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  • Non Fiction - Vers un Etat providence européen ? Entretien avec Xavier Ragot

    Xavier Ragot, Président de l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques, vient de faire paraître Civiliser le capitalisme . Il y insiste sur la forte divergence des économies européennes depuis l’instauration de l’euro et sur le besoin de procéder aux ajustements nécessaires d’une manière et à un rythme qui soient politiquement acceptables. Il plaide parallèlement, afin de renforcer la zone euro, pour le développement d’un Etat providence européen et, en premier lieu, en faveur d’une assurance chômage européenne. A la veille des élections européennes, Xavier Ragot apporte donc sa contribution au débat européen, en espérant que celui-ci puisse se porter sur des enjeux véritables. Il a accepté de répondre à quelques questions pour présenter son livre à nos lecteurs.

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  • Le Talk d'Olivier Faure: « Raphaël Glucksmann est l’homme idoine pour cette élection »

  • France Inter - Raphaël Glucksmann : "Avec l'écologie politique, il faut réhabiliter la logique redistributive"

    Raphaël Glucksmann, tête de liste "Envie d’Europe" (Place publique/PS/Nouvelle donne) aux élections européennes est l'invité du Grand entretien à 8h20.

  • Fondation Jean Jaurès - Militance sociale et engagement politique au Brésil aujourd’hui

    La militante brésilienne des droits humains et LGBT Marielle Franco, conseillère municipale de Rio de Janeiro, a été assassinée le 14 mars 2018. Un an plus tard, celle qui fut sa conseillère et qui est aujourd’hui députée de l’État de Rio de Janeiro, Mônica Francisco, revient sur l’engagement politique de Marielle Franco, leur collaboration et son assassinat, lors d’un entretien avec Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Plan de relance Macron : tout ça pour ça ? [Olivier Passet]

    Après le grand débat, et les grandes lignes d’action dressées par Emmanuel Macron, la balle est dans le camp de l’exécutif. Il est certes prématuré de faire un bilan d’un processus, qui va s’étirer dans le temps, qui peut se perdre en chemin, être rattrapé par la conjoncture, ou une actualité massive. [...]

  • Jean Gadrey - Voulez-vous préserver l’environnement OU la croissance et l’emploi ? Une question trompeuse de l’enquête sur les valeurs des Européens 

    Je pourrais me contenter d’afficher une relative satisfaction quant aux réponses enregistrées à cette question, dont je préciserai l’énoncé un peu plus loin. Voici le commentaire du Monde du 25 avril 2019, sous la plume de deux chercheurs à Sciences Po Grenoble : « 50 % [des Français.e.s] privilégie la protection de l’environnement au détriment de l’économie et de l’emploi. Seulement un tiers choisit l’économie ». Pour information, la préférence pour l’environnement est plus forte dans l’électorat de gauche que dans celui de droite et surtout d’extrême-droite, mais même dans ces deux derniers cas, les choses sont plus équilibrées qu’on pourrait le penser a priori.

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  • La Croix - Glucksmann et Hidalgo affichent leur entente sur les berges de la Seine

    A quinze jours des élections européennes, la maire PS de Paris Anne Hidalgo a de nouveau apporté dimanche son soutien à Raphaël Glucksmann, dont la liste peine à décoller du seuil fatidique des 5% dans les sondages.

    "Nous sommes avec toi, tu as tout mon soutien jusqu'au 26 mai, et après le 26 il y a encore des belles histoires à construire et à porter ensemble", a déclaré Mme Hidalgo devant de nombreux élus parisiens et quelques badauds rassemblés sur les berges de Seine.

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  • Le Monde - Est-ce une bonne chose de rendre les transports gratuits ? (nov 2017)

    Chateauroux, Niort, Aubagne et aujourdhui Dunkerque. Depuis les années 70, une vingtaine de villes ont décidé de rendre leurs transports publics gratuits. L’objectif : les rendre plus attractifs. Mais alors, pourquoi ne pas généraliser la mesure ? A première vue, elle parait séduisante. Avec la gratuité, les voyageurs prennent davantage les transports en commun et la ville économise sur la fabrication des tickets ou le salaire des contrôleurs. Pourtant, si toutes les villes ne passent pas au gratuit, c’est qu’il y a aussi des inconvénients. D’abord, les transports gratuits ne soient pas si gratuits que ça. Sans billetterie, les villes doivent trouver de l’argent pour entretenir leur réseau. Pour ça, elles comptent sur une taxe demandée aux entreprises, « le versement transport ». Mais comme cette taxe a un plafond, il faut parfois augmenter les impôts locaux, comme la taxe d’habitation ou la taxe foncière, pour compenser le manque à gagner de la gratuité. Autre inconvénient : rendre les transports gratuits ne diminuent pas forcément le nombre de voitures sur les routes. Ce sont en effet souvent les habitués qui prennent encore plus les transports en commun. Les automobilistes eux continuent d’utiliser leur voiture. Finalement, pour rendre les transports gratuits attractifs, il faudrait donner moins envie d’utiliser la voiture. Comment ? En mettant en place des péages urbains, en augmentant le stationnement payant ou en valorisant le covoiturage.