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politique - Page 163

  • Réaction du Parti socialiste aux coupes budgétaires dans les crédits de la politique de la ville

    30 juillet 2017

    Pour le Parti socialiste, la décision du gouvernement de couper 11% des crédits dédiés à la politique de la ville pour l’année 2017 est totalement indigne, pour ne pas dire irresponsable.

    Sous prétexte que le président de la République s’est engagé à préserver le budget de l’ANRU, le gouvernement se croit autorisé à délaisser la politique de la ville. Ce faisant, il sacrifie le volet le moins spectaculaire – mais pourtant essentiel – de l’action publique dans les quartiers populaires : le lien avec les habitants.

    Car à quoi sert la politique de la ville sinon à tisser et retisser patiemment du lien social et du lien avec la République, dans des territoires qui se sentent exclus et de l’un et de l’autre ? 
    À quoi sert-elle sinon à soutenir les associations des quartiers populaires et les projets portés en commun par et pour leurs habitants? 
     
    À quoi sert-elle sinon à œuvrer pour rendre aux plus pauvres la dignité à laquelle ils ont droit ?
     
    Sans politique de la ville, la rénovation urbaine ne portera jamais pleinement ses fruits. Ce n’est pas l’un contre l’autre, ce n’est pas l’un sans l’autre, c’est de l’un et de l’autre dont ont besoin les quartiers populaires. Le récent rapport des Sénatrices Annie Guillemot et Valérie Létard, qui dresse un premier bilan de la loi Lamy, ne dit pas autre chose.
     
    Le gouvernement est en train de faire les mêmes erreurs que la droite en son temps. Les dégâts que provoqueront ces coupes pourraient être considérables.
     
    Le Parti socialiste lui demande donc instamment de revenir sur cette décision. Il lui demande également d’écouter et de faire confiance à ceux qui font, plutôt que de ne s’en remettre qu’à ceux qui comptent.
  • Les Echos - Olivier Faure : « Macron n’est pas Jupiter, c’est Janus »

    Olivier Faure Président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée nationale

    Député de Seine-et-Marne et président du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée, le socialiste Olivier Faure fustige les dix premières semaines d' Emmanuel Macron à la tête de l'Etat. « Le double langage a remplacé la langue de bois. Ce n'est pas Jupiter, c'est Janus. Le dieu du 'en même temps' », raille-t-il, estimant que « rien de la promesse de rénovation n'est tenu ».

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  • Le Parisien - Seine-Saint-Denis : le PS déchiré entre les proches de Hamon et les loyalistes

    Le parti socialiste tente de panser ses plaies. En Seine-Saint-Denis, le parti à la rose a perdu ses neuf députés. Et si aucune grande figure n’a quitté le PS, cela n’empêche pas certains de faire entendre leurs petites voix. Ainsi Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental ou encore Mathieu Hanotin, ex-député, ne cachent pas leur soutien à Benoît Hamon qui, lui, est parti de son côté. Des positions qui ne plaisent pas à tout le monde.

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  • Info Châlons - Avec Boris Vallaud, c'est l'ombre d'Arnaud Montebourg qui va planer sur l'édition 2018 de la Fête de la Rose

    Alors que le PS est face à une situation inédite depuis de nombreuses décennies, les Amis de la Bresse, organisateurs de la Fête de la Rose, l'un des grands rendez-vous politiques annonçant la rentrée, n'entendent pas baisser les bras. En invitant le député Boris Vallaud, élu député des Landes en juin dernier, c'est aussi, un clin d'oeil effectué à Arnaud Montebourg. En Saône et Loire, chacun étant en capacité de se rappeler qu'avant d'entamer une carrière politique, Boris Vallaud qui n'est autre que le mari de Najat Vallaud-Belkacem, ancienne Ministre de l'Education Nationale de Manuel Valls, était bien connu en Saône et Loire, pour être la cheville ouvrière d'Arnaud Montebourg, alors Président du Conseil Général de Saône et Loire, en qualité de Directeur Général des Services. 

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  • Le Figaro - Paris : les Hamonistes menacent le PS d'une liste dissidente aux sénatoriales

    Dans la capitale, les sénatoriales créent de nouvelles tensions entre l'aile droite du Parti socialiste et les proches de Benoît Hamon. En cause, une liste LREM menée par un socialiste qui mettrait en danger la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann.

    Les tensions règnent toujours au sein de la famille socialiste. Nouvelle pomme de discorde, les sénatoriales à Paris. Alors que la sénatrice sortante Marie-Noëlle Lienemann était en bonne position sur la liste PS pour retrouver son siège, l'annonce de la tête de liste La République En Marche rebat les cartes.

