Montebourg, Duflot, Hamon : le trio qui a fait... par liberation
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Montebourg, Duflot, Hamon : le trio qui a fait monter la pression par Libération
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Le gouvernement Valls "portait en germe" son éclatement Le Monde.fr
Le gouvernement Valls "portait en germe" son... par lemondefr -
Montebourg : "Nulle remise en question de la solidarité gouvernementale" Europe1fr
Montebourg : "Nulle remise en question de la... par Europe1fr -
Remaniement : Hollande et Valls perdent toute marge de manoeuvre par LeNouvelObservateur
Remaniement : Hollande et Valls perdent toute... par LeNouvelObservateur -
Libé - Baumel (PS) : «Le problème, c'est le cap choisi»
INTERVIEW
Le député PS «frondeur» réagit aux déclarations de Manuel Valls qui a exclu l'hypothèse d'un changement de cap.
Alors que Manuel Valls a balayé l’hypothèse d’un changement de cap économique, le député PS «frondeur» Laurent Baumel déplore «l’entêtement» du gouvernement à mener une politique qu’il juge «inefficace économiquement comme socialement».
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L'actualité des socialistes du 1er au 15 août (mise à jour)
Jusqu'au 27 août le suivi de l'actualité des socialistes va s'arrêter pour cause de vacances. Pendant cette période quelques documents de réflexion pourront être publiés ainsi que des images d'archives de l'INA sur les socialistes.
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Libé - Moscovici, demandeur de poids à la Commission européenne
L’ancien patron socialiste de Bercy, qui sera le représentant de la France à Bruxelles, se bat pour obtenir un large portefeuille économique. La partie est loin d’être gagnée.
INVITÉ RTL - Le porte-parole du Parti socialiste considère que l'Union européenne doit être vue et entendue à propos du dossier irakien.
Le JDD - Au Sénat, le PS vers une troisième défaite de rang
Le 28 septembre, le Sénat renouvellera la moitié de ses membres. La droite espère leur reprendre le contrôle.
Le Monde - L'aile gauche du PS demande « la suspension immédiate » du pacte de responsabilité
Trois élus de l'aile gauche du Parti socialiste, Marie-Noëlle Lienemann, Emmanuel Maurel et Jérôme Guedj, demandent « la suspension immédiate » du pacte de responsabilité et la mise en place d'« une vraie réforme de l'impôt », samedi 9 août dans une lettre ouverte au premier ministre Manuel Valls.
Le Lab - L'appel aux dons du Parti socialiste pour sauver "Nice-Matin"
Cécile Duflot, Nathalie Kosciuzko-Morizet et Marie-George Buffet ne sont plus seules. Ce samedi 9 août, le Parti socialiste a lui aussi salué l’initiative des salariés deNice Matin pour sauver leur journal. Le parti de Jean-Christophe Cambadélis l’a fait par voie de communiqué, en commençant par expliquer la démarche des salariés.
Le Monde - Les limites de l'équilibrisme politique du gouvernement
En dépit des obstacles que sa propre majorité avait mis sur sa route,François Hollande avait réussi à imposer son pacte de responsabilité. Las ! En plein cœur de l'été, et de manière assez inattendue, le Conseil constitutionnel a certes validé l'essentiel de ce dispositif, destiné à allégerles charges des entreprises pour favoriser l'emploi, mais il a censuré la baisse de cotisations salariales en faveur des salariés les plus modestes. Pour les « sages », une telle mesure, qui devait s'appliquer au 1er janvier 2015, est contraire à la Constitution, car elle « méconnaît le principe d'égalité ».
Le Monde - Paris prêt à soutenir les Kurdes qui combattent l'Etat islamique en Irak
La France va-t-elle aider les Kurdes qui affrontent les djihadistes de l'Etat islamique ? A l'issue d'un entretien téléphonique avec le leader des Kurdes d'Irak, Massoud Barzani, l'Elysée a indiqué dans un communiqué publié jeudi 7 août que la France était prête à apporter son « soutien » aux forces engagées pour bloquer l'offensive des combattants islamistes.
Libé - Pourquoi les radicaux resteront sagement au gouvernement
Leur patron Jean-Michel Baylet menace de faire démissionner les ministres radicaux de gauche à cause de la réforme territoriale. Un coup de bluff.
Comment rebondir après le camouflet des Sages ? En se faisant retoquer un pan du volet social du pacte de responsabilité concernant les travailleurs modestes, le gouvernement doit chercher de nouvelles mesures pour les plus précaires. Des mesures que Bercy veut intégrer dès le collectif budgétaire de la rentrée afin qu’elles soient opérationnelles au plus vite.
Libé - L'iPhone, c'est «le machin avec la pomme ?», demande Michel Sapin
«L'Opinion» dresse un portrait du ministre des Finances axé sur son rapport aux nouvelles technologies. Il s'avère très peu geek, hostile à Twitter et aux selfies qui «font des gueules de batraciens».
7 août
RTL - Le PS interpelle le gouvernement après l'arrestation musclée de demandeurs d'asile
Le parti socialiste demande au gouvernement que "toute la lumière soit faite" après la diffusion d'une vidéo de l'arrestation violente d'une famille arménienne.
Le Figaro - Le PS s'inquiète des «stages d'entrainement» organisés par Alain Soral
Le Parti socialiste réagit après la publication par le Canard enchaîné d'un article racontant les rassemblements promus par l'essayiste d'extrême-droite Alain Soral.
Libé - Allégement des cotisations salariales : les sages rectifient Valls
DÉCRYPTAGE
Le Conseil constitutionnel a retoqué mercredi soir une mesure phare du Pacte de responsabilité, qui devait redonner du pouvoir d'achat aux ménages modestes. Embarras à gauche.
Une gifle. Le Conseil constitutionnel a rejeté mercredi soir une mesure sociale phare du gouvernement Valls, à savoir l’allégement des cotisations salariales pour les bas salaires. Qui précisément devait bénéficier de cette mesure, quelles conséquences, quelle marge de manœuvre pour le gouvernement? Réponse en quatre points.
Le lab - Benoît Hamon, guest-star de la Fête de la Rose d’Arnaud Montebourg
Ils auraient pu avoir Manuel Valls. Ils auront Benoît Hamon. Et pas sûr que cela les dérange outre-mesure. Le 24 août, pour la rentrée politique d’Arnaud Montebourg lors de sa traditionnelle Fête de la Rose, à Frangy-en-Bresse, les supporteurs du ministre de l’Economie et du Redressement productif pourront applaudir celui de l’Education nationale et figure de l’aile gauche du PS, rapporte Le Parisien de ce mercredi 6 août. Une information confirmée par les socialistes locaux.
Libé - Réforme territoriale: le PRG menace de quitter le gouvernement
Dans un entretien au «Nouvel Observateur», Jean-Michel Baylet exige «le maintien du conseil général dans les départements ruraux».
