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  • Annuler la dette... c'est vraiment possible ? -Reportage #cdanslair​ 08.02.2021

    Alors que certaines voix appellent à une annulation pure et simple des dettes souveraines engendrées par la crise du Covid-19, cette solution a été balayée par les instances européennes. Elle est “inenvisageable” et serait “une violation du traité européen qui interdit strictement le financement monétaire des États”, a déclaré dans le JDD la présidente de la Banque centrale européenne (BCE) Christine Lagarde.

    Le débat est pourtant loin d’être clos en France. À gauche, la France Insoumise, entre autres, pousse pour cette solution. Mais des voix se font également entendre à droite en ce sens, comme celle de Guillaume Peltier, député et vice-président des Républicains. De nombreux économistes, dont Thomas Piketty, jugent eux aussi qu’il faut annuler ces dettes. Près de 150 d’entre eux ont d’ailleurs lancé un appel dans une tribune parue dans neuf publications européennes, dont le Monde. Ils estiment qu’en annulant ses créances, l’institution pourrait “offrir aux États européens les moyens de leur reconstruction par la transition écologique, mais aussi de réparer la casse sociale, économique et culturelle”.

    Au gouvernement, la question se pose et divise. Les patrons de Bercy expliquent régulièrement qu'un non remboursement mettrait en danger la solidité de la marque France sur les marchés, et rendrait tout emprunt futur plus délicat. “La dette se rembourse, c'est un principe”, a ainsi déclaré mi-décembre le ministre délégué chargé des Comptes publics, Olivier Dussopt. D’autres jugent au contraire que le “quoi qu’il en coûte” doit rester d’actualité, et que l’arrêt de la perfusion de l’économie ne peut être envisagée que de manière très progressive. Au Sud du continent la situation est catastrophique. En Espagne, au Portugal et en Italie, les mesures de restrictions pour contenir la pandémie ont entrainé une crise économique, qui laisse ces pays exsangues.

    La situation est telle que l’Espagne, incapable de pouvoir à nouveau mettre le pays à l’arrêt comme lors de la première vague, a dû se résoudre à choisir l’économie au détriment de la santé. En Italie, la crise est devenue politique. Alors que le président du Conseil Giuseppe Conte a présenté sa démission 25 janvier dernier, le chef de l’État Sergio Mattarella a chargé Mario Draghi, ancien président de la BCE, favorable au soutien de l’économie par les institutions européennes, de former un nouveau gouvernement. En France, l’état de l’économie est également critique. Les tribunaux de commerces voient se succéder les chefs d’entreprise qui tentent de sauver ce qui peut l’être, quand ils ne viennent pas pour la pure et simple liquidation de leur affaire.

    Est-il vraiment soutenable de rembourser la dette massive due à la pandémie de Covid-19 ? Quelles solutions sont sur la table pour des relances française et européenne ? Comment les pays du Sud vont-ils pouvoir faire face aux crises qu’ils affrontent ? Est-il encore envisageable d’éviter les faillites de nombreuses entreprises françaises ?   Invités :   - Françoise Fressoz, éditorialiste - Le Monde - Dominique Seux, directeur délégué de la rédaction Les Échos - Mathieu Plane, économiste OFCE - SciencesPo - Florence Autret, correspondante à Bruxelles - Télégramme

  • Libé - Revenu universel : les partis prennent la mesure

    De gauche à droite, toutes les formations politiques reprennent le concept, qui revient en force avec la crise sociale due au Covid. Mais les modalités d’application divergent fortement, et les syndicats y restent hostiles.

    «Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage.» L’adage de Boileau vaut ces temps-ci pour le revenu universel, dont l’idée revient s’installer dans le débat politique à la faveur de la crise économique et sociale, engendrée par la pandémie de Covid-19. Marginalisé depuis l’élection présidentielle de 2017 et la sévère défaite de Benoît Hamon (6,36 %), dont la mesure était bien placée dans le programme, le concept est désormais présenté par certains comme remède possible à l’explosion de la pauvreté et de la précarité.