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  • Le Figaro - Comment sauver le Parti socialiste ? Par Renée Fregosi

    Pour Renée Fregosi, s'il veut survivre, le Parti socialiste doit rompre avec l'idée désormais stérile de l'« union des gauches », qui l'empêche de définir une réelle base doctrinale.
     
    La nouvelle direction provisoire de la Rue de Solferino rassemble une fois encore les débris du hollandisme et les derniers avatars des frondeurs. Sinistres fossoyeurs d'un vaisseau fantôme, ils se présentent en défenseurs héroïques d'un parti en lambeau qu'ils ont largement contribué à détruire. Mais ce n'est pas en rejouant Epinay que le Parti socialiste trouvera une nouvelle dynamique. Les mutations profondes au niveau mondial comme le bouleversement de la vie politique nationale produit par Emmanuel Macron, interdisent la réussite d'une nouvelle entourloupe mitterrandienne.
     
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  • PS - Blanquer, la droite décomplexée pour une école du passé

    Le Parti socialiste exprime son étonnement et sa désapprobation à la suite des déclarations de Monsieur Blanquer, Ministre de l’éducation nationale, dans les colonnes du JDD.

    Pour le Ministre, « l’ennemi du service public, c’est l’égalitarisme. Son ami, la liberté« . Comment peut-on vouloir la liberté sans l’égalité ? Pourquoi dévoyer ainsi l’égalité et la confondre avec l’égalitarisme ? La liberté dont se réclame le Ministre serait-elle le parangon du libéralisme à l’école ?

    Plus inquiétant, Monsieur Blanquer semble oublier que depuis des années notre système scolaire souffre d’abord d’être l’un des plus inégalitaire de l’OCDE, que les déterminismes sociaux y pèsent davantage qu’ailleurs dans le destin scolaire des élèves et qu’il est donc du devoir de l’Etat d’intervenir pour donner les mêmes chances de réussir à tous les élèves, quelles que soient leurs origines, dans tous les territoires. Pour les socialistes, puisqu’il s’agit d’élever le niveau général de savoir, de connaissances et de culture de notre pays, l’ennemi reste la reproduction, et même l’aggravation, des inégalités sociales et culturelles à l’école. C’était tout le sens de la Refondation de l’école qui aurait dû se prolonger et que le gouvernement détricote avec méthode pour faire des économies sur l’éducation, de la maternelle à l’université.

    Le Ministre déclare un peu plus loin « Nous ne venons pas de nulle part, nos racines gréco-latines structurent notre vie« . Qu’avait-il besoin de rouvrir ce débat ? et avec autant de maladresse ? Le Parti socialiste reste en effet interdit devant de tels propos qui s’inscrivent dans une vision erronée et tronquée de l’histoire de France qui ferait passer Clovis pour un romain et les Celtes pour des hellénistes. Comment le Ministre peut-il parler de « vivre ensemble » en négligeant toutes les origines et influences qui se sont brassées sur notre sol pour constituer la France ? Monsieur Blanquer avait émis des doutes en mai dernier sur les programmes d’histoire, nous ne saurions trop lui conseiller de profiter de l’été, d’abord, pour les réviser.

    Il n’est donc pas étonnant que l’hebdomadaire Valeurs Actuelles ait affiché son soutien à Monsieur Blanquer, à la suite de ses déclarations qui empruntent très largement à la droite décomplexée. Pour le Parti socialiste, cette voie apparient au passé et l’expérience nous a montré que l’école n’avait rien à y gagner.

  • Le Point - Moralisation: texte "satisfaisant" mais aussi "timide", estime Dosière

    L'ex-député PS René Dosière, spécialiste du contrôle de l'argent public, a jugé que les textes sur la moralisation, débattus à partir de lundi à l'Assemblée, apportaient des réponses "satisfaisantes" sur les points essentiels, mais "timides" sur le financement des partis politiques.

    "Sur les trois points les plus emblématiques du texte, l'interdiction des emplois familiaux de collaborateurs, le nouveau régime de frais de mandat et la suppression de la réserve parlementaire, les réponses sont satisfaisantes", a déclaré à l'AFP René Dosière, qui avait été consulté par François Bayrou alors garde des Sceaux, au moment de l'élaboration des projets de lois (ordinaire et organique).

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  • RTL - APL : "Le gouvernement fait les poches des plus petits", dit Olivier Faure sur RTL

  • BFMTV - Olivier Faure moque le goût pour le "déguisement" d'Emmanuel Macron

    Le patron des députés du groupe Nouvelle Gauche (Parti socialiste) à l'Assemblée nationale, Olivier Faure, a assuré ce lundi sur RTL que le président devait avoir "beaucoup de choses à cacher".

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