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Réflexions - Page 104

  • Christiane Taubira "sort dégradée" de l'affaire des écoutes


    Christiane Taubira "sort dégradée" de l'affaire... par rtl-fr

  • La Tribune - Henri Sterdyniak, Remettre les impôts à plat, vraiment?

    Entre l'annonce début novembre d'une remise à plat de la fiscalité, et ce qui sera vraiment fait, il y aura un grand écart. Le fait est que notre système fiscal, fortement redistributif, est difficile à retoucher. Il n'y a pas de réforme miracle. par Henri Sterdyniak, économiste, Observatoire français des conjonctures économiques

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  • Inversion de la courbe du chômage selon l'Insee : "Pas de quoi se réjouir", réagit un économiste

    La courbe du chômage s'est bien inversée en 2013, selon les chiffres de l'Institut national de la statistique. Mais avant tout parce que de nombreux seniors ne sont plus comptabilisés. Explications de l'économiste Eric Heyer.

    Tout vient à point à qui sait attendre. Selon les chiffres de l'Insee, publiés le jeudi 6 mars, le gouvernement a fini par obtenir la très attendue inversion de la courbe du chômage en 2013 : au quatrième trimestre, le taux de chômage a reculé de 0,1%. Jusqu'ici, le vœu présidentiel d'inversion de la tendance avait tourné à l'échec, selon les (autres) chiffres officiels, ceux de Pôle emploi. Mais l'Insee se base, lui, sur la méthode du Bureau international du travail (BIT), offrant des chiffres enfin positifs à l'exécutif. Le gouvernement s'en est d'ailleurs immédiatement réjoui.

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  • Le pacte de responsabilité ne peut ignorer l'économie sociale et solidaire Le Monde.fr | Par Claude Alphandéry (président du Labo de l'ESS)

    Les dispositions prévues du pacte de responsabilité confirment et renforcent la politique dite de « l'offre » visant le redressement de l'appareil productif et de ce fait le retour à la croissance et l'emploi.

    Un premier pas allait dans ce sens avec le rapport Gallois et l'instauration à l'automne 2012 du CICE. Ce « crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi », en allégeant les charges salariales des entreprises, tendait à renforcer leur offre face à la concurrence internationale.

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  • Comment refonder l'entreprise ? - Rencontre Mensuelle #6

    Concurrence fiscale, délocalisations, rémunérations exorbitantes des actionnaires et des hauts dirigeants, sous-investissement, mépris des salariés : l'architecture de l'entreprise néolibérale n'est-elle pas l'une des causes de la grande crise que nous connaissons ? Comment refonder l'entreprise ? Pour avancer sur ce registre, n'est-il pas utile de remettre en cause l'idée reçue selon laquelle « l'entreprise appartient à ses actionnaires » ? Les actionnaires sont certes propriétaires d'actions de la société de capitaux, mais celle-ci ne résume pas l'entreprise. Comment redonner sens à l'entreprise comme institution sociale dont l'objectif premier n'est pas de maximiser le revenu des actionnaires, mais de produire des biens ou services en associant d'autres parties prenantes : salariés, mais aussi clients, fournisseurs, collectivités locales, etc. ? Une entreprise « partenariale » ne serait-elle pas à la fois plus juste et plus efficace ? Quels dispositifs concrets peut-on avancer pour progresser en ce sens ?
    Conférence-débat du jeudi 13 février 2014 à Paris, avec :
    - JEAN-PHILIPPE ROBÉ, avocat aux barreaux de Paris et de New York et Professeur à l'Ecole de droit de Sciences Po, auteur d'un ouvrage de référence sur l'entreprise
    (L'entreprise et le droit en 1999), ainsi que de nombreux articles dont, récemment, "Pour en finir avec Milton Friedman - Misère de la théorie de l'agence".
    - PHILIPPE REIGNIER, directeur de mission chez Secafi (cabinet de conseil au service des Comités d'entreprise), spécialiste de nouvelles organisations du travail plus «soutenables» socialement et économiquement, membre fondateur de l'Institut du Travail et du Management Durable.
    Conférence animée par CHRISTOPHE RAMAUX, Maître de conférences en économie à l'Université Paris I (Centre d'Economie de la Sorbonne), auteur de L'Etat social (2012) et membre du Collectif d'animation des Economistes atterrés.

    Retrouvez nos analyses et positions dans les chroniques et articles de notre site
    http://www.atterres.org/

  • L'Express - Comment les partisans de la "realéconomie" ont converti Hollande

    Economistes, banquiers, patrons, ils plaident depuis des mois la cause des entreprises auprès du président. Retour sur le jeu d'influences qui a conduit l'Elysée à rallier la politique de l'offre.