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  • Observatoire des inégalités - Le sur-chômage des quartiers prioritaires

    Données 5 février 2021

    Les quartiers dits « prioritaires » de la politique de la ville, les plus défavorisés du point de vue des revenus de leurs habitants, concentrent les difficultés sociales, notamment en matière d’emploi. Un quart de leurs habitants sont au chômage, principalement des jeunes et des personnes peu qualifiées.

    Le taux de chômage dans les quartiers dits « prioritaires » de la politique de la ville (QPV) [1] – 23,4 % – est près de trois fois plus important que dans les quartiers environnants [2] (8,9 %), selon les données 2018 de l’Observatoire national de la politique de la ville (ONPV) [3]. Chez les jeunes actifs de moins de 30 ans, le taux approche même les 33 %, contre 15 % dans les autres quartiers.

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  • Revue de presse du 29 janvier au 4 février

    SOLIDARITES

    Fondation Jean Jaurès - Expérimentations et innovations locales : la fabrique Solutions solidaires

    À l’occasion de la troisième édition des journées Solutions solidaires auxquelles la Fondation est associée, Nicolas Bouillant, directeur de l’Observatoire de l’expérimentation et de l’innovation locales de la Fondation, présente certaines des expérimentations et des innovations portées par les départements acteurs de cette démarche et le premier baromètre des solutions solidaires. C’est l’occasion de mettre en lumière ce qui, sur le terrain, dessine en contrepoint les thèmes d’attention des Français dans la crise sanitaire et les enjeux des politiques publiques de demain dans les territoires.

    En 2018, treize départements, à l’initiative du président du département de la Gironde, Jean-Luc Gleyze, et dans la poursuite d’une démarche engagée depuis 2016 autour de l’expérimentation du revenu de base, accompagnés par l’Observatoire de l’expérimentation et de l’innovation locales (Œil) de la Fondation Jean-Jaurès et par des acteurs des solidarités venus de tous les horizons[1], ont lancé la démarche Solutions solidaires.

    PS

    France Info - Union de la gauche pour 2022, licenciements au Parti socialiste... Le "8h30 franceinfo" d'Olivier Faure
    Présidentielle 2022 : la gauche doit "arrêter" le "tout à l'ego"
    Selon un sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et L'Obs, publié mercredi 3 février, à 15 mois de l’élection présidentielle, une gauche divisée obtiendrait de très faibles scores si le vote avait lieu dimanche prochain. "Il faut arrêter ce tout à l'ego qui crée une situation incroyable, où on est en permanence en train de se taper dessus", affirme Olivier Faure.

    "Nous avons des différences qui existent et c'est ce qui justifie nos différents partis mais, enfin, ce n'est pas suffisamment éloquent pour que ça nous divise à ce point de ne pas pouvoir faire chemin ensemble. Il faut s'unir", insiste le Premier secrétaire du PS. "Nous avons l'occasion de provoquer l'alternance mais au moment venu il faudra choisir la ou le meilleur d'entre nous et faire en sorte qu'on puisse provoquer cette alternance", déclare-t-il.

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/8h30-fauvelle-dely/union-de-la-gauche-pour-2022-licenciements-au-parti-socialiste-le-8h30franceinfo-d-olivier-faure_4266151.html

    Les Echos - Covid : « Personne ne comprend la ligne du gouvernement », fustige Olivier Faure

    Le Premier secrétaire du PS a épinglé, lors du Grand rendez-vous Europe 1-Cnews-« Les Echos », la « semaine complètement folle » où l'exécutif a « dit blanc » et « fait noir à la fin ». Il a demandé à Emmanuel Macron de « s'expliquer » devant les Français, prônant des confinements territorialisés.

    « Le suspense tous les jours, c'est intenable ! […] Personne ne comprend qu'elle est exactement la ligne de conduite du gouvernement. » Ce dimanche, Olivier Faure n'a pas mâché ses mots contre l'exécutif, auquel il a reproché, dans la bataille contre le Covid , de multiplier les messages contradictoires et d'être « tout le temps en retard ». « Comment voulez-vous, après la semaine complètement folle que nous venons de vivre, que les gens comprennent ce à quoi on aboutit ? On dit blanc toute la semaine et on fait noir à la fin », a-t-il asséné lors du Grand rendez-vous Europe 1-Cnews-« Les Echos ». 

