Le Monde - Primaire à gauche : un troisième débat et quelques affrontements pour finir la campagne
Les sept candidats ont débattu sur plusieurs sujets, de la santé, à la justice en passant par l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche.
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Le Monde - Primaire à gauche : un troisième débat et quelques affrontements pour finir la campagne
Les sept candidats ont débattu sur plusieurs sujets, de la santé, à la justice en passant par l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche.
Jérôme Sainte-Marie est politologue, et préside la société d’études et de conseil PollingVox. Il a récemment écrit Le nouvel ordre démocratique aux Editions du moment où il analyse la crise de confiance généralisée envers le système représentatif en France. Il a accepté de répondre à nos questions alors que les commentateurs traditionnels de la vie politique, dont les analyses ont été régulièrement démenties ces dernières années, font face à une remise en cause croissante de leur légitimité.
Impossible de commencer sans évoquer la crise de légitimité que traverse actuellement le milieu du sondage politique. Que ce soit dans le cas du Brexit, des élections aux États-Unis ou de la primaire de la droite en France, les pronostics se sont presque toujours avérés faux. Vous dirigez vous-même un institut de sondage, comment analysez-vous cette situation ?
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Le Monde - Comparez les programmes des candidats à la primaire de la gauche
« Le Monde » a étudié les programmes des sept candidats à l’investiture pour la présidentielle afin d’en faciliter la compréhension en comparant leurs prises de position.
Nous avons recensé ce qui distingue les sept candidats de la primaire de la « Belle alliance populaire », qui regroupe le Parti socialiste et ses alliés.
Paris - Au-delà d'un socle commun, les sept candidats à la primaire du Parti socialiste et de ses alliés divergent sur des thèmes emblématiques comme l'Europe, le nucléaire ou le revenu universel.
Ils s'opposent aussi sur le bilan de la présidence de François Hollande, attaqué surtout par Benoît Hamon et Arnaud Montebourg.
Sud Radio - Sondage présidentielle : Manuel Valls crédité de 10 % au 1er tour
L’ancien Premier ministre, s’il remporte la primaire de la gauche, ne se classerait que 5e du premier tour de la présidentielle, avec seulement 10,5 % des suffrages, d’après le baromètre de la présidentielle Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Il incarne la déroute du Parti socialiste, devancé par Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron, François Fillon et Marine Le Pen.
France 24 - "Cette primaire sera un succès si on mobilise au moins 1,5 million d’électeurs"
Le président du Comité national d'organisation de la primaire élargie du Parti socialiste Christophe Borgel espère que les primaires citoyennes vont créer une dynamique auprès des électeurs de gauche en vue de l'élection présidentielle. Entretien.
LE PREMIER DEBAT
Le Monde - Revivez le premier débat entre les candidats de la primaire à gauche
Marianne - Social : la cohérence singulière d’Arnaud Montebourg
Inspiré par le plan de relance déployé outre-Atlantique dès 2008 par Barack Obama, le candidat auto-proclamé de la feuille de paie, du pouvoir d’achat, ne défend pas comme Benoît Hamon, un revenu universel. Mais refuse obstinément que les Français payent d’angoisses et d’impôts supplémentaires le rétablissement de leur pays.
Libé - Montebourg : «Du travail, il y en a, le problème, c’est qu’il est mal payé»
Face à la rédaction, le candidat à la primaire PS a défendu sa vision d’une société dans laquelle «la question du salaire est centrale» pour sortir de la crise. Et développé ses propositions sur l’Europe, l’écologie, l’éducation ou la «VIe République».
Arnaud Montebourg est malin. Avant de se faire cuisiner par la rédaction de Libération, il commence par une ode au journalisme : «L’information a besoin d’être triée, résumée, détaillée. Votre boulot participe de la construction d’une offre nouvelle.» Suivent deux heures d’échanges pendant lesquelles l’ex-ministre de l’Economie tente de convaincre que son offre à lui est aujourd’hui en mesure de remporter la primaire à gauche.
Le Monde - Montebourg dévoile son « made in France » culturel
Le candidat à la primaire de gauche propose d’augmenter de 2,5 milliards le budget de la rue de Valois et de crééer une agence nationale pour l’éducation artistique.
