Le clip « Frères d’armes » est la mise en lumière de cette rencontre incroyable entre des milliers d’hospitaliers mobilisés contre le COVID-19, à Lyon comme ailleurs, et la population, si sensible à cette mobilisation
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Telos - Le coronavirus tuerait-il le populisme en Italie ? Marc Lazar 19 mars 2020
Laurence Morel vient de publier sur Telos un article fort intéressant qui développe la thèse séduisante selon laquelle le coronavirus pourrait enrayer la progression des populistes, et singulièrement de la Ligue. En effet, explique-t-elle, l’Italie ferait preuve de cohésion nationale face à l’épidémie, affronterait avec courage ce fléau qui la ravage au lieu de céder aux sirènes de la peur, tandis que, dans la lignée du mouvement des Sardines, elle ferait preuve de sens civique et rejetterait l’anti-politique pour mieux se réapproprier la « grande politique ». « Solidarité, fraternité, rationalité, compétence, confiance, civisme, participation : telles sont les valeurs qui semblent ainsi émerger au début de cette crise du coronavirus en Italie, et font soudain ressembler le populisme à une farce sinistre », écrit-elle. Cette thèse non dénuée de fondements nous semble trop irénique, idéaliste et optimiste
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Telos - Et si le coronavirus avait raison du populisme? Réflexions à partir de l’Italie, Laurence Morel
À première vue, le coronavirus semble la confirmation éclatante des thèses défendues par les populistes, du moins ceux de droite (de loin les plus nombreux). La pandémie qui s’est installée en un temps record sur la planète serait la démonstration des méfaits de l’ouverture des frontières et de l’incurie des élites. Le virus est le migrant par excellence, la parabole de l’ennemi extérieur, insidieux et destructeur. Le populisme devrait donc sortir renforcé de cette crise sanitaire, voire en être le grand gagnant.
Rien n’est moins sûr. Ce que montre aujourd’hui l’Italie, encore une fois et bien malgré elle laboratoire politique pour ses voisins européens, est que le populisme, qu’il soit de gauche ou de droite, pourrait au contraire figurer parmi les victimes du coronavirus. À y regarder de près, on ne peut en effet qu’être frappé par la manière dont il met à mal toute la rhétorique populiste.
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La vie des idées - Dossier : Les visages de la pandémie
Covid-19, chronique d’une émergence annoncéeCe texte est tiré de la conférence prononcée par Philippe Sansonetti au Collège de France le 16 mars 2020Qu’est-ce que Covid-19 et le coronavirus ? Quels sont les paramètres, les causes, les effets de cette maladie ? Quelles perspectives à court et à long terme ? Spécialiste des maladies infectieuses, Philippe Sansonetti explique pourquoi le sort de l’épidémie est entre nos mains.Covid-19 est un fléau ; il est urgent et vital pour notre société de s’en convaincre. Il n’est pas trop tard, mais le temps presse.
C’est la troisième émergence d’un coronavirus en moins de vingt ans. Il y a eu le SRAS en 2003, le MERS en 2012, et maintenant le Covid-19 (Corona virus Disease). À chacun de ces épisodes, on s’est inquiété, puis rassuré, et pas grand-chose n’est arrivé ensuite pour prévoir et anticiper, en termes de thérapeutique et de vaccin. Aujourd’hui, en l’absence de traitement et de vaccin, l’évolution de cette épidémie est entre nos mains.
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Christophe Bouillaud -(Ir)responsables et (In)compétents
La division du travail politique, autrement dit le fait qu’il y ait des personnes spécialement désignées dans la société pour la gouverner et que le gouvernement ne soit pas au jour le jour l’affaire de tous à tout moment, suppose l’existence au sein de la société de personnes qui soient à la fois plus responsables et plus compétentes pour le faire que n’importe quel quidam de cette même société choisi au hasard. C’est le postulat fondamental de tout ordre politique dans les sociétés de grande taille. La méthode de choix (qu’elle s’appuie sur la raison humaine ou sur un choix d’une puissance supérieure) importe finalement peu de ce point de vue tant qu’elle suppose une qualité spécifique des personnes désignées pour gouverner.