    Ouest France le 2 février - Le Parti socialiste veut créer un grand parti à gauche « qui enthousiasme les jeunes »

    C’est l’objectif que s’assigne Olivier Faure, son premier secrétaire. Objectif ? « Créer les conditions » d’une alternance pour l’élection présidentielle de 2022

    C’est un chantier de taille XXL, auquel veut s’atteler Olivier Faure. Le premier secrétaire du Parti socialiste se donne pour ambition, d’ici à l’automne, de refonder « un grand parti à gauche, capable de créer les conditions d’une alternance » pour la présidentielle de 2022. Un objectif qui lui semble impossible à atteindre à l’heure actuelle. Son diagnostic sur l’état de la gauche est sans appel : « Si elle n’était pas la plus bête du monde et savait présenter une offre commune, elle serait devant Marine Le Pen et Emmanuel Macron. »

    Le Point le 1er février - PS : « Travaillons sur les idées, le candidat, on verra après »

    Le Parti socialiste donnait ce lundi sa première conférence de presse en vue d’élaborer un programme. Un exercice de style en l’absence de candidat déclaré.

    « Format dynamique », « aspect ludique », « convergences »… C'est à un exercice de novlangue socialiste que les participants à la conférence virtuelle donnée par le Parti socialiste ont pu assister, ce lundi 1er janvier. L'objectif ? Mobiliser le peuple de gauche, donner un horizon programmatique, fixer un cap à travers une série de six rendez-vous, chacun sur un thème précis allant du travail aux questions sociétales. Du bel ouvrage, un condensé de pensée partisane agrémentée d'un soupçon de démocratie participative.

    France Info - Au Parti socialiste, le désarroi des salariés "placardisés" à l'approche d'un nouveau plan de licenciements

    Trois ans après un plan social historique, le Parti socialiste, en difficulté financière, envisage de supprimer de nouveaux postes. Parmi les plus menacés : des salariés de longue date qui s'estiment déconsidérés depuis plusieurs années.

    "On incarne un récit, l'histoire du parti, et c'est précisément ce dont ils ne veulent plus entendre parler." Comme plusieurs de ses collègues qui dénoncent les conditions de leur licenciement dans une lettre adressée lundi 1er février à franceinfo, Eric* sait que ses jours au sein du Parti socialiste sont comptés. La semaine dernière, le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a officiellement annoncé aux salariés et au bureau national la suppression de 11 postes de permanents pour des raisons budgétaires. Une nouvelle coupe après la suppression de 55 postes lors d'un plan social signé fin 2017, consécutif à la double débâcle des élections présidentielle et législatives.

    Marianne - Parti socialiste: l'effondrement, saison 2

    Malgré des municipales réussies et un certain renouveau idéologique, le parti de la rose vient d'être brutalement rappelé à son statut, mineur, par toute une série de déconvenues.

    Une averse subite qui coupe court à l'éclaircie. Ces derniers mois, les derniers caciques du Parti socialiste, toujours sous le choc de sa relégation express au rang de mastodonte en déclin depuis la déroute de l'élection présidentielle en 2017, se plaisaient à relever çà et là les indices d'un retour en verve. Il y avait eu les municipales de juillet, une surprise plaisante pour la vieille maison socialiste parvenue à conserver les clés de plusieurs bastions emblématiques (Paris, Lille, Nantes, Rennes, Rouen, Clermont-Ferrand, Dijon…) tout en réussissant des conquêtes inattendues (Montpellier, Nancy, Saint-Denis). Quoiqu’éclipsé par les spectaculaires victoires écologistes, ce résultat avait réellement redonné du baume au cœur des sociaux-démocrates, qui se disaient qu'ils n'avaient peut-être pas tout perdu : faute d'être un poids lourd de la vie politique française, le PS demeurait au moins un solide parti d'élus locaux.

    COVID

    Alternatives Economiques, Martin Anota - Covid-19 : faut-il fermer les écoles ?

