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Histoire - Page 17

  • Sélection été : Apostrophes : Pierre Mendès France "Le bilan de Mai 68" | Archive INA

    23 janvier 1976

    Témoignage de Pierre MENDÈS FRANCE sur sa participation au meeting de la gauche non communiste au stade de Charléty le 27 mai 1968. Rappel du contexte socio-politique de mai 68 par Pierre MENDÈS FRANCE et explication sur sa présence à Charléty : "je n'avais pas le droit de ne pas me tenir au courant de ce qu'ils [les jeunes] exprimeraient... il n'a jamais été question que je prenne la parole" Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel

  • Fondation Jean Jaurès - Édouard Vaillant, l’invention de la gauche

    Gilles Candar, président de la Société d’études jaurésiennes, publie une biographie d’Édouard Vaillant (1840-1915), personnage central du socialisme français, intitulée "Édouard Vaillant, l’invention de la gauche" (Armand Colin, mai 2018). Il revient dans cet entretien mené par Jean-Numa Ducange, maître de conférences à l’université de Rouen, sur le parcours de celui qui fut un des principaux organisateurs de la Commune de Paris (1871). Ensuite, associant l’héritage blanquiste au marxisme, il développe une stratégie d’action totale, à la fois révolutionnaire et réformiste. Il dessine avec Jaurès et Guesde bien des caractéristiques du socialisme républicain français.

  • Un peu d'histoire - Non Fiction - Le militant inconnu de Mai 68

    Parmi les initiatives heureuses de l’anniversaire de Mai 68, l’une d’entre elles a été de rendre la parole aux acteurs anonymes de l’événement. Mai 68 par celles et ceux qui l’ont vécu désarçonnera peut-être le lecteur du fait de son caractère polymorphique. Pourtant autant, il est indubitablement traversé par l’esprit de ces journées et en rend fort bien compte.

    Aux origines du projet

    Le livre est le fruit d’une longue collecte, lancée par des appels à témoignage dans les réseaux sociaux marqués à gauche dans l’espace politique, médiatique et social : le journal Mediapart, des sociologues, héritiers à des degrés divers de Pierre Bourdieu, et les éditions de l’Atelier.

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  • Fondation Jean Jaurès - Pierre Mendès France et la recomposition de la gauche après 1968

    Comment Pierre Mendès France a-t-il compris les mouvements et les enjeux de 1968 ? Quelle a été son appréciation politique de cette période ? Quelles sont pour lui les conséquences de son échec aux élections législatives à Grenoble en juin 1968 et de l’élection présidentielle de 1969 ? Au-delà, quels sont les enseignements qu’il en retient pour la recomposition de la gauche socialiste qui aboutit à la victoire de François Mitterrand en 1981 ?

    La seconde table ronde de la rencontre "Pierre Mendès France, Mai 1968 et après..." est animée par Emmanuel Laurentin, producteur à France Culture, administrateur de l’Institut Pierre Mendès France, et fait intervenir :
    - Robert Chapuis, ancien ministre, membre du Bureau national du PSU en 1968 : Pierre Mendès France au PSU et au-delà,
    - Vincent Duclert, chercheur au CESPRA (EHESS), professeur des universités associé à Sciences Po : Le soutien de Pierre Mendès France à la gauche socialiste jusqu’en 1981,
    - François Stasse, conseiller d’État : Pierre Mendès France, une vision du monde.

  • Un peu d'histoire - 1920 : le Bloody Sunday endeuille l'Irlande

    Le 21 novembre 1920 à Dublin, des violences opposent des militants indépendantistes aux forces britanniques. Trente morts, des centaines de blessés : cette journée tragique restera dans l'histoire sous le nom de « Bloody Sunday ».

    1919-1920. L'Irlande se déchire autour de la question de son indépendance. La campagne nationaliste irlandaise incite à la mobilisation populaire et à la création d'un « État dans l'État », en opposition au pouvoir britannique.