Le Nouvel Obs - Baylet : "Nous partirons du gouvernement si..."
INFO OBS. Le patron du Parti radical de gauche annonce que ses trois ministres démissionneront si la réforme territoriale n'est pas modifiée.
Le gouvernement va être obligé de revoir sa copie. Mercredi 6 août, les sages du Conseil constitutionnel ont annoncé qu'ils rejetaient l'allègement des cotisations salariales, promis par l'exécutif dans le cadre de son pacte de responsabilité.
L'article 1er du projet de loi, qui prévoit une baisse dégressive des cotisations des salariés touchant entre un et 1,3 smic, a ainsi été jugé« contraire à la Constitution » par les sages, notamment parce qu'il« méconnaît le principe d'égalité ».
4, 5 et 6 août
Le Lab - Thomas Piketty regrette que Michel Sapin n'ait pas lu son livre "Le capital au XXIe siècle"
"Trop lourd". C'est dans ces mots que Michel Sapin, ministre du Travail, a justifié son refus de lire le livre de Thomas Piketty, Le Capital au XXIe siècle, pourtant en tête des ventes depuis son carton aux Etats-Unis. Et visiblement, le message est arrivé aux oreilles de son auteur.
WHAT ELSE ? - Instructive, très instructive lecture du Monde de ce 5 août. Dans un article intitulé "la tentation permanente du micro-management", on apprend que François Hollande a le sens du contrôle très, très poussé à l'Elysée. Le chef de l'Etat veut tout savoir de la vie du palais, donne son avis sur tout. Jusqu'au prix des capsules de café.
Le Figaro - Pour un député PS, il y a «moins de couacs» avec Manuel Valls à Matignon
Yann Galut se réjouit ce lundi sur Sud Radio de l'action du premier ministre, nommé il y a quatre mois par François Hollande. «Je constate quand même qu'avec Manuel Valls, sans critiquer Jean-Marc Ayrault, le gouvernement fonctionne mieux», a lancé le cofondateur du courant «Cohérence socialiste». «Il y a plus de liens entre les ministres, moins de couacs», a avancé le député du Cher.
Libé - Fabius: le droit d’Israël à la sécurité ne justifie pas le «massacre» de civils
Le droit «total» d’Israël à la sécurité «ne justifie pas» le «massacre» de civils à Gaza, a déclaré lundi le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, selon lequel une «solution politique» entre Israël et les Palestiniens «devra être imposée» aux deux parties.
«La tradition d’amitié entre Israël et la France est ancienne et le droit d’Israël à la sécurité est total mais ce droit ne justifie pas qu’on tue des enfants et qu’on massacre des civils», a indiqué le ministre dans un communiqué publié à Paris.
Le Monde - La gauche du PS veut exclure les professions réglementées du CICE
Faut-il réduire le champs d'action du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE) ? Cette mesure de déduction fiscale en faveur desentreprises, mise en place par François Hollande, devrait exclure les professions réglementées, a jugé lundi 4 août, Jérôme Guedj, président du conseil général de l'Essonne et représentant de la gauche du PS.
Le Point - Université d'été du PS à La Rochelle : les frondeurs s'organisent
Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont attendus à la réunion publique qui réunira les députés PS en désaccord avec la politique du gouvernement.
GUERRE FROIDE – Le PS est en guerre froide. D’un côté, ceux qui soutiennent le gouvernement Valls et la politique économique impulsée par François Hollande. Ce sont les légitimistes. De l’autre, une frange de l’aile gauche du parti, dénommés « frondeurs », qui veut faire infléchir cette politique économique et sociale.
1er, 2 et 3 août
Le Figaro - La date du congrès, nouveau champ de bataille au PS
Initialement prévu à l'automne 2015, le congrès du PS doit être reprogrammé pour ne pas se télescoper avec les élections régionales et départementales.
Libé - Olivier Faure (PS) : «La dissolution de la LDJ est la seule voie possible»
Le député socialiste a écrit mercredi une lettre au ministre de l'Intérieur pour «obtenir des éclaircissements» sur les agissements de la Ligue de défense juive (LDJ).
Le Figaro -Pour sa rentrée, Ségolène Royal préfère les Verts aux socialistes
La ministre de l'Écologie n'ira pas aux universités d'été du PS à La Rochelle, mais a prévu de se rendre aux journées parlementaires des écologiste
Libé, Laurent Joffrin - «Ils ont tué Jaurès !»
Il y a un siècle, le 31 juillet 1914, le fondateur du socialisme français était assassiné. Pourtant, par ses écrits, par son verbe, par sa philosophie, par son message à la gauche, il est toujours vivant.
Libé - Au Café du Croissant, on ne partage pas Jaurès
François Hollande, les communistes et les responsables du PS ont fait hommage à part ce matin, devant le restaurant parisien où Jean Jaurès a été tué il y a cent ans.
Huffington Post - Le Café du croissant où Jean Jaurès a été assassiné ne surfe plus sur cet épisode
Les profanes y viennent pour sa pinte à moins de trois euros pendant l'happy-hour, pour ses nombreuses bières ou les produits de l'Aubrac cuisinés par le chef. Mais la Taverne du croissant, à Paris, est aussi (et peut-être surtout) un lieu où l'histoire s'est écrite il y a tout juste 100 ans. C'est ici, dans ce bistrot du second arrondissement de la capitale qui s'appelait alors le Café du croissant, que Jean Jaurès a été assassiné le 31 juillet 1914.
Le Figaro - Le serveur du café du Croissant se souvient de la mort de Jaurès
VIDÉO- Un enregistrement sonore, sorti des archives par RTL, de l'homme qui a servi à boire au socialiste et à son assassin, permet de revivre ce jour symbolique à travers les yeux d'un témoin.
France Inter - L'héritage disputé de Jean Jaurès
Le 31 juillet 1914, Jean Jaurès était assassiné au café du Croissant à Paris, à la veille de la première guerre mondiale. Cent ans après, gauche et droite françaises n'hésitent pas à le citer. Au risque d'irriter les plus inconditionnels.
Être fidèle à Jean JaurèsLe Nouvel Obs - Comment Jaurès s'est métamorphosé en superstar
Hollande et Mélenchon se disputent son héritage. Cent ans après son assassinat le 31 juillet 1914, le fondateur de la SFIO est devenu une icône de la République, à gauche comme à droite. Pourquoi tant d'amour ?
Le Figaro - François Hollande revendique l'héritage de Jean Jaurès, cent ans après sa mort
Le chef de l'État rendra un nouvel hommage au fondateur de la SFIO, dont on célèbre jeudi le centenaire de l'assassinat. En avril à Carmaux, il avait assuré qu'il restait fidèle aux valeurs de cette icône du socialisme.
