refonte des institutions, dans sa contribution aux états généraux du socialisme.
14 octobre
Les Echos - Allocations familiales : les pistes à l'étude au sein du PS
La modulation pourrait ne concerner que la majoration des allocations à 14 ans. L'aménagement de la prime à la naissance pourrait aussi évoluer.
Le Monde - Allocations familiales : les députés PS veulent réduire l’effort des plus pauvres
A défaut de pouvoir clairement moduler les allocations familiales en fonction des revenus, les députés socialistes devraient s'entendre, mardi 14 octobre, pour durcir à la marge les conditions d'accès à certaines allocations accessoires. C'est en tout cas ce que devrait proposer à ses collègues Marie-Françoise Clergeau, la rapporteure socialiste de la partie famille du budget pour la Sécu pour 2015, qui prévoit officiellement 700 millions d'euros de coupes dans les allocations familiales.
13 octobre
Le Nouvel Obs - Macron et l'assurance chômage : le "drôle de jeu" de Hollande
Pour les éditorialistes, la sortie du ministre de l'Economie prouve le "désarroi" de l'exécutif. Pour certains, "Macron a signé son arrêt de mort politique".
Le Monde - Emmanuel Macron relance le débat sur l'Assurance-chômage et crispe à gauche
Réformer l'Assurance-chômage en France ? « Il ne doit pas y avoir de tabou ni de posture » sur le sujet, estime le ministre de l'économie, Emmanuel Macron, dans une interview au Journal du dimanche.
Pour le président PS de l'Assemblée nationale il n'y a pas de doute, François Hollande "sera à nouveau candidat" à la présidentielle de 2017.
Le Nouvel Obs - Macron allume la mèche, le PRG menace… Dimanche turbulent pour l’exécutif
Le ministre de l'Economie a évoqué une réforme de l'assurance-chômage, tandis que les radicaux de gauche mettent le gouvernement sous pression en exigeant le retrait de nombreuses mesures.
Le Nouvel Obs - Assurance-chômage : Macron a été "maladroit", selon Cambadélis
Le ministre de l'Economie a estimé qu'il fallait réformer l'assurance-chômage. Le Premier secrétaire du PS a répliqué : "Quand le président de la République s'exprime, les ministres appliquent."
-
L'actualité des socialistes du 6 au 12 octobre (mise à jour)
A la une
Paris Match - Nostalgie « Jospin » à l’Assemblée nationale
Lionel Jospin, le retour ? Pas tout à fait, même s’il flottait comme des effluves de gauche plurielle et de « dream team » jeudi matin dans la salle Lamartine de l’Assemblée nationale. L’ex-chef du gouvernement était auditionné par la commission d’enquête parlementaire « sur l’impact sociétal, social, économique et financier » de la loi sur les 35 heures, mise en place lors de son passage à Matignon. Une contribution attendue, alors que la tentation de remettre en cause ce totem de gauche agite autant à droite… qu’à gauche. Pas plus tard que cet été, c’est Emmanuel Macron, sur le point d’être nommé à Bercy, qui préconisait de « déroger » à la loi sur la réduction du temps de travail. Pagaille garantie au sein de la majorité !
12 octobre
Le JDD - Macron : "Nous avons six mois pour créer une nouvelle donne"
INTERVIEW - Emmanuel Macron consacre sa première grande interview au JDD à paraître dimanche. Le nouveau ministre de l’Economie y expose sa méthode pour redynamiser le pays. Extraits.
Le JDD - Assurance chômage : Cambadélis recadre Macron
"La gauche a quelques totems". Les propos d'Emmanuel Macron favorable à une réforme de l'assurance chômage, risquent d'être abondamment commentés au Conseil national du PS, qui se tient dimanche à Paris.
Europe 1 - Macron : "pas de tabou, ni de posture" sur l'assurance-chômage
Le ministre de l'Economie estime qu'une réforme de l'assurance-chômage est nécessaire.
L’INFO. Emmanuel Macron marche dans les pas de Manuel Valls. En plein débat à gauche sur l'opportunité de débattre du montant et de la durée des allocations, le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, a jugé dimanche qu'il ne devait "pas y avoir de tabou ni de posture" sur l'assurance-chômage.
Le Nouvel Obs - Budget 2015 : Valls réclame du "respect" de ses partenaires européens
Le Premier ministre assure qu'il n'accepte pas de recevoir "de leçons de bonne gestion", alors que Bruxelles menace de retoquer le budget 2015 de la France.
11 octobre
Libé - Contre le FN, les socialistes montent une cellule
Trois cadres vont se pencher sur les ressorts du vote frontiste et d'aider les militants sur l'argumentaire.
BFM TV - Ecotaxe: doutes et rébellion au PS
L'annonce de Ségolène Royal de la suspension "sine die" de l'écotaxe a du mal à passer au sein du Parti socialiste. Certains ne cachent pas leurs doutes, et envisagent même de résister à la ministre.
