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ps - Page 88

  • Libé - «Chez Pol» «Les Socialistes» ne sont pas au PS

    François Hollande propose de renommer le PS en «Les Socialistes». Problème : le nom a déjà été déposé en 2016 par la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, qui a quitté le parti en 2018.

    «Quand ils sentent un malaise entre la société et eux, ils ressortent le coup du changement de nom parce qu’ils pensent que c’est juste un problème de communication», souffle la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann. L’ancienne socialiste – elle a quitté le parti en octobre 2018 – s’amuserait presque de voir ses anciens compères, François Hollande en tête, s’agiter pour trouver un nouveau nom au PS, comme l’a suggéré le premier secrétaire, Olivier Faure, mardi sur France Inter.

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  • France Inter, Thomas Legrand - République, laïcité : Les écologistes inquiètent les socialistes...

    Clash entre les écologistes de Paris et Anne Hidalgo.

    Et la grande majorité de nos auditeurs, qui ne sont pas parisiens, peuvent se demander :’mais en quoi cela nous intéresse ?’ Hé bien parce que cet échange au Conseil de Paris (et par médias interposés) pourrait refléter des préventions mutuelles et grandissantes entre socialistes et écologistes, et poser la question, au niveau national de leur capacité à s’unir pour la présidentielle. La présidente verte des conseillers de Paris avait émis des réserves sur un vœu voté à l’unanimité pour attribuer le nom de Samuel Paty à une voie de la ville. Les écologistes ont voté ce vœu mais ils ont reproché à la maire de l’avoir proposé dans la précipitation. Une vieille règle stipule qu’il faut attendre 5 ans après un évènement pour attribuer un nom de rue en lien à cet évènement, afin de ne pas céder à l’émotion ou d’éviter toute instrumentalisation. Remarque jugée déplacée par la maire d’autant qu’il y avait l’unanimité. 

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  • Olivier Faure veut changer le nom du Parti socialiste qui "ne dit plus ce que nous sommes devenus"

    Olivier Faure, député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste, est l'invité du Grand entretien de France Inter.

  • Evacuation violente d’un camp de migrants à Paris : « Profondément choquant » dénonce Anne Hidalgo

    La maire PS de Paris s'exprime, lors d'une conférence de presse de l'Association des maires de France, sur l'évacuation par la police d'un camp de migrants, Place de la République, à Paris, le 23 novembre.

  • Discours du Premier secrétaire - Conseil National le 24.11.20 à 18h30

    Retrouvez en direct le discours du Premier secrétaire Olivier Faure à l'occasion du Conseil National du Parti socialiste du 24 novembre 2020

  • Le budget alternatif pour 2021 des sénateurs socialistes

    Notre budget alternatif pour 2021

    Édito

    Malgré la crise et en dépit de quelques mesures d’affichage, le Gouvernement reste fidèle à sa vision libérale. Comme pour les précédents budgets, ses choix macroéconomiques se font au bénéfice des plus aisés, en sacrifiant les plus modestes de nos concitoyens. Trois mécanismes illustrent cette orientation.

    En premier lieu, il ne demande pas d’effort fiscal aux ménages les plus aisés. En deuxième lieu, ce choix accroît encore le poids de la dette, qui se retournera inéluctablement contre les plus fragiles en cas de hausse des taux d’intérêt par le biais de mesures de réduction des dépenses publiques. Enfin, le Gouvernement favorise une politique de l’offre au bénéfice des entreprises, et notamment des plus grandes, sans soutenir le pouvoir d’achat et donc la demande autant qu’il serait nécessaire.

    C’est ainsi que, depuis plusieurs mois, alors même que la crise sanitaire s’est transformée en crise économique et sociale, le Gouvernement rejette toute réflexion sur la création d’un nouvel impôt de solidarité sur le capital pour remplacer l’ISF abrogé, sur la suppression de la flat tax, sur le principe d’un prélèvement exceptionnel sur les assurances-vie, ou encore sur toute contribution exceptionnelle des acteurs économiques ayant perçus durant la crise des bénéfices accrus. Il s’engage à contrario dans une baisse d’un tiers de la taxe d’habitation pour les 20% de foyers les plus aisés, ceci pour la somme de 2,4 milliards d’euros et diminue les impôts versés par les entreprises pour un total de 13,7 milliards.

    Nous ne pouvons que dénoncer une nouvelle fois la faiblesse des réponses apportées aux plus précaires de nos concitoyens, a fortiori dans un contexte d’explosion du chômage. La crise sanitaire a déjà fait basculer dans la pauvreté un million de Français, qui s’ajoutent ainsi aux 9,3 millions de personnes vivant déjà au-dessous du seuil de pauvreté monétaire en 2018, selon l’Insee. Les jeunes les plus précaires et les nouveaux précaires sont sortis du radar du Gouvernement actuel.

    La prise en charge du chômage partiel par l’État ou l’attribution de primes exceptionnelles et ponctuelles sont, à cet égard, une réponse nécessaire mais qui reste nettement insuffisante quand la deuxième vague nous confirme qu’un grand nombre de français risquent de s’installer dans la précarité sur un temps long.

    Avec ce PLF 2021, le Gouvernement aurait pu adopter une démarche volontariste, en soutenant le pouvoir d’achat des Français sans nécessairement accroître le niveau du déficit. Mais ce PLF 2021 s’inscrit parfaitement dans la continuité des précédents, avec une politique budgétaire centrée sur l’offre et ne proposant aucune mesure de lutte contre l’accroissement des inégalités dans notre pays. Le sort réservé au groupe Action Logement, acteur fondamental du logement en France, à nouveau ponctionné d’un milliard d’euros dans la deuxième partie du texte, en est une parfaite illustration.

    Fort de ces constats, le groupe Socialiste, Écologiste et Républicain a souhaité être une nouvelle fois force de propositions en mettant sur la table une série de mesures qui permettraient de prendre réellement en compte la crise sociale et économique que nous vivons.

    Le contre budget en pdf


    Patrick Kanner

    Président du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain au Sénat

    Rémi Féraud

    Chef de file du groupe pour la Commission des finances

  • PS - Réparer le vieux modèle économique ou en faire émerger un nouveau : quel modèle de croissance ?

    Animation : Jean-François Debat, secrétaire national du PS à l'Environnement et à la Transition énergétique, maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes