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  • Le Figaro - Profs, médecins, policiers... Ils brisent la loi du silence

    Confrontés au quotidien à la radicalisation des banlieues, des acteurs de terrain témoignent dans Une France soumise, de Georges Besoussan.

    Pour garantir leur sécurité, ils s'expriment anonymement.

    Hélène, fonctionnaire préfectorale

    Il y a deux ans, j'ai décidé de changer de fonctions et d'aller confronter mes expertises sur les politiques publiques au terrain des banlieues que l'on dénomme aujourd'hui «quartiers populaires». […]

    Mon arrivée dans la commune coïncidait avec le mois de ramadan. Le quartier était désert, les commerces fermés, les stores de métal baissés. Pas âme qui vive en début d'après-midi. Comme dans tous les quartiers prioritaires en France, les commerces sont presque exclusivement communautaires et ethniques. De ce fait, les interdits sont plus facilement respectés. […] Les premiers jours dans mon poste ont été difficiles. J'avais envie de fuir, de retrouver un territoire où je retrouverai une vie «à la française». Je me sentais épiée, regardée, véritablement étrangère dans une cité où je croisais des gens vêtus selon un code religieux.

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  • Le Monde - Primaire à gauche : Manuel Valls parfois isolé dans un deuxième débat plus animé

    A une semaine du premier tour et quatre jours avant un troisième débat, les candidats ont fait valoir leurs différences sur les questions migratoire et environnementale.

    Autant le premier débat, il y a trois jours, avait semblé terne, autant ce deuxième débat, dimanche 15 janvier, aura davantage fait émerger de divergences entre les sept candidats de la primaire à gauche en vue de la présidentielle.

    Et en particulier celles de l’ancien premier ministre Manuel Valls avec ses six concurrents : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon (Parti socialiste), Sylvia Pinel (Parti radical de gauche), François de Rugy (Parti écologiste) et Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate).

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  • La revue de presse spéciale 1er tour des "primaires citoyennes" (1)

    LA PRIMAIRE

    Le Monde - Comparez les programmes des candidats à la primaire de la gauche

    Le Monde, Les décodeurs - Primaire de la gauche : ce que révèle la comparaison des programmes des candidats

    « Le Monde » a étudié les programmes des sept candidats à l’investiture pour la présidentielle afin d’en faciliter la compréhension en comparant leurs prises de position.

    Sept personnalités, plus de quatre-vingts grands sujets et huit cents propositions. Deux mois après un travail similaire sur la primaire de la droite, Le Monde a étudié les programmes des candidats à la primaire de la gauche, qui se tiendra les 22 et 29 janvier, pour en faciliter la compréhension et ainsi comparer leurs prises de position. Voici comment nous avons procédé.
     

    Nous avons recensé ce qui distingue les sept candidats de la primaire de la « Belle alliance populaire », qui regroupe le Parti socialiste et ses alliés.

    Paris - Au-delà d'un socle commun, les sept candidats à la primaire du Parti socialiste et de ses alliés divergent sur des thèmes emblématiques comme l'Europe, le nucléaire ou le revenu universel.

    Ils s'opposent aussi sur le bilan de la présidence de François Hollande, attaqué surtout par Benoît Hamon et Arnaud Montebourg.

    Sud Radio - Sondage présidentielle : Manuel Valls crédité de 10 % au 1er tour

    L’ancien Premier ministre, s’il remporte la primaire de la gauche, ne se classerait que 5e du premier tour de la présidentielle, avec seulement 10,5 % des suffrages, d’après le baromètre de la présidentielle Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Il incarne la déroute du Parti socialiste, devancé par Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron, François Fillon et Marine Le Pen.

    France 24 - "Cette primaire sera un succès si on mobilise au moins 1,5 million d’électeurs"

    Le président du Comité national d'organisation de la primaire élargie du Parti socialiste Christophe Borgel espère que les primaires citoyennes vont créer une dynamique auprès des électeurs de gauche en vue de l'élection présidentielle. Entretien.

    LE PREMIER DEBAT

    Le Monde - Revivez le premier débat entre les candidats de la primaire à gauche  

    Les sept candidats à la primaire de la gauche ont défendu leurs positions lors de cette première confrontation télévisée.
     
     
    Si la plupart des candidats à la primaire ont déroulé leurs propositions, seul Peillon a attaqué directement les idées de ses adversaires.
     
     
    Pro et calqué sur celui de la droite, le dispositif déployé sur TF1 pour le débat de la primaire de la gauche ne permet pas vraiment à un candidat de se distinguer.
     