Libé - Jospin toujours «fier» des 35 heures
Des verbes conjugués au passé simple, une certaine nostalgie, et, en creux, un cours d’histoire du socialisme… Lionel Jospin était de retour à l’Assemblée ce jeudi. Auditionné par plusieurs députés, dans le cadre d’une commission d’enquête sur «l’impact sociétal, social, économique et financier de la réduction progressive du temps de travail», celui dont la carrière politique s’est fracassée au soir du 21 avril 2002 n’a pas caché sa fierté d’avoir impulsé la loi sur les 35 heures : elle reste «un des instruments d’une grande et efficace politique de l’emploi. Je reste fier d’avoir dirigé le gouvernement qui l’a conduite».
10 octobre
Libé - Pour Batho, Hollande a organisé «l’abandon de l’idéal» de gauche
Dans un livre, la députée des Deux-Sèvres, évincée du gouvernement en juillet 2013, revient sur son passage au pouvoir et dresse un portrait acerbe de ses camarades.
Le Monde, Les décodeurs - Les 20 % de foyers les plus aisés ont absorbé 75 % des hausses d'impôts
.... Un document de la commission des finances de l'Assemblée. récapitulant l'impact des différentes mesures fiscales appliquées en 2013 et en 2014 sur l'impôt sur le revenu révèle que 20 % des foyers ont payé 75 % des hausses d'impôts.
Libé - Indemnités chômage : Valls juge le débat «légitime», Hollande reste flou
Manuel Valls et deux de ses ministres ont relancé le débat sur une réforme du système d'indemnisation. Les syndicats s'indignent.
Chambres à part, Le Monde - Vers un petit choc de simplification législative
inShareMieux préparer, anticiper et contrôler. Afin de lutter contre l'"inflation normative" qui ne s'accompagne pas toujours d'une meilleure efficacité de la loi mais qui aboutit au contraire à "un droit complexe, illisible et instable", un député socialiste vient de mettre quinze propositions concrètes sur la table, dont une petite partie devrait être reprise par l'Assemblée nationale.Libé - Bartolone lance une mission sur l’avenir des institutions
Le président de l’Assemblée nationale va présider cette mission avec l’historien spécialiste de la République, Michel Winock, afin de formuler des propositions au printemps 2015.
Le Monde - La fronde des présidents de conseils généraux contre le projet de réforme territoriale
Les frondeurs ne sont pas seulement à l’Assemblée nationale, ils sont aussi sur les bancs des 101 conseils généraux de France. Agacé, Claudy Lebreton, président socialiste des Côtes-d’Armor et président de l’Assemblée des départements de France (ADF) a solennellement averti le gouvernement, mardi 7 octobre : « Nous sommes en profond désaccord avec François Hollande et Manuel Valls sur la réforme territoriale. » L’acte trois de la décentralisation promis par François Hollande candidat, n’est plus qu’une « loi de simplification dont l’objectif est seulement de faire des économies. Loin de l’esprit originel de la loi de 1982 », juge l’élu socialiste.
Les Echos - Valls-Aubry : je t’aime moi non plus
Le Premier ministre, Manuel Valls, et la maire de Lille, Martine Aubry, ont déjeuné ensemble ce jeudi midi. Loin de se calmer, leur rivalité va chaque jour croissant.
Libé - Ayrault écrit à Valls pour défendre les budgets de Nantes et de sa région
L'ex-premier ministre, député de Loire-Atlantique, s'étonne de la faiblesse de l'enveloppe attribuée aux Pays de la Loire, dans le cadre du futur contrat de projets Etat-Région 2015-2020.
L'ex-secrétaire d'Etat aux Transports a déploré l'abandon de l'écotaxe par Ségolène Royal.
Le JDD - Filippetti ne regrette pas son départ, "bien au contraire"
Ils ont choisi une date commune pour leur rentrée politique. Plus d'un mois avoir quitté le gouvernement, Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti refont parler d'eux ce week-end. Dans une interview à Mediapart publiée samedi, l'ex-ministre de la Culture revient sur son départ et appelle à mettre en oeuvre "un changement institutionnel". "Il faut une VIe République, avec une répartition moins monarchique du pouvoir", estime-t-elle.
9 octobre
Libé - Jean-Marc Germain: «grande proximité» entre Aubry et les frondeurs socialistes
Le député Jean-Marc Germain a assuré mardi qu’il y avait «sur le fond» une «grande proximité» entre Martine Aubry, dont il est proche, et les frondeurs socialistes, dont il fait partie.
Lors de l’émission #Direct Politique (L’internaute.com, 20 minutes, Ouest France), l’élu des Hauts-de-Seine, qui fut directeur de cabinet de la maire de Lille, a assuré: «Martine Aubry ne veut pas se mêler de ce qui est la responsabilité des autres», président ou gouvernement. «De la même manière, elle considère que c’est aux parlementaires, à nous, de décider ce que nous avons à faire».
8 octobre
France 3 - 2017 pourrait être plus dangereux que 2002 prévient Emmanuelli à Vieux-Boucau
"Si la gauche n'est pas rassemblée, elle ne sera pas présente au second tour" de 2017, a averti le député des Landes, Henri Emmanuelli. "2017 ne sera pas 2002, ce sera beaucoup plus dangereux", a-t-il dit.
Le Figaro - Budget 2015 : un frondeur PS menace
Le député socialiste Jean-Marc Germain, chef de file des frondeurs qui se sont abstenus lors du vote de confiance au gouvernement du premier ministre Manuel Valls, déclare qu'il ne votera pas le projet de budget 2015 en l'état.
Le Point - Les députés socialistes préparent un geste pour les collectivités locales
Les députés socialistes comptent faire passer un geste pour l'investissement des collectivités locales, via un amendement sur le remboursement de la TVA dans le projet de budget 2015, mais nourrissent d'autres inquiétudes sur les économies. À quelques jours du passage du texte en commission, l'un des porte-parole des députés PS, Hugues Fourage, a déclaré mardi en conférence de presse à l'issue de la réunion du groupe que les possibles modifications comprendraient "par exemple un amendement sur la récupération de la TVA par les collectivités locales pour soutenir l'investissement", porté notamment par la rapporteur générale du Budget Valérie Rabault.
LCP - Transition énergétique : Batho (PS) étrille le texte Royal à l’Assemblée
L'ancienne ministre de l'Ecologie Delphine Batho, qui avait initié le débat sur la transition énergétique, a mis en cause lundi soir à l'Assemblée la "crédibilité" du projet de loi de Ségolène Royal, faute de moyens financiers suffisants.
Les Echos - Sénat : Michèle André (PS) à la tête de la commission des Finances
L'ancienne ministre a été désignée ce mardi par le groupe socialiste du Sénat pour succéder à Philippe Marini à la présidence de la commission des Finances.
LCP - PS : la date du congrès connue "le mois prochain", commission pour trouver un consensus
Le Parti socialiste a mis en place une commission destinée à choisir la date du prochain congrès du parti, et celle-ci sera connue "le mois prochain", selon le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis.
7 octobre
Le Monde - Hamon va bientôt faire « estrade commune » avec Montebourg
L'ancien ministre de l'éducation nationale Benoît Hamon a déclaré lundi 6 octobre sur France Inter qu'il ferait prochainement « estrade commune » avec son ancien collègue du gouvernement Arnaud Montebourg, appelant les électeurs de gauche qui ne se reconnaissent pas dans l'action gouvernementale à avoir « le pessimisme de la raison mais l'optimisme de la volonté ».
Libé - Surbookée, Aubry ne verra pas Valls à Lille
Trop chargé, l’agenda de Martine Aubry. Pas de place en tout cas pour accueillir Manuel Valls, qui doit participer jeudi à Lille au congrès de l’Association des communautés de France (ADCF). Le cabinet du Premier ministre a bien contacté celui de madame le maire, mais le programme d’Aubry est surbooké, explique son entourage : conseil de surveillance du centre hospitalier régional universitaire «dont elle est la présidente», pose de la première pierre du nouvel hôpital cardiovasculaire pulmonaire puis visite d’un centre d’IRM avec la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, et enfin «vernissage de l’exposition Passion secrète». Les deux camarades socialistes ont donc convenu de se voir «un autre jour».
Libé - Montebourg : «Une autre gauche prépare l'avenir»
Dans le Gard, lors de l'université de son courant, l'ex-ministre a poursuivi sa critique cinglante des choix de Hollande et Valls.
Libé - Hollande veut changer les têtes du nucléaire
Le chef de l’Etat cherche des successeurs aux deux patrons de la filière de l’atome français : le PDG d'EDF, Henri Proglio, et le président du directoire d'Areva, Luc Oursel. Le sort de ce dernier serait déjà «scellé».
Libé - Manuel Valls à Londres, la City a craqué
La City a ri. L’autodérision est toujours un gage de succès devant un auditoire britannique et Manuel Valls n’en a pas manqué. «Un Premier ministre français à la City, c’est presqu’un événement. Un Premier ministre socialiste à la City, c’est une révolution», a-t-il démarré son discours, lundi, dans le cadre solennel du Guildhall, au cœur du quartier financier de Londres. Et, lorsqu’il a prévenu qu’après l’avoir dit en français et en allemand, il était heureux de répéter (trois fois) en anglais : «My government is pro-business [mon gouvernement est favorable au monde des affaires, ndlr]», l’assistance composée d’acteurs de la City, a eu un murmure approbateur.
Libé - Royal: le gouvernement a commis un «certain nombre d’erreurs»
Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie et de l’Energie, a estimé dimanche sur France 3 qu'«un certain nombre d’erreurs» avaient été faites depuis deux ans par le gouvernement, lequel aujourd’hui «rectifie» et «accélère».
Le Point - Le collectif Vive la gauche ("frondeurs" PS) réfléchit à l'unité de la gauche
Le collectif Vive la gauche, qui comprend plusieurs sensibilités du PS dont les "frondeurs", se voit comme l'"antidote à la déroute" et réfléchit à la façon de parvenir à l'unité de la gauche, ont affirmé plusieurs membres de ce collectif samedi à Vieux-Boucau (Landes).
"Nous sommes l'antidote au rétrécissement de la gauche", a affirmé Christian Paul, député de la Nièvre, à l'université d'été du courant "Un monde d'avance" qui se réunit samedi et dimanche dans les Landes.
