Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • Pour le PS, "l'étape essentielle, c'est les municipales"

    Gabrielle Siry, porte-parole du PS, a expliqué vendredi sur Europe 1 que les municipales allaient permettre de montrer à quel point le Parti socialiste conserve un ancrage local fort.

  • Le meilleur de 2018/19 - Gauvain Sers - Les oubliés (Episode 2 : l'école de Ponthoile revit le temps d'une journée)

    L’école de Ponthoile qui a inspiré la chanson ‘Les Oubliés’ a rouvert ses portes le temps d’une journée. C'était l’occasion de rendre visite aux anciens élèves et d’organiser quelques activités pour faire revivre ce lieu. Un moment tant enrichissant qu'émouvant .

  • Le meilleur de 2018/19 - Arte - L'homme a mangé la Terre, un film de Jean-Robert Viallet

    De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.

    Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.

    Liaisons dangereuses

    En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.

    Un film de Jean-Robert Viallet à voir sur Arte, le site web

    Disponible du 23/04/2019 au 29/08/2019

  • L'Ethiopie plante quatre milliards d’arbres en six mois

    Le 29 juillet 2019, le chef du gouvernement d’Ethiopie, Abiy Ahmed, a lancé une journée de mobilisation nationale pour planter des arbres. Trois cent cinquante-trois millions d’arbres ont ainsi été plantés en une seule journée, ce qui constituerait un record du monde.

    Mais il n’est pas réellement question d’entrer dans le Guinness Book. Cette journée a en effet été organisée dans le cadre d’un plan plus ambitieux pour la reforestation du pays : Abiy Ahmed souhaite planter quatre milliards d’arbres entre mai et octobre 2019.

    Si le pays s’est lancé dans un tel projet, c’est avant tout à cause de la déforestation massive dont il a fait l’objet au cours du vingtième siècle. Une déforestation qui a accentué l’érosion des sols et les sécheresses, qui touchent aujourd’hui très durement le pays.

    Cependant, cette action écologique hors norme est sujette à plusieurs critiques. Des opposants au premier ministre dénoncent une opération de communication politique visant à détourner l’attention d’autres problèmes, comme les conflits ethniques. La presse locale souligne par ailleurs le manque d’entretien chronique des forêts. En effet, 70 à 80 % des arbres plantés en Ethiopie entre 2000 et 2015 n’ont pas subsisté.

  • Le meilleur de 2018/2019 - Gilets jaunes : la démocratie en danger ? [Dominique Schnapper]

    Xerfi Canal a reçu Dominique Schnapper, sociologue et politologue, membre honoraire du Conseil constitutionnel, pour parler des gilets jaunes et de la démocratie. Une interview menée par Adrien de Tricornot.

  • CETA : Gabrielle Siry estime que c'est "une forme d'absurdité de conclure des traités de libre-échange…

  • Le meilleur de 2018/2019 - Voici pourquoi il faut augmenter les salaires en France !

    La fiche de paye est au coeur des préoccupations des gilets jaunes. A tort ou à raison ? Assiste-t-on vraiment à une stagnation des salaires depuis 10 ans ? Quels pourraient être les effets pervers d'une revalorisation, notamment en terme de compétitivité et de chômage ? L'analyse de Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE. Ecorama du 29 janvier 2019, présenté par David Jacquot sur boursorama.com

  • Le meilleur de 2018/2019 - Gaël Giraud - L'effet "reine rouge"

    Conférence de Gaël Giraud, Chef économiste de l'Agence Française de Développement (AFD). Titre : L'effet "reine rouge" : l’économie face aux contraintes physiques et énergétiques d’un monde aux dimensions finies. Résumé : Il s'agira d'exposer quelques uns des enjeux d'une réinscription de l'économie dans le cadre général posé par les contraintes matérielles et thermodynamiques, macro-économiques et historiques. Gaël Giraud discutera l'intérêt de ces enjeux pour le développement durable et la contribution de la France à l'Aide publique au développement. Conférence donnée le 8 novembre 2018 à Grenoble dans le cadre du cycle "Grands séminaires ISTerre". Conférence organisée par l'Institut des Sciences de la Terre de Grenoble (ISTerre). Montage et diffusion en collaboration avec l'équipe STEEP et le cycle de conférences "Comprendre et Agir"

  • La Croix - Climat : le rapport du GIEC en cinq chiffres

    Le Groupe International d’Experts sur l’Évolution du Climat (Giec) a rendu public, jeudi 8 août, un rapport spécial sur l’utilisation des terres. Ses conclusions préconisent une réforme profonde du système alimentaire pour répondre à la crise climatique.

  • Le meilleur de 2018/2019 - La Tribune - Le Grand débat national, une occasion de changer de voie, Par Dominique Méda, Eric Heyer et Pascal Lokiec

    Les enquêtes d’opinion mettent en évidence l’impérieuse nécessité de changer de voie, tant celle qui a été suivie depuis plus de trente ans s’apparente à une impasse. Par Dominique Méda, Université Paris Dauphine – PSL; Eric Heyer, Sciences Po – USPC et Pascal Lokiec, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

    De nombreux commentateurs ont mis en évidence les fortes limites dans lesquelles le président de la République avait encadré le « Grand débat », notamment en écrivant, dans la Lettre aux Français :

    « Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d'encourager l'investissement et faire que le travail paie davantage. »

    Ces limites risquent néanmoins de ne pas être respectées alors que les enquêtes d'opinion mettent en évidence l'impérieuse nécessité de changer de voie, tant celle qui a été suivie depuis plus de trente ans s'apparente à une impasse.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le meilleur de 2018/2019 - La vie des idées - Sentiment d’injustice et révolte sociale par Pierre Merle

    Quelles que soient les causes structurelles, ce sont deux éléments ponctuels qui ont, selon le sociologue Pierre Merle, alimenté le sentiment d’injustice et déclenché la révolte des gilets jaunes : l’inéquité fiscale et l’inadéquation écologique.

    Les analyses du mouvement de protestation des gilets jaunes sont multiples. Certaines approches sont structurelles et ont pour projet de montrer que ce mouvement de protestation était en germe depuis plusieurs années, voire des décennies. Cette contribution privilégie une autre temporalité. Elle a pour objet de comprendre pourquoi les protestations des gilets jaunes ont émergé spécifiquement en cette fin d’année 2018. Les pratiques de pouvoir de l’actuel gouvernement ont été suffisamment analysées – spécifiquement les « petites phrases » du président – pour qu’il ne soit plus utile de les présenter. Par contre, les politiques socio-fiscales mises en œuvre et leur inadéquation à la question de la transition écologique constituent deux ruptures qui ont largement contribué à l’émergence d’un mouvement social inédit par son ampleur et sa durée.

    Lire la suite
    __________________
    __________________