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  • Sélection été : Fondation Jean jaurès - La République divisée : idées et débats politiques dans la France contemporaine

    Emile Chabal, enseignant-chercheur en histoire contemporaine à l’Université d’Édimbourg en Écosse, étudie depuis plusieurs années la culture politique en France depuis 1968. Dans ce dialogue avec Emmanuel Jousse, docteur en histoire de Sciences Po, s’appuyant sur les conclusions de son livre A Divided Republic: nation, state and citizenship in contemporary France (Cambridge University Press, 2015), il revient sur les idées et les langages politiques en France aujourd’hui, mettant ainsi en perspective les bouleversements profonds que vient de connaître la vie politique française.

  • Observatoire des inégalités - L’Assemblée nationale ne compte quasiment plus de représentants des milieux populaires

    À quand la parité sociale à l’Assemblée nationale ? Employés et ouvriers représentent la moitié de la population active et comptent pour dix fois moins parmi les député(e)s. Contrairement à la question du genre, la composition sociale intéresse peu, y compris dans les instances représentatives.

    Le renouvellement politique de juin 2017 à l’Assemblée nationale a entraîné une forte augmentation de la part de femmes parmi les élus mais il ne s’est pas accompagné d’un renouvellement social. Si 4,6 % des députés sont employés, aucun n’est ouvrier, alors que ces catégories représentent la moitié de la population active, selon l’Institut Diderot [1]. À l’inverse, les cadres et professions intellectuelles supérieures représentent 76 % des élus, soit 4,4 fois plus que leur part dans la population active.

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  • Disours Patrick Kanner Congres Versailles 2018

    Suite au discours d'Emmanuel Macron devant le Parlement réuni en Congrès ce lundi 9 juillet 2018, retrouvez le discours de Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Sénat.

  • Marie-Noëlle Battistel : nos propositions pour une agriculture durable

  • Fondation Jean Jaurès : Face au désordre géopolitique : débat avec Hubert Védrine en direct le 11 juillet à 18h30

    Face aux menaces écologiques, aux soubresauts et autres bouleversements géopolitiques, à la montée de différents mouvements radicaux et xénophobes, à la remise en cause de la démocratie, quelles sont et pourraient être les réponses de la France, de l’Union européenne et de la communauté internationale ? Comment envisager l’évolution du monde à court et moyen terme ?

  • Fondation Jean Jaurès - Face au désordre géopolitique : débat avec Hubert Védrine en direct le 11 juillet à 18h30

    Face aux menaces écologiques, aux soubresauts et autres bouleversements géopolitiques, à la montée de différents mouvements radicaux et xénophobes, à la remise en cause de la démocratie, quelles sont et pourraient être les réponses de la France, de l’Union européenne et de la communauté internationale ? Comment envisager l’évolution du monde à court et moyen terme ?

  • Public Sénat - Terrorisme : le Sénat veut inscrire le salafisme sur la liste des dérives sectaires

    Permettre aux maires d’avoir accès aux fichiers FRSPT, ou encore inscrire le salafisme sur la liste des dérives sectaires… Une commission d’enquête du Sénat présentait ses propositions pour faire face à l’évolution de la menace terroriste.

    « La figure du « loup solitaire », largement mise en avant par les médias lors des passages à l’acte par une personne seule, n’existe pas dans le champ des passages à l’acte djihadistes ». C’est l’une des constatations qui ressort des 32 auditions effectuées par la commission d’enquête du Sénat sur « l’évolution de la menace terroriste après la chute de l’État islamique » mise en place le 11 janvier dernier. Son président, Bernard Cazeau (LREM) et sa rapporteure, Sylvie Goy-Chavent (Centriste) en présentaient les conclusions ce mardi.

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  • Sélection été : Jean Gadrey, Dette de l’Unédic : comment engraisser la finance spéculative au détriment des chômeurs, des salariés, et du service public

    Parmi les arguments utilisés par l’oligarchie pour pousser à la libéralisation puis la privatisation des services publics, il y a presque toujours « l’énormité de la dette ». On oublie de préciser que cette dette a été délibérément produite par des décisions publiques diverses concernant soit des investissements insensés devenus des boulets (exemple de la SNCF), soit (ou en même temps) l’étranglement financier - l’austérité imposée - induisant un déficit annuel récurrent. Cela conduit l’organisme public à emprunter, à s’endetter de plus en plus auprès de banques privées, à payer de plus en plus de remboursements annuels, avec un possible effet « boule de neige » (quand on doit emprunter à nouveau pour payer des intérêts devenant élevés à certaines périodes, ce qui n’est pas le cas actuellement, mais pourrait bien le redevenir, on va le voir).

    On oublie aussi de nous dire qu’en contraignant des organismes publics à s’endetter faute de financements publics à la hauteur des besoins sociaux qu’ils sont censés couvrir, non seulement on ampute la réponse à ces besoins, mais on met ces organismes entre les mains de banques et de financiers qui vont laisser libre cours à leurs penchants pour la spéculation voire à leur appétence pour les paradis fiscaux.

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  • Congrès de Versailles : "C'est un devoir de tout parlementaire" assure Stéphane Le Foll

    INVITÉ RTL - Le maire du Mans, qui va quitter son poste de député mardi 10 juillet, sera présent à la séance exceptionnelle à Versailles. Malgré des désaccords notables, il assure que c'est "un devoir".

  • Sélection de l'été : Le Nouveau Magazine Littéraire « La tentation radicale » fracture le monde académique

    Dans un livre événement, les sociologues Anne Muxel et Olivier Galland accréditent l'hypothèse d'une radicalisation croissante des lycéens musulmans en France. L'islamologue Olivier Roy attaque leur méthode et dénonce une confusion entre radicalité politique et radicalité religieuse. Entretien croisé.

    Depuis sa sortie, l’enquête des sociologues Anne Muxel et Olivier Galland — La tentation radicale, enquête auprès des lycéens (PUF) — suscite la polémique. Menée durant trois ans auprès de 7 000 lycéens de 15 à 17 ans, l’étude est critiquée pour ses partis pris méthodologiques et les conclusions qu’elle formule. Selon elle, 32 % des musulmans sont « absolutistes », position qui consiste à penser sa religion comme seule détentrice de la vérité — contre 6 % des chrétiens et 1% des sans religions — et 20 % des musulmans déclarent « acceptable dans certains cas dans la société actuelle » de « combattre les armes à la main pour sa religion » — contre 9 % des chrétiens et 6,5 % des sans-religion.

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