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Idées - Page 9

  • Babelio - Gabriel Zucman : en quête d'une nouvelle justice fiscale

    Interview Gabriel Zucman à propos du Triomphe de l'injustice 

    Les milliardaires américains paient aujourd'hui moins d’impôts que les 10 % les plus pauvres. Ce constat fiscal en dit long sur l'évolution d'un système de répartition qui n'aura eu de cesse depuis les années 1950 d'avantager les groupes sociaux les plus privilégiés. Il n'en a pourtant pas toujours été ainsi. C'est en étudiant en détail l'histoire fiscale des Etats-Unis que Gabriel Zucman et Emmanuel Saez démontent cette injustice autant économique que politique dans leur livre édité au Seuil, et proposent des recommandations de corrections précises, pragmatiques et argumentées.

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  • Polanyi - La Grande Transformation - De Dicto #24

    « Pour comprendre le fascisme allemand, nous devons revenir à l’Angleterre de Ricardo. » Par cette phrase, Karl Polanyi résume l’enjeu de son livre La Grande Transformation paru en 1944. Entrons dans la satanic mill, la fabrique du diable, pour comprendre comment l’idéal libéral d’un marché autorégulateur a conduit au fascisme.

  • Conseillisme et démocratie - Politikon #19

    Le conseillisme ou communisme des conseils (ou communisme de gauche, etc.) s'oppose aux partis et aux syndicats, en cela il propose une conception radicale de la démocratie sur laquelle on s'attarde ici.

  • Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? | Streetphilosophy | ARTE

    Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? Les questions autour du travail se réinventent face aux enjeux du monde moderne.

    De l’usine jusqu’au canapé du salon, le travail prend aujourd'hui de multiples visages. Certains souhaitent un poste à l’emploi du temps bien réglé, d’scoiété capitaliste autres chérissent la flexibilité d’une profession libérale. Pour ceux qui ont fait de leur passion leur profession, il n’existe pas de coupure entre travail et temps libre. Mais pour la plupart d’entre nous, trouver un emploi qui nous ressemble reste une utopie. Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Comment le modèle soviétique peut-il nous faire réfléchir sur le fonctionnement de notre propre système ? Magazine (Allemagne, 2019, 27mn)

  • Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? | Streetphilosophy | ARTE

    Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? Les questions autour du travail se réinventent face aux enjeux du monde moderne. De l’usine jusqu’au canapé du salon, le travail prend aujourd'hui de multiples visages.

    Certains souhaitent un poste à l’emploi du temps bien réglé, d’scoiété capitaliste autres chérissent la flexibilité d’une profession libérale. Pour ceux qui ont fait de leur passion leur profession, il n’existe pas de coupure entre travail et temps libre. Mais pour la plupart d’entre nous, trouver un emploi qui nous ressemble reste une utopie. Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Comment le modèle soviétique peut-il nous faire réfléchir sur le fonctionnement de notre propre système ? Magazine (Allemagne, 2019, 27mn)

  • France Culture - Le fameux "Tous keynésiens" est-il encore d'actualité ? Par Brice Couturier

    Le Tour du monde des idées | En 1971, Richard Nixon déclarait dans une formule restée célèbre la victoire totale de ses théories. John Maynard Keynes a révolutionné la science économique en la réinsérant dans un système de pensée plus vaste. Mais 75 ans après la mort de son créateur, que reste-t-il du keynésianisme triomphant ?

    En plein mois d’août 1971, et à la surprise générale, Richard Nixon annonçait que son pays abandonnait l’étalon-or. A un journaliste qui l'interrogeait, le président américain répondit : We are all Keynesians now !

    Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, afin de stabiliser le cours des monnaies, il avait été décidé, à Bretton Woods, que toutes les devises du monde seraient évaluées en fonction de leur valeur en dollars. La monnaie américaine elle-même était censée être garantie par les énormes stocks d’or accumulées à Fort Knox, dans le Kentucky. Mais la guerre du Vietnam avait appauvri l'Amérique et Washington devait abandonner la convertibilité du dollar en or. On allait bientôt entrer - officiellement en mars 1973 - dans le système de changes flottants.

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  • Basta - Basta - « La pandémie n’est pas une vengeance de la Terre, c’est le résultat de notre rapport à la nature »

    Le nouveau virus, issu d’un contact entre l’humain et l’animal, pose la question de notre rapport au monde vivant. La philosophe Virginie Maris s’intéresse depuis longtemps à ces sujets : dans un livre passionnant, La Part sauvage du Monde (Seuil, 2018), elle interroge les voies d’une possible cohabitation entre humains et non-humains, en rappelant qu’il faut pour cela « restreindre notre territoire ». Première partie de cet entretien.

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  • Switch - Les contre-effets traumatiques du choc pandémique

    Neurologiste et artiste, Jean-François Chermann livre ici ses impressions à propos des conséquences du Covid sur son travail, son état d’esprit et notre société toute entière. Angoissé par le confinement nocturne, il a apprivoisé sa solitude en créant de nouvelles œuvres, confrontant ces dernières à sa propre expérience médicale.

    Nous sommes dans le 15e arrondissement de Paris, à deux pas du Pont Mirabeau où plane le spectre de Guillaume Apollinaire, dans l’un des premiers immeubles Art déco parisiens. On entre d’emblée dans la salle d’attente du neurologiste, dont le mur de gauche est couvert de vinyles de l’époque post-punk comme dans la boutique New Rose des années 1980, rue Pierre Sarrazin près du Couvent des Cordeliers, aujourd’hui disparue. Sur le mur de droite, derrière le divan, trône une carte du monde en pâte à modeler encadrée par des masques de Papouasie.

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  • Le Vent se lève - La protection de la vie comme principe de l’action politique

    Dans son discours du 5 mai lors d’une visite dans une école, le chef de l’État Emmanuel Macron déclarait : « Cette période qui s’ouvre le 11 mai, c’est notre responsabilité collective », embrayant le pas aux discours du gouvernement sur la responsabilité « civique », « citoyenne » ou encore « personnelle ». Depuis l’annonce du plan de déconfinement face aux parlementaires fleurissent ainsi les discours qui entendent installer un mouvement de transfert de responsabilité, d’abord du plus haut niveau de l’État vers les collectivités, et en dernière instance ensuite vers les citoyens. L’usage intempestif de l’expression de responsabilité collective impose un examen de ce concept, afin de prendre la mesure de l’arbitraire politique qu’il sous-tend – et ouvrir la voie à une nouvelle éthique de responsabilité fondée sur la préservation de la vie sous toutes ses formes. Par François Méresse.

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  • Le Vent se lève - L’audace de commencer : stratégie pour un autre monde

    « Le jour d’après ne sera pas comme le jour d’avant » a promis Emmanuel Macron, dans son discours aux Français, le 16 mars dernier. On voudrait y croire. À condition qu’il ne soit pas le jour que nous préparent ceux qui ont démontré leur goût pour la morale des indifférents : il faut que tout change pour que rien ne change. À condition qu’il soit le véritable commencement d’un nouveau siècle, libéré de la force d’inertie vertigineuse provoquée par la soumission de l’avenir à la répétition du présent. À condition qu’il débute « dès maintenant » et que dans le vacarme du moment, nous parvenions à distinguer les paroles salutaires des lieux communs. Stratégie alors pour temps de détresse : 1. Se prémunir contre ceux qui prédisent, un peu trop vite, l’effondrement du capitalisme. 2. Comprendre ce qui nous arrive. 3. Agir pour faire naître l’autre monde.

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