Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Histoire - Page 16

  • Un peu d'histoire : RFI - France: il y a 50 ans, les accords de Grenelle

    Le 27 mai 1968, il y a tout juste 50 ans, étaient signés en France les accords de Grenelle qui préfiguraient la fin de la plus grave crise politique et sociale depuis la guerre. Les syndicats négocient une hausse du salaire minimum et une meilleure représentation dans les entreprises. Un épisode qui conserve une résonnance bien des années plus tard.

    Le 25 mai 1968, alors que la France est en grève depuis plusieurs semaines, le gouvernement accepte de se mettre à la table des négociations. Georges Pompidou, Premier ministre du général de Gaulle, discute lui-même avec les syndicats et le patronat. « Nous sommes arrivés à un ensemble de conclusions positives et dont on peut dire qu'elles constituent un accord », annonce-t-il le surlendemain.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Libé - SPECIAL MAI 1968. Ce jour-là, jeudi 30 mai (fin). «Je ne me retirerai pas».

    De Gaulle réapparaît, requinqué. En quatre minutes, à la radio, il reprend les rênes de la nation. Le peuple de droite, soulagé, se rue sur les Champs-Elysées.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Un peu d'histoire : 29 mai 1968… Le général de Gaulle disparaît : ruse ou burn out?

    Le 29 mai 1968, le général de Gaulle, alors Président de la République Française disparaît plusieurs heures ! Où et avec qui était le général pendant ces six heures cruciales ? Que s'est-il passé ? Quelles ont été les conséquences de cette "fugue" ? Retour sur l'un des épisodes les plus mystérieux de 1968.

    Une mystérieuse disparition

    Le 29 mai 1968, la France est en pleine crise économique et sociale. Les manifestations des jours précédents ont été très violentes. Le discours prononcé par le président le 24 mai n'a pas calmé les esprits. Les négociations tripartites lancées par Georges Pompidou avec les syndicats et le patronat, dès le 25, sont mal accueillies par la base ouvrière. Le pouvoir politique vacille. Alors que le PC rassemble dans la rue des dizaines de milliers de manifestants en faveur d'un "gouvernement populaire", Pierre Mendès-France apparaît de plus en plus comme un recours, alors que François Mitterrand, le 28, se déclare "prêt à se porter candidat à l'Elysée".

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • « Une journée particulière » : 29 mai 1968, de Gaulle part à Baden-Baden

    Ce mercredi 29 mai 1968, en pleine tragédie, il est environ 13 heures quand de Gaulle choisit de disparaître. Non sans qu'on l'en ait dissuadé. Extrait.

    Aujourd'hui, François Malye nous emmène à l'Élysée, nous sommes le 29 mai 1968, mai bat son plein et le grand Charles a pris sa décision…

    « Plusieurs manifestations sont déjà passées près de l'Élysée, qu'il aurait été facile d'envahir. Le 26, Jacques Foccart, le conseiller très spécial du Général, a décidé de planifier l'intervention d'un hélicoptère au cas où... Et puis il y a Yvonne de Gaulle, qui en a pourtant vu d'autres, mais qui commence à craquer.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • L'Humanité - 28 mai 1968, l'émotion d'une journée particulière Jacques Sztern (Meudon-la-Forêt (Hauts-de-Seine)

    En mai 1968, j'étais ingénieur au groupe de laboratoires du CNRS de Bellevue à Meudon. La composition du personnel (en gros 600 personnes) y était originale : des chercheurs, des ingénieurs, techniciens, administratifs (ITA), mais aussi un grand nombre d'ouvriers de tous les métiers (mécaniciens, métalliers, électriciens, menuisiers, peintres...). Tous les syndicats étaient représentés : CGT, CFDT, FO, CGC, FEN. La CGT était, chez les ouvriers et les ITA, le syndicat le plus puissant ; pour les chercheurs, c'était le SNC-FEN. Il y avait un accord national de concertation entre ces deux organisations. Bellevue était un foyer de luttes particulièrement actif, avec beaucoup de succès à la clé.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • La Barricade : Le 24 mai 68 (6H - 15H) - Les 24H les plus violentes de MAI 68 - Toute l’Histoire

    La série « La Barricade » raconte les 24 heures les plus violentes de Mai 68. Série Docu-fiction réalisée exclusivement à partir d’archives sur lesquelles viennent se poser les récits croisés de deux voix, celle de Katia, une étudiante allemande, et de Tarik sont des personnages de fiction inspirés de personnages réels. La série prend appui sur un fait avéré qui resta secrètement consigné dans les archives de la police pendant 30 ans : la mort, sur une barricade dressée en plein cœur du Quartier latin à Paris, d’un ouvrier âgé de 26 ans. « La Barricade » délivre le récit, heure par heure, décisive.

  • Un peu d'histoire - La Voix du Nord - 23 mai 1968: la grève s’étend avec des risques de pénuries

    Pour le cinquantenaire de Mai 68, retour jour par jour sur les événements en France et dans le monde. Le 23 mai, tout le pays est paralysé. Dans le Nord et le Pas-de-Calais, ce sont les blocages des ports et les grèves des douanes qui affectent la situation économique de la région : pénurie d’essence et de produits de consommation en perspective.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Un peu d'histoire : The Conversation - Débat entre Daniel Cohn-Bendit et Alain Geismar : « Mai 68, l’entrée dans la modernité de la société française »

    Ce débat a été réalisé par Michel Wieviorka.

    Daniel Cohn-Bendit : J’ai décidé que je ne dirai rien pour les 50 ans de 68 – sauf avec vous deux ! J’ai fait les 2 ans, les 10 ans, les 15 ans, les 20 ans, les 25 ans, les 30 ans, les 35 ans, les 40 ans, les 45 ans, je n’ai plus rien à dire !

    Alain Geismar : J’ai personnellement accepté quelques rendez-vous filmés, mais très peu, c’est vrai que cela suffit. On fera peut-être les 100 ans !

    Michel Wieviorka : Je ne vous demande pas de raconter 68, à moins que vous ayez des révélations croustillantes. Voici mon point de départ : si, en 1968, on s’était dit que ce serait formidable, 50 ans après la Première Guerre mondiale, d’avoir un débat entre des jeunes officiers qui étaient proches de Foch ou de Joffre, tout le monde aurait fait les yeux ronds en se demandant quel lien cela pouvait avoir avec l’actualité.

    Lire la suite
    _________________
    _________________