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"Le PS doit faire passer un message de modestie en vendant Solférino"
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L'Obs - Le Parti socialiste va vendre son siège de la rue de Solférino
L'hôtel particulier occupé par les socialistes depuis 1980 vaudrait 40 millions d'euros, révèle le "Canard Enchaîné".
Le Parti socialiste à Solférino, c'est bientôt fini. Après la débâcle de son candidat Benoît Hamon (6,5%) à la présidentielle et l'élection d'à peine 34 députés lors des législatives, le parti à la rose va devoir céder son siège historique situé au 10 rue de Solférino, dans le très chic VIIe arrondissement de Paris, révèle le "Canard Enchaîné" dans son édition du mercredi 2 août.
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Jack Lang répond aux auditeurs d'Interactiv'
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Jack Lang au micro de Pierre Weill
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RFI - François Kalfon: «On nous a dit "et de droite, et de gauche", on est "et de droite, et d'austérité"»
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Muriel Pénicaud disqualifiée par son affaire de stock options ? "C'est évident" pour Delphine Batho
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Réaction du Parti socialiste aux coupes budgétaires dans les crédits de la politique de la ville
30 juillet 2017
Pour le Parti socialiste, la décision du gouvernement de couper 11% des crédits dédiés à la politique de la ville pour l’année 2017 est totalement indigne, pour ne pas dire irresponsable.Sous prétexte que le président de la République s’est engagé à préserver le budget de l’ANRU, le gouvernement se croit autorisé à délaisser la politique de la ville. Ce faisant, il sacrifie le volet le moins spectaculaire – mais pourtant essentiel – de l’action publique dans les quartiers populaires : le lien avec les habitants.
Car à quoi sert la politique de la ville sinon à tisser et retisser patiemment du lien social et du lien avec la République, dans des territoires qui se sentent exclus et de l’un et de l’autre ?À quoi sert-elle sinon à soutenir les associations des quartiers populaires et les projets portés en commun par et pour leurs habitants?À quoi sert-elle sinon à œuvrer pour rendre aux plus pauvres la dignité à laquelle ils ont droit ?Sans politique de la ville, la rénovation urbaine ne portera jamais pleinement ses fruits. Ce n’est pas l’un contre l’autre, ce n’est pas l’un sans l’autre, c’est de l’un et de l’autre dont ont besoin les quartiers populaires. Le récent rapport des Sénatrices Annie Guillemot et Valérie Létard, qui dresse un premier bilan de la loi Lamy, ne dit pas autre chose.Le gouvernement est en train de faire les mêmes erreurs que la droite en son temps. Les dégâts que provoqueront ces coupes pourraient être considérables.Le Parti socialiste lui demande donc instamment de revenir sur cette décision. Il lui demande également d’écouter et de faire confiance à ceux qui font, plutôt que de ne s’en remettre qu’à ceux qui comptent. -
PS - Moralisation de la vie publique : un rendez-vous manqué de la majorité présidentielle avec les Français
29 juillet 2017
A l’issue d’un débat souvent chaotique, le Parti socialiste regrette que les projets de loi de moralisation de la vie publique marquent un net recul avec les ambitions affichées par le candidat Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle.
Ainsi, le candidat Macron avait promis que l’on ne pourrait pas être candidat sans un casier judiciaire vierge ; cet engagement a été abandonné. De même, la majorité n’a pas mis fin au cumul d’une activité de conseil avec un mandat parlementaire alors que le candidat Macron s’y était aussi engagé.
Ce rendez-vous manqué de la majorité parlementaire avec les Français est d’autant plus regrettable s’agissant de textes qui invitaient au consensus et que les députés, dans leur ensemble, étaient disposés à en améliorer le contenu.
Le flottement dans la conduite des débats, la multiplication des incidents de séance et l’attitude très fermée du bloc La République En Marche ont crée un malaise démocratique qui ne devra pas se reproduire au risque d’aggraver encore un plus le fossé entre les élus et les citoyens.
Dans ces conditions, le Parti socialiste tient à saluer le travail constructif et exigeant des députés du groupe Nouvelle Gauche. Prenant le Chef de l’Etat au mot, ils ont proposé, tout au long des 50 heures de débats, une série d’amendements en vue de hisser le texte à la hauteur de son ambition initiale. Ils ont à chaque fois proposé à la majorité de tenir tous les engagements du Président, mais celle-ci ne l’a pas souhaité.
S’il se félicite de l’adoption de certaines de leurs propositions, notamment s’agissant du financement des partis politiques et des campagnes, de la transparence de la vie politique ou de l’interdiction des emplois familiaux, le Parti socialiste ne peut que déplorer que la majorité ait refusé toute avancée sur les conflits d’intérêts, au risque d’apparaître sur ce point plus sévère avec les collaborateurs qu’avec les parlementaires, tout comme elle a refusé l’élargir l’application de l’essentiel des mesures votées aux membres du Gouvernement et à la haute fonction publique.
Plus que jamais, les Socialistes sont au travail et entendent être utiles aux Français pendant ce quinquennat.
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Les Echos - Olivier Faure : « Macron n’est pas Jupiter, c’est Janus »
Olivier Faure Président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée nationale
Député de Seine-et-Marne et président du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée, le socialiste Olivier Faure fustige les dix premières semaines d' Emmanuel Macron à la tête de l'Etat. « Le double langage a remplacé la langue de bois. Ce n'est pas Jupiter, c'est Janus. Le dieu du 'en même temps' », raille-t-il, estimant que « rien de la promesse de rénovation n'est tenu ».
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Le Parisien - Seine-Saint-Denis : le PS déchiré entre les proches de Hamon et les loyalistes
Le parti socialiste tente de panser ses plaies. En Seine-Saint-Denis, le parti à la rose a perdu ses neuf députés. Et si aucune grande figure n’a quitté le PS, cela n’empêche pas certains de faire entendre leurs petites voix. Ainsi Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental ou encore Mathieu Hanotin, ex-député, ne cachent pas leur soutien à Benoît Hamon qui, lui, est parti de son côté. Des positions qui ne plaisent pas à tout le monde.
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BFMTV - Boris Vallaud face à Raphaëlle Duchemin en direct