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  • Alternatives Economiques - Tribune : Emmanuel Macron, l’économie en marche arrière, Dany Lang et Henri Sterdyniak

    Début mars, les économistes atterrés avaient publié une analyse critique du programme économique d’En Marche. Marc Ferracci et Philippe Martin, économistes et conseillers d’Emmanuel Macron, leur ont répondu pour défendre ce programme. Cette note a le mérite de lever nombre d’ambiguïtés entretenues par le candidat : elle montre en effet que l’ancien ministre de l’économie est favorable surtout à l’intensification des politiques d’austérité budgétaire et à la continuation des réformes néolibérales.

    La note de ses conseillers explicite leur diagnostic : s’il y a du chômage, ce n’est pas à cause des trente années de politiques néolibérales qui ont creusé les inégalités de revenus et mené à une insuffisance de la demande en Europe et dans les pays développés. Ce n’est pas non plus à cause des politiques d’austérité qui, depuis 2009, ont aggravé la situation, menant l’Europe au bord de la stagnation. Ce n’est pas davantage à cause de la financiarisation de l’économie, ni de l’appétit toujours plus grand des actionnaires.

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  • Le Monde - Présidentielle : « Charlie Hebdo » sonde les candidats sur la laïcité

    L’hebdomadaire satirique a demandé aux prétendants à l’Elysée de s’engager à ne pas modifier les grands équilibres de la loi de 1905.

    Les questions sont assez banales. Les réponses, en revanche, en disent beaucoup. Fin février, le journal satirique Charlie Hebdo appelait dans ses colonnes les onze candidats à l’élection présidentielle à s’engager sur trois points : ne pas modifier la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat, ne pas introduire dans la législation « des aménagements particuliers à l’égard d’une communauté religieuse » et ne pas « créer un délit de blasphème ». L’objectif ? Ramener la laïcité, un sujet brûlant relativement absent de la campagne, au cœur du débat politique et faire des réponses des candidats « un repère pouvant servir de référence si demain, ils changeaient de direction », explique Riss, directeur de la publication de l’hebdomadaire, qui publiera les réponses dans son édition du mercredi 12 avril.
     
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  • Christian Paul : «Hollande devrait faire un examen de conscience, un auto-inventaire»


    Christian Paul : «Hollande devrait faire un... par lefigaro

  • Libé - Benoît Hamon sort sa lettre aux Français

    A douze jours du 1er tour, le candidat socialiste diffuse ce document tiré à 9 millions d'exemplaires pour stopper l'érosion de son socle électoral.

    Entre le modèle Mitterrand 1988 et Hollande 2012, Benoît Hamon a choisi le premier. On ne parle pas là des idées ou bien du programme présidentiel d’un candidat socialiste mais du timing de sa «lettre aux Français». Comme le premier président de gauche de la Ve République avant sa réélection, le socialiste a choisi une date de début avril, à quelques jours de Pâques, pour s’adresser aux électeurs encore indécis.

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  • La Tribune - Hamon ou Macron, qui est vraiment le plus moderne ? Par Charles-Antoine Schwerrer

    Benoît Hamon semble incarner la vieille gauche alors qu'Emmanuel Macron serait l'égérie de la modernité. Qu'en est-il vraiment? Par Charles-Antoine Schwerrer, économiste, Asteres

    Entre Benoît Hamon et Emmanuel Macron, le cœur de nombre d'élus socialistes balance. Le premier semble incarner la vieille gauche quand le second serait l'égérie de la modernité. Manuel Valls a pour sa part tranché et votera pour le candidat d'En Marche. Seulement, avant de choisir leur poulain, les élus socialistes devraient lire, si ce n'est déjà fait, l'ouvrage fondamental de Luc Boltanski et Eve Chiapello, Le Nouvel Esprit du capitalisme.

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  • OFCE - Présidentielle : le logement est-il bien loti ?

    La publication du rapport de la Fondation Abbé Pierre en janvier 2017 n’a pas fait exception : le mal-logement continue de progresser en France. Les prix immobiliers sont repartis à la hausse ces derniers trimestres et la publication des premiers résultats de l’Enquête nationale logement de l’INSEE de 2013 font apparaître une dégradation de la situation financière des ménages[1]. Malgré tous ces éléments, la thématique du logement est apparue relativement tardivement dans les débats entourant l’élection présidentielle. Nous tentons ici d’esquisser un panorama des propositions émanant des principaux candidats à l’élection présidentielle sur ce sujet.