Le Figaro - Au Café du Croissant, Jean Jaurès est toujours là
Il y a cent ans, Jean Jaurès était assassiné au cours d'un dîner dans ce restaurant parisien. Jeudi, le bistro, devenu la Taverne du Croissant, résonnera aux sons des hommages politiques.
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BFM Story: Manuel Valls: une rentrée "difficile" et une possible "déflation" – 01/08 BFMTV
BFM Story: Manuel Valls: une rentrée "difficile... par BFMTV -
L'actualité des socialistes du 15 au 27 juillet (mise à jour)
A La une
Paris Match - JEAN-CHRISTOPHE CAMBADÉLIS "LE CENTRE NOUS REJOINDRA"
Paris Match. Vous fêtez cette semaine vos 100 jours à la tête du PS et l’on parle déjà de «Cambamania». Vous voulez «tout changer». Souhaitez-vous en finir avec l'appellation de social-démocratie?
Jean-Christophe Cambadélis. Oui, il faut tout changer mais avant de s’occuper de la vitrine, il faut s’occuper du fond de commerce. Les socialistes sont confrontés à une nouvelle époque et ils doivent fonder leur socialisme moderne. Après on verra s’il faut rompre avec telle ou telle formule.24, 25, 26 et 27 juillet
Libé - Yann Galut (PS): «Le combat est pris en otage par une minorité radicale»
Le député socialiste Yann Galut a participé ce mercredi à la manifestation pro-palestinienne qui s'est déroulée à Paris. Il déplore comme nombre de ses collègues les réajustements successifs de la position française.
Libé - François Hollande, illico texto
Le Président, accro aux SMS, n’hésite pas à en user auprès des ministres. Quitte à bousculer le protocole.
Ce vendredi 4 avril au matin, le nouveau gouvernement Valls a rendez-vous au salon Murat du palais de l’Elysée pour son tout premier Conseil des ministres. Ils sont seize autour de la table. Seize pour incarner ce «gouvernement de combat»,dont la mission principale est de faire oublier le temps des couacs de l’ère Ayrault. François Hollande entre. Un silence solennel s’installe. Le Président prend la parole. Et annonce… l’interdiction des portables en Conseil des ministres.24 et 25 juilletLibé - Les députés adoptent la France à 13 régionsLe premier volet du projet de réforme territoriale a été voté et doit désormais repartir en seconde lecture au Sénat, à l'automne.Les députés ont adopté mercredi le premier volet de la réforme territoriale, qui prévoit une nouvelle carte de France à 13 régions et le report des élections départementales et régionales de mars à décembre 2015.Libé - L’obsession économique du Président
Aller plus vite. Si la politique est l’art de gérer le temps, quel est le sens de l’accélération décrétée hier par François Hollande et jusqu’ici créditée par les Français à son Premier ministre ? S’il a nommé Manuel Valls à Matignon, c’est parce qu’il met «de l’efficacité, de l’organisation et de la rapidité», a-t-il reconnu. Façon de souligner en creux les manques du gouvernement Ayrault et de tenter de récupérer une part de la popularité de son Premier ministre, deux fois plus importante que la sienne. Pour ne pas se retrouver dans le rôle de l’«hypoprésident» face à un «hyperpremier ministre», François Hollande a rappelé que c’est lui qui tient le levier de vitesse.
Le premier volet du projet de réforme territoriale a été voté et doit désormais repartir en seconde lecture au Sénat, à l'automne.
Les députés ont adopté mercredi le premier volet de la réforme territoriale, qui prévoit une nouvelle carte de France à 13 régions et le report des élections départementales et régionales de mars à décembre 2015.
22 et 23 juilletL'ancien ministre, favori et adoubé par l'actuel président de l'Association des maires de France, va affronter un probable candidat socialiste... ce qui ne devrait néanmoins pas trop perturber son élection.Le Figaro - Gaza : des députés PS demandent à Hollande de suivre Chirac et d'écouter Fabius
Plusieurs députés socialistes ne comprennent pas la position de François Hollande sur le conflit israélo-palestinien. «Des diplomates français sont atterrés», confie un parlementaire de la majorité.20 et 21 juillet
Le Monde - La bataille d'un député PS du Nord contre la fusion avec la Picardie
Quelques jours après l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi sur la réforme territoriale, la fusion des régions du Nord-Pas-de-Calais et de laPicardie, prévue par le texte, n’en finit pas de faire des mécontents. Alors que la maire de Lille, Martine Aubry, est sortie de son long silence, vendredi 18 juillet, pour critiquer ce rapprochement, le député socialiste du Nord Bernard Roman revient à la charge lundi 21 juillet.
Libé - Christophe Léonard. A fond la fronde
Costume repassé, lunettes noires à monture lisse, sourire urbain, Christophe Léonard a l’apparence du gendre idéal. C’est pourtant le seul jusqu’au-boutiste des députés frondeurs socialistes. Pas la grande gueule que l’on voit partout dans les médias, non. Méconnu du grand public, le député de la 2e circonscription des Ardennes, celle de Charleville-Givet, maîtrise mal sa com. Pourtant, il affirme qu’«au sein du groupe PS, tout le monde sait qui il est». Dernièrement, il a beaucoup montré sa tête sur les sites d’info. L’élu s’est abstenu sur le vote du budget rectificatif de 2014, alors que ses collègues socialistes se sont tous rangés.
Il est, pour le moment, le seul candidat déclaré. En duo avec un élu socialiste qui plus est. François Baroin, qui va tenter de devenir sénateur en septembre prochain, est le candidat adoubé par le sortant Jacques Pélissard pour lui succéder à la présidence de la puissance Association des maires de France
Le Midi Libre - Comment la tutelle veut sortir la fédération PS du Gard de l’ornière
Jeudi, à Nîmes, Émeric Bréhier, député de Seine-et-Marne, Rachid Temal, premier fédéral du Val d'Oise, et Jules Joassard, membre du conseil national du PS, ont plongé dans le chaudron bouillant du PS gardois. Ils en ont profité pour s'afficher en patrons d'une fédération qui sombre dans la guerre des clans.
Libé - «Le couple Elysée-Matignon, c’est du Feydeau»
Pour Bastien François, la Ve République a rendu le rôle présidentiel impossible à exercer.
Bastien François, 52 ans, est professeur de science politique à l’université Panthéon-Sorbonne. Elu régional Europe Ecologie-les Verts d’Ile-de-France, il a cofondé avec Arnaud Montebourg la Convention pour la VIe République (C6R).19 et 20 juilletLe Monde - Aubry à Hollande : « Il n'est pas trop tard pour réussir le quinquennat »
Depuis que les députés socialistes ont redessiné une carte de France à treize régions où le Nord - Pas-de-Calais et la Picardie sont fusionnés, Martine Aubry ne décolère pas. Après la publication d'un communiqué, mardi, la maire de Lille a tenu une conférence de presse entourée de huit élus du Nord - Pas-de-Calais, vendredi 18 juillet.
