Luc Carvounas : avec Benoît Hamon, "le rêve... par Europe1fr
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Benoit Hamon répond aux questions de Patrick Cohen
Benoit Hamon répond aux questions de Patrick Cohen par franceinter -
Benoit Hamon répond aux questions des auditeurs de France Inter
Benoit Hamon répond aux questions des auditeurs... par franceinter -
Discours de Benoit Hamon en tête du 1er tour de la Primaire de la gauche
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Arnaud Montebourg appelle à voter Benoît Hamon
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La primaire spéciale 2ème tour
Le Monde - Primaire de la gauche, en direct : une deuxième campagne démarre pour Hamon et Valls
Minute par minute, l’information politique rapportée, décryptée, analysée par la rédaction du « Monde ».Le député des Yvelines, arrivé en tête du premier tour de la primaire, a voulu se démarquer dans cette campagne en revendiquant son ancrage à gauche.
Au soir du premier tour de la primaire à gauche, le dimanche 22 janvier, Benoît Hamon prend la parole à son QG de campagne. « En me plaçant en tête, vous avez adressé un message clair d’espoir et de renouveau, le désir d’écrire une nouvelle page » déclare-t-il après avoir eu un mot pour chacun de ses concurrents. L’ex-ministre de François Hollande est arrivé en première position du scrutin avec 36,35 % des voix.L'ancien ministre est arrivé en tête du premier tour avec plus de 36% des voix.Benoît Hamon est parvenu à créer la sensation en arrivant en tête du premier tour de la primaire de la gauche, dimanche 22 janvier, avec plus de 36% des voix. D'abord dans une position d'outsider, l'ancien ministre de l'Education est parvenu à créer une dynamique autour de sa candidature. Franceinfo vous explique comment il a réussi à créer la surprise.L'ex ministre de l'Education, défenseur du revenu universel, est arrivé en tête de la primaire de la gauche, devant Manuel Valls. Récit d'une campagne "à la Fillon".C'est la surprise de la primaire de la gauche. Benoît Hamon termine en tête des suffrages au premier tour du scrutin de la Belle Alliance populaire, devant Manuel Valls. L'ancien ministre de l'Education, qui s'était fait débarquer du gouvernement à l'été 2014 en même temps qu'Arnaud Montebourg, est désormais le favori pour être le candidat du PS à la présidentielle. Un scénario « à la Fillon », qui était très, très loin d'être écrit au début de la campagne. Ira-t-il jusqu'au bout ?
Le candidat arrivé en tête du premier tour de la primaire propose un cocktail mêlant revenu universel, réformes institutionnelles et mesures environnementales.
C’est la surprise du premier tour : Benoît Hamon est arrivé en tête de la primaire à gauche, dimanche 22 janvier, avec 36,3 % des voix, selon les derniers résultats donnés par le Parti socialiste. L’ancien ministre a réussi son pari d’imposer ses idées au terme d’une campagne éclair. Voici les mesures phares de son programme, qui ont séduit une partie des électeurs de gauche.« Je serais un des sept candidats, je me poserais la question de la crédibilité de l’organisation », a lancé Thierry Solère qui avait organisé la primaire de la droite.
1ER TOURL'Obs - Résultats de la primaire à gauche : Hamon (36,0%) devant Valls (31,3%), Montebourg éliminé
Les résultats sont encore loin d'être définitifs. Mais les premières tendances, sur plus d'un tiers des bureaux de vote dépouillés, sont très claires. Benoît Hamon et Manuel Valls sont qualifiés pour le second tour de la primaire de la gauche. Arnaud Montebourg, éliminé, a annoncé son ralliement à Benoît Hamon. Le député des Yvelines est donc dans une position favorable pour le second tour face à l'ancien Premier ministre, qui a pour sa part enregistré le soutien de Sylvia Pinel.
Les Echos - Primaire du PS : le grand froid
Hamon et Valls lancent leur match dans un climat glacière pour le PS qui n’a pas été capable d’atteindre la barre des 2 millions de votants.