    Au printemps dernier, beaucoup gouvernements à travers le monde se sont résolus à fermer les écoles pour freiner la propagation de la pandémie de Covid-19 et éviter de surcharger davantage le système hospitalier. Environ 1,5 milliard d’élèves s'étaient alors retrouvés chez eux, privés de l’accès physique à leur établissement scolaire. Ces derniers mois, notamment en France, les autorités ont pu chercher à endiguer les nouvelles vagues épidémiques en maintenant les écoles ouvertes, en partant du principe que les enfants sont peu contagieux, donc qu’une fermeture des écoles n’a guère d’avantages significatifs sur le plan sanitaire. Aujourd'hui, avec la perspective d’un reconfinement pour contenir la nouvelle accélération des contaminations, il y a de nouveau débat sur le maintien de l’ouverture des établissements scolaires

    CLIMAT

    France Info - "Affaire du siècle" : l’État condamné à verser un euro symbolique à quatre associations en réparation de leur préjudice moral

    Le tribunal donne deux mois au gouvernement avant de se prononcer sur l’injonction à agir demandée par les associations. "L'inaction climatique de l'État est jugée illégale", se réjouit Greenpeace.

    Le tribunal administratif de Paris a condamné l’État à verser un euro symbolique à quatre associations, pour ne pas avoir tenu ses engagements en matière de réduction des gaz à effet de serre. Les juges ont rendu leur décision mercredi 3 février, près de trois semaines après l’audience de "l’Affaire du siècle""À hauteur des engagements qu'il avait pris et qu'il n'a pas respectés dans le cadre du premier budget carbone, l'État doit être regardé comme responsable (...) d'une partie du préjudice écologique constaté", ont tranché les juges.

    POPULISME

    Mr Mondialisation - Populisme et Néolibéralisme : « Les deux faces d’une même pièce »

    Dans son dernier ouvrage : Populisme et Néolibéralisme, l’économiste David Cayla cherche à faire la connexion entre ces deux phénomènes mondiaux que tout semble opposer mais qui ne sont, en réalité, que « les deux faces d’une même pièce ». Entretien.

    C’est un habitué de nos colonnes que nous retrouvons aujourd’hui pour nous parler de son dernier livre. Nous avions déjà rencontré l’auteur à deux reprises. La première fois, c’était pour la publication de L’Economie du réel, un ouvrage brillant dans lequel David Cayla s’attelait à détricoter les grands principes du néolibéralisme. La seconde fois, c’était en compagnie de la regrettée Coralie Delaume. L’occasion d’analyser ensemble les failles de l’Union européenne.

    SYNDICALISME

    À propos de : Chappe, Denis, Guillaume, Pochic, La fin des discriminations syndicales ? Luttes judiciaires et pratiques négociées, Croquant

    De militant, le syndicalisme semble se transformer en expertise. L’étude de l’évolution du traitement des discriminations syndicales révèle les fortes mutations du syndicalisme aujourd’hui, comme le montre une étude collective.

    Passée de la défense du syndicalisme à celle des syndicalistes, la législation française semble s’être par la suite concentrée sur la reconnaissance du contenu de l’activité syndicale afin de diminuer l’impact de la discrimination au sein des organisations publiques ou privées. Les lois de 2008 sur la représentativité syndicale

    et de 2015 sur le dialogue social ont interdit « à l’employeur de prendre en considération l’appartenance à un syndicat ou l’exercice d’une activité syndicale pour arrêter ses décisions en matière notamment de recrutement, de conduite et de répartition du travail, de formation professionnelle, d’avancement, de rémunération et d’octroi d’avantages sociaux, de mesures de discipline et de rupture du contrat de travail ». L’ouvrage de Vincent-Arnaud Chappe, Jean-Michel Denis, Cécile Guillaume et Sophie Pochic met en évidence l’évolution de cette reconnaissance de la discrimination syndicale qui s’est transformée en une reconnaissance individuelle des compétences. Le syndicalisme serait alors passé du militantisme à l’expertise. Celui-ci porte en germe un syndicalisme qui agit comme conseiller juridique et technique, mais qui ne porte plus de projet de société.