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HCL - « Frères d’armes » : l’histoire d’une belle histoire…
Le clip « Frères d’armes » est la mise en lumière de cette rencontre incroyable entre des milliers d’hospitaliers mobilisés contre le COVID-19 et la population.
Depuis le début de la crise épidémique, les personnels hospitaliers se battent chaque jour, chaque nuit, pour combattre le Covid-19. Et aux Hospices Civils de Lyon, comme partout en France, nous sommes soutenus par l’ensemble de la population.
Nous recevons tous les jours des milliers de témoignages de soutien, des centaines de dons, venant de particuliers ou de professionnels qui veulent aider, apporter leur contribution à cette lutte contre la maladie.
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Libé - La réunification de l’archipel français Par Alain Duhamel
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En redressement judiciaire, l’usine Famar Lyon en pole position pour la fabrication de chloroquine
Publié le , mis à jour le 25/03/2020 À 18H27
[ACTUALISÉ] Seule habilitée à produire de la nivaquine (chloroquine) pour Sanofi pour le marché français, l’usine Famar Lyon est dans l’expectative. Mais cette production est liée à la fourniture d’un principe actif en provenance d’Inde.
Seul site à pouvoir produire la chloroquine commercialisée sur le marché français sous le nom de Nivaquine par Sanofi, l’usine de Saint-Genis-Laval (Métropole de Lyon) du façonnier grec Famar attend avec impatience les résultats de travaux menés à l’étranger sur l'utilisation de cette molécule pour lutter contre le Covid-19.
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Gauche Actus du 13 au 19 mars
CORONAVIRUS
La Vie des idées - Les visages de la pandémie
De la pandémie Covid-19, nous semblons peiner à prendre la mesure. Son arrivée est soudaine, ses effets incertains et ses conséquences à long terme encore imprévisibles. La Vie des Idées rassemble un ensemble de textes sur les épidémies qui en explorent les multiples facettes.
La pandémie qui nous affecte bouleverse nos habitudes, nos modes de vie, nos certitudes. Elle dérange nos activités quotidiennes et suspend, pour un temps, nos projets. Elle nous fait également sentir, à des degrés divers cependant, notre vulnérabilité. Toutes les dimensions de nos existences sont touchées : l’activité économique est menacée, les relations sociales sont configurées, la vie culturelle est pour une part suspendue, les loisirs même s’en ressentent.
Libé - Face au bâtiment, le gouvernement rompt l'union sacrée
La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a accusé ce jeudi les entreprises de BTP et leurs fédérations de «défaitisme». Une attaque en rupture avec le climat d'union nationale, qui s'explique aussi par le coût pour l"Etat du chômage partiel appliqué au premier employeur privé de France.
Huffington Post - Agnès Buzyn livre des confessions accablantes sur le coronavirus
Dans un entretien au "Monde", l'ex-ministre de la Santé qualifie de "mascarade" la tenue des élections municipales.
Une ex-ministre de la Santé devrait-elle dire ça? Quoi qu’il en soit, les confessions faites par Agnès Buzyn auprès du journal Le Monde ce mardi 17 mars sont particulièrement explosives en pleine crise du coronavirus, contre laquelle Emmanuel Macron a déclaré une “guerre sanitaire”.
Et pour cause. Celle qui a remplacé Benjamin Griveaux pour porter les couleurs LREM lors des élections municipales à Paris affirme qu’elle était parfaitement au courant de l’ampleur que prendrait l’épidémie du covid-19, ce qui ne l’a pas empêché de démissionner afin de briguer le siège occupé par Anne Hidalgo. En creux, elle admet avoir menti aux électeurs lorsqu’elle affirmait avoir fait de la conquête de la capitale sa priorité et assure qu’elle avait prévenu Emmanuel Macron et Édouard Philippe dès le mois de janvier de la catastrophe sanitaire qui se profilait.
Marianne - Marchés financiers et coronavirus : fermons les bourses, et vite !