    Le 28 août 2013, à l'Elysée. Dans quelques jours, la rentrée tirera le palais présidentiel de sa torpeur estivale. Le cortège des énarques encombrés de dossiers reprendra bientôt son ordonnance, la ruche des conseillers connectés à l'actualité s'animera à nouveau. Ce 28 août, donc, les trois invités de François Hollande tombent sans doute au meilleur moment de l'année pour convaincre le président, disponible et détendu.

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  • OFCE : Banques centrales et dette publique : les liaisons dangereuses ?

    5 mars 2014

    par Christophe Blot

    Depuis 2008, la politique monétaire est en première ligne pour préserver la stabilité financière et tenter d’endiguer la crise économique. La Grande Récession ne fut pas évitée mais les leçons de la crise des années 1930 ont été retenues. Les banques centrales ont en effet rapidement baissé les taux d’intérêt de court terme, qui sont maintenus à un niveau proche de zéro, et développé de nouveaux instruments de politique monétaire. Ces mesures, dites non conventionnelles, ont conduit à une augmentation de la taille des bilans, qui dépasse 20 % du PIB aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou dans la zone euro et 45 % au Japon. Parmi l’éventail des mesures utilisées, les banques centrales ont recouru à des achats de titres de dette publique. L’objectif était de faire baisser les taux d’intérêt à long terme, soit en signalant que la politique monétaire resterait expansionniste pour une période prolongée, soit en modifiant la composition des portefeuilles d’actifs détenus par les agents privés. Or la Réserve fédérale a récemment annoncé qu’elle allait réduire progressivement ses interventions (voir ici), ce qui pourrait provoquer une remontée rapide des taux d’intérêt comme celle observée en mai 2013 (graphique 1) lors de la précédente annonce de ce type. Dans un contexte où les dettes publiques sont élevées, la dynamique des taux d’intérêt est essentielle. Les banques centrales doivent tenir compte des interactions renforcées entre politique monétaire et budgétaire en coordonnant leurs décisions avec celles prises par les gouvernements.

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  • Etape belge du Tour d'Europe EuroPen-EA

    Euro-pen, Éconosphères et les Économistes atterrés vous invitent à la première étape du « Tour d'Europe des économistes progressistes ». Cette conférence, animée par Bruno Bauraind, avec Benjamin Coriat (Professeur d'économie à l'Université Paris 13 et co-président des Économistes atterrés) et Jean-Christophe Defraigne (économiste à l'Institut d'études européennes des FUSL à Bruxelles et membre d'Éconosphères) pour introduire le débat sur la politique industrielle européenne.

  • Non Fiction - Ukraine : La partition n'est pas une solution

    Du divorce de fait à la séparation de droit ?

    La partition de l’Ukraine semble aujourd’hui possible. Pour certains, elle constituerait désormais l’issue inéluctable de la crise. Ses multiples divisions (linguistiques, culturelles, historiques, politiques, économiques ressassées à l’envi depuis quelques jours) mineraient le pays depuis son indépendance. Elles enveniment chaque échéance électorale : Leonid Koutchma n’a-t-il pas réussi « l’exploit » de se faire élire par l’Est en 1994 et par l’Ouest en 1999 ? Elles empoisonnent les événements marquants du pays : la révolution orange de 2004 n’a-t-elle pas mis aux prises l’est pro-russe et l’ouest pro-occidental ? Et elles menacent la paix du continent : l’Ukraine d’aujourd’hui ne se divise-t-elle pas entre partisans du partenariat avec l’Europe à Maidan et avocats de l’union douanière avec la Russie en Crimée et à Kharkiv ? Ces divisions culmineraient aujourd’hui dans un risque de guerre civile compliquée d’une intervention extérieure. Pour conjurer ce spectre, faut-il vider l’abcès et prendre acte du divorce ukrainien ?
    Faut-il se résigner à l’évidence et fixer une frontière plutôt que de tracer une ligne de front ? Convient-il d’organiser une séparation de droit pour éviter les affres d’un divorce de fait ?

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  • Libé - Les Tatars ne sont pas les seuls à s’opposer au rattachement à la Russie Par Emmanuelle Armandon Politologue, spécialiste de l’Ukraine et de la Crimée, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)

    Le 30 mars doit avoir lieu, en Crimée, un référendum sur le statut de la péninsule. Les résultats de celui-ci pourraient-ils entraîner une remise en cause de l’appartenance de la Crimée à l’Ukraine et son éventuel rattachement à la Russie ? Sans nier la persistance d’aspirations sécessionnistes chez une partie de la population régionale, cette perspective ne semble pas faire l’unanimité parmi l’ensemble des habitants de la péninsule.

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  • Affaire Buisson : "Écœurant, inquiétant mais pas étonnant"


    Affaire Buisson : "Écœurant, inquiétant mais... par rtl-fr