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Intervention de Benoît Hamon aux Journées d'été d'AGPG à La Rochelle le 11 septembre 2016
Intervention de Benoît Hamon aux Journées d'été... par agauchepourgagner -
« Le négationnisme économique » de Cahuc et Zylberberg : l’économie au premier ordre
12 septembre 2016
par Xavier Ragot
Le livre de Pierre Cahuc et André Zylberberg[1] est une injonction à tenir compte des vérités scientifiques de l’économie dans le débat public, face aux interventions cachant des intérêts privés ou idéologiques. Le livre contient des développements intéressants, décrivant les résultats de travaux empiriques utilisant des expériences naturelles pour évaluer des politiques économiques dans le domaine éducatif, de la politique fiscale, de la réduction du temps de travail, etc.
Cependant, le livre est caricatural et probablement contre-productif tant les affirmations sont à la frontière du raisonnable. Au-delà du débat sur les 35 heures ou sur le CICE, c’est le statut du savoir économique dans le débat public qui est en jeu.
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Altereco+ - L’étrange bilan de François Hollande, Xavier Timbeau
La politique économique des gouvernements de François Hollande aura suivi un cap constant. Baisse conséquente des prélèvements sur les entreprises suite au rapport Gallois, financée par des hausses de prélèvements sur les ménages ainsi qu’une (relative) maîtrise de la dépense publique. Avec l'objectif de réduire le déficit public et de passer en dessous du seuil de 3 % (voir le bilan publié récemment par l’OFCE ou cette note de blog).
Constance donc, mais un résultat désastreux puisqu’il ne débouchera que sur une maigre inversion de la courbe du chômage quatre années après avoir été mis en œuvre. La raison ? Un effet récessif de la hausse des prélèvements sur les ménages et de la réduction de la dépense publique alors que les effets de la politique de l’offre sont d’abord dans les comptes des entreprises et ne se traduiront que plus bien tard sur l’activité.
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L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 11
L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 11 par PartiSocialiste -
Conférence de presse d'Olivier Faure - 12 septembre 2016
Conférence de presse d'Olivier Faure - 12... par PartiSocialiste -
Bernard Cazeneuve : Migrants, terrorisme, hâlte aux contre vérités
Bernard Cazeneuve : Migrants, terrorisme, hâlte... par franceinter -
Bernard Cazeneuve répond aux questions des auditeurs
Bernard Cazeneuve répond aux questions des... par franceinter -
Alstom : Arnaud Montebourg critique l'exécutif à Belfort
Alstom : Arnaud Montebourg critique l'exécutif... par francetvinfo -
L'actualité des socialistes du 2 au 8 septembre
ANALYSES
OFCE - Le quinquennat de François Hollande : enlisement ou rétablissement ?
Le quinquennat de François Hollande a été marqué par des difficultés économiques profondes mais également par un début d’embellie cette dernière année de mandat. La France aura donc connu une croissance faible de 2012 à 2014, du fait notamment de la politique de consolidation budgétaire, puis une croissance modérée au-delà.
L’ampleur du choc fiscal en début de quinquennat, dont l’impact négatif sur la croissance avait été sous-estimé par le gouvernement, n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du mandat.
L’effort d’assainissement des finances publiques aura conduit à un ajustement budgétaire conséquent, en repoussant cependant l’objectif de 3 % de déficit public à la fin du quinquennat. Selon les calculs de la Commission européenne, le solde structurel français (c’est-à-dire le solde corrigé des effets de la conjoncture) se serait amélioré de 2,5 points sur la période 2012-2016. Malgré tout, cet effort n’a pas empêché la dette publique d’atteindre un point haut historique, et de diverger sensiblement par rapport à celle de l’Allemagne.
FRONDEURS
Ils font leur rentrée ce week-end à La Rochelle, sans parvenir à se mettre d’accord sur une candidature unique pour la primaire de la gauche.