Sous perfusion de l'Etat depuis quelques jours en raison de l'épidémie de coronavirus, l’économie de marché est sortie de son cadre de fonctionnement normal. Dans un tel contexte, laisser ouverts des marchés boursiers qui ne cessent de perdre de la valeur est une pure folie. Fermons-les, et vite !
Face au risque croissant d’un fort coût économique de l’épidémie de coronavirus, la Réserve fédérale a décidé, le 3 mars, de baisser son taux directeur d’un demi-point. Cette décision a été prise lors d’une réunion extraordinaire du Comité de politique monétaire (FOMC). Au-delà de l’effet escompté sur les conditions de financement, la décision de la banque centrale envoie aux marchés le signal de sa détermination à mettre en œuvre tous les moyens dont elle dispose pour amortir la baisse prévisible de la croissance américaine. La Réserve fédérale espérait également sans doute calmer la tempête boursière ; l’indice Dow Jones ayant baissé de 13 % la semaine précédant la décision. Sous l’hypothèse que le prix des actifs financiers cotés reflète toute l’information disponible, la variation de l’indice Dow Jones, à la suite de l’annonce de la Réserve fédérale, nous renseigne sur l’interprétation que les marchés ont faite de cette annonce de baisse des taux.
MUNICIPALES
Observatoire des inégalités - Comment les maires peuvent réduire les inégalités
Analyses 9 mars 2020
Les marges de manœuvre des maires sont réduites en matière de redistribution des revenus. Pourtant, du logement à la petite enfance, leur action a un impact essentiel sur les inégalités. L’analyse de Noam Leandri et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités.
Les communes fournissent un ensemble de services publics de base indispensables à leurs habitants : entretien des écoles, de la voirie, gestion de l’état civil, etc. Elles vont bien au-delà – parfois en agissant à un niveau intercommunal [1] – et disposent de nombreux instruments d’action pour améliorer la qualité de vie et réduire les inégalités dans des domaines essentiels. Les maires ont de quoi mener des politiques ambitieuses dans ce domaine. Encore faut-il qu’ils s’en saisissent.
Quoiqu’on en pense du localisme et a fortiori dans le climat de décomposition politique actuel, les élections municipales à Paris ont toujours un parfum de national. Mais alors que la bataille fait rage dans la capitale, les principales listes écologistes et de gauche viennent de s’engager peu ou prou sur un texte d’engagements communs, le Pacte pour la Transition, ses trois principes et 32 mesures définis nationalement et portés localement par un collectif d’habitants et d’associations. Ce moment parisien est-il le signal d’un glissement politique ?
Les élections municipales à Paris ont toujours un parfum de national. Bien entendu, cette majorité comme toutes les autres affirmera qu’il s’agit d’un scrutin local qui ne vient pas sanctionner une politique nationale et/ou que de toute façon, la majorité en place est toujours sanctionnée aux élections locales, ce qui n’est effectivement pas loin d’être vrai : l’effondrement du Parti Socialiste entre 2012 et 2017 à toutes les échelles et élections territoriales en est l’exemple le plus spectaculaire et significatif.
De quelques évolutions inquiétantes de la démocratie localeAlors que la représentation démocratique connaît une grave crise de confiance au niveau national et que se développe l’intercommunalité qui prive les maires d’une partie de leur pouvoir, la démocratie locale pâtit des lois de décentralisation.
Le grand débat national, en réponse à une mobilisation des gilets jaunes aux allures de crise de régime, a donné l’occasion de réactiver une vieille antienne. En confiant aux maires les cahiers de doléances et les débats locaux, c’est la figure de la commune comme (dernier ?) bastion de notre démocratie qui semblait appelée à la rescousse. Le président du Sénat, qui ne cessait de faire des maires l’ultime « corps intermédiaire », l’a encore martelé lors de ses vœux récents à la presse : « Aujourd’hui, la défiance se manifeste vis-à-vis tant des élites, des politiques que des médias. Seuls les maires échappent à cette grande interrogation de la confiance »
Trois synthèses de bonne facture pour mieux comprendre un scrutin incertain, dans un contexte qui pose la question de la survie de la démocratie locale.