Libé - Martine Aubry : il n'est «pas trop tard pour réussir le quinquennat»
La maire de Lille Martine Aubry (PS) a jugé vendredi qu’il n’était «pas trop tard»pour «réussir le quinquennat», notamment la réforme sur les régions. «On a fait de belles choses, on en a loupé d’autres», a déclaré, lors d’une conférence de presse à Paris, Martine Aubry, très discrète au plan national depuis qu’elle a quitté la direction du PS en septembre 2012. «Si depuis deux ans dans tous les domaines, on avait eu une grande vision et une méthode, on aurait eu un peu moins de problèmes», a-t-elle jugé.
Libé - Aubry profite de la réforme territoriale pour monter au créneau
Qui touche à son bastion récolte la baston. Astreinte à une diète médiatique depuis la victoire de François Hollande, Martine Aubry a craqué. Vendredi, lors d’une conférence de presse avec plusieurs élus socialistes du Nord, la maire de Lille a laissé éclater sa colère après que l’Assemblée nationale a acté vendredi au petit matin le principe d’une fusion entre «son» Nord-Pas-de-Calais et la Picardie. Une charge à portée nationale : «Si nous avions eu une plus grande vision dans tous les domaines depuis deux ans, il y aurait moins de problèmes», a-t-elle taclé. Avant d’ajouter qu’«il est encore temps de réussir» un quinquennat au cours duquel «on a fait de belles choses [et] on en a loupé d’autres.»
Martine Aubry est en colère, et cela commence à inquiéter le gouvernement. Mardi 15 juillet, la maire de Lille avait qualifié d'« aberration » l'idée de fusionner les régions Nord - Pas-de-Calais et Picardie. Jeudi matin, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement, s'est chargé de répondre sur RTL à l'ancienne candidate aux primaires socialistes :
Le Monde - Réforme territoriale : quelles tractations derrière la nouvelle carte ?
Les députés socialistes ont proposé, mardi 15 juillet, leur propre carte des régions françaises, en ramenant leur nombre de 22 à 13 au lieu des 14 initialement prévues. Mais la carte est loin d'être finalisée.
18 juillet
Le Lab - "Meccano", "Monopoly", "Sims" : les métaphores des élus PS du Nord pour critiquer l’idée d’une fusion Picardie/Nord-Pas-de-Calais
Dans le paysage politique, il y a certaines saillies qui piquent plus que d’autres. Tenue à une certaine réserve depuis sa mairie de Lille, Martine Aubry fait partie de cette catégorie. Alors, quand elle signe, avec de nombreux élus PS du Nord, un communiqué pour dénoncer "l’aberration" que constitue selon elle la fusion de la Picardie et du Nord-Pas-de-Calais, ça ne passe pas inaperçu.
Les Echos - Didier Guillaume (PS) candidat à la présidence du Sénat
Le président du groupe socialiste au Sénat se dit convaincu d’une victoire de la gauche aux sénatoriales de septembre. Il compte prendre la succession de Jean-Pierre Bel à la présidence de la haute assemblée.
Le Monde - Bagarre entre la France et l’Allemagne sur le poste de Moscovici à Bruxelles
Pierre Moscovici n’est pas encore tout à fait fixé sur son sort de commissaire européen. François Hollande pourrait certes confirmer, mercredi 16 juillet, en marge d'un Conseil européen extraordinaire, le choix de son ancien ministre des finances pour la Commission européenne. Mais en raison des réserves de l’Allemagne, il va devoir se battre pour obtenir le portefeuille discrètement espéré par la France : les affaires économiques et monétaires.
17 juillet
Le Monde - Claude Sérillon quitte son poste de conseiller à l'Elysée
Entamé il y a trois mois, le remaniement du cabinet de François Hollande se poursuit, à petites touches. Claude Sérillon vient ainsi de quitter ses fonctions de « conseiller à la présidence de la République », mardi 15 juillet, jour où l'ancien secrétaire général adjoint Emanuel Macron organisait par ailleurs son pot de départ. Cette sortie était envisagée depuis plusieurs semaines dans le cadre de la réorganisation du staff élyséen. Mais l'ancien journaliste s'étant révélé dans un premier temps réticent à quitter sesfonctions, le décret, signé vendredi, n'a été publié au Journal officiel que ce mercredi 16 juillet.
Libé - Aurélie Filippetti chassée du Off par des intermittents
Plus tôt dans la journée, des représentants du mouvement de protestation réunis en collectif ont refusé de rencontrer la ministre, estimant que de «véritables négociations» étaient nécessaires dans le conflit sur la nouvelle convention d'assurance chômage.
Libé - La fusion Nord-Pas-de-Calais - Picardie, une «aberration» pour Aubry
La nouvelle carte concoctée par les députés ne plaît pas à Martine Aubry, qui fustige la fusion de sa région avec la Picardie, «deux régions en grandes difficultés», selon elle
Libé - Réforme territoriale : les députés PS s'accordent sur une nouvelle carte de France
Les responsables socialistes du texte suggèrent désormais de fusionner Poitou-Charentes, Aquitaine et Limousin.
16 juillet
Libé - Hollande : «Tout est sur la table, rien ne sera modifié»
Lors de la traditionnelle interview du 14 Juillet, François Hollande a préféré aux effets d’annonce la réaffirmation de ses choix et une clarification du calendrier des deux années à venir.
14-Juillet : revivez l'interview de François Hollande
Le président de la République répond, lundi 14 juillet, aux questions de Gilles Bouleau (TF1) et de David Pujadas (France 2).
Les décodeurs, Le Monde - 14-Juillet : ce qu'a dit François Hollande
Comme le veut la tradition, le président de la République a donné un entretien télévisé, lundi 14 juillet, répondant aux questions des journalistes de France 2 et TF1, David Pujadas et Gilles Bouleau. François Hollande y a été interrogé sur son bilan mais également sur les prochaines réformes. Florilège de ses réponses.
15 juillet
Libé - Droit de vote des étrangers, Hollande «ne renonce pas»
Le chef de l'Etat a répondu à l'interview du 14 Juillet, après un défilé placé sous le signe des commémorations du centenaire de 14-18.
