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  • Fondation Jean Jaurès - Le mirage de l’Europe sociale : du statut européen du mineur au rapport Bertil Ohlin

    À travers l’étude historique de deux aspects des premières heures de l’intégration européenne – le rendez-vous manqué d’un statut européen du mineur et le rapport de Bertil Ohlin –, Nicolas Verschueren, chercheur à l’Université libre de Bruxelles, analyse les ressorts de « l’Europe sociale ». Il revient dans cette note sur deux interrogations : le déficit social de l’UE était-il inhérent au processus d’unification européenne ? Les institutions européennes sont-elles le lieu où une plus grande solidarité entre les travailleurs du continent peut s’exprimer ?

    Quel serait l’état de l’Union européenne aujourd’hui si les premières institutions avaient été porteuses de politiques sociales ambitieuses ? Cette hypothèse contre-factuelle est très souvent avancée pour illustrer les actes manqués du début d’une Europe sociale[1]. Cette dénomination d’« Europe sociale » reste très floue et permet surtout à celui qui l’utilise d’y introduire ses propres aspirations. Le déficit social de l’UE était-il inhérent au processus d’unification européenne ? Les institutions européennes sont-elles le lieu où une plus grande solidarité entre les travailleurs du continent peut s’exprimer ? À vrai dire, il est possible de répondre par l’affirmative à ces deux questions. C’est ce que nous nous proposons de montrer à travers l’étude historique de deux aspects des premières heures de l’intégration européenne : le rendez-vous manqué d’un statut européen du mineur et le rapport de Bertil Ohlin.


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  • Elections européennes : une candidate de la liste PS-Place publique demande à siéger avec les écologistes

    Aurore Lalucq souhaite rejoindre le groupe écologiste au Parlement européen si elle est élue au mois de mai.

    Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure annonce dimanche 7 avril lors de l'émission Questions politiques diffusée sur franceinfo et France Inter, que l'une des candidates de la liste commune PS – Place publique demande à siéger avec les écologistes en cas d'entrée au Parlement européen à l'issue du scrutin du 26 mai.

    "Il y a Aurore Lalucq, qui est une ex de 'Génération.s' [mouvement lancé par Benoît Hamon] qui est une économiste de la transition écologique. Elle m'a dit que elle, elle souhaitait siéger demain au parlement européen dans le groupe écologiste", explique le premier secrétaire du PS.

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  • Algérie : le Parti socialiste réitère sa solidarité avec les attentes du peuple algérien

    03 avril 2019

    Sous la pression inédite du peuple algérien, le président Abdelaziz Bouteflika a été poussé à la démission le 2 avril 2019 après avoir dû renoncer à son cinquième mandat.

    Le Parti socialiste salue ce résultat, conséquence directe d’une mobilisation massive et pacifique des Algériens et des Algériennes depuis plus de deux mois. Il partage leur attente d’un changement du système de gouvernance visant à l’établissement d’une démocratie authentique assurant la justice, l’égalité et le progrès pour chaque individu.

    Le Parti socialiste exprime sa confiance dans l’intelligence collective d’une mobilisation populaire qui doit éviter les pièges potentiels d’une transition confisquée.

  • "C'était la gauche qui se retrouve" : Olivier Faure, "fier" de Raphaël Glucksmann qui a donné son premier meeting à Toulouse

    "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure samedi sur franceinfo, après le premier meeting de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, à Toulouse.

    "J'étais vraiment sous le charme comme toutes celles et ceux qui ont assisté", a réagi sur franceinfo Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, après le premier meeting pour les élections européennes de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, samedi 6 avril à Toulouse. "

    C'était la gauche qui se retrouve qui a envie de faire ensemble", a-t-il ajouté. "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure qui en a "ras-le-bol de la politique formatée. L'air qui souffle aujourd'hui sur cette liste, c'est vraiment ce qui me fait vibrer".

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  • Huffington Post - Les premiers pas timides de Raphaël Glucksmann font-ils peur au PS?

    La tête de liste PS-Place publique a participé à son premier débat jeudi soir, avant un meeting ce samedi.

    Assumer la différence. Le Parti socialiste savait qu’en mettant ses pas dans ceux de Raphaël Glucksmann, il lui faudrait composer avec une personnalité peu aguerrie aux joutes politiques. Trois semaines après l’officialisation de l’alliance en vue des européennes, le tandem enchaîne les premières. Avant un premier meeting commun ce samedi à Toulouse, la tête de liste a affronté jeudi soir son premier débat.