Les élections municipales de mars 2020 ont lieu dans un contexte à bien des égards inédit. Epreuve de vérité pour un gouvernement et un président de la République aux « antennes » locales très peu implantées, à quelques exceptions près (Le Havre pour le Premier Ministre Edouard Philippe, Tourcoing pour le Ministre des Comptes publics Gérald Darmanin…), enjeu de « relance » voire de « défense des acquis » pour les partis de « l’ancien monde » (LR et PS au premier chef) et scrutin « de conquête » tant pour les écologistes (qui ne comptent depuis 2014 que Grenoble dans les grandes villes qu’ils gouvernent, hors coalition avec les socialistes) que pour le Rassemblement national (RN), ce dernier espérant engranger d’autres villes plus importantes (Perpignan ? ) après celles gagnées il y a six ans (Fréjus, Béziers, Hénin-Beaumont, Hayange…).
La Vie des idées, le 12 mars - L’action publique en campagne
Le transfert de compétences aux communes et aux établissements intercommunaux a donné une acuité aux enjeux d’action publique locale. Mais comment en débattre dans le cadre d’une campagne municipale ?
Les élections municipales, comme tout scrutin, voient se confronter différents programmes, portés par chacune des listes en course. Le contenu de cette offre programmatique peut cependant être très variable, de l’affichage de grandes valeurs aux propositions d’action concrète en passant par des engagements chiffrés. Le renforcement des responsabilités des communes et groupements intercommunaux, au gré des différents « actes » de décentralisation, donne en tout cas matière à une mise en débat des orientations à prendre et des actions à mener, que ce soit en matière de services de proximité, d’aménagement urbain, de logement ou de transports mais aussi d’action sociale, d’éducation, de culture... A priori, les sujets de controverses et de disputes ne manquent pas
Plusieurs communes tentent de s’affranchir des grandes entreprises de restauration collective, en lançant leur propre production agricole en bio. Elles inventent un nouveau statut : « Paysan-fonctionnaire. » Reportage.
Nichée dans le centre-ville de Vannes, la crèche Richemont ressemble à n’importe quelle autre : des mini-toboggans en plastique et des dessins sur les murs, des bacs de surchaussures hygiéniques à l’entrée, et ces couleurs chaudes qui dégagent une ambiance rassurante. Mais, ici, les parents qui défilent sont particulièrement sereins : « Quand je viens récupérer ma fille, je sais qu’elle a mangé des produits frais et sains, témoigne Laëtitia, mère d’une fillette de deux ans et demi. Elle en découvre même que je ne cuisine jamais, comme le butternut ou le fenouil… C’est une formidable initiation à la nature et à la saisonnalité. »
INEGALITES
Entretiens 10 mars 2020
Selon les villes, la forme que prennent les inégalités de revenus ne sont pas les mêmes. Des inégalités peuvent aussi signifier de la mixité sociale. Les explications de Hervé Guéry, directeur du Compas, spécialiste de l’analyse des données sociales locales.
Comment expliquer qu’au palmarès des inégalités on retrouve côte à côte Roubaix et Paris ?
La question de l’instrument de mesure est essentielle. L’indice de Gini [1] est un outil performant mais il ne tient pas compte du type de distribution des revenus sur le territoire concerné. Un même indice peut signifier une répartition très différente des revenus, des inégalités par le haut ou par le bas. Entre Roubaix et Paris, voire Neuilly-sur-Seine, il n’est pas besoin d’être un spécialiste pour comprendre que le terme « inégalités » n’a pas du tout le même sens. A Neuilly, nous avons une inégalité de revenus avec très peu (s’ils existent !) de ménages à faible niveau de vie. Les inégalités se mesurent entre ménages aisés, si l’on compare à la distribution des revenus nationale. A Roubaix, nous observons un même résultat, mais avec des niveaux de vie qui sont très faibles au regard de la situation nationale. A Neuilly, l’indice de Gini décrit une inégalité de revenus au sein de la commune entre ménages aisés. A Roubaix, nous sommes dans une situation inverse avec un niveau de grande pauvreté très élevé. Paris ressemble plus à Neuilly qu’à Roubaix évidemment, mais avec moins de très très riches.
