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Discours au colloque "La Démocratie face au terrorisme"
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François Hollande est-il déjà candidat ?
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Point presse de Corinne Narassiguin - 5 septembre 2015
Point presse de Corinne Narassiguin - 5... par PartiSocialiste -
Laurence Rossignol : 40% des femmes victimes d’une humiliation ou d’une injustice liée à leur sexe
Laurence Rossignol : 40% des femmes victimes d... par franceinter -
L'Observatoire des inégalités - Refonder enfin l’école
29 août 2016 - Moderniser les contenus, favoriser la mixité sociale, apporter davantage d’aide au sein de la classe aux élèves en difficulté : contre les inégalités, l’école peut mieux faire. Par Marie Duru-Bellat, sociologue, chercheuse à l’Observatoire sociologique du changement et à l’Institut de recherche en Éducation.
Les parcours scolaires constituent un enjeu capital, tout spécialement dans notre pays, dès lors que les diplômes régissent l’accès aux professions et sont donc le vecteur d’une possible mobilité sociale. Dans une société où tant les positions de départ (les familles des élèves) que les positions d’arrivée (visées pour les enfants) sont inégales, réaliser une véritable égalité des parcours reste un challenge. Pour esquisser quelques pistes d’action possibles, il faut partir des principaux mécanismes par lesquels se mettent en place les inégalités sociales de parcours scolaires.
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L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 10
L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 10 par PartiSocialiste -
Jeudis de l'IMA - Questions philosophiques à l’islam contemporain
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Observatoire des inégalités - L’argent est redevenu un facteur essentiel d’inégalités scolaires
1er septembre 2016 - Cours privés, voyages à l’étranger, filières privées... le niveau de vie des parents devient de plus en plus déterminant dans la réussite scolaire des enfants, engendrant de nouvelles inégalités devant l’école. L’analyse d’Arnaud Parienty, professeur de sciences économiques et sociales et auteur de « School business » (La Découverte, 2015).
L’école en France est toujours supposée être celle de Jules Ferry, publique, gratuite, laïque et obligatoire. Mais la situation a progressivement évolué et le changement s’est accéléré ces dernières années ; si bien qu’aujourd’hui, la France est un pays où l’argent des familles joue un rôle déterminant dans la réussite scolaire des enfants, engendrant de nouvelles inégalités devant l’école.
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L'actualité des socialistes du 26 août au 1er septembre
A LA UNE
OFCE - La baisse du chômage annoncée par l’Insee confirmée en juillet par Pôle emploi
Département Analyse et prévision (Equipe France)
Les chiffres du chômage du mois de juillet 2016 publiés par Pôle Emploi font apparaître, après les deux hausses consécutives de mai (+ 9 200) et juin (+ 5 400), une baisse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) n’exerçant aucune activité (catégorie A) de 19 100 personnes en France métropolitaine. Sur les trois derniers mois la baisse est de 4 500 personnes et sur un an, le nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité s’est réduit de 44 100 individus. Ces évolutions viennent confirmer l’amélioration du marché du travail en France depuis le début de l’année et confirmée à la mi-août par la publication de l’INSEE du chômage au sens du BIT (cf. ci-dessous). Le chômage de longue durée a amorcé sa décrue (-2,2 % sur les trois derniers mois) alors même qu’il n’avait cessé de croître depuis la fin de l’année 2008 et le chômage des seniors continue de s’infléchir légèrement (-0,2 % sur 3 mois). Notons toutefois que la montée en charge du plan de formation instauré par François Hollande au début de l’année explique en partie ces évolutions encourageantes. Ainsi, au cours des 3 derniers mois, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie D a crû de 10,1 %, soit près de 30 000 personnes supplémentaires, sous l’effet principalement des entrées dans les dispositifs de formation comptabilisées dans cette catégorie[1].
Le Parisien - Hamon, Montebourg : à qui le label anti-Hollande ?
PS. Autrefois alliés, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg sont aujourd'hui rivaux pour incarner l'alternative à gauche à la présidentielle. Mais jusqu'à quand ?
La Tribune - "Sans parti politique, Macron n'a aucune chance d'être président"
Pour le politologue Stéphane Rozès, Emmanuel Macron doit son actuelle popularité à son positionnement original, pro-réforme, dans un gouvernement de gauche. Mais mener campagne pour la présidentielle en se posant au centre et surtout sans le soutien d'un parti politique, c'est courir droit à l'échec
HAMON
L'Obs - Benoît Hamon, à gauche mais pas trop
Pour son premier meeting de campagne, le chef de file de l’aile gauche du PS a tenu un discours rassembleur, s’efforçant de se placer au centre de gravité des différentes sensibilités de la gauche et des écologistes.
L'Express - Primaire PS: comment Benoît Hamon tente de se démarquer d'Arnaud Montebourg
Une semaine après son ancien collègue du gouvernement, le député socialiste des Yvelines a tenu ce dimanche à Saint-Denis son premier meeting de campagne. L'occasion de faire entendre quelques divergences avec son principal rival de l'aile gauche du PS.
