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Thomas Piketty répond aux questions des auditeurs d'#Interactiv
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Telos - La pensée magique de la mixité sociale, Olivier Galland 15 septembre 2016
Dans un article de son blog du Monde sur la mixité sociale Thomas Piketty ne propose rien de moins que de mettre en place un système d’affectation des élèves dans les collèges, y compris les collèges privés, qui fasse en sorte qu’on aboutisse dans chaque établissement à un taux d’élèves défavorisés compris entre 10% et 20%. Cette proposition pose deux problèmes que l’article de Piketty laisse totalement de côté : la mixité sociale augmente-t-elle véritablement les chances de réussite des élèves défavorisés ? Peut-on dans une société démocratique contraindre à ce point les choix individuels pour faire le bonheur des gens – si tant est que la réponse à la première question soit positive – à leur place ?
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Thomas Piketty : "Le problème de Montebourg, comme Mélenchon, c'est qu'il y a beaucoup de posture"
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L'actualité des socialistes du 3 au 9 juin
A LA UNE
Le blog de Thomas Piketty - Loi travail : un effroyable gâchis
Alors que les tensions sociales menacent de bloquer le pays et que le gouvernement s’obstine à refuser le dialogue et le compromis, la loi travail apparaît de plus en plus clairement pour ce qu’elle est : un effroyable gâchis, un de plus au sein d’un quinquennat raté, et peut-être le plus grave. Le gouvernement voudrait nous faire croire qu’il paie le prix d’être réformateur, et qu’il doit se battre seul contre tous les conservatismes. La vérité est toute autre : sur ce sujet comme sur les précédents, le pouvoir en place multiplie les improvisations, les mensonges et les bricolages.
MONTEBOUG
Boursorama - Montebourg (PS): sans primaire, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée"
L'ancien ministre de l'Economie (PS) Arnaud Montebourg a estimé mercredi que sans primaire à gauche, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée", et a admis avoir commis des "erreurs" en soutenant François Hollande en 2011 et en aidant Manuel Valls à succéder à Jean-Marc Ayrault à Matignon.
Le Figaro - Montebourg propose de tirer au sort les sénateurs
Arnaud Montebourg lance une série de propositions pour bouleverser les institutions. Au programme : réforme du Sénat, limitation du pouvoir de nomination du chef de l'État et responsabilité individuelle des ministres devant l'Assemblée.
HOLLANDELe président, qui voulait rassembler à tout prix, a pris acte du fossé qui le sépare désormais des écologistes et des frondeurs du PS. A un an de la présidentielle, il n'a pas d'autre choix que de brandir le drapeau du « réformisme ». Quitte à faire éclater la gauche.MACRONLe ministre de l’Economie accuse une forte baisse de de popularité chez les Français et notamment les sympathisants de gauche, dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ».PSLe premier secrétaire se bat pour préserver l'unité de son parti. Pour cela, il est persuadé de la nécessité d'une candidature présidentielle de François Hollande, l'organisation d'une primaire risquant d'entraîner une dislocation du PS.La recette n’est pas nouvelle, mais le Parti socialiste et le gouvernement ont décidé que le moment était venu de l’utiliser. La défense de la loi Travail, fortement contestée, a fourni le prétexte de cette tentative de contre-feu mise en scène au cours d’un meeting avec quatre protagonistes : Manuel Valls, Myriam El Khomri, Stéphane Le Foll et Jean-Christophe Cambadélis.Lors d’un meeting qui s’est tenu mercredi soir à Paris, les quatre orateurs - Valls, Le Foll, El Khomri et Cambadélis - ont voulu remobiliser leur camp avant l’examen du texte au Sénat et son retour à l’Assemblée nationale en juillet. -
Le blog de Thomas Piketty - Loi travail : un effroyable gâchis
Alors que les tensions sociales menacent de bloquer le pays et que le gouvernement s’obstine à refuser le dialogue et le compromis, la loi travail apparaît de plus en plus clairement pour ce qu’elle est : un effroyable gâchis, un de plus au sein d’un quinquennat raté, et peut-être le plus grave. Le gouvernement voudrait nous faire croire qu’il paie le prix d’être réformateur, et qu’il doit se battre seul contre tous les conservatismes. La vérité est toute autre : sur ce sujet comme sur les précédents, le pouvoir en place multiplie les improvisations, les mensonges et les bricolages.
On a déjà vu cela à l’œuvre sur la compétitivité. Le gouvernement a commencé par supprimer – à tort – les baisses de cotisations patronales décidées par le précédent gouvernement, avant de mettre en place une invraisemblable usine à gaz, sous la forme d’un crédit d’impôt visant à rembourser aux entreprises une partie des cotisations payées un an plus tôt, avec au passage une énorme perte en ligne liée au manque de lisibilité et de pérennité du dispositif. Il aurait fallu au contraire lancer une ambitieuse réforme du financement de la protection sociale.
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Conférence Egalité : le débat Thomas Piketty/Daniel Cohen
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Conférence Egalité avec Thomas Piketty : l'intégralité de son intervention
Le 11 avril 2016, Thomas Piketty était l'invité d'une conférence Egalité organisée par la Fondation Jean-Jaurès, la FEPS et L'Obs, à la Maison de la Mutualité
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L’égalité vue par Thomas Piketty : les temps forts
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Conférence Egalité avec Thomas Piketty : ouverture par Gilles Finchelstein
La conférence Egalité avec Thomas Piketty, le 11 avril 2016 à la Maison de la Mutualité, a été introduite par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès.
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Conférence Egalité avec Thomas Piketty : la conclusion de Massimo D'Alema
Pour clore la conférence Egalité avec Thomas Piketty qui s'est tenue le 11 avril 2016 à la Maison de la Mutualité, le président de la FEPS et ancien président du Conseil italien Massimo D'Alema a pris la parole et souligné l'importance de la lutte contre les inégalités pour la démocratie.
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Le Monde - Thomas Piketty : « Le choc Sanders »
Comment interpréter l’incroyable succès du « socialiste » Bernie Sanders aux primaires américaines ? Le sénateur du Vermont devance désormais Hillary Clinton parmi l’ensemble des sympathisants démocrates de moins de 50 ans, et seuls les seniors permettent à Hillary de maintenir l’avantage. Face à la machine Clinton et au conservatisme des grands médias, Bernie ne gagnera peut-être pas la primaire. Mais la preuve est faite qu’un autre Sanders, sans doute plus jeune et moins blanc, pourrait un jour prochain gagner la présidentielle américaine et changer le visage du pays. Par bien des aspects, on assiste à la fin du cycle politico-idéologique ouvert par la victoire de Ronald Reagan aux élections de novembre 1980.