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  • Réaction du Parti socialiste et de ses groupes parlementaires à la décision du Conseil constitutionnel sur le projet de loi « anti-casseurs »

    04 avril 2019

    Communiqué de presse commun du Parti socialiste, du groupe Socialistes et républicains au Sénat et du groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale.

    Saisi par les groupes Socialistes et républicains au Sénat et Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel vient de censurer une disposition majeure de la loi dite « anti-casseurs » : celle qui donnait aux préfets le pouvoir d’interdire à une personne de manifester.

    À nos yeux, cette disposition constituait une entrave grave aux libertés individuelles que garantit la République depuis la Révolution française.

    Manifestement, le Conseil constitutionnel a eu la même interprétation puisqu’il a affirmé que cette mesure laisse « à l’autorité administrative une latitude excessive dans l’appréciation des motifs susceptibles de justifier l’interdiction ».

    Cette décision constitue un désaveu pour la droite sénatoriale à l’origine de la proposition de loi liberticide. C’est également un vrai revers politique pour le président de la République et le Premier ministre qui, incapables de gérer la crise du mouvement des gilets jaunes, avaient préféré proposer des mesures liberticides plutôt que de s’interroger sur leurs responsabilités et celle du gouvernement.

  • France Inter - Olivier Faure : "J'ai dit à Raphaël Glucksmann qu'il ne devait pas nous ressembler, mais nous rassembler"

    Olivier Faure , Premier secrétaire du Parti socialiste, député de Seine-et-Marne, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Laurence Peuron (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
     
    Alors que le PS s'est rallié derrière le mouvement "Place Publique" de Raphaël Glucksmann, le premier secrétaire du parti Olivier Faure estime que l'objectif de cette campagne est de "faire en sorte que le plus grand nombre rejoigne les thèses que nous portons. Nous sommes la seule liste qui est à la fois pro européenne et qui veut changer l'Europe pour qu'elle soit à la fois plus sociale et plus écologique.
     
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  • Le Monde - Européennes 2019 : à Toulouse, Raphaël Glucksmann affiche encore sa différence

    Près de 500 militants socialistes se sont retrouvés samedi à Toulouse pour le meeting de la tête de liste du Parti socialiste et de Place publique, après sa prestation ratée lors du débat de France 2.

    C’est le test du terrain après le crash. Dans une salle du stade Ernest Wallon, le temple du Stade toulousain, à Toulouse (Haute-Garonne), il fallait montrer que les militants socialistes soutenaient le choix de leur direction de s’unir avec Place publique. Donner le signal aussi qu’ils voulaient partir au combat pour les élections européennes, derrière Raphaël Glucksmann, après sa prestation ratée lors du débat télévisé de France 2. Mais ce samedi 6 avril, la démonstration peinait à convaincre : quelque 500 militants et sympathisants avaient fait le déplacement, une assemblée bien modeste dans une des places fortes du PS, qui compte encore 2 500 adhérents. Et la tête de liste a livré un discours encore tâtonnant.

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  • Le Figaro - Européennes: l’inquiétude monte au PS

    «Il y a une grosse marge de progression»

    «Je n’ai pas trouvé que c’était catastrophique pour un premier débat et beaucoup de gens ont été touchés par sa sincérité et sa conclusion», indique pour sa part une proche de l’essayiste, associé au PS. Mais elle le reconnaît: «Il y a une grosse marge de progression». Une réalité dont le candidat lui-même semble avoir conscience. Selon un témoin présent dans les studios à l’issue du débat ni lui ni son entourage ne semblaient satisfaits de l’exercice. «Ils sont partis dans la loge et ils ont mis un temps fou à venir prendre un verre avec les autres candidats», indique-t-on.

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  • Le blog de Henri Sterdyniak - Les revenus du capital doivent contribuer à la protection sociale, Par Henri Sterdyniak

    Les prestations sociales universelles doivent être financées par les revenus du capital, comme par ceux du travail. Les cotisations doivent financer les retraites et les prestations chômage

    Dans un texte intitulé « Vive la cotisation ! », publié sur le blog des Économistes Atterrés d’ Alternatives Économiques (https://blogs.alternatives-economiques.fr/les-economistes-atterres/2019/03/30/vive-la-cotisation ), Stéphanie Treillet critique « la fiscalisation de la protection sociale qui consiste à  exonérer les entreprises du coût de reproduction de la force de travail », qui «se traduirait par une amputation des ressources propres de la protection sociale,  ayant pour effet leur budgétarisation croissante ». Selon moi, il est légitime de taxer les revenus du capital pour financer les prestations sociales (du moins celles qui ne sont pas liées à l’activité) à la fois pour des raisons de justice fiscale que pour décourager la substitution capital/travail.
     
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