Dans le cadre de la primaire de la gauche, Explorimmo a interrogé les 7 candidats en lice. Immobilier, construction, urbanisme, fiscalité…voici les réponses d'Arnaud Montebourg .
HAMON
Thimotée Duverger - La candidature de Benoît Hamon ou l’invention d’une deuxième gauche radicale
Ça y est. Benoît Hamon a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle et à la primaire de la gauche organisée par le Parti socialiste. Après avoir laissé planer le doute sur ses intentions ces derniers mois, il les a finalement clarifiées au JT de France 2 cette semaine. Si on connaît Benoît Hamon comme un ancien ministre devenu frondeur – ce qui ne résume qu’une position sur un échiquier politique –, les ressorts et la cohérence de son projet politique restent à découvrir.
Le Point - Benoît Hamon affiche ses ambitions pour l'éducation
L'ex-ministre a dévoilé ses mesures. Il souhaite lutter "contre les inégalités" en embauchant notamment près de 40 000 enseignants de plus en cinq ans.
À peine rentré des Landes et attendu le soir même à Montpellier pour un meeting, c'est en coup de vent que Benoît Hamon est venu présenter, ce mardi, dans son QG de la tour Montparnasse, son programme sur les questions d'éducation. L'éphémère ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche – 147 jours en poste, exactement, dans le gouvernement Valls I – a d'emblée donné l'orientation générale de ses propositions sur l'école et l'université : « Je continuerai de faire de la lutte contre les inégalités ma priorité, comme elle l'a été lorsque j'étais Rue de Grenelle », a-t-il affirmé, fermement mais rapidement, le regard porté sur ses conseillers qui tapotaient leur montre. Lui qui aime tant se perdre dans les digressions a forcé sa nature et s'est contenté d'exposer, point par point, ses propositions.
Huffington Post - Benoît Hamon, le candidat socialiste préféré des écologistes
En plaçant l'écologie au coeur de son programme, le candidat à la primaire de la gauche espère séduire au-delà de la sphère socialiste.
Il n'est pas favori mais la dynamique est (pour l'heure) de son côté. En progression dans les intentions de vote comme dans les souhaits de victoire à deux semaines du premier tour de la primaire de la gauche, l'outsider Benoît Hamon impose peu à peu sa ligne sociale-écologique dans les débats. Face au challenger Arnaud Montebourg et au rouleau-compresseur Manuel Valls, l'éphémère ministre de l'Education assume la radicalité d'un programme tournant définitivement le dos à la croissance à tout prix, qui a pourtant toujours été la colonne vertébrale idéologique du Parti socialiste
Slate - Que se passe-t-il autour de Benoît Hamon?
Après la victoire de Donald Trump, après la victoire du Brexit, après celle de François Fillon à la primaire de la droite, les médias juraient qu’on ne les y reprendrait pas. La dictature des sondages était terminée. Le temps des reportages était venu, afin de mieux saisir une réalité qui leur échappait de plus en plus franchement. Mais voilà, la tentation était bien trop grande: la primaire de la gauche s’annonçait sans relief et le retour des ex-ministres Valls, Montebourg, Peillon ou Hamon après le renoncement de Hollande n’excitait guère les journalistes et passionnait encore moins les foules. Il fallait une dramaturgie, un romantisme comparable à celui qui fit basculer les lignes au dernier moment lors de la primaire de droite. Et si Benoît Hamon était la surprise de ce scrutin? C’est en tout cas, depuis plusieurs jours, la nouvelle hype du moment. En août dernier, pour Le Monde, il cherchait encore «son élan». Aujourd'hui, on lit des titres comme celui-ci: «À Nancy, Benoît Hamon savoure sa popularité naissante».
VALLS
Explorimmo - Logement : le programme de Manuel Valls
Dans le cadre de la primaire de la gauche, Explorimmo a interrogé les 7 candidats en lice. Immobilier, construction, urbanisme, fiscalité…voici les réponses de Manuel Valls.
PEILLON
Le Monde - Vincent Peillon peut-il se targuer d’avoir rassemblé la gauche et le centre ?