Slate - Non, on ne sait pas qui remportera les régions en 2015
Mi-septembre, nous avons publié sur Slate.fr un article de Thomas Guénolé sur les projections électorales pour les élections régionales de 2015. Un autre politologue et contributeur régulier de Slate, Joël Gombin, conteste ces résultats.
L'art, ou plutôt l'artisanat, de la prévision électorale est délicat car on risque plus d'y laisser des plumes que de viser juste à tous les coups. De ce point de vue, il faut féliciter Thomas Guénolé car il accepte d'échanger une visibilité immédiate contre une possible déconvenue ultérieure.
6 octobre
Le Monde - A Vieux-Boucau, Benoît Hamon regrette « le démantèlement de l’Etat »
Il faut un certain sens de l’équilibre pour suivre Benoît Hamon sur la ligne de crête qui lui sert de stratégie. L’ancien ministre de l’éducation nationale clôturait dimanche 5 octobre l’université de rentrée d’« Un monde d’avance », son courant de l’aile gauche du Parti socialiste, à Vieux-Boucau, dans les Landes.
Le Figaro - Benoît Hamon veut rassembler la gauche déçue
Tandis qu'Arnaud Montebourg fait de son côté sa rentrée politique et se rêve en challenger de François Hollande pour 2017, Benoît Hamon a rassemblé ce week-end dans les Landes les militants de son courant «Un monde d'avance». Ont défilé sur l'estrade les représentants des principales forces politiques de gauche déçues par la politique du gouvernement, des députés frondeurs jusqu'au communiste Pierre Laurent, en passant par l'ancienne ministre Cécile Duflot.
Le Monde - Dans le Gard, Montebourg se pose en leader d’une autre voie socialiste
Il est ravi d'être « redevenu un citoyen ordinaire », qui prend le métro « avec plaisir » et parle désormais « d'égal à égal » avec les Français qu'il croise dans la rue. Fidèle à son style primesautier et flamboyant, Arnaud Montebourg a surjoué dimanche 5 octobre son nouveau statut d'ancien ministre « profondément heureux » d'avoir quitté le gouvernement le 25 août et de « vivre en accord avec (ses) convictions ».
Le Figaro - Arnaud Montebourg rêve de défier François Hollande
«Toi aussi, tu veux une petite cuvée du redressement?» Samedi soir, peu avant minuit, Arnaud Montebourg termine de dîner avec plusieurs centaines de militants socialistes, réunis dans le Gard pour des universités d'automne de sa sensibilité politique. Congédié du gouvernement fin août dernier, l'ancien ministre ne se lasse pas de répéter la petite blague qui l'a conduit an clash avec François Hollande et Manuel Valls. À ceux qui viennent l'embrasser ou le congratuler, il lance: «Je suis le plus heureux des hommes, je vis en accord avec mes convictions.»
Paris Match - Arnaud Montebourg, "citoyen ordinaire" à l’assaut de Hollande
C’est donc à Laudun-Lardoise qu’Arnaud Montebourg a refait surface samedi après-midi, un mois et demi après son éviction-éclair du gouvernement. Faut-il y voir un symbole ? Cette petite commune provençale n’est pas seulement le fief du député Patrice Prat, fidèle montebourgeois et organisateur des « universités d’automne » dédiées à l’ex-patron de Bercy.
-
L'actualité des socialistes du 29 septembre au 3 octobre (mise à jour)
A la une
Libé - «Vive la gauche»: après l'Assemblée, le parti?
Au Vieux-Boucau, devant les militants du courant de Benoît Hamon, les parlementaires frondeurs ont pris date pour 2015. Ambition: prendre les rênes du PS
Paul Alliès - Une anaphore pour les Etats Généraux du Parti socialiste
Le Parti socialiste boucle, cette semaine la première étape de la préparation de ses Etats Généraux où il s'agira de "reformuler ensemble notre identité", but asigné par J.C. Cambadélis à partir d'une "série de douze questionnements". Un Conseil national fera le point sur les diverses contributions dimanche prochain.
5 octobre
Le JDD - Chacun de leur côté, Montebourg et Hamon veulent "réinventer" la gauche
Les deux principales victimes du dernier remaniement gouvernemental, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg, ont effectué samedi leur rentrée politique. Si le premier estime ne pas être dans "l'opposition", le second entend bien continuer "à s'exprimer".
Ils ont tout pour s'entendre et renverser la table lors du prochain congrès du Parti socialiste. Mais c'est bien en ordre dispersé que les ténors et courants de l'aile gauche du PS, tous hostiles à la ligne du gouvernement Valls, font leur rentrée politique ce week-end.
L'ancien ministre veut que la gauche "retrouve la confiance avec le peuple" dans les deux ans et demi qui viennent.Il doit prononcer dimanche le discours de clôture de cette université d'automne...L'ancien ministre Arnaud Montebourg s'est présenté samedi comme un «citoyen engagé» qui veut continuer «à s'exprimer», estimant qu'il y avait «beaucoup de choses à faire» pour la «réinvention de la gauche».
