On ne sort pas de la crise du jour au lendemain. Au Parti socialiste, cet été, après le fiasco électoral et la démission du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, une direction collégiale aussi longue qu’une nuit d’hiver a été nommée pour dessiner une feuille de route. Tous les courants sont donc à la tête du parti, avec un objectif : une ligne claire, commune. Quelques semaines ont passé et la vérité a refait surface : les divisions sont tenaces et la bataille du congrès, qui devrait avoir lieu en février, n’est pas encore lancée.
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