En savoir plus surSONDAGEUne très nette désaffection. C'est la principale leçon de l'enquête réalisée par Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS, pour le Cevipof et publiée cet été sur la relation entre les enseignants et le PS. Il observe « un affaissement important des intentions de vote en faveur de François Hollande entre janvier 2016 et mai 2016, passant de 30,7 % à 24,3 %. »HOLLANDELe discours était très attendu. Et plus encore que le thème du colloque que François Hollande ouvre "la démocratie face au terrorisme", ce sont les petits cailloux semés par le chef de l'Etat en vue de 2017 qui étaient scrutés. Englué dans les bas-fonds des sondages, encadré par des candidatures dissidentes (Arnaud Montebourg sur sa gauche et Emmanuel Macron sur sa droite), le président de la République était pressé par une partie des siens d'envoyer un signalIl était temps. Même les plus fidèles partisans de François Hollande commençaient à douter de sa capacité à parler à la gauche et à incarner sa possible unité. Les voilà rassurés. Hollande sait encore y faire. Même si un discours, aussi bon soit-il, ne suffira pas pour corriger les manquements et les incohérences de son quinquennat.Tir nourri sur ses adversaires tous bords confondus, anaphores, intentions… Dans le discours le plus percutant de son quinquennat, jeudi à Paris, le chef de l’Etat a posé les premiers jalons de sa future campagne, sans pour autant se déclarer.François Hollande n’a pas fait de déclaration de candidature ou d’annonce surprise dans son discours, jeudi 8 septembre, à la Salle Wagram, à Paris. Il a en revanche défendu son action en allant au-delà du seul thème annoncé de la « démocratie face au terrorisme ». Constitution, cumul des mandats, créations de postes… Retour sur ses principales affirmations.MACRONEn décidant finalement de quitter le gouvernement, Emmanuel Macron a pris un risque calculé. Son pari est que François Hollande ne se représentera pas à l’élection présidentielle et que dans ces conditions il ne doit plus tarder à montrer clairement ses ambitions et à se préparer pour 2017. Ce pari est risqué dans la mesure où, s’il se trompe, il se trouvera dans une situation particulièrement inconfortable. En effet, son départ du gouvernement à lui seul ne lui permettra pas de se présenter contre le président sortant si, déjouant ses calculs, celui-ci se représente. L’image de Brutus serait alors trop prégnante. Il aurait fallu que Macron quitte beaucoup plus tôt le gouvernement et sur une rupture radicale pour pouvoir légitimement se présenter contre François Hollande. Ce ne fut pas le cas. Si le président se représente, il devra donc faire exploser sa fusée porteuse à peine lancée. Fâcheux. Tout repose donc sur le calcul du retrait probable de ce dernier. Ce calcul est-il juste ?Challenges -Pourquoi Macron est obligé d’être candidat socialiste, malgré lui
Un sondage TNS SOFRES pour Le Figaro montre que Macron est surtout perçu par les électeurs de gauche comme un candidat socialiste avant tout tandis que son succès dans l’électorat de droite est faible. A lui d’en tirer les leçons en renonçant à son credo ni gauche, ni droite
MONTEBOURG
Le JDD - SONDAGE. Primaire du PS : le match Hollande-Montebourg
Selon notre sondage Ifop-JDD, la primaire organisée par le PS s'annonce serrée. S'il devance un peu Arnaud Montebourg au premier tour, François Hollande pourrait être confronté à un second tour très compliqué.
HAMON
L'Express - Primaire à gauche: Benoît Hamon crée son micro-parti, baptisé "Elpis"
Le candidat de l'aile gauche du PS vient de créer son parti de poche pour recevoir des dons en vue de financer sa campagne pour la primaire à gauche.
KIMELFELD
Lyon Première - "J'ai très envie d'être maire de Lyon" David Kimelfeld (PS)
David Kimelfeld, maire du 4ème arrondissement et premier fédéral du PS du Rhône, a été désigné par Gérard Collomb comme son dauphin pour les élections de 2020.
JACQUEMAIN
L'Humanité - Dans les entrailles du hollandisme
Un ex-conseiller de Myriam El Khomri lève le voile sur la genèse de la loi travail. Un voyage hallucinant où l’on découvre qui détient le vrai pouvoir.
On ne ressort pas indemne du « petit bout de chemin » dans les entrailles du pouvoir de la présidence Hollande que raconte Pierre Jacquemain. Ex-conseiller « stratégie » de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, il a démissionné en février de ses fonctions, précisément en raison de son opposition à la loi qui porte désormais le nom de son ancienne patronne. L’auteur d’Ils ont tué la gauche (Fayard, 198 pages, 16 euros) lève aujourd’hui « le voile sur la fabrique de la politique » du quinquennat finissant, depuis cet observatoire ô combien privilégié.
CAROLINE FOUREST
Menteuse, vous avez dit menteuse ?
La Cour d’appel de Paris vient de confirmer ce que je disais sur le plateau d’On n’est pas couché en mai 2015. Elle a constaté que depuis janvier 2015, soit plusieurs mois avant l’enregistrement de cette émission, la plainte que me reprochait Aymeric Caron était bien prescrite. J’ai donc bien gagné le procès intenté par Madame Rabia Bentot, condamnée à me verser 4000 euros pour frais de procédure.
IDEES
Le Monde - Une révolution conservatrice qui avance à visage découvert, Par Daniel Lindenberg
« Déchéance de nationalité », « constitutionnalisation de l’état d’urgence », « expliquer le terrorisme, c’est déjà l’excuser », « tous pouvoirs à la police »… Que ces mots et ces déclarations d’intention soient à présent ceux d’un gouvernement de gauche devrait stupéfier. C’est tout de même le cas pour certains. Mais même ceux-là savent-ils vraiment comment « en un plomb vil l’or pur s’est-il changé » ? Que Jean Racine nous pardonne, mais l’Olympe n’a rien à voir dans cet affaissement des principes républicains les plus basiques.
ISLAM
Quelle instance représentative pour les musulmans de France? Comment financer les lieux de culte? Comment former les imams? Alors que les interrogations se multiplient dans un pays en proie à la violence djihadiste, notre spécialiste religion Henri Tincq et l'islamologue Rachid Benzine font le point.
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Fondation Jean Jaurès - La démocratie face au terrorisme : l’introduction de Gilles Finchelstein