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  • Un peu d'histoire : RFI - France: il y a 50 ans, les accords de Grenelle

    Le 27 mai 1968, il y a tout juste 50 ans, étaient signés en France les accords de Grenelle qui préfiguraient la fin de la plus grave crise politique et sociale depuis la guerre. Les syndicats négocient une hausse du salaire minimum et une meilleure représentation dans les entreprises. Un épisode qui conserve une résonnance bien des années plus tard.

    Le 25 mai 1968, alors que la France est en grève depuis plusieurs semaines, le gouvernement accepte de se mettre à la table des négociations. Georges Pompidou, Premier ministre du général de Gaulle, discute lui-même avec les syndicats et le patronat. « Nous sommes arrivés à un ensemble de conclusions positives et dont on peut dire qu'elles constituent un accord », annonce-t-il le surlendemain.

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  • Libé - SPECIAL MAI 1968. Ce jour-là, jeudi 30 mai (fin). «Je ne me retirerai pas».

    De Gaulle réapparaît, requinqué. En quatre minutes, à la radio, il reprend les rênes de la nation. Le peuple de droite, soulagé, se rue sur les Champs-Elysées.

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  • Un peu d'histoire : 29 mai 1968… Le général de Gaulle disparaît : ruse ou burn out?

    Le 29 mai 1968, le général de Gaulle, alors Président de la République Française disparaît plusieurs heures ! Où et avec qui était le général pendant ces six heures cruciales ? Que s'est-il passé ? Quelles ont été les conséquences de cette "fugue" ? Retour sur l'un des épisodes les plus mystérieux de 1968.

    Une mystérieuse disparition

    Le 29 mai 1968, la France est en pleine crise économique et sociale. Les manifestations des jours précédents ont été très violentes. Le discours prononcé par le président le 24 mai n'a pas calmé les esprits. Les négociations tripartites lancées par Georges Pompidou avec les syndicats et le patronat, dès le 25, sont mal accueillies par la base ouvrière. Le pouvoir politique vacille. Alors que le PC rassemble dans la rue des dizaines de milliers de manifestants en faveur d'un "gouvernement populaire", Pierre Mendès-France apparaît de plus en plus comme un recours, alors que François Mitterrand, le 28, se déclare "prêt à se porter candidat à l'Elysée".

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  • « Une journée particulière » : 29 mai 1968, de Gaulle part à Baden-Baden

    Ce mercredi 29 mai 1968, en pleine tragédie, il est environ 13 heures quand de Gaulle choisit de disparaître. Non sans qu'on l'en ait dissuadé. Extrait.

    Aujourd'hui, François Malye nous emmène à l'Élysée, nous sommes le 29 mai 1968, mai bat son plein et le grand Charles a pris sa décision…

    « Plusieurs manifestations sont déjà passées près de l'Élysée, qu'il aurait été facile d'envahir. Le 26, Jacques Foccart, le conseiller très spécial du Général, a décidé de planifier l'intervention d'un hélicoptère au cas où... Et puis il y a Yvonne de Gaulle, qui en a pourtant vu d'autres, mais qui commence à craquer.

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  • L'Humanité - 28 mai 1968, l'émotion d'une journée particulière Jacques Sztern (Meudon-la-Forêt (Hauts-de-Seine)

    En mai 1968, j'étais ingénieur au groupe de laboratoires du CNRS de Bellevue à Meudon. La composition du personnel (en gros 600 personnes) y était originale : des chercheurs, des ingénieurs, techniciens, administratifs (ITA), mais aussi un grand nombre d'ouvriers de tous les métiers (mécaniciens, métalliers, électriciens, menuisiers, peintres...). Tous les syndicats étaient représentés : CGT, CFDT, FO, CGC, FEN. La CGT était, chez les ouvriers et les ITA, le syndicat le plus puissant ; pour les chercheurs, c'était le SNC-FEN. Il y avait un accord national de concertation entre ces deux organisations. Bellevue était un foyer de luttes particulièrement actif, avec beaucoup de succès à la clé.

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