Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ps - Page 85

  • Le Point - Mystérieux cambriolage au siège du PS

    Les locaux du Parti socialiste, situés à Ivry, ont été visités dans la nuit du 1er janvier, selon « Le Canard enchaîné ». Seuls quelques ordinateurs ont été volés.

    Une étrange atmosphère règne depuis quelques jours au 99 rue Molière à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). C'est là que se trouve désormais le siège du Parti socialiste. C'est là aussi que des cambrioleurs se sont introduits dans la nuit du 1er au 2 janvier dernier, d'après Le Canard enchaîné. « Quelques ordinateurs ont été emportés. Ils ne contenaient rien de sensible » et « nos serveurs sont très sécurisés », a-t-on appris auprès du PS mercredi.

    Lire la suite
    ____________________________
    ____________________________

  • France Inter - Anne Hidalgo : "Dès qu’une femme devient 'puissante', on la dit 'autoritaire'..."

    C'est une femme sereine et assurée qui a reçu Léa Salamé. Une femme qui sourit des rumeurs qui la disent candidate en 2022. Mais ce sourire cache-t-il une ambition de fer ? On a essayé de cerner la très secrète Anne Hidalgo. 

    Elle est adorée par la moitié des Parisiens qui voient en elle la visionnaire de la ville de demain. Et elle ulcère l'autre moitié, qui conspuent l'icône de l'urbanisme politiquement correct et la reine des bouchons. Ce qui est sûr, en tout cas, c'est qu'elle ne laisse personne indifférent. 

    Longtemps numéro 2 dans l'ombre de Bertrand Delanoë et de Martine Aubry, elle fait aujourd'hui de l'écologie avec Arnold Schwarzenegger et Leonardo DiCaprio. Et elle est la seule Française à figurer cette année dans le top 100 du magazine Time des personnalités les plus influentes du monde.

    Lire et écouter la suite
    ____________________________
    ____________________________

  • Chine : le PS réitère son soutien à l'envoi d'une mission internationale dans le Xinjiang auprès des Ouïghours

     

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Jean-Marc Germain, secrétaire national aux Relations internationales

    Ces dernières années, plusieurs rapports ont dénoncé l'ampleur de la répression perpétrée par les autorités chinoises contre la communauté des Ouïghours et autres minorités musulmanes vivant dans la province du Xinjiang. Cette semaine encore, à la veille de la Journée mondiale des droits de l'homme commémorée ce 10 décembre, l'organisation Human Rights Watch a rapporté qu'entre 2016 et 2018 ce sont environ 2 000 membres de cette communauté qui auraient été placés en détention grâce à un logiciel intégré au système de surveillance électronique de la population.

    Le Parti socialiste réitère sa vive condamnation contre cette politique systématique d'internement massif dans ce que Pékin nomme des « camps de rééducation politique », et où auraient été détenus arbitrairement un million d'individus depuis au moins 2014. Il dénonce le recours aux moyens technologiques de surveillance, lesquels ne servent pas le progrès humain mais une cyber-dictature.


    Le Parti socialiste réaffirme son soutien aux appels pour autoriser une mission internationale d'observateurs sous l'égide de l'ONU afin qu'elle se rende dans ces camps. Il attend de la Chine qu'elle ne se soustraie pas à l'examen de la vérité et au respect de la personne et des libertés fondamentales.

     

    Vendredi 11 décembre 2020

  • L'Humanité - Boris Vallaud (PS) : « N’infligeons pas des défaites à nos propres principes »

    Face à un gouvernement peu à l’écoute de l’opposition et qui a « un problème avec les libertés publiques », le porte-parole du Parti socialiste, Boris Vallaud, insiste sur la nécessité de discuter des sujets qui fâchent pour bâtir une alliance. Entretien.

    Soutenez-vous le projet de loi contesté du gouvernement pour lutter contre les « séparatismes », qui a donné lieu à plusieurs manifestations ce week-end ?

