Rappelez-vous : il ne s’était rien passé à Cologne. Il ne se passe jamais rien à Sevran, du moins rien qu’on ne pourrait observer dans le « fin fond de la Creuse » (sic). Il n’y a pas de quoi fouetter un chat antiraciste quand se tiennent des « camps décoloniaux » à Reims ou des ateliers en « non mixité racisée » dans des locaux universitaires ou ailleurs.
Tout ce qui se dit, s’écrit et se rapporte sur de soi-disant incidents mettant en jeu la tranquillité, le respect, voire l’intégrité physique des femmes dans certains territoires, n’a aucune consistance, aucune réalité. Il ne s’agit que de « paniques identitaires ». On excusera les prétendues victimes : si elles interprètent mal les insultes, les mains aux fesses, les prises à partie, c’est qu’on leur a lavé le cerveau.
Lire la suite
_________________
_________________