Le Parti socialiste fait ouvrir son université d'été par un maire dissident
PAS RANCUNIER - Il faut savoir tourner la page, et Jean-Christophe Cambadélis l'a bien compris. Le Premier secrétaire du Parti socialiste ouvrira, le 29 août prochain, l'université d'été du Parti socialiste, en présence de Jean-François Fountaine, maire socialiste de La Rochelle. Jusqu'ici, tout est normal. Sauf que l'édile rochelais s'était présenté, en mars dernier, contre la candidate officiellement choisie par le parti, et était donc ce qu'on appelle un dissident
TOUT COMPTE FAIT - C'est un engagement qu'il avait pris en réaction aux petites habitudes de Nicolas Sarkozy: ne pas recevoir les députés socialistes à l'Elysée. Et finalement, François Hollande n'a plus l'air si convaincu que ça de la nécessité d'une telle règle. Le Parisien raconte le dîner du président dans le 18e arrondissement, le 11 juillet dernier, avec certains de ses amis socialistes
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Discours de Manuel Valls venant clore la conférence sociale par Public Sénat
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Conflits sociaux: la méthode Valls Libération par Libération
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L'actualité des socialistes du 30 juin au 13 juillet (mise à jour)
A la une
France Info - Arnaud Montebourg, le révolutionnaire compétitif
Après Manuel Valls a décidé à sortir la France des blocages partisans, et accusé de trop en donner aux patrons, voici Arnaud Montebourg. Le ministre de l’Economie se pose en militant de la croissance. En militant de gauche, surtout.
Le Figaro - «Montebourg a été ambigu dans son rapport à la politique du gouvernement»
INTERVIEW - Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques et spécialiste du PS, le ministre de l'Économie a joué sur deux tableaux jeudi lors de son discours à Bercy, en oscillant entre solidarité et «critiques à fleurets mouchetés».
11, 12, 13 et 14 juillet
Le Nouvel Obs - Montebourg : petite leçon d'économie devant un public déjà conquis
Pour sa conférence sur le redressement économique français, Arnaud Montebourg a été accueilli par un public varié, et visiblement acquis à sa cause. Même Serge Dassault.
Paris Match - Les frondeurs du Parlement, L’exécutif dans les sables mouvants
«On est un peu comme les premiers chrétiens. Même si certains sont dévorés par les lions, on construira l’Eglise. » La métaphore osée est du député Pascal Cherki. Les jeux du cirque, l’hémicycle ? Entre envolées théâtrales et coups bas, les ressemblances sont frappantes ces derniers temps. Dans le rôle des gladiateurs rebelles, quelques dizaines de députés socialistes vent debout contre la ligne proentreprise et les baisses de charge massives promises par Manuel Valls.
Le Figaro - À Marseille comme à Paris, la gauche en crise cherche à rassembler les siens
La situation est grave pour la sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann. «On voit aujourd'hui des choses qui n'ont jamais existé jusque-là!». Une situation «complexe» pour la gauche après les cuisants échecs aux municipales et aux européennes, une «profonde crise démocratique», un Parlement «sans pouvoir» dans lequel s'affronte la majorité… Face à cela, son courant Gauche Avenir vante un travail sur le fond, pour rassembler la gauche.
Le Nouvel Obs - Montebourg : un plan pour "restituer 6 milliards aux Français"
Le ministre de l'Economie présente un plan pour le "redressement économique de la France". Un projet de loi est attendu pour septembre.
BFM TV - Karine Berger veut "proposer un point d'équilibre"
Karine Berger, député PS, était l'invité de BFM Business ce mercredi 9 juillet. Elle est notamment revenue sur la création de "Cohérence socialiste", une nouvelle sensibilité.
10 juillet
Le Nouvel Obs - "Les décisions sont prises a l'Elysée, sans discussion"
Quatre députés lancent "Cohérence socialiste", un collectif qui souhaite ouvrir le débat sur la politique économique au sein du PS.
Les députés Karine Berger, Valérie Rabault, Yann Galut et Alexis Bachelay lancent une nouvelle sensibilité, "Cohérence socialiste", pour ouvrir le débat économique au sein du PS. Entretien.
Le Nouvel Obs - François Hollande ? "Plaisir de trahir, joie de décevoir"
Ex-soutien du président, l'écrivain Laurent Binet est stupéfait par la politique menée aujourd'hui. Il l'écrit pour la première fois dans "le Nouvel Observateur", en kiosque le 10 juillet. Extraits.
Les Echos - 69 milliards de prélèvements en plus entre 2011 et 2013
La rapporteure du Budget, Valérie Rabault, a chiffré les hausses de prélèvements depuis 2008, sur les ménages et les entreprises.
Le Monde - Une nouvelle carte des régions adoptée, avec le Limousin uni à l'Aquitaine
Les députés ont voté en commission, mercredi 9 juillet, une nouvelle carte des régions. Seul changement par rapport au projet initial du gouvernement, le Limousin sera désormais uni à l'Aquitaine.
Le Monde - Le budget de la Sécurité sociale adopté malgré l'abstention de 33 «frondeurs»
Les députés « frondeurs » n'ont pas réussi à ébranler le gouvernement de Manuel Valls. L'Assemblée nationale a adopté mardi 8 juillet le projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale (PLFRSS) par 272 voix pour, 234 contre et 54 abstentions. Ce vote était un test pour l'exécutif, qui peinait à convaincre l'aile gauche du Parti socialiste sur ce programme qui prévoit 50 milliards d'euros d'économies.
9 juillet
Marianne - Et ils se virent 35 en arrivant au vote...
Ils partirent 41 mais sans un prompt renfort, ils se virent 35 en arrivant au vote du projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale... Ils, ce sont les frondeurs du PS. Mais ces mécontents du hollandisme et du vallsisme ne baissent pas les bras et évoquent déjà les prochaines batailles. Passage en revue des troupes restantes.
Marianne - La Rochelle : quand Aubry joue les filles de l'air
Alors que le programme de la prochaine université d’été du Parti socialiste est pratiquement bouclé, une personne manque encore à l’appel : Martine Aubry. David Assouline, sénateur de Paris et organisateur de cette édition qui se tiendra les 29, 30 et 31 août à la Rochelle, ne sait toujours pas si la maire de Lille fera le déplacement. Une absence qui brouille un peu plus les pistes sur la stratégie de l’ancienne ministre de l’Emploi.
Libre à Gauche - Europe : des efforts mais peut encore mieux faire ! Par Julien Dray
Le Sommet qui s’est tenu à Bruxelles ces 26 et 27 juin a été marqué à la fois par la désignation de Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne et par quelques progrès marqués par les tenants d’une inflexion de la politique économique au niveau de l’UE. Juncker désigné, ce n’est pas une surprise. Le groupe auquel il se rattache – le Parti Populaire Européen (PPE) – est majoritaire au Parlement européen après les élections du 25 mai.
Libre à Gauche - Maintenant ! Par Julien Dray
Nos institutions sont désormais mises au défi. Alors que la Vème République était faite pour donner à un homme les clés du pouvoir régalien dans la période de décolonisation, il est désormais urgent de donner à notre République les moyens institutionnels d’affronter l’évolution du monde, en prenant en compte ses mutations.
Rue 89 - Frondeurs : qui sont les vrais, qui sont les dégonflés ?