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  • L'Obs - Hamon à La Courneuve: "Moi, je n'instrumentalise pas la banlieue"

    "A gauche comme à droite, il y a des gens qui instrumentalisent les quartiers. Moi je n'instrumentalise pas", a déclaré le candidat socialiste après la visite d'une pépinière d'entreprises lors d'un déplacement en banlieue parisienne. "Je ne me contente pas simplement d'aller faire des jolies formules en citant IAM ou deux trois rappeurs alors qu'on a jamais écouté de rap de sa vie."

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  • Alba Ventura : "Il ne s'agit plus de sauver le soldat Hamon, mais le PS"

    Pour l'éditorialiste, Benoît Hamon est dans un "burn out" électoral et même ses proches ne croient plus à son élection.


    Alba Ventura : "Il ne s'agit plus de sauver le... par rtl-fr

  • Libé - Hamon dévoile son plan pour créer un million d’emplois en France

    Benoît Hamon, candidat socialiste à l’élection présidentielle, a dévoilé son plan pour créer un million d’emplois en France dans un entretien publié mercredi dans le quotidien Les Echos.

    L’ancien ministre y déclare que, pour mettre en oeuvre sa politique de relance par l’emploi, il vise les secteurs où il y a des «investissements stratégiques» à réaliser.

    Le vainqueur de la primaire socialiste PS élargie prévoit de créer notamment 140.000 emplois dans l’habitat, via les «rénovations thermiques et urbaines et la construction de logement», 4.000 dans les transports, 125.000 grâce aux «énergies renouvelables et la chimie verte», 20.000 dans l'«agroécologie», 112.000 dans l’accompagnement des personnes âgées et 109.000 dans le secteur de la petite enfance.

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  • L'actualité des socialistes du 31 mars au 6 avril (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Huffington Post - Élection présidentielle 2017: le point sur tous les sondages grâce à notre compilateur

    La semaine qui s'est écoulée a confirmé les tendances pressenties ces dernier jours avec, notamment, une nette progression de Jean-Luc Mélenchon.

    Libé - Les chercheurs «au cœur de la machine» de Hamon

    Face à «l’urgence démocratique», des universitaires, qui s’étaient éloignés du PS, s’investissent dans la campagne et voient leurs idées hissées au niveau national. Sans toujours parvenir à faire partager leur enthousiasme.

    Slate - La sociologie sème le doute sur une victoire finale de Macron

    Le profil sociologique de l'électorat Macron est le symétrique presque parfait de celui de Le Pen: aisé, cadre, éduqué, urbain. Devenu le candidat du «cercle de la raison», l'ancien ministre de l'Economie risque dés lors d'affronter un second tour difficile avec la candidate d'extrême droite.

    Le Monde - Requiem pour le Parti socialiste

    Editorial. Le soutien apporté, mercredi, par Manuel Valls à Emmanuel Macron n’est que le dernier épisode d’une crise beaucoup plus grave qui touche un parti incapable d’inventer une synthèse mobilisatrice.

    Editorial du « Monde ». Chef des socialistes pendant onze ans et chef de l’Etat depuis cinq ans, François Hollande laissera-t-il le PS dans l’état où François Mitterrand l’avait trouvé au début des années 1970 ? C’est-à-dire un parti en miettes, sans leader, sans projet, sans stratégie et sans alliés ? Un parti en fin de cycle, voire en fin de vie ? On en prend tout droit le chemin.
     
    SYRIE
     
     
    Benoit Hamon, candidat du Parti socialiste à la présidentielle, a jugé vendredi Bachar Al Assad "directement responsable de la riposte qui a été décidée par les État-Unis", au sujet des frappes menées en Syrie par l'aviation américaine.
     
    PS
     

    Jean-Christophe Cambadélis a décidé de saisir la commission des conflits du parti pour étudier le cas des élus apportant leur soutien à un autre candidat à la présidentielle que Benoît Hamon.

    Ouest-France - Jean-Christophe Cambadélis prédit la fin du Parti socialiste d’Épinay

    Malgré les départs vers Emmanuel Macron, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, ne croit pas à la disparition de son parti. Mais il estime que le prochain congrès marquera « la fin du cycle d’Épinay ouvert par Mitterrand en 1971 ». Entretien.

    Boursier - Pas de "Saint-Barthélemy des socialistes", dit Cambadélis

    PARIS (Reuters) - Il n'est pas question pour l'instant d'exclure du Parti socialiste Manuel Valls, qui votera Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle, déclare le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, samedi dans un entretien à Ouest-France.

