Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ps - Page 242

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • Paul Alliès - Institutions: Y-a-du bon dans le Macron

    Ces derniers jours ont donné le spectacle d’un monde politique qui semblait découvrir le présidentialisme. Ses coups portés contre le discours au Congrès ont passablement manqué leur cible. Ceux venant de la gauche en particulier: rien n’a été dit anticipant les annonces du président de la République, susceptible de les dépasser. Il a donc aisément pris une longueur d’avance sur ses critiques.....
    On assiste ainsi à un étrange revirement: celui qui veut « retrouver l’esprit de nos institutions » engage leur révision dans les termes mêmes que la gauche a utilisé durant un demi-siècle sans jamais passer à l’acte quand elle en avait pourtant les moyens institutionnels. Il y a une certaine ironie de l’histoire dans ce retour à De Gaulle-Mitterrand pour ce qui est de la conception de la fonction présidentielle, et la paralysie de ceux qui continuent à professer leur admiration pour l’un et l’autre de ces grands ancêtres.
     
    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le Point - PS : qui part, qui reste

    Sonné par l'élection de Macron, le Parti socialiste peine à se remettre de sa débâcle aux législatives. Certains ténors, comme Benoît Hamon, plient bagage.

    Le Parti socialiste se trouve à l'heure des choix. Après l'élection d'Emmanuel Macron, c'est un parti amaigri et plus que jamais divisé, notamment sur son positionnement vis-à-vis du gouvernement. Trois camps se dessinent : les déserteurs, ceux qui y croient encore et veulent reconstruire le PS, et ceux qui, dans l'attente que les choses se clarifient, ne se prononcent pas.

    Lire la suite
    _____________
    _____________

  • L'Express - Parti socialiste: Cambadelis tente un #JeReste après le départ de Hamon

    Au lendemain du départ d'Hamon, entre ceux qui jugent sévèrement sa décision et ceux qui s'inquiètent de l'avenir du parti, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

    "Je crains qu'il ne reste plus grand monde au Parti socialiste", s'inquiète ce dimanche sur Europe 1 Didier Guillaume, président du groupe socialiste au Sénat. "C'est un drame", poursuit-il, décrivant un parti "très malade". Depuis l'annonce du départ de Benoit Hamon, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Le Monde - Après le départ de Benoît Hamon, le PS encore un peu plus affaibli

    L’ancien candidat à l’élection présidentielle a quitté samedi le Parti socialiste, moins d’une semaine après Manuel Valls.
     
    Le symbole est dérisoire. Et illustre parfaitement le désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui le Parti socialiste. Samedi soir, après l’annonce du départ de Benoît Hamon de la Rue de Solférino, Jean-Christophe Cambadélis a publié sur Twitter un visuel où l’on pouvait lire : « Je suis, je reste au Parti socialiste. » Terrible aveu de solitude pour le premier secrétaire démissionnaire qui a vu partir, en moins d’une semaine, les deux finalistes de la primaire à gauche. Mardi 27 juin, c’était, en effet, l’ancien premier ministre Manuel Valls qui claquait la porte de la « vieille maison ».
     
    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Parti socialiste s’indigne que la France ait cédé dans la bataille contre les perturbateurs endocriniens

    Le Parti socialiste condamne le revirement de la France qui a permis l’adoption par la Commission européenne d’une définition au rabais des perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques omniprésentes dans l’environnement – mais aussi dans l’alimentation, les jouets ou les cosmétiques – qui contribuent au développement de nombreuses maladies : infertilité, cancers, diabète, obésité, problèmes neurologiques, trouble du développement du cerveau,…

    Les quelques timides avancées obtenues par Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique et solidaire, ne sauraient justifier cette volte-face, qui rompt avec la position de la France qui n’a eu de cesse, ces dernières années, aux cotés des pays nordiques, et avec le soutien des ONG et des sociétés savantes, de réclamer un texte plus protecteur de la santé publique et de l’environnement.

    Cette nouvelle mouture est en réalité une capitulation en rase campagne face aux lobbys industriels européens qui, d’une part, ont imposé des « exemptions » pour certains de leurs pesticides et qui, d’autre part, ont exigé un niveau de preuves si élevé qu’il faudra attendre des années avant de retirer certains produits du marché – lesquels, entre-temps, auront affecté la santé de nos concitoyens. Il s’agit d’un renoncement grave à la mise en œuvre principe de précaution.

    Ce recul du gouvernement français est d’autant plus inacceptable, qu’il s’agit d’un enjeu sanitaire majeur qui frappe des milliers de personnes, en particulier les plus fragiles, et coûte d’ores-et-déjà plus de 157 milliards d’euros par an aux systèmes de santé européens.

    Le Parti socialiste appelle les eurodéputés à repousser ce texte pour permettre la reprise des discussions au sein de la Commission européenne, afin de construire une réglementation à la hauteur des défis posés en matière de santé-environnementale.

  • Olivier Faure : "La gauche doit se refonder intégralement"


    Olivier Faure : "La gauche doit se refonder... par Europe1fr

  • Congrès : "Nous avons un président selfie", dénonce Olivier Faure


    Congrès : "Nous avons un président selfie... par Europe1fr

  • Congrès de Versailles : le Parti socialiste appelle Emmanuel Macron à se confronter au réel

    03 juillet 2017

    Le Parti socialiste s’était étonné de la convocation du Congrès par le Président de la République, Emmanuel Macron, la veille même du discours de la politique générale du Premier ministre, Edouard Philippe.

    Lors de son intervention, le Chef de l’Etat a appelé notre pays à dépasser un déni de réalité. Un déni de réalité qui paralyserait ses forces vives et empêcherait les réformes. Or, c’est précisément cette confrontation au réel qu’Emmanuel Macron semble vouloir méthodiquement esquiver depuis sa prise de fonction. Comme les médecins de Molière qui refusent de se voir malades…

    En choisissant de légiférer par ordonnances sur le code du travail, en entretenant la confusion des pouvoirs, en minorant les droits de l’opposition, en esquivant la contradiction médiatique, en n’abordant pas les questions de pouvoir d’achat ou d’aide aux plus défavorisés, Emmanuel Macron refuse d’affronter le débat politique pourtant si nécessaire à la vie démocratique.

    Le Parti socialiste appelle le Président de la République à ne pas seulement délivrer la bonne parole devant les parlementaires réunis devant lui, mais à se saisir des problèmes, bien réels, qui affligent nos concitoyens.