Ce mardi, l’Assemblée nationale a voté le budget rectificatif de la Sécurité sociale (PLFRSS). Derrière des aspects techniques, ce texte a une importance centrale.
Pour ses conséquences économiques, d’abord : il met en musique le « pacte de responsabilité » voulu par le Premier ministre Manuel Valls. Pour sa résonance politique, ensuite : le vote des lois de finances détermine traditionnellement l’appartenance à la majorité.
Le Figaro - Le PS et ses courants préparent l'université d'été de La Rochelle
LE SCAN POLITIQUE - David Assouline a présenté lundi le programme du rendez-vous annuel du PS, qui aura lieu fin août. Les frondeurs et la Gauche forte préparent eux aussi leur rentrée politique.
8 juillet
Le Nouvel Obs - Conférence sociale : la CGT et FO boycottent, Hollande réplique
Le chef de l'Etat juge que le dialogue social ne peut "pas être une perpétuelle surenchère" et appelle le patronat à "aboutir à de vrais résultats".
Le Figaro - François Hollande et Manuel Valls entre deux feux
C'est un anniversaire amer pour Manuel Valls. Le premier ministre fête ce mardi ses cent premiers jours à Matignon. Cent jours au terme desquels il apparaît au moins aussi «entravé» que ne l'est à ses yeux la France. Cent jours qui s'achèvent sur une rupture historique entre l'exécutif, la CGT et FO, ces deux syndicats ayant décidé de boycotter la seconde journée de la conférence sociale qui a débuté lundi et qu'il clôturera ce mardi après-midi.
Libé - Sapin: «Notre amie c’est la finance: la bonne finance»
Le ministre des Finances, Michel Sapin, a déclaré dimanche que la finance était l'«amie» du gouvernement et de l’économie, précisant «la bonne finance», dans une intervention aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence. «Nous avons à répondre à une très belle question: "Y a-t-il une finance heureuse, au service d’investissements heureux ?" Je l’exprimerai autrement et vous verrez ma part de provocation. Notre amie c’est la finance: la bonne finance», a-t-il lancé, déclenchant des rires dans la salle.
7 juillet
Le Monde - Pour Valls, il est temps de réformer la France, la gauche et le PS
Manuel Valls a prononcé dimanche 6 juillet un plaidoyer pour la réforme et le mouvement et revendiqué un « réformisme assumé », afin de « remettre en marche » une France « bloquée », « coincée dans ses postures partisanes » et « tétanisée » par la peur de l'avenir.
A la veille d'une conférence sociale sous tension et cent jours après sa nomination à Matignon, le premier ministre s'adressait à des militants du Parti socialiste au pouvoir, rassemblés pour un banquet champêtre à Vauvert, dans le Gard
Les Echos - Valls veut « remettre en marche » une France « bloquée »
Le Premier ministre, à Vauvert, dans le Gard, a invité la gauche au pouvoir à se « réinventer », à « sortir des vieilles recettes du passé » et à le suivre dans la voie de son « réformisme assumé ».Le Lab - Les députés frondeurs auront leur propre salle aux universités d’été du PS
Ils seront évidemment là, les Laurent Baumel, Pouria Amirshahi, Pascal Cherki et les autres, ces frondeurs socialistes qui donnent des maux de tête à l’exécutif - et à Bruno Le Roux. Rendez-vous est donc pris pour les universités d’été du PS, fin août, à La Rochelle, pour s'expliquer.
6 juillet
La "fronde" de certains députés socialistes contre la politique économique du gouvernement est-elle dirigée en sous-main par Martine Aubry ? La question se pose étant donnée la forte présence d’élus estampillés "aubrystes" comme Jean-Marc Germain ou Christian Paul parmi les députés rebelles. Mais la maire de Lille, elle, se fait très discrète dans le débat.
Le Figaro - Valls va vanter son «réformisme» à la veille de ses 100 jours à Matignon
Le premier ministre sera dimanche à Vauvert, dans le Gard, où il avait prononcé il y a un an discours remarqué sur le «réformisme assumé». Au programme notamment : un déjeuner républicain en présence de militants socialistes.
Le Lab - Cambadélis renvoie Sarkozy aux conseils qu'il avait prodigué à DSK : "répondre aux juges et éparger les Français de ses commentaires"
LE POINT DSK - Invité à commenter sur RTL ce 3 juillet l'interview de Nicolas Sarkozy sur Europe 1 et TF1 la veille au soir et ses accusations "d'instrumentation politique de la justice", Jean-Christophe Cambadélis a renvoyé l'ancien Président à ses propres propos, tenus en avril 2012 en pleine affaire DSK.
Face aux frondeurs, l’exécutif a menacé d'avoir recours à ce que l’on appelle communément le "vote bloqué". En résumé, le gouvernement impose SA version du texte aux députés, sans aucun amendement que ceux validés – et donc souhaités – par le gouvernement. Vous n’avez plus qu’à signer, là, en bas à droite.
Le Figaro - Les "frondeurs" PS à La Rochelle fin août
Les députés socialistes "frondeurs" ont prévu de présenter leur démarche aux militants lors des journées d'été du PS à La Rochelle fin août, a-t-on appris aujourd'hui auprès de plusieurs d'entre eux.
5 juillet
Libé - Réforme territoriale : le Sénat rejette la carte du gouvernement
Les sénateurs n'approuvent pas la nouvelle carte des régions dessinée par le gouvernement et l'ont fait savoir en votant un amendement supprimant un article clef. Mais celui-ci sera réintroduit à l'Assemblée.
4 juillet
Les décodeurs, Le Monde - Le budget participatif, nouvelle tendance des villes du monde
« Je souhaite donner les clés du budget aux citoyens », a soutenu Anne Hidalgo, la maire socialiste de Paris, mercredi. Ce même jour, elle a lancé son opération de budget participatif, sur la place de la République. Mesure innovante pour la capitale, vecteur de démocratie directe, les arguments pleuvent pour justifier le démarrage d'une telle initiative à la mode.
Le Nouvel Obs - Défense de Sarkozy : "Une méthode de diversion éculée" pour Taubira
Dans un entretien, à paraître ce vendredi, à des quotidiens régionaux, la ministre de la Justice estime que l'ancien président a opté pour "une piètre ligne de défense".
Le Monde - Bartolone accuse Sarkozy de « malmener publiquement la justice »
Au lendemain de l'entretien donné à TF1 et Europe 1 par l'ancien chef de l'Etat où il a dénoncé « l'instrumentalisation politique d'une partie de la justice », Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale, a accusé sur iTélé Nicolas Sarkozy de malmener la République.
Le Figaro - Arnaud Montebourg s'imagine en chef des frondeurs
LE SCAN POLITIQUE - Le 10 juillet, le ministre de l'Économie va prononcer un grand discours pour exposer sa ligne économique. L'occasion pour lui de se positionner pour 2017 comme chef incontesté de l'aile gauche du PS.