     
     
    Chacun dans son couloir, sans mordre la ligne: les sept candidats à la primaire élargie du PS ont affiché leurs divergences jeudi soir, notamment sur le bilan de François Hollande, la loi travail et le revenu universel, mais sans acrimonie.
     
    MONTEBOURG

    Marianne - Social : la cohérence singulière d’Arnaud Montebourg

    Inspiré par le plan de relance déployé outre-Atlantique dès 2008 par Barack Obama, le candidat auto-proclamé de la feuille de paie, du pouvoir d’achat, ne défend pas comme Benoît Hamon, un revenu universel. Mais refuse obstinément que les Français payent d’angoisses et d’impôts supplémentaires le rétablissement de leur pays.

    Libé - Montebourg : «Du travail, il y en a, le problème, c’est qu’il est mal payé»

    Face à la rédaction, le candidat à la primaire PS a défendu sa vision d’une société dans laquelle «la question du salaire est centrale» pour sortir de la crise. Et développé ses propositions sur l’Europe, l’écologie, l’éducation ou la «VIe République».

    Arnaud Montebourg est malin. Avant de se faire cuisiner par la rédaction de Libération, il commence par une ode au journalisme : «L’information a besoin d’être triée, résumée, détaillée. Votre boulot participe de la construction d’une offre nouvelle.» Suivent deux heures d’échanges pendant lesquelles l’ex-ministre de l’Economie tente de convaincre que son offre à lui est aujourd’hui en mesure de remporter la primaire à gauche.

    Le Monde - Montebourg dévoile son « made in France » culturel

    Le candidat à la primaire de gauche propose d’augmenter de 2,5 milliards le budget de la rue de Valois et de crééer une agence nationale pour l’éducation artistique.

    Au moins, c’est clair : Arnaud Montebourg est arrivé à la Maison de la poésie, à Paris, lundi 9 janvier vers 20 heures, avec Aurélie Filippetti, l’ancienne ministre de la culture et de la communication (2012-2014) de François Hollande, qui est aussi sa compagne. « Je fais mon miel de ses propositions ! », a lancé le candidat à la primaire à gauche – laquelle aura lieu les 22 et 29 janvier – en vue de l’élection présidentielle. L’ancien ministre de l’économie, du redressement productif et du numérique (2012-2014) a remercié « Aurélie » pour son action rue de Valois, citant sa défense de l’exception culturelle au sein de l’Europe, et son combat pour préserver le régime des intermittents du spectacle, en France.
     

    Dans le cadre de la primaire de la gauche, Explorimmo a interrogé les 7 candidats en lice. Immobilier, construction, urbanisme, fiscalité…voici les réponses d'Arnaud Montebourg .

    Libé - Changement climatique : Pour Arnaud Montebourg, 50 nuances de schiste
     
    Arnaud Montebourg le répète depuis quelques semaines : il ne veut pas de gaz de schiste. Une position qui ne manque pas de faire rire (jaune) les écologistes : son ancien collègue au gouvernement, l’ancien ministre socialiste de l’environnement Philippe Martin (aujourd’hui soutien de Benoît Hamon)
     
    Libé - DESINTOX Montebourg se plante (encore et toujours) sur la baisse du pouvoir d'achat sous Hollande
     
    Le candidat a dénoncé la baisse de 580 euros par an et par ménage ces dernières années en raison des impôts. Faux.

    HAMON

    Thimotée Duverger - La candidature de Benoît Hamon ou l’invention d’une deuxième gauche radicale

    Ça y est. Benoît Hamon a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle et à la primaire de la gauche organisée par le Parti socialiste. Après avoir laissé planer le doute sur ses intentions ces derniers mois, il les a finalement clarifiées au JT de France 2 cette semaine. Si on connaît Benoît Hamon comme un ancien ministre devenu frondeur – ce qui ne résume qu’une position sur un échiquier politique –, les ressorts et la cohérence de son projet politique restent à découvrir.

    Le Point - Benoît Hamon affiche ses ambitions pour l'éducation

    L'ex-ministre a dévoilé ses mesures. Il souhaite lutter "contre les inégalités" en embauchant notamment près de 40 000 enseignants de plus en cinq ans.

    À peine rentré des Landes et attendu le soir même à Montpellier pour un meeting, c'est en coup de vent que Benoît Hamon est venu présenter, ce mardi, dans son QG de la tour Montparnasse, son programme sur les questions d'éducation. L'éphémère ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche – 147 jours en poste, exactement, dans le gouvernement Valls I – a d'emblée donné l'orientation générale de ses propositions sur l'école et l'université : « Je continuerai de faire de la lutte contre les inégalités ma priorité, comme elle l'a été lorsque j'étais Rue de Grenelle », a-t-il affirmé, fermement mais rapidement, le regard porté sur ses conseillers qui tapotaient leur montre. Lui qui aime tant se perdre dans les digressions a forcé sa nature et s'est contenté d'exposer, point par point, ses propositions.

