Selon « Le Canard enchaîné », la mise en vente de l’hôtel particulier du PS pourrait être annoncée à la fin d’août. La direction du parti ne le dément qu’à demi-mot.
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Le Monde - Le Parti socialiste tenté par la vente de son siège de Solférino
Vendra, vendra pas ? Le Parti socialiste (PS) entretient le flou sur l’avenir de son siège historique, sis au 10 de la rue de Solférino, dans le très chic 7e arrondissement de Paris, après que Le Canard enchaîné a fait état, mercredi 2 août, de sa vente prochaine. Selon l’hebdomadaire satirique, l’annonce de cette mise en vente « sera faite officiellement lors du séminaire de rentrée de la direction du PS, du 23 au 26 août ». -
Batho reproche à Cambadélis d'être toujours à la tête du PS
Jean-Christophe Cambadélis a présenté une direction collégiale. En attendant son installation à la rentrée, le premier secrétaire démissionnaire reste en poste. Ce qui agace la députée PS.
Il avait annoncé sa démission dès le soir du second tour des élections législatives. Six semaines plus tard, Jean-Christophe Cambadélis est toujours là. Certes, il a présenté entre-temps une direction collégiale -une vingtaine de membres- qui prendra effet en septembre. Mais la démarche irrite l'ancienne ministre Delphine Batho, qui a fait part de ses interrogations mardi sur LCI
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Le Grand Oral d'Olivier Faure, député de PS de Seine-et-Marne - 02/08
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D. Batho balance : "Un député payé par un lobby, c'est de la corruption" 1/8
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"Le PS doit faire passer un message de modestie en vendant Solférino"
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L'Obs - Le Parti socialiste va vendre son siège de la rue de Solférino
L'hôtel particulier occupé par les socialistes depuis 1980 vaudrait 40 millions d'euros, révèle le "Canard Enchaîné".
Le Parti socialiste à Solférino, c'est bientôt fini. Après la débâcle de son candidat Benoît Hamon (6,5%) à la présidentielle et l'élection d'à peine 34 députés lors des législatives, le parti à la rose va devoir céder son siège historique situé au 10 rue de Solférino, dans le très chic VIIe arrondissement de Paris, révèle le "Canard Enchaîné" dans son édition du mercredi 2 août.
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Jack Lang répond aux auditeurs d'Interactiv'
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Jack Lang au micro de Pierre Weill
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RFI - François Kalfon: «On nous a dit "et de droite, et de gauche", on est "et de droite, et d'austérité"»
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Muriel Pénicaud disqualifiée par son affaire de stock options ? "C'est évident" pour Delphine Batho
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Réaction du Parti socialiste aux coupes budgétaires dans les crédits de la politique de la ville
30 juillet 2017
Pour le Parti socialiste, la décision du gouvernement de couper 11% des crédits dédiés à la politique de la ville pour l’année 2017 est totalement indigne, pour ne pas dire irresponsable.Sous prétexte que le président de la République s’est engagé à préserver le budget de l’ANRU, le gouvernement se croit autorisé à délaisser la politique de la ville. Ce faisant, il sacrifie le volet le moins spectaculaire – mais pourtant essentiel – de l’action publique dans les quartiers populaires : le lien avec les habitants.
Car à quoi sert la politique de la ville sinon à tisser et retisser patiemment du lien social et du lien avec la République, dans des territoires qui se sentent exclus et de l’un et de l’autre ?À quoi sert-elle sinon à soutenir les associations des quartiers populaires et les projets portés en commun par et pour leurs habitants?À quoi sert-elle sinon à œuvrer pour rendre aux plus pauvres la dignité à laquelle ils ont droit ?Sans politique de la ville, la rénovation urbaine ne portera jamais pleinement ses fruits. Ce n’est pas l’un contre l’autre, ce n’est pas l’un sans l’autre, c’est de l’un et de l’autre dont ont besoin les quartiers populaires. Le récent rapport des Sénatrices Annie Guillemot et Valérie Létard, qui dresse un premier bilan de la loi Lamy, ne dit pas autre chose.Le gouvernement est en train de faire les mêmes erreurs que la droite en son temps. Les dégâts que provoqueront ces coupes pourraient être considérables.Le Parti socialiste lui demande donc instamment de revenir sur cette décision. Il lui demande également d’écouter et de faire confiance à ceux qui font, plutôt que de ne s’en remettre qu’à ceux qui comptent.