Une contre-performance et une surprise, laquelle l'emportera sur l'autre ? Le PS a raté ce dimanche sa première marche. Il espérait faire la démonstration de sa vitalité. Las. Avec environ 1,8 million de votants à sa primaire, le « coup de booster » attendu ressemble plutôt à un démarrage de 2 CV pour le futur candidat.
Le Monde - Primaire à gauche : ce qu’il faut retenir du premier tourLes premiers dépouillements donnent Benoît Hamon en tête avec 35 % des voix et Manuel Valls en deuxième position à 31 % des voix, dans un tiers des bureaux de vote. Les organisateurs ont par ailleurs annoncé une participation entre 1,5 et 2 millions de votants.
Deux mois après la primaire à droite, c’est au tour du Parti socialiste (PS) et de ses alliés de choisir leur candidat pour l’élection présidentielle. Après une campagne très courte, les 7 500 bureaux de vote ont ouvert à 9 heures dimanche 22 janvier à l’occasion du premier tour. Les électeurs pouvaient s’y rendre jusqu’à 19 heures.PRIMAIREBenoît Hamon, la surprise de ce premier tour. Manuel Valls relégué à la deuxième place. Arnaud Montebourg, « décroché ». Quelles alliances pour le second tour. Et l’avenir du Parti socialiste ? L’analyse d’Adelaïde Zulfikarpasic, directrice de BVA Opinion.C’est une surprise. À l’issue du premier tour de la primaire de la gauche, organisée par le PS, Benoît Hamon devance Manuel Valls. Les deux candidats, qui représentent deux lignes bien distinctes au sein de la gauche, s’affronteront au deuxième tour, dimanche 29 juin. L’analyse d’Adelaïde Zulfikarpasic, directrice de BVA Opinion.
Ecartelé entre des courants qui semblent difficilement conciliables, le Parti socialiste pourrait bien jouer sa survie avant même le premier tour de l'élection présidentielle.Combien d'électeurs vont-ils se déplacer pour voter à la primaire à gauche, les 22 et 29 janvier ? Et quelle en sera l'issue ? Pour certains ces questions n'ont guère d'importance, le Parti socialiste étant, à leurs yeux, d'ores et déjà disqualifié. La campagne qui se termine a pourtant révélé de fortes divergences entre les candidats et pourrait bien anticiper mutations et recompositions. Au moment où l'ensemble des partis sociaux-démocrates européens connaissent de graves difficultés, le politologue Fabien Escalona analyse la situation du PS à l'orée d'une année qui, sur le plan politique, pourrait bien constituer un tournant.
Le vent se lève - La gauche à la croisée des chemins – Entretien avec Emmanuel Maurel
Entretien avec Emmanuel Maurel, eurodéputé PS, animateur du courant Maintenant La Gauche au sein du PS et soutien d’Arnaud Montebourg pour les primaires du PS. Au programme : littérature, primaires du PS et crise de la social-démocratie européenne.
Vous êtes un des derniers littéraires de la classe politique. Lorsque l’on pense à François Mitterrand et à l’image qu’il s’est construite, l’homme de lettre, ayant un rapport charnel à la culture française, ressort immédiatement. Depuis trente ans, le personnel politique a subi un profond renouvellement, laissant toujours plus de place aux discours et aux logiques de gestionnaires. On pense évidemment à la fameuse « inversion de la courbe du chômage », et l’on voit parallèlement l’autorité de l’État s’affaiblir de plus en plus. Selon vous, quel rapport la culture littéraire entretient-elle avec la politique et avec l’autorité ?
PETITES PHRASES
L'Obs - "Les politiques partagent une langue très uniformisée. Sauf Mélenchon"
Parce qu'elle en avait marre des "petites phrases", la chercheuse Cécile Alduy a mouliné des millions de mots prononcés par les candidats à la présidentielle de 2017. Avec un objectif : comprendre "ce qu'ils disent vraiment". Edifiant.
