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  • Printemps Républicain, Gilles Clavreul - Il ne se passe rien à La Chapelle-Pajol

    Rappelez-vous : il ne s’était rien passé à Cologne. Il ne se passe jamais rien à Sevran, du moins rien qu’on ne pourrait observer dans le « fin fond de la Creuse » (sic). Il n’y a pas de quoi fouetter un chat antiraciste quand se tiennent des « camps décoloniaux » à Reims ou des ateliers en « non mixité racisée » dans des locaux universitaires ou ailleurs.

    Tout ce qui se dit, s’écrit et se rapporte sur de soi-disant incidents mettant en jeu la tranquillité, le respect, voire l’intégrité physique des femmes dans certains territoires, n’a aucune consistance, aucune réalité. Il ne s’agit que de « paniques identitaires ». On excusera les prétendues victimes : si elles interprètent mal les insultes, les mains aux fesses, les prises à partie, c’est qu’on leur a lavé le cerveau.

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  • France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas Le PS n'a plus la cote.

    Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.

    Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le parti est même menacé de disparition. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.

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  • Fondation Jean Jaurès - Comment le triomphe annoncé du Front national n’a pas eu lieu 26/05/2017 6’ Adrien Abecassis, Marie Gariazzo, Chloé Morin

    Pourquoi le Front national est-il finalement, contre toute attente, arrivé deuxième au premier tour de l’élection présidentielle ? Comment a-t-il échoué au second, alors qu’il était parvenu depuis plusieurs années, et plus encore depuis janvier 2015, à imposer ses thèmes et à faire des questions identitaires et sécuritaires l’alpha et l’oméga du débat politique ? Analyse de l’Observatoire de l’opinion.

    I - La digue et la vague

    La digue a donc, finalement, tenu. Contrairement au Royaume-uni. Contrairement aux États-unis. Dans le face-à-face tant redouté entre la digue et la vague, en France ce fut finalement la digue la plus forte.

    Pourtant, la vague était là, et bien là. D’une puissance indéniable. Le Front national a ainsi obtenu au second tour plus de voix qu’il n’en a jamais recueillies dans son histoire. Les scores des quatre principaux candidats témoignent des fractures profondes qui traversent la société. L’exigence de réussite qui pèse sur les épaules du nouvel exécutif est donc immense, les attentes gigantesques, la colère qui s’est exprimée dans les urnes ne disparaîtra pas d’un coup de baguette magique.

    Pourquoi le Front national est-il finalement, contre toute attente, arrivé deuxième au premier tour ? Comment a-t-il échoué au second, alors qu’il était parvenu depuis plusieurs années, et plus encore depuis janvier 2015, à imposer ses thèmes, et à faire des questions identitaires et sécuritaires l’alpha et l’oméga du débat politique ?

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  • Le Progrès - Lyon Revivez le débat des candidats aux législatives dans la 2e circonscription

    Le Progrès organisait ce mardi à midi, un débat public au siège du journal, à la Confluence, entre les candidats à l’élection législative dans la deuxième circonscription du Rhône. Ils sont au total dix-neuf à briguer la succession de Pierre-Alain Muet (PS). Pour la clarté du débat, Le Progrès a invité cinq candidats à présenter leurs idées et confronter leurs projets : Laurence Balas (LR), Nathalie Perrin-Gilbert (Gram), Denis Broliquier (UDI), Hubert Julien-Laferrière (REM) et Eléni Ferlet (FI), David Tabellion (FN) s'étant désisté. Les autres candidats ont la possibilité de s’exprimer en début de débat.

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  • Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain

    L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.

    Signataires :

    Nathalie Appéré Députée-maire de Rennes Olivier Bianchi Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole Jean-François Debat Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes Carole Delga Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie Olivier Dussopt Député-maire d’Annonay Olivier Faure Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale Matthias Fekl Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne Estelle Grelier Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime Mathieu Klein Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle Johanna Rolland Maire de Nantes Najat Vallaud-Belkacem Ancienne ministre André Viola Président du conseil départemental de l’Aude

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  • France 3 : Politique : le Parti socialiste au plus bas


    Politique : le Parti socialiste au plus bas

  • RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon

    L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.

    "Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste doit abandonner la direction du PS

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  • L'actualité des socialistes du 19 au 25 mai (revue de presse hebdomadaire)

    RYTHMES SCOLAIRES

    L'Obs - Macron propose des rythmes scolaires à la carte : et les enfants ?

    Les associations d'enseignants et de parents d'élèves regrettent qu'Emmanuel Macron souhaite déjà revenir sur une réforme qui commençait tout juste à porter ses fruits.

    C'est une proposition des plus macroniennes. Plutôt que de maintenir ou d'abroger la réforme des rythmes scolaires de 2013, clivante, le président élu veut laisser le "choix" aux communes d'en faire ce qu'elles souhaitent. 

    ISF

    La Tribune - Impôts : vers une suppression déguisée de l'ISF avec Macron ?

    Le programme du président comporte une refonte de la fiscalité sur le patrimoine, l'ISF devant évoluer vers un impôt centré sur la propriété immobilière. Censée favoriser les investissements dans l'économie réelle, cette mesure présente toutefois une faille qui pourrait bien remettre en cause tout l'ISF.

    MORALISATION DE LA VIE PUBLIQUE

    Le Monde - Douze propositions d’un député pour moraliser la vie publique

    Interdiction des emplois familiaux, suppression de la réserve parlementaire... René Dosière, député PS de l’Aisne, veut pousser le gouvernement à adopter une loi ambitieuse.