BIDEN
Le Vent se lève - Joe Biden : l’establishment démocrate contre-attaque
Défait dans les trois premiers États, Joe Biden a réalisé après la Caroline du Sud un retour en force historique. Celui-ci n’a été possible que grâce à une spectaculaire consolidation-éclair de l’establishment démocrate dans toutes ses composantes (économique, médiatique et politique). Bernie Sanders avait jusqu’alors la dynamique pour lui. Il est dorénavant dans la position inconfortable du challenger. Par Politicoboy et Clément Pairot.
« Nous sommes bien vivants ! ». Lui-même en est estomaqué. Le soir du Super Tuesday, Joe Biden a laissé éclater sa joie dans un discours triomphal où, après avoir confondu son épouse avec sa sœur, il déclare : « on nous disait fini, mais ce soir il semblerait que ce soit l’autre personne [Bernie Sanders, ndlr] qui le soit ! ». Les milliards de Bloomberg et les imposantes infrastructures militantes mises en place par Sanders et Warren n’ont rien pu faire face au tsunami Biden, déjouant de nombreuses certitudes.
GREEN NEW DEAL
Bernie Sanders comme Joe Biden, les deux principaux candidats démocrates à l’investiture pour affronter Donald Trump en novembre, soutiennent le « Green New Deal ». Avec cependant quelques nuances. Décryptage d’un plan qui pourrait changer en profondeur les États-Unis et... contribuer à sauver la planète.
C’est l’une des propositions phares de la gauche américaine. Le Green New Deal place l’écologie et la crise climatique au cœur des débats de la primaire démocrate. Suite au Super Tuesday – quatorze États américains ont voté ce 3 mars –, les enjeux sont encore plus élevés. Le plus fervent partisan de ce Green New Deal, Bernie Sanders, talonne le favori, l’ancien vice-président Joe Biden, dans la quête à l’investiture pour affronter Donald Trump à l’élection présidentielle de novembre. Si le Sénateur du Vermont parvient à devancer son rival dans les semaines qui viennent – 60 % des délégués sont toujours en jeu –, ce Green New Deal pourrait constituer l’armature du programme politique démocrate.
BAS CARBONE
Environnement Magazine - Fermes « bas-carbone » : 391 élevages labellisés
Lors de sa visite au Salon de l’agriculture, Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, a indiqué que près de 400 éleveurs laitiers étaient d’ores-et-déjà labellisés « bas-carbone ».
Gagner de l’argent en diminuant ses émissions carbone. C’est le principe du "label bas-carbone" créé par le ministère de la Transition écologique et solidaire, avec la collaboration de l’Institut de l’Economie pour le Climat (I4CE). Cette certification permet aux fermes labellisées pour leurs efforts en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre de vendre des crédits aux entreprises ou encore aux institutions qui souhaitent compenser leurs propres émissions. Aujourd’hui, 391 éleveurs dans 54 départements ont déjà obtenu la certification. -
Une novlangue économique pour esquiver les vraies questions [Jean-Paul Fitoussi]
Xerfi Canal a reçu Jean-Paul Fitoussi, professeur émérite à Sciences Po, Paris et professeur à l'Université Luiss de Rome, pour parler d'une novlangue économique Une interview menée par Adrien de Tricornot
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Le JDD - Le sénateur PS Rachid Temal : "Nous avons demandé une commission d’enquête sur le coronavirus"
INTERVIEW - Une commission d'enquête sur le coronavirus et la gestion de la pandémie sera créée au Sénat, "dans un esprit transpartisan avec tous les groupes et notamment les sénateurs LR, une fois la crise passée", annonce le sénateur PS du Val d'Oise Rachid Temal.
Le sénateur PS Rachid Temal annonce dans le JDD la création d'une commission d'enquête sur le coronavirus et la gestion de la pandémie : "Cette commission se fera dans un esprit transpartisan avec tous les groupes et notamment les sénateurs LR, une fois la crise passée. Cette commission ne veut pas dire que nous sommes dans une logique de défiance vis-à-vis d’Emmanuel Macron. Nous n’avons aucun compte à régler mais la transparence devra être faite car des questions se posent", explique-t-il.
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