L'ex-ministre de la Culture prône une VIe République «avec une répartition moins monarchique du pouvoir»...Aurélie Filippetti fait sa rentrée. L'ex-ministre de la Culture prône, plus d'un mois après sa démission du gouvernement, une VIe République «avec une répartition moins monarchique du pouvoir», dans une interview publiée samedi par Médiapart.
4 octobre
L'Express - François Rebsamen et sa non-interview "non relue" un peu trop "libérale"
Le ministre du Travail ne retient pas ses coups contre le PS, Jean-Christophe Cambadélis ou encore Michel Sapin, dans une interview publié par le magazine de Bourgogne, Le Miroir. Le texte a été mis en ligne... puis retiré quelques minutes plus tard, ce vendredi. Que s'est-il passé?
Ça phosphore, ce week-end, au PS. Après des universités de la Rochelle sans saveur et sans débat d'idées, les courants, clubs et écuries du parti, notamment de son aile gauche, se retrouvent pour parler désaccords avec la politique de l'exécutif et pour lancer les bases, disent-ils, de l’union de la gauche... chacun de leur côté !
France 3 - Arnaud Montebourg fait son retour, il n’a pas dit son dernier mot
L’ex-ministre de l’Economie, qui a été éjecté du gouvernement cet été, fait son retour politique à l'occasion d'une université de rentrée dans le Gard samedi 4 et dimanche 5 octobre 2014.
Politis - François Rebsamen, un ministre brut de décoffrage
L’entretien du ministre du Travail publié ce vendredi 3 octobre sur le site du magazine bourguignon Miroir, puis retiré quelques minutes plus tard, fait le buzz. A raison puisque le ministre, hiérarque du PS, s’y vante notamment d’avoir « effectué sa mue idéologique (…) depuis longtemps » et de se battre « depuis longtemps [il insiste, NDLR] pour une vision libérale de l’économie ».
Libé - Hamon : «Je ne voudrais pas qu’en 2017, la jeunesse vote en majorité pour le FN»
INTERVIEW EXCLUSIVE Pour la première fois depuis son départ du gouvernement, l'ex-ministre de l'Education reprend la parole et demande à son camp de défendre les «valeurs de gauche».
3 octobre
Intervention de Gérard Filoche au Bureau national du PS le mardi 30 septembre 2014
Je comprends qu’on tienne des propos s’efforçant d’atténuer notre nouvelle défaite aux élections sénatoriales. Mais il n’en ressort pas moins que c’est la troisième de l’année après le désastre des municipales le 30 mars, et le fait inouï que nous ayons été derrière le Pen aux européennes le 25 mai.
Le Monde - Moscovici : «Je ne veux pas ruiner la crédibilité du pacte, ni la mienne»
C'était l'affluence des grands jours pour l'audition par le Parlement européen, jeudi 2 octobre, du Français Pierre Moscovici, candidat au poste de commissaire à l'économie
Pierre Moscovici peine à convaincre les députés européens
PARIS (Reuters) - Pierre Moscovici, candidat désigné au poste de commissaire aux Affaires économiques, a bataillé jeudi pour tenter de convaincre les députés européens qu'il saurait faire appliquer les règles budgétaires communes à tous les pays sans exception, au moment où le déficit public de la France dérape.
L'Express - Vache folle: suppression des tests de dépistage en France
Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll a cherché à rassurer les éleveurs inquiets en annonçant des aides ponctuelles et la levée des tests de dépistage de l'ESB.
Libé - Bartolone contre la fonction de 1er ministre
Avant la nomination de Manuel Valls à Matignon, Claude Bartolone fut un temps considéré comme un possible premier ministrable. Mais voilà que le président de l’Assemblée, dans un livre à paraître le 8 octobre (Je ne me tairais plus. Plaidoyer pour un socialisme populaire, Flammarion), préconise la suppression de cette fonction. Et le passage à un régime présidentiel.
2 octobre
Libé - Filippetti et Montebourg dans le piège people
Idylle. L’ex-ministre de la Culture n’ira pas au raout de rentrée de l’ex-ministre de l’Economie.
La presse people attendra… Après avoir un temps hésité, l’ex-ministre de la Culture Aurélie Filippetti a finalement tranché. Non, ce week-end elle n’ira pas dans le Gard, sur les terres du député Patrice Prat, prendre part à l’université de rentrée d’Arnaud Montebourg. L’idylle entre les deux ex-ministres est trop fraîche, la pression encore trop forte.
Le Figaro - Bruno Le Roux purge la commission des affaires sociales de ses députés frondeurs
Outre le symbole de la sanction, le chef de file des députés socialistes s'assure que le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ne sera pas rejeté en commission.
Dans le jargon de Twitter, cela s’appelle un petit « clash ». Ce mardi après-midi, le président PS du conseil général de l’Essonne, Jérôme Guedj et son vice-président aux finances, Carlos Da Silva, se sont livrés à un échange musclé sur le réseau social. Le premier, figure nationale de l’aile gauche du PS a contesté la décision du président du groupe socialiste à l’Assemblée de mettre à l’écart six députés frondeurs de commissions clés comme celle des affaires sociales.
