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ps - Page 82

  • Plan social au PS : Olivier Faure se dit contraint de "prendre des décisions" qui lui "tordent le ventre"

  • France Info - Au Parti socialiste, le désarroi des salariés "placardisés" à l'approche d'un nouveau plan de licenciements

    Trois ans après un plan social historique, le Parti socialiste, en difficulté financière, envisage de supprimer de nouveaux postes. Parmi les plus menacés : des salariés de longue date qui s'estiment déconsidérés depuis plusieurs années.

    "On incarne un récit, l'histoire du parti, et c'est précisément ce dont ils ne veulent plus entendre parler." Comme plusieurs de ses collègues qui dénoncent les conditions de leur licenciement dans une lettre adressée lundi 1er février à franceinfo, Eric* sait que ses jours au sein du Parti socialiste sont comptés. La semaine dernière, le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a officiellement annoncé aux salariés et au bureau national la suppression de 11 postes de permanents pour des raisons budgétaires. Une nouvelle coupe après la suppression de 55 postes lors d'un plan social signé fin 2017, consécutif à la double débâcle des élections présidentielle et législatives.

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  • 20 minutes - Présidentielle 2022 : Le PS lance ses « primaires des idées »

    GAUCHE Le parti veut organiser quelque 500 rencontres sur tout le territoire en 2021

    En vue de la construction de son projet pour 2022, visant « le rassemblement le plus large possible pour porter l’espoir de l’alternance », le PS a lancé ses « primaires des idées », ouvertes à tous, a annoncé le parti, ce lundi lors d’une visioconférence de presse.

    « En 2021, nous serons prêts », a affirmé Olivier Faure, premier secrétaire du PS, qui espère que le projet de son parti sera bouclé pour ses prochaines universités d’été, à Blois fin août. « 2021 doit être l’année d’un big bang pour la gauche et l’écologie. On ne peut pas continuer comme ça et se résigner à revivre un second tour Macron-Le Pen », avait-il assuré à 20 Minutes en novembre.

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  • Le Grand Rendez Vous d'Olivier Faure

    A l’approche de l’élection présidentielle de 2022, alors qu'un duel Macron-Le Pen se dessine, où donc se situe la gauche, grande absente de celle de 2017 ? Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a confié à Europe 1 souhaiter "refonder un grand parti à gauche à l'automne prochain pour créer les conditions d'une alternance". Dans la foulée des élections municipales, une nouvelle génération d'élus socialistes monte et n'hésite pas à se positionner sur des sujets sur lesquels le PS a parfois été frileux.
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    Le patron du PS met en garde contre "la négation du débat démocratique" si "on laisse penser que nous pourrions être tous d’accord".

    Le patron du PS Olivier Faure a pris ses distances ce dimanche 31 janvier avec les convergences évoquées réciproquement par l’ex-LR Xavier Bertrand et l’ex-PS Arnaud Montebourg, deux candidats possibles à la présidentielle, mettant en garde contre une confusion entre droite et gauche.

    “Qu’on laisse penser que nous pourrions être tous d’accord et que nous proposons tous la même chose, mais c’est la négation même du débat démocratique”, a-t-il lancé lors de l’émission politique d’Europe 1-Les Échos- CNews.
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    Les Echos - Covid : « Personne ne comprend la ligne du gouvernement », fustige Olivier Faure

    Le Premier secrétaire du PS a épinglé, lors du Grand rendez-vous Europe 1-Cnews-« Les Echos », la « semaine complètement folle » où l'exécutif a « dit blanc » et « fait noir à la fin ». Il a demandé à Emmanuel Macron de « s'expliquer » devant les Français, prônant des confinements territorialisés.

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  • Le Point le 1er février - PS : « Travaillons sur les idées, le candidat, on verra après »

    Le Parti socialiste donnait ce lundi sa première conférence de presse en vue d’élaborer un programme. Un exercice de style en l’absence de candidat déclaré.

    « Format dynamique », « aspect ludique », « convergences »… C'est à un exercice de novlangue socialiste que les participants à la conférence virtuelle donnée par le Parti socialiste ont pu assister, ce lundi 1er janvier. L'objectif ? Mobiliser le peuple de gauche, donner un horizon programmatique, fixer un cap à travers une série de six rendez-vous, chacun sur un thème précis allant du travail aux questions sociétales. Du bel ouvrage, un condensé de pensée partisane agrémentée d'un soupçon de démocratie participative.