    Boris Vallaud Ce texte appelle un examen exigeant et vigilant parce qu’il touche à un grand nombre de nos libertés constitutionnellement garanties : liberté de culte, de réunion, d’entreprendre, de la presse, du mariage, de l’enseignement… Tout ça n’est pas une paille ! Il faut une juste proportion entre les objectifs poursuivis et les mesures proposées et, de ce point de vue, deux questions se posent. Premièrement, quel est l’objet véritable de la loi : lutter contre les séparatismes ? Renforcer la laïcité ? Renforcer les principes républicains ?

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • PS - Pour une réouverture responsable, négociée et différenciée des lieux de culture

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Sylvie Robert, secrétaire nationale aux Relations avec le monde culturel et artistique

    Olivier Bianchi, secrétaire national à la Culture

    Clément Sapin, délégué national à la Culture
     

    Aujourd’hui, Olivier Faure, Premier secrétaire, Clément Sapin, délégué national à la culture, Sylvie Robert et David Assouline, sénateurs, étaient à la Bastille aux côtés des artistes, professionnel·e·s de la culture, élu·e·s, pour manifester contre la décision du gouvernement de ne pas autoriser la réouverture des lieux culturels au public.

    Pourtant, l’espoir suscité était grand, tant pour le monde culturel que pour la population.

    Tout d’abord, nous ne pouvons que dénoncer le mépris montré par le gouvernement vis-à-vis des artistes, équipes et intermittents. Comme précédemment, aucun contact préalable n’a été pris avec leurs représentants pour leur annoncer ce revirement brutal. La sanction, improvisée, est tombée comme un couperet. Quand on sait tout le travail réalisé pour élaborer des protocoles sanitaires renforcés, souvent reconnus comme exemplaires par les autorités de l’État, le sentiment de frustration et d’exaspération qui traverse le monde de la culture s’avère compréhensible et légitime.

    Surtout, il est difficile de ne pas pointer les incohérences du gouvernement. Notre priorité politique demeure évidemment la résolution de la crise sanitaire et la santé des Français. Mais nous constatons tous que le brassage de population est toléré, voire encouragé, dans de multiples lieux. C’est pourquoi, aux fermetures drastiques et aux ouvertures débridées, nous prônons les ouvertures raisonnables, dans un esprit de concertation avec les professionnels et de responsabilité. Nous ne voulons aucunement opposer les uns et les autres, mais nous voulons des mesures justes et équitables pour tous, y compris pour le secteur culturel qui ne mérite aucunement ce qui s’apparente à une punition collective alors qu’il contribue largement à la création de richesse et d’emplois dans notre pays.

    Aujourd’hui, nous craignons que l’imposition générale de mesures de fermeture, sans discernement, ne porte un coup fatal à de nombreux lieux de diffusion, festivals et compagnies. Car la culture a besoin d’aides financières, bien sûr, mais elle a surtout besoin de liberté, d’échanges avec le public, d’émotions et de confrontations pour maintenir sa vigueur. Son fonctionnement étant intrinsèquement fondé sur l’anticipation et la programmation, elle a aussi besoin d’une forme de visibilité. Si l’exercice est complexifié par la crise, il n’en est pas moins impossible : c’est l’intérêt des négociations liées aux protocoles renforcés.

    La mise sous cloche sine die des lieux de culture ouverts au public devient désormais dramatique et entraînera un appauvrissement sans précédent de la vitalité artistique et culturelle en France. C’est aussi une privation amère pour des millions de Françaises et de Français.

    Enfin, nous pensons qu’il ne revient nullement au gouvernement de décréter ce qui est essentiel pour tout un chacun. Aucune crise n’impose ce dépassement. Et nous pensons que si la culture et tous ceux qui la font vivre ne sont pas plus essentiels que d’autres, ils ne le sont certainement pas moins. Nous défendons la culture, car aujourd’hui, les choix du gouvernement traduisent un projet politique et sociétal uniquement fondé sur le consumérisme et la réouverture arbitraire de lieux qui lui seraient plus légitimes. Ce n’est pas notre vision, ce n’est pas notre projet politique.

    Pour tout cela, Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre, Madame la Ministre de la Culture, nous vous demandons, avec les artistes, les professionnel·e·s de la culture et avec des millions de Françaises et de Français, la réouverture responsable, négociée et différenciée des lieux de culture ouverts au public.

     

    Mardi 15 décembre 2020