Le Monde, Les décodeurs - Depuis 2009, la gauche abandonne ses bastions de pouvoir
1er octobre
Le Point - Présidentielle 2017 - Cambadélis : "Tout est possible, y compris le pire"
Si le premier secrétaire du PS juge que "tout est possible" pour 2017, même "le pire", il assure que la "volatilité de l'opinion peut se retourner".
30 septembre
Le Parisien - Fessenheim : un rapport parlementaire préconise de fermer la centrale après 2016
Combien coûterait la fermeture de Fessenheim (Haut-Rhin) ? Très cher. «Au moins 5 milliards» d'euros à en croire un rapport parlementaire rendu public ce mardi et qui préconise de reporter la fermeture de la doyenne française des centrales nucléaires prévue pour fin 2016. Ce sont des «calculs farfelus», rétorque mardi Ségolène Royal, la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, qui dénonce des manœuvres politiques à la veille du début de l'examen à l'Assemblée du projet de loi sur la transition énergétique qui prévoit notamment une réduction de la part du nucléaire dans la consommation d'électricité à l'horizon 2025.
Le Monde - La gauche relativise la perte du Sénat
L'année électorale catastrophique des socialistes n'en finit plus. Après avoir perdu les municipales et les européennes, la gauche a abandonné le Sénat à la droite, dimanche 28 septembre. Une conséquence logique du renversement du rapport de forces au sein du collège des grands électeurs, composé en grande partie de conseillers municipaux. Il n'empêche : après deux ans de présidence de François Hollande, la majorité a perdu une assemblée et offre à l'UMP un bastion et une tribune, qui lui seront fort utiles dans sa stratégie de reconquête du pouvoir.
Le Monde - Coup de rabot généralisé sur les allocations familiales
Le gouvernement a décidé d’économiser sur les prestations familiales. Marisol Touraine, ministre de la santé et des affaires sociales, et Christian Eckert, secrétaire d’Etat chargé du budget, ont confirmé lundi 29 septembre que plusieurs prestations allaient subir un large coup de rabot dans le cadre du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2015.
Le Nouvel Obs - Budget de la Sécu : "Faire des enfants va bientôt devenir un luxe"
REVUE DE PRESSE. "Bricolage", "une politique qui va à l'encontre du bon sens"... Les éditorialistes de la presse quotidienne critiquent vivement le budget de la Sécurité sociale.
Le Monde - La démonstration de force de Jean-Noël Guérini
Jean-Noël Guérini a gagné son pari politique. Malgré ses multiples mises en examen dans le cadre de dossiers portant sur des marchés publics frauduleux, malgré son divorce tumultueux avec le Parti socialiste, « son parti de toujours », malgré sa prochaine convocation, le 13 octobre, devant le tribunal correctionnel de Marseille pour une affaire de licenciement abusif présumé, le président du conseil général des Bouches-du-Rhône a obtenu sa réélection à son siège de sénateur.
29 septembre
Le Monde - Les résultats des élections sénatoriales 2014
Le Nouvel Obs - Le Sénat repasse à droite : les 3 leçons du scrutin
La droite retrouve sa majorité, mais le PS évite la déroute, tandis que pour la première fois, le Front national fait son entrée au Sénat.
Le Monde - Sénatoriales : les résultats circonscription par circonscription
Le basculement du Sénat à droite semble désormais être une question de temps. Les premiers résultats des élections sénatoriales, publiés au compte-gouttes dimanche 28 septembre, montrent que trois sièges de gauche ont déjà été conquis par la droite et le centre.
20 Minutes - «Front démocrate»: Bennahmias lance son nouveau parti en présence de Cambadélis
L'ancien Vert et ex-MoDem Jean-Luc Bennahmias a lancé samedi à Paris son nouveau parti, le Front démocrate (FD), parti d'alliance de l'exécutif, en présence notamment du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis qui a appelé à une «alliance progressiste».
-
L'actualité des socialistes du 22 au 27 septembre (mise à jour)
27 septembre
Le Lab - Les ABCD de la langue de bois par Najat Vallaud-Belkacem
Détrompez-vous, Najat Vallaud-Belkacem n'est plus porte-parole du gouvernement. Mais la ministre de l’Éducation nationale a gardé une habitude caractéristique de son ancienne fonction : la langue de bois (chose pour laquelle elle a d'ailleurs été primée dans le palmarès des "PS d'or").
Le Nouvel Obs - Grève Air France : Matignon rejette la médiation exigée par les pilotes
Le principal syndicat des pilotes conditionne la levée du mouvement à la nomination d'un médiateur.
Libé - Vers une mesure «anti-Thévenoud» à l’Assemblée
HISTOIRE Comment éviter un nouveau scandale Thévenoud, ce député PS devenu ministre et débarqué du gouvernement après neuf jours pour inconséquence fiscale ? Interrogé par Mediapart, le déontologue de l’Assemblée nationale, Ferdinand Mélin-Soucramanien (successeur de Noëlle Lenoir) prône, comme Christiane Taubira, la ministre de la Justice, la mise en place d’un «quitus fiscal».