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  • Les Echos - Covid : « Personne ne comprend la ligne du gouvernement », fustige Olivier Faure

    Le Premier secrétaire du PS a épinglé, lors du Grand rendez-vous Europe 1-Cnews-« Les Echos », la « semaine complètement folle » où l'exécutif a « dit blanc » et « fait noir à la fin ». Il a demandé à Emmanuel Macron de « s'expliquer » devant les Français, prônant des confinements territorialisés.

    « Le suspense tous les jours, c'est intenable ! […] Personne ne comprend qu'elle est exactement la ligne de conduite du gouvernement. » Ce dimanche, Olivier Faure n'a pas mâché ses mots contre l'exécutif, auquel il a reproché, dans la bataille contre le Covid , de multiplier les messages contradictoires et d'être « tout le temps en retard ». « Comment voulez-vous, après la semaine complètement folle que nous venons de vivre, que les gens comprennent ce à quoi on aboutit ? On dit blanc toute la semaine et on fait noir à la fin », a-t-il asséné lors du Grand rendez-vous Europe 1-Cnews-« Les Echos ». 

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  • Ouest France le 2 février - Le Parti socialiste veut créer un grand parti à gauche « qui enthousiasme les jeunes »

    C’est l’objectif que s’assigne Olivier Faure, son premier secrétaire. Objectif ? « Créer les conditions » d’une alternance pour l’élection présidentielle de 2022

    C’est un chantier de taille XXL, auquel veut s’atteler Olivier Faure. Le premier secrétaire du Parti socialiste se donne pour ambition, d’ici à l’automne, de refonder « un grand parti à gauche, capable de créer les conditions d’une alternance » pour la présidentielle de 2022. Un objectif qui lui semble impossible à atteindre à l’heure actuelle. Son diagnostic sur l’état de la gauche est sans appel : « Si elle n’était pas la plus bête du monde et savait présenter une offre commune, elle serait devant Marine Le Pen et Emmanuel Macron. »

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  • RFI - France: le Parti socialiste va lui aussi lancer sa plateforme participative

    Après le RN et l'écologiste Yannick Jadot, c'est au tour du parti socialiste de lancer une plateforme participative. À un an et demi de la présidentielle, l'objectif est d'élaborer un programme présidentiel avec toute la gauche.

    En annonçant le lancement prochain d'une plateforme participative Rendez-vous2022.fr, et la tenue de six rendez-vous sur six grands thèmes dont le travail, la santé ou encore la justice écologique, le Parti socialiste veut redevenir une boîte à idées et animer le débat à gauche. « À chacun de se saisir des propositions que nous formulons pour les soutenir, pour les contester, pour les amender », explique le député socialiste Boris Vallaud.
     
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  • Marianne - Parti socialiste: l'effondrement, saison 2

    Malgré des municipales réussies et un certain renouveau idéologique, le parti de la rose vient d'être brutalement rappelé à son statut, mineur, par toute une série de déconvenues.

    Une averse subite qui coupe court à l'éclaircie. Ces derniers mois, les derniers caciques du Parti socialiste, toujours sous le choc de sa relégation express au rang de mastodonte en déclin depuis la déroute de l'élection présidentielle en 2017, se plaisaient à relever çà et là les indices d'un retour en verve. Il y avait eu les municipales de juillet, une surprise plaisante pour la vieille maison socialiste parvenue à conserver les clés de plusieurs bastions emblématiques (Paris, Lille, Nantes, Rennes, Rouen, Clermont-Ferrand, Dijon…) tout en réussissant des conquêtes inattendues (Montpellier, Nancy, Saint-Denis). Quoiqu’éclipsé par les spectaculaires victoires écologistes, ce résultat avait réellement redonné du baume au cœur des sociaux-démocrates, qui se disaient qu'ils n'avaient peut-être pas tout perdu : faute d'être un poids lourd de la vie politique française, le PS demeurait au moins un solide parti d'élus locaux.

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  • Conférence de presse de lancement des rendez-vous du Parti socialiste

    Nous sommes en direct pour la conférence de presse de lancement des rendez-vous du Parti socialiste pour préparer l’élection présidentielle, en présence de Corinne Narassiguin, Boris Vallaud, Christophe Clergeau, Fatima Yadani et Olivier Faure.