    HISTOIRE

    France Inter - 1969 : des socialistes choisissent un centriste pour l'élection présidentielle

    Le socialiste Deffere à 5%, le communiste Duclos à 21%, le centriste Alain Poher et Pompidou au second tour, la gauche éliminée dès le premier : ça vous rappelle quelque chose ?

    RENOUVELLEMENT

    Slate - Sommes-nous à la veille d'un renouvellement sans précédent de la classe politique?

    Il y a la crise politique conjoncturelle bien sûr, liée au quinquennat Hollande et à la multiplication des affaires. Pour autant, faut-il y voir un mouvement de fond? Les législatives de juin pourraient en être la confirmation.

    Une page se tourne à l’hémicycle. Au revoir, Claude Bartolone. Au revoir Noël Mamère, Patrick Balkany, Patrick Devedjian, Carole Delga, Ségolène Royal, Michel Sapin, Jean-Marc Ayrault, Bernard Cazeneuve et compagnie. La situation est sans précédent sous la Ve République. Ministres actuels et élus de toute part ont décidé de dire adieu à la chambre basse du Parlement. Figures politiques majeures comme anonymes. Députés aux huit mandats ou au mandat unique. Socialistes, en masse, mais aussi du parti Les Républicains (LR).

    STATISTIQUE

    OFCE - Statistique publique : une révolution silencieuse par Pierre Madec et Xavier Timbeau

    Parfois des révolutions se produisent sans que personne ne s’en rende vraiment compte. L’été dernier, l’INSEE et la DREES ont mis en accès libre, sous la licence CeCILL, leur modèle de microsimulation de la législation socio-fiscale : INES. Développé depuis plus de 20 ans, ce modèle représente une grande partie de la fiscalité et des prestations en espèces du système redistributif français. Couplé à une base de données qui donne une information annuelle précise sur plus de 50 000 ménages représentatifs (130 000 individus), le but premier de ce modèle est de simuler l’effet de la fiscalité et des prestations sur la population française.

    MELENCHON

    Marianne - Jean-Luc Mélenchon : ce qu'il a vraiment dit sur la Russie, Poutine et la Syrie

    Distancé par Jean-Luc Mélenchon dans les sondages, Benoît Hamon tente le tout pour le tout en reprenant le refrain d'une supposée fascination du candidat de la France Insoumise pour Vladimir Poutine. Voici ce qu'il en est.

    SONDAGES

    France Info - Présidentielle : Benoît Hamon dévisse, Jean-Luc Mélenchon poursuit sa lancée

    En direct sur le plateau de France 2, Jean-Baptiste Marteau, fait le point sur le dernier sondage concernant les intentions de vote à la présidentielle.

    Ouest France - Présidentielle. Sondage : Mélenchon talonne Fillon, Hamon sous les 10 %

    Un sondage Ifop-Fiducial diffusé ce mercredi donne toujours Marine Le Pen et Emmanuel Macron en tête des intentions de vote, malgré une légère baisse. Derrière, Jean-Luc Mélenchon se rapproche de François Fillon.

    Avec 25 % (-0,5) d'intentions de vote, Marine Le Pen est au coude-à-coude avec Emmanuel Macron, à 24,5 % (-1,5).

    Rolling Les Echos

    Rolling Paris Match

    MACRON

    Le Monde, Les décodeurs - Son action de ministre, ses projections économiques, le charbon allemand… les approximations de Macron

    Retour sur les principales erreurs et approximations d’Emmanuel Macron, invité de l’Emission politique jeudi 6 avril sur France 2.

    Invité de l’Emission politique sur France 2, jeudi 6 avril, à presque deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, l’ancien ministre de l’économie de François Hollande et candidat du parti En marche ! a défendu son programme « de renouveau politique »… au prix de plusieurs approximations.
     

    « Un euro cotisé donne lieu aux mêmes droits pour tous. » Le candidat d’En marche ! est le seul de la campagne à proposer un système de retraite dit « par points ». De quoi s’agit-il ?

    Les candidats rivalisent de mesures sur le système de retraite. Partir plus tôt pour Jean-Luc Mélenchon, plus tard pour François Fillon, donner des trimestres au conjoint pour Benoît Hamon… Les propositions sont nombreuses. Pour Emmanuel Macron, pas question de toucher à l’âge de départ à la retraite, ni au montant des pensions. Le candidat d’En Marche ! ambitionne de réformer le système de retraite dans son ensemble et d’instaurer un nouveau régime unique, appelé un peu hâtivement « retraite par points ».

    EN CAMPAGNE
     

    Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du parti, veut que cet organisme interne statue sur d’éventuelles sanctions pour ceux qui ont lâché le candidat.

    Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a décidé jeudi soir 6 avril de saisir la commission nationale des conflits, organisme interne du parti, du cas des élus et militants ayant appelé à soutenir ou à voter pour un autre candidat que Benoît Hamon.

    Le Monde - Comment le programme de Benoît Hamon a pris des airs de campagne

    Au-delà d’une constance indéniable sur ses thèmes majeurs, le candidat PS a multiplié les nouvelles promesses, au gré des opportunités et des actualités de la campagne.

    Force est de reconnaître à Benoît Hamon une constance dans ses thèmes de campagne, en particulier sur les points clivants qui le distinguent de ses adversaires à la présidentielle. Taxe sur les robots, reconnaissance du burn-out en maladie professionnelle, revenu universel… Mais le nombre et le contenu de certaines de ces propositions ont considérablement évolué en quelques mois. L’exemple du revenu universel est le plus flagrant : quand sa version initiale, présentée en septembre 2016, évoquait 600 euros par mois pour tous les majeurs, la dernière mouture, du 9 mars, limite le nombre de bénéficiaires et déduit les aides existantes du dispositif (et, le 30 mars, Benoît Hamon a évoqué sur France Info la possibilité d’un revenu universel à 400 euros).
     
     
    Alors que Benoît Hamon est tombé sous les 10% d’intention de vote, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis a lancé jeudi un appel en forme de SOS à serrer les rangs derrière le candidat socialiste à la présidentielle.
     
     
    Quand ça ne veut pas… A dix-huit jours du premier tour de la présidentielle, la campagne de Benoît Hamon reste encalminée dans le marasme. Malgré une prestation plus qu’honorable mardi lors du grand débat sur BFMTV-RMC, le candidat du PS ne voit toujours pas le bout du tunnel dans les sondages. Il ne récolte désormais plus que 9% d’intentions de vote (-1 point) dans le dernier sondage Elabe pour BFMTV et L’Express paru ce mercredi soir.
     

    En meeting à Nancy mercredi 5 avril, le candidat socialiste à la présidentielle a regretté le « court-termisme dans cette campagne ».

    « J’ai eu l’impression d’être dans une lessiveuse. » En meeting à Nancy mercredi 5 avril, le candidat socialiste Benoît Hamon a regretté le « court-termisme dans cette campagne » et refusé d’arrêter de « rêver », confiant de pouvoir convaincre les indécis à moins de vingt jours du premier tour.
     
     
    «Il ne manquera pas à sa famille politique». Michel Sapin a annoncé jeudi matin qu’il votera pour Benoît Hamon. «Le candidat de mon parti est Benoît Hamon, je voterais donc Benoît Hamon au premier tour » de la présidentielle, a déclaré le ministre de l'Economie et des Finances, interviewé sur BFMTV. Le patron de Bercy émet toutefois quelques réserves par rapport au vainqueur de la primaire de la Belle Alliance populaire.
     
     
    Les soutiens du candidat socialiste ne parviennent pas à dissuader les électeurs de gauche qui choisissent Macron pour éviter un second tour Le Pen-Fillon.
    "C'est une campagne difficile, n'ayons pas peur de le dire." La petite phrase, lâchée par Christian Eckert en ouverture du meeting de Benoît Hamon à Nancy (Meurthe-et-Moselle), mercredi 5 avril, en dit long sur le moral des troupes. Outre le secrétaire d'Etat au Budget, régional de l'étape, il y a là, pour soutenir le candidat socialiste à la présidentielle, la Mosellanne Aurélie Filippetti, beaucoup d'élus locaux et aussi Cécile Duflot. Les ténors du PS, eux, se font toujours aussi discrets dans cette campagne qui ne décolle pas.
     
  • Libé - Décryptage - Dépenses publiques : qui veut gagner des milliards ?

    «Libé» a épluché les chiffrages des principaux candidats à la présidentielle, afin de comparer les économies qu'ils (et elle) comptent réaliser pour financer leurs nouvelles mesures.
     
    Il n’est pas rare qu’une fois élu, le candidat victorieux à l’élection présidentielle voit son programme perdre quelques plumes dans sa confrontation au réel. Notamment concernant ses promesses d’économies permettant de dégager des excédents budgétaires afin de financer les nouvelles mesures. En 2012, le candidat Hollande promettait ainsi d’économiser 29 milliards d’euros en revenant sur les «cadeaux fiscaux et les multiples "niches fiscales"». Il a finalement laissé leur montant augmenter au cours du quinquennat, de 70,9 milliards d’euros à son arrivée à l’Elysée à 86 milliards en 2016.
     
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