Le Lab - Le livre de Michel Sapin, "L’Ecume et l’Océan", fait un bide en librairie
Les livres de politiques ne font pas tous autant recette que celui de Valérie Trierweiler, devenue millionnaire en quelques semaines grâce à Merci pour ce moment. Et Michel Sapin, ami de trente ans de François Hollande, peut en témoigner.
Libé - Sarkozy + Assouline = deux fois plus de bobards
DESINTOX Le sénateur PS de Paris s'est fait un plaisir hier de reprendre les mensonges énoncés par Sarkozy... en rajoutant lui même bonne couche d'intox
Le Monde - François Hollande pointe « des manquements » lors du retour de djihadistes présumés
De New York, le président de la France, François Hollande, a réagi, mercredi 24 septembre, à l'imbroglio causé par le retour en France de trois djihadistesprésumés, expulsés de Turquie la veille. Le chef de l'Etat a reconnu qu'il y avait eu « à l'évidence des manquements » alors que les individus sont parvenus à rentrer en France sans être inquiétés. M. Hollande a jugé nécessaire de renforcer la coopération avec la Turquie, estimant qu'elle était « indispensable ».
26 septembre
RFI - Assassinat d'Hervé Gourdel: «un acte odieux et abject »
Les réactions affluent après l'annonce de l'assassinat de l'otage français en Algérie, Hervé Gourdel. Tous se disent horrifiés par cette exécution «odieuse». Selon François Hollande, Alger promet ce soir de « mobiliser toutes les forces possibles pour retrouver les assassins».
25 septembre
Aqui - La Fête de la Rose du PS landais s'annonce frondeuse
.... Pour le meeting au Hall des sports de Soustons après le traditionnel banquet, c'est Pierre-Alain Muet qui est annoncé à la tribune samedi après-midi, au côté de Laura Slimani, présidente des Jeunes socialistes et Renaud Lagrave, premier fédéral des Landes. Le député du Rhône, ex-conseiller de Lionel Jospin, n'était a priori pas attendu du côté de l'aile gauche du PS. Mais par la force des choses, cet économiste chevronné qui s'oppose à une politique de l'offre « absurde », s'est rapproché des « frondeurs »
Le Nouvel Obs - "La trahison" de Hollande ? Mauduit, en bloc et en détail
Dans son dernier livre, le journaliste de Médiapart établit un lien direct entre "la trahison" de Hollande et la "corruption" de ses soutiens. Si la thèse est claire, la démonstration, elle, l’est beaucoup moins.
Libé - Hollande rate une nouvelle inversion de courbe
A force, cela va ressembler à une malédiction. A chaque fois que, dans la noirceur de l'économie française, François Hollande croit discerner un signal positif, cette petite flamme de l'espoir est douchée par des chiffres vengeurs. Il avait cru voir une stabilisation du chômage ? Celui ci est reparti à la hausse. Il avait décelé un frémissement de la croissance ? Le PIB national est collé au plancher depuis le début de l'année. Et voilà qu'Hollande va devoir à nouveau déchanter, victime cette fois du taux de marge qui, après avoir un peu grimpé au premier trimestre vient de dégringoler illico au deuxième, selon un rapport de l'Insee publié ce mardi.
24 septembre
La phrase d'Emmanuel Macron sur les ouvrières "illettrées" de Gad, mercredi 17 septembre sur Europe 1, a choqué, à droite comme à gauche. Elle a même été à l'origine d'un échange pour le moins musclé entre le député PS de l'Ardèche Olivier Dussopt et le ministre de l'Économie, dans les couloirs de l'Assemblée.
Le Monde - Aquilino Morelle « Certains avaient planifié de longue date mon élimination politique »
Pendant un peu moins de deux ans, il occupa l'un des bureaux les plus convoités de la République, à deux pas de celui de François Hollande. Conseiller politique mais aussi responsable de la communication, Aquilino Morelle avait dû quitter ce poste précipitamment, le 18 avril, au lendemain de la parution d'un article de Mediapart affirmant qu'il avait conseillé des laboratoires pharmaceutiques alors qu'il était à l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS).
Libé - Aquilino Morelle : «Ca va saigner»
L'ancien conseiller du président de la République estime, dans des entretiens à la presse, qu'il a été exfiltré de l'Elysée car il «gênait» et réfute que ses agissements constituent une «affaire Morelle»
"EVIDEMMENT"- François Hollande sera-t-il candidat à sa propre succession en 2017 ? Si le principal intéressé a refusé de s’exprimer sur ce sujet le 18 septembre lors de sa conférence de presse, ses principaux conseillers le font pour lui. C’est Bernard Combes, maire de Tulle et conseiller à l'Elysée, qui s’est confié dans un reportage sur publicsenat.fr.
Libé - Pouria Amirshahi veut renouer avec les déçus de la gauche
«Nous voulons reparler à tous ces acteurs engagés qui sont déçus par la gauche au pouvoir», confie le député socialiste des Français de l’étranger, Pouria Amirshahi, un des parlementaires «frondeurs». Samedi, pour renouer le dialogue, ce proche de Benoît Hamon réunira à la salle parisienne de la Bellevilloise des représentants d’Attac, du collectif ACLeFeu, mais aussi des salariés qui ont lutté lors du conflit des Fralib ou l’acteur Philippe Torreton et le fondateur de Mediapart Edwy Plenel.