  • Comité interministériel des villes 29 janvier 2021 : Le gouvernement à Grigny pour répondre à l’appel de Grigny … de 2017

    Nathalie Appéré, secrétaire nationale au Logement, Politique de la ville et Rénovation urbaine

    Cédric Van Styvendael, secrétaire national au Logement, Politique de la ville et Rénovation urbaine

    Camille Vielhescaze, secrétaire national adjoint à la Politique de la ville 

    Thomas Chevandier, secrétaire national adjoint au Logement

     

    Nous nous félicitons que l’appel des 200 maires de banlieues du 14 novembre 2020, après le plan de « mobilisation nationale » enterré d’avril 2018, après l’appel de Grigny du 16 octobre 2017… ait enfin ! trouvé un premier écho du gouvernement ce matin. 

    L’organisation du tout 1er comité interministériel de la ville (CIV) du quinquennat à Grigny ce matin arrive en effet bien tard dans le quinquennat pour ambitionner de « changer le visage de nos quartiers d’ici la fin du quinquennat ». Qu’en aurait-il été si les maires de banlieue et les associations de la politique de la ville n’avaient pas su faire entendre leur voix et celles des 5 millions d’habitants des quartiers prioritaires depuis 4 années ? La considération de ces quartiers ne peut pas être seulement de circonstance ou d’opportunité, à un peu plus d’un an des échéances présidentielles. Elle ne peut pas non plus être seulement dans le symbole, en venant à Grigny, ville la plus pauvre de France où précisément le premier appel des maires et des associations avait été lancé le 16 octobre 2017… La politique de la ville exige du temps, de la visibilité, de la présence sur le terrain, du partenariat au local et des moyens.

    L’annonce de 2 milliards supplémentaires pour le nouveau programme national de renouvellement urbain (dont le bouclage financier reste néanmoins à préciser) était évidemment très attendue ce matin, portée par l’USH ou encore l’association Ville & Banlieue. C’est une bonne nouvelle, dont il faut se féliciter tant nombre de projets importants restent à financer ; tant nombre de projets ambitieux ne peuvent aujourd’hui démarrer faute de bouclage de leur financement. Comme à Grigny justement, dont le projet de la Grande Borne est depuis son passage en comité national d’engagement de l’ANRU fin 2019 toujours dans l’expectative. 

    L’accélération du programme national de l’ANRU est une exigence pour redonner un cadre de vie de qualité à ces quartiers et à leurs habitants d’aujourd’hui comme de demain. Car derrière ce programme, c’est aussi l’exigence de mixité sociale qui est en jeu. Sur ce point, le gouvernement fait le choix d’encadrer la production de logements sociaux là où il y en aurait trop (plus de 40 %). Il est à l’évidence plus simple de contraindre les communes qui accueillent que de produire là où les besoins sont criants. Face à une crise du logement sans précédent depuis l’après-guerre, face au besoin de millions de Français de se loger et de bien se loger, face à l’enjeu de rendre possibles les parcours résidentiels et de penser une mixité sociale à une échelle bien large que celle des seuls quartiers prioritaires, le gouvernement ne propose rien pour renforcer la production des logements sociaux (notamment PLAI et PLUS) ou en accession sociale.

    Si certaines des mesures annoncées dans les champs de la sécurité et de la prévention, de l’éducation ou encore de l’emploi et de l’insertion, reprises aux acteurs de la politique de la ville, vont dans le bon sens, de nombreuses autres sont en réalité déjà existantes et engagées. Et beaucoup de flou subsiste là encore sur leur financement. Derrière l’effet d’annonce, quelle est la réalité de ces 3,3 milliards « supplémentaires » ? 

    Enfin, il y a l’urgence immédiate, celle des files d’attente de familles, de personnes âgées et isolées, de jeunes étudiants… qui se rallongent semaine après semaine dans les distributions d’aides alimentaires : qu’en est-il de la création d’un fonds consacré à l’aide d’urgence (détresse sociale, grande pauvreté, aide alimentaire…) pour soutenir les villes pauvres et les associations locales à répondre à la détresse sociale des habitants de leurs quartiers ?

     

    Samedi 30 janvier 2021