NUMERIQUEUsine Digitale - Cinq chiffres à retenir sur les programmes des candidats à la primaire de gauche
Chaque semaine le think tank Renaissance Numérique décortique les propositions des candidats déclarés à la présidentielle 2017 (ou à l'une de ses primaires). Aujourd'hui, analyse quantitative des propositions numériques des candidats à la primaire de gauche, dont le premier tour est programmé ce 22 janvier.
INEGALITES FEMMES/HOMMESObservatoire des inégalités - Les inégalités entre les femmes et les hommes en France
17 janvier 2017 - Où en est-on des inégalités entre les femmes et les hommes ? L’Observatoire des inégalités présente son tableau de bord.
- Les inégalités entre les hommes et les femmes se réduisent en matière d’éducation
En France, les filles représentent 57 % des étudiants à l’université en 2015-2016 contre 43 % en 1960-1961. La situation s’est nettement améliorée ces cinquante dernières années pour elles. Mais les écarts persistent dans le choix des filières. Les filles représentent 75 % des étudiants en lettres et sciences humaines, mais seulement 25 % dans le domaine des sciences fondamentales qui mènent aux carrières les plus prestigieuses et les plus rémunératrices. Déjà au lycée, les filles sont moins nombreuses en série scientifique au moment du bac. Les modes de vie, l’éducation ou encore le fonctionnement du système éducatif expliquent ces choix d’orientation différenciés.
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Déclaration de Jean-Christophe Cambadélis
Déclaration de Jean-Christophe Cambadélis par PartiSocialiste -
Manuel Valls : « Pour le deuxième tour, rien n’est écrit »
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Discours de Vincent Peillon qui ne donne aucune consigne de vote
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Le vent se lève - « Les ouvriers sont les grands oubliés du gauchisme culturel qui domine l’univers médiatique » – Entretien avec Jack Dion
LVSL – Vous êtes directeur adjoint de l’hebdomadaire Marianne et vous êtes l’auteur de l’essai, Le mépris du peuple : Comment l’oligarchie a pris la société en otage, paru en 2015 aux éditions Les Liens qui Libèrent. Dans cet ouvrage, vous pointiez la manière dont les catégories populaires ont été rendues invisibles et suspectes par une caste qui dispose de tous les leviers de pouvoir. Est-on revenu à l’image très XIXème siècle des « classes dangereuses » ?
Il y a un peu de ça, mais le contexte est très différent. Marx disait : un spectre hante l’Europe, le communisme. Aujourd’hui, on pourrait dire : un spectre hante le monde, le populisme. On emploie ce mot valise pour tout et n’importe quoi. On l’évoque aussi bien pour le Brexit que pour la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, pour la défaite de Renzi en Italie que pour la percée de Poutine sur la scène internationale. En France, on l’utilise pour jeter dans le même sac d’opprobre ceux qui se trompent de colère en votant FN et ceux qui sont sensibles à la musique alternative d’un Jean-Luc Mélenchon, par exemple.
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Faut-il de nouveau défiscaliser les heures supplémentaires ?
17 janvier 2017
par Eric Heyer
Près de 10 ans après son instauration par le gouvernement Fillon dans la Loi TEPA d’octobre 2007 et 5 ans après son abrogation par le gouvernement Ayrault en septembre 2012, la défiscalisation des heures supplémentaires a refait surface à la faveur des primaires de l’élection présidentielle. Nicolas Sarkozy l’a notamment mise en avant lors des primaires de la droite et du centre et Manuel Valls l’a inscrite dans son programme des primaires de gauche.
Quel bilan peut-on tirer de la défiscalisation des heures supplémentaires au cours des années 2008 et 2011 ?
La défiscalisation des heures supplémentaires et son exonération de cotisations sociales poursuivent trois objectifs : accroître le pouvoir d’achat de ceux qui travaillent, réduire le coût du travail et inciter à une durée du travail plus longue.
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