Libé - Hamon : «Je ne vais pas jouer le bonobo de la Ve République»
À Saint-Denis, le député des Yvelines lance sa campagne pour la primaire à gauche. Avec un premier objectif : démontrer que sa candidature est différente de celles de Montebourg ou Mélenchon.
Libé - «Ce serait bien qu’on ait une doublette Hamon-Montebourg»
A Saint-Denis, le député des Yvelines, Benoît Hamon, a débuté son «rassemblement pour gagner en 2017», point de départ de sa campagne pour la primaire à gauche. Rencontre avec des militants qui espèrent voir Hamon et Montebourg s’entendre vite.
Le Point - Benoît Hamon lance sa campagne à Saint-Denis
Il avait pris de vitesse la semaine dernière son ancien comparse Arnaud Montebourg, en annonçant quelques jours avant lui sa candidature à la présidentielle.
Le Parisien - La lettre aux Français de Benoît Hamon
Sitôt sa candidature déclarée, le 16 août dernier, Benoît Hamon a pris la plume. Pour écrire le discours qu'il prononcera dimanche, lors d'un meeting à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Mais pas que. Le candidat à la primaire PS avait un autre texte sur le métier. Une «lettre aux Français» (voir document ci-dessous), que nous dévoilons et qui sera éditée à plus de 300 000 exemplaires et distribuée à partir de lundi.
Le Monde - Benoît Hamon cherche son élan
L’encéphalogramme reste plat. Révélée en pleine torpeur estivale, le 16 août, sur le plateau du 20 heures de France 2, afin d’éviter l’embouteillage de la rentrée politique, la candidature de Benoît Hamon à la primaire organisée par le Parti socialiste (PS), prévue les 22 et 29 janvier 2017, peine à mobiliser.Sitôt sa candidature déclarée, le 16 août dernier, Benoît Hamon a pris la plume. Pour écrire le discours qu'il prononcera dimanche, lors d'un meeting à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Mais pas que. Le candidat à la primaire PS avait un autre texte sur le métier. Une «lettre aux Français» (voir document ci-dessous), que nous dévoilons et qui sera éditée à plus de 300 000 exemplaires et distribuée à partir de lundi.MONTEBOURG
L'Obs - Marchés publics : Montebourg 2014 répond à Montebourg 2016
Le candidat Arnaud Montebourg propose de réserver transitoirement 80% des marchés publics à des PME nationales. Impossible dans le cadre des traités européens, disait le ministre Arnaud Montebourg il y a deux ans.
"Outrance" et "caricature". Tels sont les éléments de langage distillés par les soutiens de François Hollande pour commenter l’entrée officielle en campagne d’Arnaud Montebourg à Frangy-en-Bresse, qui au passage conjure le chef de l’Etat de ne pas se représenter.
L'Humanité - Montebourg déroule ses alternatives
Le nouveau candidat à la présidence de la République, qui devait être invité sur France 2 hier soir, a présenté un projet social-démocrate qui entre en rupture avec le libéralisme et l’austérité de François Hollande, tout en prônant l’alliance du public et du privé, du capital et du travail.
Capital - Le (coûteux) plan d'Arnaud Montebourg pour faire redécoller la France
Après Benoît Hamon, Arnaud Montebourg vient d'officialiser sa candidature à l'élection présidentielle 2017. Si on ne sait pas encore si celle-ci passera ou non par la primaire socialiste, on peut déjà se forger une idée du programme de l'ex-ministre de l'Economie, qui avait claqué la porte du gouvernement en 2014 pour signifier son opposition à la politique menée par François Hollande.
Slate - Les aimables fantaisies du projet patriotique d'Arnaud Montebourg
Convaincant dans sa critique de François Hollande, Arnaud Montebourg l'est nettement moins dans son projet. Au stade actuel, il juxtapose un ensemble de généralités et de slogans et une série de mesures à la fois peu crédibles et guère cohérentes.
MACRON
France 3 - Par sms, le PS menace d’exclusion les soutiens d’Emmanuel Macron
Un coup de sang, c’est simple comme un SMS. Le Lab d’Europe 1 a récupéré, dans ses filets, des textos furibards de Jean-Christophe Cambadelis au sujet de la démission d’Emmanuel Macron.
Le 1er secrétaire du PS fustige violemment le départ du gouvernement de l’ancien ministre de l’Economie. Mais il joint les actes à la parole en lançant un avertissement aux « macroniens » en puissance. Attention. La jurisprudence Iborra existe et elle s’applique.
C’est entendu, dit et redit : non, Emmanuel Macron n’est pas socialiste. Mais il a été pendant deux ans, jusqu’à sa démission annoncée du ministère de l’Economie ce mardi 30 août, membre d’un gouvernement dirigé par un socialiste Manuel Valls sous la houlette du Président François Hollande.
Longtemps critiques, pour une partie, à son égard, les socialistes ont réagi avec virulence à l’annonce de démission imminente du ministre de l’Economie, 2017 dans le viseur. Et en premier lieu, c’est leur patron, le Premier secrétaire du Parti socialiste, qui a donné le ton. Florilège des réactions d'élus socialistes bien remontés contre Emmanuel Macron.