    Huffington Post - Benoît Hamon, le candidat socialiste préféré des écologistes

    En plaçant l'écologie au coeur de son programme, le candidat à la primaire de la gauche espère séduire au-delà de la sphère socialiste.

    Il n'est pas favori mais la dynamique est (pour l'heure) de son côté. En progression dans les intentions de vote comme dans les souhaits de victoire à deux semaines du premier tour de la primaire de la gauche, l'outsider Benoît Hamon impose peu à peu sa ligne sociale-écologique dans les débats. Face au challenger Arnaud Montebourg et au rouleau-compresseur Manuel Valls, l'éphémère ministre de l'Education assume la radicalité d'un programme tournant définitivement le dos à la croissance à tout prix, qui a pourtant toujours été la colonne vertébrale idéologique du Parti socialiste

    Slate - Que se passe-t-il autour de Benoît Hamon?

    Après la victoire de Donald Trump, après la victoire du Brexit, après celle de François Fillon à la primaire de la droite, les médias juraient qu’on ne les y reprendrait pas. La dictature des sondages était terminée. Le temps des reportages était venu, afin de mieux saisir une réalité qui leur échappait de plus en plus franchement. Mais voilà, la tentation était bien trop grande: la primaire de la gauche s’annonçait sans relief et le retour des ex-ministres Valls, Montebourg, Peillon ou Hamon après le renoncement de Hollande n’excitait guère les journalistes et passionnait encore moins les foules. Il fallait une dramaturgie, un romantisme comparable à celui qui fit basculer les lignes au dernier moment lors de la primaire de droite. Et si Benoît Hamon était la surprise de ce scrutin? C’est en tout cas, depuis plusieurs jours, la nouvelle hype du moment. En août dernier, pour Le Monde, il cherchait encore «son élan». Aujourd'hui, on lit des titres comme celui-ci: «À Nancy, Benoît Hamon savoure sa popularité naissante»

    VALLS

    Explorimmo - Logement : le programme de Manuel Valls

    Dans le cadre de la primaire de la gauche, Explorimmo a interrogé les 7 candidats en lice. Immobilier, construction, urbanisme, fiscalité…voici les réponses de Manuel Valls.

    PEILLON

    Le Monde - Vincent Peillon peut-il se targuer d’avoir rassemblé la gauche et le centre ?

    Le candidat à la primaire à gauche revendique le fait d’être déjà parvenu à construire une union « de Robert Hue à Marielle de Sarnez ». Un épisode qui remonte à un éphémère rassemblement en 2009-2010.

    Capital - Primaires de la gauche : le programme de Vincent Peillon en 10 points

    L’eurodéputé Vincent Peillon, candidat surprise à la primaire de la gauche en vue de l’élection présidentielle, ne cesse de faire parler de lui et de son programme. Découvrez les 10 mesures clés de l’ancien ministre de l’éducation nationale de François Hollande.

    Explorimmo - Logement : le programme de Vincent Peillon

    Dans le cadre de la primaire de la gauche, Explorimmo a interrogé les 7 candidats en lice. Immobilier, construction, urbanisme, fiscalité…voici les réponses de Vincent Peillon.

    MINIMUM DECENT/REVENU UNIVERSEL

    Le Monde - Primaire à gauche : le revenu universel crée un nouveau clivage

    La proposition portée par Benoît Hamon a été rejetée par les autres candidats à la primaire pendant le premier débat télévisé.

    C’était le thème principal de la soirée du premier débat de la primaire de la gauche. Les sept candidats de La Belle Alliance populaire auront égrené leurs propositions en termes d’économie et de social pendant plus d’une heure et quart sur les quelque deux heures et demie de l’émission. Mais si tous les sujets ont été balayés, du chômage à la fiscalité des ménages en passant par les allégements de charges accordés aux entreprises, un thème a semblé, jeudi soir, se détacher du lot : celui du revenu universel, proposition phare de Benoît Hamon.
     
    Libé - Rififi au PS Revenu universel, épisode 2 : le camp Hamon contre-attaque
     
    Critiqué par ses principaux concurrents à la primaire de la «Belle Alliance populaire» pour sa proposition d'instaurer le revenu universel, Benoît Hamon, via ses soutiens, réplique. Plus ou moins adroitement.
     