Europe 1 - Ce discours choc que prépare Montebourg
INFO E1 - Décidé à incarner la gauche de la gauche, le ministre veut marquer les esprits avec un grand "discours de politique générale" économique.
Le jeudi 10 juillet ne sera pas un jour comme les autres pour Arnaud Montebourg. Selon les informations d'Europe 1, le ministre de l’Economie a en effet décidé de marquer les esprits avec un grand "discours de politique générale". Un évènement soigneusement préparé qui doit lui permettre d’incarner l’aile gauche de la majorité socialiste, de plus en plus tentée par la rébellion.
3 juillet
Le Monde - Pénibilité : la CFDT dénonce « une rupture du dialogue social » de Valls
« Cette interview est une rupture en termes de dialogue social », a déclaré au Monde, mercredi 2 juillet, Laurent Berger. Le secrétaire général de la CFDT réagissait aux propos tenus par Manuel Valls dans Les Echos au sujet de la mise en oeuvre du compte pénibilité, prévu par la réforme des retraites, en 2015.
Libé - Manuel Valls, l'écho du patronat
Sur RMC-BFMTV comme dans «les Echos», le Premier ministre ouvre des brèches sur le terrain du social, au grand dam des syndicats.
Pourquoi se priver ? Depuis qu’il est monté en première ligne sur les conflits des cheminots et des intermittents il y a quinze jours, Manuel Valls veut du «mouvement». Alors ce mercredi, au lendemain d’un vote large de sa majorité sur le budget rectificatif, le Premier ministre, bien conscient des rapports de force actuels, fonce sur le terrain — miné — du social.
Le Monde - L'Assemblée a voté à une très large majorité l'allègement des cotisations salariales
L'Assemblée nationale a voté très largement, mardi 1er juillet, le premier article du projet de budget rectificatif de la Sécurité sociale, prévoyant une exonération de cotisations salariales jusqu'à 1,3 smic. Ces exonérations, jusqu'à 1,5 smic pour les fonctionnaires, ont été adoptées par 182 voix contre 3 dans l'Hémicycle.
Libé - Réforme de l'Etat : ça va simplifier
Et maintenant… la réforme de l’Etat. La plus belle arlésienne de la vie politique française, pour l’instant grande oubliée du début de quinquennat de François Hollande, fait son entrée ce mercredi matin en conseil des ministres. Ce sera sans fioritures, juste une communication, a priori du Premier ministre, sur la feuille de route du gouvernement et plus particulièrement celle de Thierry Mandon, le nouveau secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification.
Les Echos - Gel des retraites : échec des «frondeurs» du PS
Les retraites supérieures à 1.200 euros par mois seront bien gelées. Les « frondeurs » du PS et l’opposition de droite ne sont pas parvenus à supprimer cette mesure d’économie à l’Assemblée.
Le Parisien - Les députés votent le gel des retraites au-delà de 1 200 euros
Ce mercredi, les députés ont voté le gel pour un an des pensions de retraite supérieures à 1 200 euros par mois qui auraient dû être revalorisées au 1er octobre. Dans les faits, cela revient à un gel de 18 mois puisque la date de revalorisation annuelle des retraites avait déjà été décalée cette année d'avril à octobre à l'occasion de la réforme des retraites.
Europe 1 - Montebourg lance son comité contre l'austérité
AUSTÉRITÉ VS RELANCE - Le ministre de l'Economie a inauguré mercredi le "conseil indépendant pour la croissance et le plein emploi".
Arnaud Montebourg est en persuadé : les politiques d'austérité sont moins efficaces qu'une relance de l'économie. Le ministre de l'Economie a donc constitué un groupe de choc chargé de plancher sur la question, le "conseil indépendant pour la croissance et le plein emploi" qu'il a inauguré mercredi.
Huffington Post - Royal l'emmerdeuse : la Une de "L'Express" indigne Manuel Valls et les socialistes
"Royal l'emmerdeuse". Ce titre provocateur du magazine L'Express a fait bondir Manuel Valls. Invité à réagir ce mercredi 2 juillet sur BFMTV, le premier ministre a jugé cette Une "dégradante" avant de chanter les louanges de sa ministre de l'Environnement.
Alors que le patronat menace de boycotter la conférence sociale, le Premier ministre annonce de nouvelles mesures en faveur des entreprises.
Les Echos - Manuel Valls : «Je veux sortir la France de ses blocages»
A la veille de la conférence sociale et en plein débat budgétaire au Parlement, Manuel Valls donne aux « Echos » sa première grande interview économique. « Notre politique est bien calibrée, elle a été longuement mûrie », défend le Premier ministre, se posant comme « le Premier ministre qui redonne confiance ». Il répond aux critiques du patronat et des frondeurs du PS. Il annonce un report partiel du compte pénibilité et affiche sa volonté de réformer le code du Travail
2 juillet
Les Echos - Le collectif budgétaire adopté à une vaste majorité
Les députés PS "frondeurs" qui s'étaient abstenus lors du vote des 50 milliards d'euros d'économies avaient décidé, lors d'une réunion mardi, de voter le projet de loi de finances rectificative (PLFR). Les écologistes avaient indiqué qu’ils le voteraient "en majorité"
Le Nouvel Obs - Mise sous tutelle de la fédération PS du Gard
Cette mise sous tutelle intervient alors qu'une enquête préliminaire a été ouverte le mois dernier sur la comptabilité de la fédération socialiste du Gard.
Marianne - Ces amendements des "frondeurs" que le gouvernement ne voulait pas voir
Ce lundi débutait l’examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale rectificative (PLFSSR) à l’Assemblée. Un enjeu pour les députés "frondeurs" du PS et leurs homologues écolos et Front de gauche qui souhaitaient continuer le rapprochement opéré la semaine dernière. Mais le gouvernement, paniqué à l'idée de se retrouver mis en minorité, a choisi d'autoriser les parlementaires à ne voter que sur ses propres amendements…
Le Parisien - Budget de la Sécu : le gouvernement verrouille le vote pour contrer les «frondeurs»
Au lendemain de la décision du gouvernement de reporter les votes à l'Assemblée sur les articles et amendements au projet de budget rectificatif de la Sécu pour 2014, le recours au vote bloqué se précise.
Le Monde - Les députés approuvent le budget rectificatif de l'Etat
Les députés ont adopté en première lecture, mardi 1er juillet, le projet de budget rectificatif de l'Etat pour 2014, par une large majorité de 307 voix contre 232. Ce texte prévoit notamment une réduction d'impôt sur le revenu pour les ménages modestes, et 4 milliards d'euros d'économies pour poursuivre la réduction du déficit public à 3,8 % du PIB. Y figure aussi le remplacement de l'écotaxe par un péage de transit poids lourds.