23 septembre
Slate - Martine Aubry est-elle en train de devenir la Alain Juppé de la gauche?
À égale distance de «frondeurs» qui la rêvent en chef de file et de membres du courant majoritaire qui attendent d’elle un soutien salutaire au président, elle pourrait redevenir une figure centrale du paysage de gauche en contribuant à l’apaisement des contentieux.
Le Monde - Au PS après le retour de Sarkozy : « On ne va plus être seuls à boxer sur le ring »
Ils en étaient venus eux aussi, ces derniers jours, à attendre avec impatience son retour. Les socialistes sont presque soulagés de voir Nicolas Sarkozy réapparaître dans le champ politique. Sa capacité à attirer la lumière médiatique tombe à pic pour un exécutif qui ne sera pas mécontent de faire un peu moins la une des journaux, entre remaniement et crise de groupe à l’Assemblée. « Le retour de Sarkozy, c’est du pain bénit pour le gouvernement et le PS : enfin, on ne va plus être seul à boxer sur le ring », confie un dirigeant du Parti socialiste.
Le Point - Cambadélis : Sarkozy a "la rancune au coeur et la revanche à l'esprit"
Le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a vu un Nicolas Sarkozy "la rancune au coeur et la revanche à l'esprit" lors de son intervention télévisée dimanche soir et l'a accusé de "caresser un sentiment islamophobe" en évoquant une refonte de Schengen.
Le Figaro - Les socialistes ravis et inquiets de retrouver leur meilleur ennemi
Avec un mélange d'impatience, de crainte et de fascination, les socialistes ont retrouvé leur meilleur ennemi. Dimanche, ils étaient nombreux devant leur télévision pour observer Nicolas Sarkozy effectuer son grand retour. Il ne les a pas déçus. «Ça m'a fasciné. Le personnage est tellement incroyable!... Il tient cinq minutes sur “j'ai changé” et après, c'est distribution générale de paires de baffes», s'amuse un responsable socialiste qui, comme beaucoup de ses camarades, voit plutôt d'un bon œil ce come-back attendu de l'ancien chef de l'État.
Le JDD - Hollande et "le président d'hier"
François Hollande a chargé le patron du PS et ses ministres de répondre à Nicolas Sarkozy.
François Hollande l'a déjà battu. Le pouvoir se sent donc en terrain connu et ne cesse de banaliser le retour de Nicolas Sarkozy. Qu'est-ce que cela change dans la vie politique? "Rien", balayait Manuel Valls samedi après-midi en marge de sa visite du réservoir Montsouris, à Paris, pour les Journées du patrimoine. "Dans ma fonction de chef du gouvernement, je ne dois pas être préoccupé par ce type d'affaires sur la vie du parti d'opposition.
22 septembre
Le Lab - Gérard Collomb s'autoproclame "Deng Xiaoping de la France" devant des journalistes chinois
Il n'a cessé de l'appeler de ses voeux, et de se féliciter du virage social-démocrate de François Hollande. Et use de son sens aigu de la comparaison pour expliquer aux chinois qui il est. Gérard Collomb, maire socialiste de Lyon, a récemment reçu des journalistes chinois à sa mairie, et Le Progrès raconte également l'éclair de lucidité de Gérard Collomb
Le Lab - Emmanuel Macron sur les "illettrées" de Gad : "Parfois, on fait des erreurs de débutant"
LA POLITIQUE, ÇA S'APPREND - Il est ministre de l'Économie mais n'en reste pas moins un "petit nouveau" en politique. Alors forcément, le risque de faire un faux-pas n'est pas négligeable. Emmanuel Macron s'en est rapidement rendu compte, après sa toute première interview depuis sa nomination, mercredi 17 septembre sur Europe 1.
Soupçonné par un journaliste de Mediapart d'avoir usurpé ses diplômes, Jean-Christophe Cambadélis dit avoir "une petite idée" des personnes qui ont "ourdi ce complot"
Le JDD - Première tranche d'impôt : une suppression très politique
Manuel Valls a surpris mercredi en annonçant la suppression de la première tranche. Explications.
Manuel Valls a pris tout le monde par surprise. Mercredi, il a annoncé une baisse d'impôt pour les foyers modestes, initialement préparée pour son discours de politique générale. Le Premier ministre et le gouvernement ont dû néanmoins s'y reprendre à trois fois pour en donner les détails. L'essentiel pour l'exécutif était d'afficher une mesure fiscale favorable pour 2015, concernant la moitié des foyers. Et réduire le nombre de ménages imposables. "Nous allons sortir de l'impôt davantage de contribuables que ceux qui y sont entrés depuis trois ans", promet-on à Bercy. Par rapport à 2013, quelque 6 millions de familles paieraient moins et trois millions seraient exonérées.
-
Intervention française en Irak : pour Valls, « notre sécurité nationale est en jeu » Le Monde.fr
Intervention française en Irak : pour Valls... par lemondefr