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ps - Page 239

  • PS - Moralisation de la vie publique : un rendez-vous manqué de la majorité présidentielle avec les Français

    29 juillet 2017

    A l’issue d’un débat souvent chaotique, le Parti socialiste regrette que les projets de loi de moralisation de la vie publique marquent un net recul avec les ambitions affichées par le candidat Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle.

    Ainsi, le candidat Macron avait promis que l’on ne pourrait pas être candidat sans un casier judiciaire vierge ; cet engagement a été abandonné. De même, la majorité n’a pas mis fin au cumul d’une activité de conseil avec un mandat parlementaire alors que le candidat Macron s’y était aussi engagé.

    Ce rendez-vous manqué de la majorité parlementaire avec les Français est d’autant plus regrettable s’agissant de textes qui invitaient au consensus et que les députés, dans leur ensemble, étaient disposés à en améliorer le contenu.

    Le flottement dans la conduite des débats, la multiplication des incidents de séance et l’attitude très fermée du bloc La République En Marche ont crée un malaise démocratique qui ne devra pas se reproduire au risque d’aggraver encore un plus le fossé entre les élus et les citoyens.

    Dans ces conditions, le Parti socialiste tient à saluer le travail constructif et exigeant des députés du groupe Nouvelle Gauche. Prenant le Chef de l’Etat au mot, ils ont proposé, tout au long des 50 heures de débats, une série d’amendements en vue de hisser le texte à la hauteur de son ambition initiale. Ils ont à chaque fois proposé à la majorité de tenir tous les engagements du Président, mais celle-ci ne l’a pas souhaité.

    S’il se félicite de l’adoption de certaines de leurs propositions, notamment s’agissant du financement des partis politiques et des campagnes, de la transparence de la vie politique ou de l’interdiction des emplois familiaux, le Parti socialiste ne peut que déplorer que la majorité ait refusé toute avancée sur les conflits d’intérêts, au risque d’apparaître sur ce point plus sévère avec les collaborateurs qu’avec les parlementaires, tout comme elle a refusé l’élargir l’application de l’essentiel des mesures votées aux membres du Gouvernement et à la haute fonction publique.

    Plus que jamais, les Socialistes sont au travail et entendent être utiles aux Français pendant ce quinquennat.

  • Les Echos - Olivier Faure : « Macron n’est pas Jupiter, c’est Janus »

    Olivier Faure Président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée nationale

    Député de Seine-et-Marne et président du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée, le socialiste Olivier Faure fustige les dix premières semaines d' Emmanuel Macron à la tête de l'Etat. « Le double langage a remplacé la langue de bois. Ce n'est pas Jupiter, c'est Janus. Le dieu du 'en même temps' », raille-t-il, estimant que « rien de la promesse de rénovation n'est tenu ».

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  • Le Parisien - Seine-Saint-Denis : le PS déchiré entre les proches de Hamon et les loyalistes

    Le parti socialiste tente de panser ses plaies. En Seine-Saint-Denis, le parti à la rose a perdu ses neuf députés. Et si aucune grande figure n’a quitté le PS, cela n’empêche pas certains de faire entendre leurs petites voix. Ainsi Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental ou encore Mathieu Hanotin, ex-député, ne cachent pas leur soutien à Benoît Hamon qui, lui, est parti de son côté. Des positions qui ne plaisent pas à tout le monde.

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  • Info Châlons - Avec Boris Vallaud, c'est l'ombre d'Arnaud Montebourg qui va planer sur l'édition 2018 de la Fête de la Rose

    Alors que le PS est face à une situation inédite depuis de nombreuses décennies, les Amis de la Bresse, organisateurs de la Fête de la Rose, l'un des grands rendez-vous politiques annonçant la rentrée, n'entendent pas baisser les bras. En invitant le député Boris Vallaud, élu député des Landes en juin dernier, c'est aussi, un clin d'oeil effectué à Arnaud Montebourg. En Saône et Loire, chacun étant en capacité de se rappeler qu'avant d'entamer une carrière politique, Boris Vallaud qui n'est autre que le mari de Najat Vallaud-Belkacem, ancienne Ministre de l'Education Nationale de Manuel Valls, était bien connu en Saône et Loire, pour être la cheville ouvrière d'Arnaud Montebourg, alors Président du Conseil Général de Saône et Loire, en qualité de Directeur Général des Services. 

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  • Le Figaro - Paris : les Hamonistes menacent le PS d'une liste dissidente aux sénatoriales

    Dans la capitale, les sénatoriales créent de nouvelles tensions entre l'aile droite du Parti socialiste et les proches de Benoît Hamon. En cause, une liste LREM menée par un socialiste qui mettrait en danger la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann.

    Les tensions règnent toujours au sein de la famille socialiste. Nouvelle pomme de discorde, les sénatoriales à Paris. Alors que la sénatrice sortante Marie-Noëlle Lienemann était en bonne position sur la liste PS pour retrouver son siège, l'annonce de la tête de liste La République En Marche rebat les cartes.