    ECONOMIE

    OFCE - Mesures d’urgence, revenus et épargne : une analyse du choc sur les ménages

    La pandémie de Covid-19 a provoqué la plus forte récession depuis la Seconde Guerre mondiale et fortement dégradé la situation des agents économiques. Pour autant, une partie du choc de revenu a été compensée par le soutien des mesures budgétaires prises tout au long de l’année 2020 (voir ici[1]). Pour les ménages européens, le soutien est essentiellement venu de la mise en place de l’activité partielle. Aux États-Unis, l’emploi ne fut pas protégé si bien que les fluctuations du taux de chômage ont été plus rapides et plus importantes. Pour autant, les ménages ont pu bénéficier de transferts budgétaires additionnels. L’impact de la crise et les mesures prises pour l’endiguer ont eu une incidence sur le revenu disponible des ménages mais également sur sa composition. À court terme, tant que la consommation reste en partie empêchée, il en résulte une accumulation d’épargne exceptionnelle dont la mobilisation sera certainement un facteur clé pour la reprise une fois que l’épidémie aura été totalement maîtrisée.

    TRAVAIL

    Le vent se lève - Pour la reconnaissance du travail hors de l’emploi

    Longtemps, une partie de la gauche a cherché à mobiliser autour de la défense de services publics forts et de la justice fiscale. Les récentes défaites citoyennes, politiques et syndicales doivent nous interpeller : malgré la forte mobilisation qu’ont pu susciter tant l’opposition à la réforme des retraites que le mouvement des gilets jaunes ou la grève des cheminots en 2018, ces combats se sont soldés par des défaites. Dès lors, comment analyser ces mouvements sociaux et rebâtir un discours à même de fournir une grille d’interprétation générale, un projet capable de susciter l’adhésion ? Gageons ici que l’enjeu central est le renversement du cœur de nos revendications, qui acceptent à tort de se situer sur le terrain imposé par la classe dominante, à l’origine des réformes. Tout discours émancipateur doit impérativement réinvestir les questions centrales du travail et de l’investissement.

    GAMESTOP

    Alternatives Economiques, Jean Lagrange - La manie GameStop marque-t-elle la «Révolution Française de la finance»?

    Pour paraphraser les propos de Steve Cohen, gérant d’un hedge fund américain[1], par ailleurs propriétaire du club de baseball des Mets de New York, ce qu’il convient désormais d’appeler « l’affaire » GameStop constitue une révolution dans le cercle – d’habitude fermé – de la finance. Explications.

    Mouvement né sur Reddit, la manie GameStop est une réponse à peine croyable de la multitude face aux provocations du monde financier, épaulée par les porte-étendards d’anciennes entreprises clouées au pilori (Nokia, Blackberry, Klepierre, AMC).

  • France Culture - Face aux crises, comment les villes se réinventent-elles ?

    Proximité, bien-être, écologie... Face aux crises, les villes se réinventent. Carlos Moreno, professeur des Universités, et Ariella Masboungi - architecte-urbaniste, Grand Prix de l’urbanisme 2016 - sont nos invités pour en parler.

  • Libé - Equateur : la surprise Yaku Pérez à la présidentielle

    Le candidat écologiste et indigène a rassemblé près de 20% des voix lors du scrutin de dimanche. Mais il faut attendre la fin du dépouillement pour savoir s’il affrontera au second tour, le 11 avril, le socialiste Andrés Arauz, arrivé largement en tête.... La deuxième place de Yaku Pérez a provoqué la stupeur dans le pays. A la fermeture des bureaux de vote, dimanche soir, les sondages de sorties des urnes avaient crédité Arauz de 34,9% à 36,2% des voix, plaçant Lasso deuxième entre 21% et 21,7% et Pérez troisième entre 16,7% et 18%. 
     
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  • Charlie Hebdo - Vaccins : le magnifique plantage de la Commission européenne, Jacques Littauer · Mis en ligne le 4 février 2021

    Pour Ursula van der Leyen et Emmanuel Macron, le Covid était l’occasion rêvée de démontrer l’efficacité de l’Union européenne pour les citoyens. Mais rien ne s’est passé comme prévu, et, aujourd’hui, c’est Bruxelles qui pleure, et Boris Johnson qui boit du petit lait dans son tea.

    Le labo anglo-suédois AstraZeneca, dont le produit devait être « le vaccin de masse pour le premier trimestre 2021 », n’a finalement pu garantir que 25 % des plus de 100 millions de doses promises à la Commission européenne. Bien sûr, la Commission accuse le labo de favoriser le Royaume-Uni. Mais la réalité est plus simple : c’est Bruxelles qui a très mal négocié.

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