Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • Le Grand Rendez-Vous avec Manuel Valls


    Le Grand Rendez-Vous avec Manuel Valls par Europe1fr

  • Benoit Hamon : "Il faut une primaire de toute la gauche"


    Benoit Hamon : "Il faut une primaire de toute... par francetvinfo

  • La Vie des Idées - Logique des révolutions

    À propos de : Hamit Bozarslan et Gaëlle Demelemestre, Qu’est-ce qu’une révolution ? Amérique, France, Monde Arabe, 1763-2015, Éditions du Cerf.

    Avec les « Printemps arabes », la question du fait révolutionnaire s’est vue posée à nouveaux frais. Suivant une démarche comparatiste, H. Bozarslan et G. Delemestre analysent le lien entre révolution et processus démocratiques, et reviennent sur le rôle des intellectuels dans la dynamique révolutionnaire.

    Recensé : Hamit Bozarslan et Gaëlle Demelemestre, Qu’est-ce qu’une révolution ? Amérique, France, Monde Arabe, 1763-2015, Paris, Éditions du Cerf, 2016, 400 p., 29€.

    Depuis l’hiver 2010-2011, les soulèvements de populations dans différents pays arabes ont fait couler beaucoup d’encre. Les innombrables travaux sur le sujet ont cherché à comprendre les causes et les circonstances locales des révoltes arabes. Mais ces soulèvements ont surtout montré le besoin de repenser le fait révolutionnaire. Car, en faisant revenir « l’âge des révolutions » sur le devant de l’Histoire, « le Printemps arabe » a remis en cause les anciennes grilles d’analyse. Redéfinir le fait révolutionnaire et créer de nouveaux outils d’analyse à l’aune des soulèvements arabes est justement l’ambition de Qu’est ce qu’une révolution ? de Hamit Bozarslan et Gaëlle Demelemestre.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • OFCE - Italie et marché du travail : une embellie à nuancer

    8 septembre 2016

    Par Céline Antonin

    Depuis le début 2015, le retour de la croissance, la mise en œuvre de l’acte II du Jobs Act de Matteo Renzi, et la baisse des charges sur les entreprises, ont indéniablement contribué à l’embellie sur le front de l’emploi en Italie. Le dynamisme des créations d’emplois, notamment en CDI et la hausse de la population active, ont pu donner le sentiment que la libéralisation (partielle) avait résolu les faiblesses structurelles du marché du travail. Pourtant, au premier semestre 2016, les créations d’emplois en CDI se sont très fortement taries et c’est désormais l’augmentation des CDD et contrats indépendants qui contribue à la croissance de l’emploi. Par ailleurs, la productivité du travail a stagné avec un enrichissement de la croissance en emplois, en particulier dans le secteur des services. Par conséquent, en l’absence d’autres mesures complémentaires pour résoudre les fragilités structurelles de l’Italie, l’embellie sur le marché du travail risque de ne pas durer.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Christian Eckert: "c'est la quatrième année consécutive que nous baissons l'impôt sur le revenu"

  • Observatoire des inégalités - Les seuils de pauvreté en France

    6 septembre 2016 - En France, un individu est considéré comme pauvre quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 840 ou 1 008 euros selon le seuil de pauvreté adopté.


    En France métropolitaine, un individu est considéré comme pauvre quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 840 euros ou 1 000 euros après impôts et prestations sociales (Insee, données 2014), selon la définition de la pauvreté utilisée (seuil à 50 % ou à 60 % du niveau de vie médian). Depuis 2009, le seuil de pauvreté a diminué du fait de la baisse du niveau de vie médian [1]. Le seuil à 60 % a perdu 12 euros depuis 2009 ; le seuil à 50 %, 11 euros.

    Entre 1970 et 2009, le seuil de pauvreté à 50 % avait doublé de 400 à 850 euros (en euros constants, c’est-à-dire une fois que l’on a retiré l’inflation). Cette évolution est due à l’utilisation d’une définition relative de la pauvreté : le seuil de pauvreté dépend de la richesse de notre société. En dépit du ralentissement de la croissance à partir des années 1970, la France a continué à s’enrichir. Le seuil de pauvreté d’aujourd’hui, mesuré à 50 % du niveau de vie médian, est équivalent au niveau de vie médian de 1970. Une partie des pauvres d’aujourd’hui dispose de niveaux de vie proches de ceux des classes moyennes de l’époque.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Ségolène Royal répond aux questions de Patrick Cohen


    Ségolène Royal répond aux questions de Patrick... par franceinter