Le candidat à la primaire à gauche revendique le fait d’être déjà parvenu à construire une union « de Robert Hue à Marielle de Sarnez ». Un épisode qui remonte à un éphémère rassemblement en 2009-2010.
Capital - Primaires de la gauche : le programme de Vincent Peillon en 10 points
L’eurodéputé Vincent Peillon, candidat surprise à la primaire de la gauche en vue de l’élection présidentielle, ne cesse de faire parler de lui et de son programme. Découvrez les 10 mesures clés de l’ancien ministre de l’éducation nationale de François Hollande.
Explorimmo - Logement : le programme de Vincent Peillon
Dans le cadre de la primaire de la gauche, Explorimmo a interrogé les 7 candidats en lice. Immobilier, construction, urbanisme, fiscalité…voici les réponses de Vincent Peillon.
MINIMUM DECENT/REVENU UNIVERSEL
Le Monde - Primaire à gauche : le revenu universel crée un nouveau clivage
La proposition portée par Benoît Hamon a été rejetée par les autres candidats à la primaire pendant le premier débat télévisé.
Le revenu de base a fait irruption dans la campagne présidentielle sous l’impulsion de Benoît Hamon qui l’a mis au cœur de son programme, rejoignant ici le candidat d’EELV, Yannick Jadot. Allons voir de plus près cette proposition qui compte de nombreux partisans, aussi bien dans la droite ultra-libérale que dans l’écologie politique et désormais dans la gauche radicale-réformiste-écolo que veut incarner Benoît Hamon…
AlterEco - Comment simplifier les minima sociaux ?
Il existe en France dix minima sociaux différents, versés à des personnes qui ne disposent que de revenus personnels faibles ou nuls. Ils font ainsi vivre le dixième le plus pauvre de la population de notre pays. Les plus connus sont le revenu de solidarité active (RSA, 4 millions de personnes concernées), l'allocation aux adultes handicapés (AAH, 1,5 million), le minimum vieillesse (désormais Aspa, allocation de solidarité aux personnes âgées, 0,5 million) et l'allocation de solidarité spécifique (ASS, 0,4 million). Chacune de ces aides sociales nécessite des démarches parfois complexes et répétées
Le problème est que chacune de ces aides sociales répond à des règles particulières, verse des montants différents et nécessite des démarches parfois complexes et répétées. Ainsi le RSA d'une famille est diminué du montant des allocations familiales perçu, ce qui n'est le cas ni de l'AAH ni de l'ASS. Enfin, on constate d'importants - et inexplicables - écarts dans le montant des ressources que ces différents minima apportent aux personnes concernées.
Vidéo d’une adhérente du Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB), Virginie Deleu, qui défend ici le revenu universel dans le cadre du TEDxValenciennes.
La Fondation Jean-Jaurès est partenaire du journal Le Parisien - Aujourd’hui en France pour la série « Demandez le programme ». Jusqu’au 22 janvier, les principaux candidats à la primaire de la gauche défendront leur programme et répondront aux questions des journalistes de la rédaction et de Gilles Finchelstein lors d’un débat au siège du Parisien. Après Arnaud Montebourg et Manuel Valls, la troisième édition se tient avec Vincent Peillon.
Celui-ci évoque ici le programme et la vision de François Fillon.
"Le patriotisme économique, c'est important" par francetvinfo
L’idée que les robots vont remplacer massivement le travail humain fait son chemin. L’auteur essaie de montrer que, si le progrès technique change effectivement le travail en profondeur, nous n’allons pas connaître de sitôt la « fin du travail » et la robotisation généralisée. Ce second article (qui peut être lu séparément du premier) montre pourquoi la robotisation sera beaucoup plus lente que beaucoup ne le pensent. Pour le premier volet, c’est ici.
L’erreur qui me paraît peut-être la plus fondamentale, du rapport Nora-Minc hier (cf. précédent article) comme de l’étude Frey-Osborne aujourd’hui, réside en une phrase : ce n’est pas parce qu’une technologie existe qu’elle s’impose automatiquement ! Il y a de multiples contraintes à la mise en place d’une technologie.
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