Libé - Les «frondeurs» PS votent finalement le budget
Les socialistes contestataires ont prévu de concentrer leurs forces sur le projet de loi de finances de la Sécurité sociale, mardi prochain
BFM TV - Les frondeurs du PS vont voter pour le budget rectificatif de l'Etat
Les frondeurs du PS vont voter pour le budget rectificatif de l'Etat, a annoncé mardi l'un de leurs leaders, le député Christian Paul. Par contre, ils "ne voteront pas en l'état" celui de la Sécurité sociale, actuellement en discussion.
1er juillet
Confronté à une fronde au sein de la majorité, le gouvernement a annoncé lundi soir qu'il suspendait les votes des députés sur les articles et amendements au projet de budget rectificatif de la sécurité sociale pour l'année 2014. Une décision surprenante qui a été fortement décriée par l'opposition et les députés frondeurs qui dénoncent un blocage institutionnel majeur.
Le JDD - Budget : frondeurs du PS, un vote à plusieurs inconnues
Heure de vérité mardi dans l'Hémicycle, lors du vote du budget rectificatif. Les frondeurs du PS, qui contestent la ligne économique du gouvernement, doivent arrêter mardi matin leur position.
Questions sociales, Le Monde - Les acteurs sociaux du « Réseau 812″ prônent un nouveau modèle
Ils ne sont ni « frondeurs », ni « affligés », ni même déçus. Le think tank hollandiste R812 – appellation née d’une contraction de deux dates, celles de 1981 et de 2012 qui ont vu l’élection d’un socialiste à la présidence de la République – a toujours la foi. Il vient de produire un texte qui préconise de « nouveaux marqueurs de gauche ».
Lui Président, Le Monde - La promesse oubliée : le non-cumul des mandats pour les ministres
Dans sa ville de Boulogne-sur-Mer, l’irréductible Frédéric Cuvillier se cramponne à son poste de maire. Pourtant, François Hollande promettait lors de l'entre-deux tours qu’aucun de ses ministres ne cumulerait de mandat local avec ses fonctions dans le gouvernement
Le Monde - A la surprise générale, le gouvernement reporte les votes sur le budget de la Sécu
Le gouvernement a décidé lundi 30 juin, tard dans la soirée, de remettre à plus tard les votes à l'Assemblée sur les articles et amendements au projet de budget rectificatif de la Sécurité sociale, provoquant la consternation dans l'hémicycle et l'indignation d'une partie de la majorité.
Libé - Pour Cambadélis, le Medef joue à «l'enfant gâté»
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, regrette que, depuis janvier, le Medef se «comporte comme un enfant gâté» et exige «toujours plus», après «le cri d’alarme» à destination de l’exécutif lancé dimanche par huit organisations patronales.
Libé - Jean-Christophe Cambadélis critique «l’immobilisme» du Sénat
Le patron du PS se fâche contre le Sénat, où une majorité d’élus UMP, communistes et radicaux de gauche veulent retarder la discussion sur la réforme territoriale. «Il y a de l’immobilisme dans l’air, il faut le surmonter», a déclaré lundi Jean-Christophe Cambadélis au site MYTF1News
Europe 1 - Face aux "frondeurs", le double jeu de l'exécutifL'INFO POLITIQUE - Les ténors de la majorité appellent les députés rebelles à la responsabilité. Mais en coulisses, l'inquiétude est toute relative.
Europe 1 - Bruno Le Roux appelle les socialistes frondeurs au rassemblement
DOC E1 - Dans une lettre adressée aux députés de la majorité, le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale rappelle que “nul ne réussira seul”.
Le Monde - A Bruxelles, François Hollande estime avoir marqué des points
C'est presque avec le sourire que François Hollande a quitté la table du Conseil européen, vendredi 27 juin, à Bruxelles. Un déjeuner entre chefs d'Etat qui s'est prolongé jusqu'à 16 h 30, avec au menu, la crise ukrainienne, et en digestif, la désignation de Jean-Claude Juncker pour présider la Commission européenne.
Le Parisien - Dans la peau de Mathieu Hanotin, frondeur socialiste
Cette semaine encore, on ne parlera que d'eux, ces députés PS qui contestent la politique du gouvernement. Parmi eux, Mathieu Hanotin, 36 ans.
Le Monde - Réforme de l'Etat : « Il faut passer la surmultipliée »
Dans un entretien au Monde, Thierry Mandon, le tout nouveau secrétaire d'Etat à la réforme de l'Etat et à la simplification, dévoile son programme pour relancer la modernisation de l'action publique.
30 juin
La Nouvelle République - Une vingtaine d'amendements déposés par les contestataires
Les députés socialistes « frondeurs » ont déposé une vingtaine d'amendements au projet de budget rectificatif de la Sécu (PLFSSR) pour 2014, malgré les directives du président du groupe PS. Une soixantaine de députés PS ont signé un ou plusieurs de ces amendements, c'est-à-dire davantage que les 41 recensés abstentionnistes lors du vote de confiance de Manuel Valls.
Bien Public - Face aux frondeurs du PS, l’épreuve de vérité
Parce que le budget rectificatif de la Sécurité sociale examiné ce matin engage sa politique économique et sociale, le gouvernement doit convaincre les députés socialistes récalcitrants de le voter.
Libé - Education: Hamon arrondit les angles
Le ministre a assoupli la semaine des quatre jours et demi, mis fin à l’expérience de l’ABCD de l’égalité, et sa réforme de la notation se limitera à davantage de «bienveillance».
Adéfaut de laisser une œuvre, Benoît Hamon s’est fixé deux objectifs rue de Grenelle : «usiner» les réformes de son prédécesseur, Vincent Peillon, afin de les faire passer, et pacifier une ambiance jugée beaucoup «trop nerveuse» autour de l’école.
Le Figaro - Hollande et Valls sous la pression des frondeurs du PS
Le bras de fer entre le gouvernement et les députés PS «frondeurs», qui s'opposent à la politique de l'offre de François Hollande, se poursuit. La semaine dernière, consacrée à l'examen du collectif budgétaire (PLFR), a été tendue, à l'Assemblée. La semaine qui s'ouvre devrait l'être davantage, avec l'examen dès lundi du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSSR), qui entérine plusieurs volets du pacte de responsabilité pour les entreprises. «Un rendez-vous tendu», reconnaît un conseiller du premier ministre, qui s'attend à des «difficultés plus fortes que sur le premier texte», le PLFR, qui sera voté mardi.
Libé - Hollande joue la fermeté sur l'affaire Le Guen
L'Autorité chargée de vérifier les déclarations de patrimoine a adressé une «appréciation» au secrétaire d'Etat concernant la sous-valorisation de ses biens immobiliers. Jean-Marie Le Guen a depuis rectifié les données transmises.