    Pousser le gouvernement à adopter une loi de moralisation de la vie publique, ambitieuse et efficace, ainsi que le nouveau chef de l’Etat, Emmanuel Macron, s’y est engagé lors de la campagne pour l’élection présidentielle, en réponse au choc créé par l’affaire Fillon. Voilà l’objectif du député apparenté Parti socialiste (PS) de l’Aisne René Dosière, inlassable pourfendeur du mauvais usage des deniers publics, depuis son premier mandat en 1988, et partisan d’une plus grande transparence en politique, de la part des élus comme des partis.
     
    CARTE ELECTORALE
     
     
    Pour le spécialiste de philosophie politique Jean-Loup Bonnamy, la carte électorale de 2017 révèle exactement le même clivage géographique que celui des élections législatives de 1881.

    Ancien élève de l'École normale supérieure, Jean-Loup Bonnamy est agrégé de philosophie, et spécialiste de philosophie politique.


    FIGAROVOX.- Vous dîtes que l'ancienne carte électorale, celle qui s'est dessinée à la fin du XIXème siècle, persiste jusqu'à nos jours. Pouvez-vous nous en dire davantage?

    HAMON

    France-Inter - Benoît Hamon, le dernier des socialistes

    Battu à la présidentielle, en danger pour ces législatives, Benoît Hamon se cherche, entre socle socialiste et gauche plus marquée, mais définitivement opposé à Emmanuel Macron.

    Ils étaient 287 députés socialistes à l'Assemblée nationale, il semble difficile d'en faire élire autant lors de ces législatives, les 11 et 18 juin prochains. Certains voient se profiler le spectre de 1993, où le parti a vu son fondre son groupe, à 53 députés seulement.

    Libé - Un jour une circo : Benoît Hamon, «nouvelle star» à Trappes
     
    Fort de sa notoriété acquise pendant la présidentielle, le candidat malheureux à l’Elysée est reparti en campagne dans la 11e circonscription des Yvelines, où il tente de conserver son siège de député arraché à la droite en 2012. Un combat loin d’être gagné.
     
    LCI - Le revenu universel ? Mark Zuckerberg trouve que c'est une bonne idée, pour le plus grand bonheur de Hamon
     
    SILICON VALLEY - Devant les étudiants d'Harvard jeudi, Mark Zuckerberg a fait part de son intérêt pour le revenu universel. Il rejoint une liste croissante de figures du monde de la tech qui souhaitent expérimenter ce dispositif pour résoudre certaines problématiques en cours ou à venir.

    MACRON

    Slate - Le grand écart culturel d'Emmanuel Macron

    Ni bourge, ni beauf? De Molière à Magic System, le nouveau président de la République incarne à la perfection la nouvelle culture des classes supérieures, marquée par une aisance à passer du registre cultivé à des références commerciales et anglo-saxonnes.

    Ancien assistant du philosophe Paul Ricœur, j'ai étudié le piano au conservatoire d'Amiens, je suis fan des Tontons Flingueurs et je cite Georges Bernanos sur TF1, je parle l'anglais de start-up couramment et je peux donner mon avis sur les suites pour violoncelle de Bach. Je suis, je suis... Je suis bien sûr Emmanuel Macron, huitième président de la République française.

    Comment définir l’univers culturel du macronisme sans sombrer dans les caricatures faciles?

    MELENCHON

    Libé - Chronique «Politiques» Jean-Luc Mélenchon, l’anti-Mitterrand, Par Alain Duhamel
     
    Face à un Parti socialiste divisé et un Parti communiste réduit à quia, le représentant de la France insoumise tente de faire main basse sur la gauche, en incarnant toutes les ruptures.

    Que cela plaise ou non, Jean-Luc Mélenchon est devenu aujourd’hui la principale figure de la gauche. Il est actuellement, d’assez loin, le meilleur orateur politique. Il déploie en chaque occasion une culture littéraire qui flatte ses auditoires.

    PS

    Le Point - Le PS redoute aussi une déroute... financière

    En cas de large défaite aux législatives, le PS perdra une grande partie des aides publiques de l'État. À Solférino, plusieurs scénarios sont à l'étude...

    Et voici la grande trouille de 1993 qui point à nouveau. Cette année-là, le groupe socialiste à l'Assemblée se réduit à 57 députés. Évidemment, d'un point de vue politique, les socialistes perdent beaucoup de poids. Mais les finances en prennent aussi un coup, puisqu'une partie du budget du parti est alimentée par les aides publiques et les cotisations des parlementaires. Près d'un quart de siècle plus tard, l'inquiétude gagne à nouveau Solférino.

  • Alain Duhamel : Emmanuel Macron "peut espérer obtenir la majorité absolue"


    Alain Duhamel : Emmanuel Macron "peut espérer... par rtl-fr

  • Acteurs Publics - J.-M. Eymeri-Douzans : “La politisation fonctionnelle de la haute administration française tendra à s’accroître”

    Réduction de la taille des cabinets ministériels, question de confiance posée aux directeurs d’administration, nouvelle gouvernance au sommet… Pour Jean-Michel Eymeri-Douzans, professeur des universités à Sciences-Po Toulouse, cette volonté de faire travailler les ministres et les directeurs en “comité de direction” pose la question du rôle de l’Élysée dans les nominations.

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