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  • Le Figaro - Comment sauver le Parti socialiste ? Par Renée Fregosi

    Pour Renée Fregosi, s'il veut survivre, le Parti socialiste doit rompre avec l'idée désormais stérile de l'« union des gauches », qui l'empêche de définir une réelle base doctrinale.
     
    La nouvelle direction provisoire de la Rue de Solferino rassemble une fois encore les débris du hollandisme et les derniers avatars des frondeurs. Sinistres fossoyeurs d'un vaisseau fantôme, ils se présentent en défenseurs héroïques d'un parti en lambeau qu'ils ont largement contribué à détruire. Mais ce n'est pas en rejouant Epinay que le Parti socialiste trouvera une nouvelle dynamique. Les mutations profondes au niveau mondial comme le bouleversement de la vie politique nationale produit par Emmanuel Macron, interdisent la réussite d'une nouvelle entourloupe mitterrandienne.
     
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  • PS - Blanquer, la droite décomplexée pour une école du passé

    Le Parti socialiste exprime son étonnement et sa désapprobation à la suite des déclarations de Monsieur Blanquer, Ministre de l’éducation nationale, dans les colonnes du JDD.

    Pour le Ministre, « l’ennemi du service public, c’est l’égalitarisme. Son ami, la liberté« . Comment peut-on vouloir la liberté sans l’égalité ? Pourquoi dévoyer ainsi l’égalité et la confondre avec l’égalitarisme ? La liberté dont se réclame le Ministre serait-elle le parangon du libéralisme à l’école ?

    Plus inquiétant, Monsieur Blanquer semble oublier que depuis des années notre système scolaire souffre d’abord d’être l’un des plus inégalitaire de l’OCDE, que les déterminismes sociaux y pèsent davantage qu’ailleurs dans le destin scolaire des élèves et qu’il est donc du devoir de l’Etat d’intervenir pour donner les mêmes chances de réussir à tous les élèves, quelles que soient leurs origines, dans tous les territoires. Pour les socialistes, puisqu’il s’agit d’élever le niveau général de savoir, de connaissances et de culture de notre pays, l’ennemi reste la reproduction, et même l’aggravation, des inégalités sociales et culturelles à l’école. C’était tout le sens de la Refondation de l’école qui aurait dû se prolonger et que le gouvernement détricote avec méthode pour faire des économies sur l’éducation, de la maternelle à l’université.

    Le Ministre déclare un peu plus loin « Nous ne venons pas de nulle part, nos racines gréco-latines structurent notre vie« . Qu’avait-il besoin de rouvrir ce débat ? et avec autant de maladresse ? Le Parti socialiste reste en effet interdit devant de tels propos qui s’inscrivent dans une vision erronée et tronquée de l’histoire de France qui ferait passer Clovis pour un romain et les Celtes pour des hellénistes. Comment le Ministre peut-il parler de « vivre ensemble » en négligeant toutes les origines et influences qui se sont brassées sur notre sol pour constituer la France ? Monsieur Blanquer avait émis des doutes en mai dernier sur les programmes d’histoire, nous ne saurions trop lui conseiller de profiter de l’été, d’abord, pour les réviser.

    Il n’est donc pas étonnant que l’hebdomadaire Valeurs Actuelles ait affiché son soutien à Monsieur Blanquer, à la suite de ses déclarations qui empruntent très largement à la droite décomplexée. Pour le Parti socialiste, cette voie apparient au passé et l’expérience nous a montré que l’école n’avait rien à y gagner.

  • Le Point - Moralisation: texte "satisfaisant" mais aussi "timide", estime Dosière

    L'ex-député PS René Dosière, spécialiste du contrôle de l'argent public, a jugé que les textes sur la moralisation, débattus à partir de lundi à l'Assemblée, apportaient des réponses "satisfaisantes" sur les points essentiels, mais "timides" sur le financement des partis politiques.

    "Sur les trois points les plus emblématiques du texte, l'interdiction des emplois familiaux de collaborateurs, le nouveau régime de frais de mandat et la suppression de la réserve parlementaire, les réponses sont satisfaisantes", a déclaré à l'AFP René Dosière, qui avait été consulté par François Bayrou alors garde des Sceaux, au moment de l'élaboration des projets de lois (ordinaire et organique).

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  • RTL - APL : "Le gouvernement fait les poches des plus petits", dit Olivier Faure sur RTL

  • BFMTV - Olivier Faure moque le goût pour le "déguisement" d'Emmanuel Macron

    Le patron des députés du groupe Nouvelle Gauche (Parti socialiste) à l'Assemblée nationale, Olivier Faure, a assuré ce lundi sur RTL que le président devait avoir "beaucoup de choses à cacher".

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