    Le revenu de base a fait irruption dans la campagne présidentielle sous l’impulsion de Benoît Hamon qui l’a mis au cœur de son programme, rejoignant ici le candidat d’EELV, Yannick Jadot. Allons voir de plus près cette proposition qui compte de nombreux partisans, aussi bien dans la droite ultra-libérale que dans l’écologie politique et désormais dans la gauche radicale-réformiste-écolo que veut incarner Benoît Hamon…

    AlterEco - Comment simplifier les minima sociaux ?

    Il existe en France dix minima sociaux différents, versés à des personnes qui ne disposent que de revenus personnels faibles ou nuls. Ils font ainsi vivre le dixième le plus pauvre de la population de notre pays. Les plus connus sont le revenu de solidarité active (RSA, 4 millions de personnes concernées), l'allocation aux adultes handicapés (AAH, 1,5 million), le minimum vieillesse (désormais Aspa, allocation de solidarité aux personnes âgées, 0,5 million) et l'allocation de solidarité spécifique (ASS, 0,4 million). Chacune de ces aides sociales nécessite des démarches parfois complexes et répétées

    Le problème est que chacune de ces aides sociales répond à des règles particulières, verse des montants différents et nécessite des démarches parfois complexes et répétées. Ainsi le RSA d'une famille est diminué du montant des allocations familiales perçu, ce qui n'est le cas ni de l'AAH ni de l'ASS. Enfin, on constate d'importants - et inexplicables - écarts dans le montant des ressources que ces différents minima apportent aux personnes concernées.

  • Primaire de gauche : un deuxième débat "décoincé" et plus vivant

  • Le Monde - Revivez le suivi en direct du deuxième débat de la primaire à gauche

    A une semaine du premier tour, les sept candidats de la primaire à gauche ont à nouveau débattu, cette fois sur le plateau de BFM-TV, RMC et i-Télé.
     
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  • Le Figaro - Décoloniser la philosophie : «Bêtise et totalitarisme de la pensée ont encore frappé»

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - A Londres, un syndicat étudiant souhaite limiter l'étude des «philosophes blancs». Pour Laurent Bouvet, «la recherche permanente de damnés de la terre a conduit certains, à gauche, vers les rivages incertains d'un nouveau racisme».

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  • « Demandez le programme » avec Manuel Valls, partie 3

    La Fondation Jean-Jaurès est partenaire du journal Le Parisien - Aujourd’hui en France pour la série « Demandez le programme ». Jusqu’au 22 janvier, les principaux candidats à la primaire de la gauche défendront leur programme et répondront aux questions des journalistes de la rédaction et de Gilles Finchelstein lors d’un débat au siège du Parisien.

  • L'Express - Primaire PS: 2e round télévisé pour les sept candidats

    Paris - Après un premier débat très policé, les sept candidats à la primaire initiée par le PS se retrouvent dimanche sur BFMTV, iTELE et RMC pour un deuxième round, une semaine jour pour jour avant le premier tour.

    Diffusé à 18H00, ce débat de deux heures et demie animé par Ruth Elkrief (BFMTV), Laurence Ferrari (iTélé) et Laurent Neumann (RMC) traitera de sujets distincts du premier, selon des règles de temps de parole légèrement différents.  

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  • Non Fiction - Comment sommes-nous représentés ? (Myriam Revault d’Allonnes)

    Résumé : Une généalogie philosophique du concept de représentation politique qui fait apparaître son caractère paradoxal.

    Dans Le miroir et la scène, Myriam Revault d’Allonnes, philosophe et professeur émérite des universités à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, s’efforce de penser à nouveaux frais la représentation politique. La force de son argumentation est de ne pas réduire la représentation à sa dimension juridico-politique. Plutôt que de se focaliser, comme maints auteurs, sur la crise de la représentation en la posant, d’une part, comme un fait établi et, d’autre part, en l’assignant à un problème reposant, avant tout, aux représentants, elle remet en question l’authenticité d’une « crise de la représentation ». Contre l’évidence acquise de celle-ci, elle étaie, dans un premier temps, que le concept de « crise » n’est pas idoine à la situation. D’où la thèse qu’il faudrait penser, d’abord, la représentation des capacités plutôt que celle des identités. Les propos laconiques ou acerbes de citoyens consistant à déplorer leur mauvaise représentation soulignent leur statut passif. Or il ne suffit pas les représentants nous représentent comme un miroir pour que la représentation politique soit juste et authentique. Plutôt que penser la représentation en termes d’identité, il faudrait faire prévaloir, ce que Spinoza appelle « la puissance d’agir ».

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