Une carrière fulgurante, des résultats mitigés. Maintenant, Emmanuel Macron va devoir convaincre qu’il peut être un leader politique autrement qu’avec des petites phrases douces et assassines.Après la démission d’Emmanuel Macron, le chef de l’Etat apparaît sonné, mais ne veut rien changer à sa stratégie.MICHEL SAPINMichel Sapin a toujours eu le sens de la formule, parfois un peu moins celui de la mesure. Invité de RMC et BFM-TV jeudi 1er septembre, le nouveau ministre de l’économie et des finances a dressé un tableau très optimiste de la situation économique et sociale du pays, vantant les baisses d’impôts de 2015 et promettant de nouvelles l’an prochain.NAJAT VALLAUD-BELKACEMEmmanuel Macron a quitté le gouvernement mardi 30 août, afin de se consacrer à son mouvement politique "En Marche !", avec la présidentielle dans le viseur. L’ex-ministre de l’Économie devrait déclarer sa candidature d’ici deux mois, quand le chef de l’État devrait lui annoncer qu’il se présente à sa succession début décembre. Soit : après son ancien ministre.SIRUGUEL’Elysée a annoncé, jeudi 1er septembre, la nomination de Christophe Sirugue, député socialiste de Saône-et-Loire, au poste de secrétaire d’Etat à l’industrie. « Cet honneur est aussi une lourde charge à laquelle je ne me déroberai pas, en raison de l’intérêt que je porte à ce sujet essentiel tant au niveau national que local », a-t-il déclaré sur Facebook quelques minutes après l’annonce de sa nomination.LAICITEPaul Allies - Un rappel à l’ordre républicain par le droit contre la confusion politique
Par sa décision du 26 août le Conseil d’Etat ne fait que rappeler le droit de la République, spécialement pour ce qui concerne l’application de la loi du 9 décembre 1905, fondement de la laïcité dans notre pays. Elle le fait dans un contexte de confusion politique problématique.Marianne - "En 2016, la fraternité c'est savoir dire non à l'islam radical"
Après une première tribune dans laquelle il alertait sur la signification du burkini ("Ne soyons pas naïfs sur le symbole de cette étoffe"), Aalam Wassef réagit aux différentes photos de femmes simplement voilées se faisant verbaliser sur les plages. S'il comprend que ces images fassent "mal" et interrogent sur notre sens de la fraternité, il souligne qu'il faut malgré tout savoir "dire non avec fermeté, sagesse, mesure et pédagogie à l'obscurantisme".
Marianne - Luc Carvounas, très proche de Valls, s'oppose à son tour aux arrêtés anti-burkini
Invité ce midi sur RMC, le socialiste Luc Carvounas, pourtant proche parmi les proches de Manuel Valls, a ouvertement contredit le Premier ministre sur les arrêtés anti-burkini. Lui ne voit "pas pourquoi on les empêcherait de porter le burkini dans l'espace public".
SACCAGE
Le Monde - Les locaux de la fédération de Paris du Parti socialiste « saccagés »
Les locaux de la fédération de Paris du Parti socialiste (PS) ont été « saccagés » jeudi 1er septembre, a dénoncé le premier secrétaire du parti, Jean-Christophe Cambadélis.
« Il s’agit d’un rassemblement non autorisé d’une trentaine de personnes du côté de Nation (11e arrondissement). Au moment de la dispersion, il y a eu des dégradations au local du PS », a fait savoir la police à l’AFP, sans donner plus de détails.CAMBA
Cambadélis : "Parler de l'islam permet d'éviter d'évoquer la réussite gouvernementale"
Si la polémique de l'été concerne le burkini, ce serait tout simplement pour ne pas parler... des succès du gouvernement ! Cette brillante analyse nous vient de Jean-Christophe Cambadélis ce 26 août.
COLLOMB
Gérard Collomb n’est pas humaniste. En décidant, au beau milieu de l’été, de couper l’eau des fontaines du Jardin des Chartreux pour tenter de faire partir les familles sans abri qui se sont réfugiées là, il a liquidé d’un seul coup le compte épargne déjà chichement pourvu de sa crédibilité politique en matière sociale. -
La Vie des idées - Réformer le collège par François Dubet & Pierre Merle
« Réformer le collège » devient un leitmotiv de la politique éducative française. Nos représentants politiques sont d’accord pour réformer mais en désaccord récurrent sur la réforme à mettre en œuvre. Les désaccords portent à peu près sur tout et quand certains font la promotion du « collège pour tous », d’autres défendent le « collège pour chacun ». Composé de six contributions synthétiques, cet ouvrage se donne un objectif ambitieux : penser la réforme. En dépassant le système binaire qui nous amènent, pareils à des métronomes, de la gauche vers la droite et inversement, il réfléchit la « grande réforme », celle qui devrait d’abord consister à dire ce que le collège doit être, et pas seulement une manière incertaine de combiner l’école commune avec la sélection des meilleurs et « l’orientation » des autres.
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