"Il n'y a pas de contagion du foulard", assure... par rtl-fr
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Lancement de la Belle Alliance Populaire - mercredi 13 avril 2016
Lancement de la Belle Alliance Populaire... par PartiSocialiste -
Libé - La supercherie antiraciste Par Alain Jakubowicz, Président de la Licra
Lutter contre le racisme, c’est défendre l’universalité de nos valeurs, l’unité du genre humain. A l’exact opposé de l’offensive antirépublicaine actuellement à l’œuvre.
Il y a encore trente ans, la cartographie de la haine était simple à établir : le racisme et l’antisémitisme étaient d’extrême droite. D’un côté, les héritiers de la Résistance, et de l’autre, ceux de Vichy. L’antiracisme avait son propre «mur de Berlin».
Depuis, le monde a changé, les murs sont tombés, les fronts se sont multipliés. Le mouvement antiraciste est resté figé dans des réflexes et des pratiques datées. Faute d’avoir mesuré ces changements profonds, il a manqué la mise à jour de son logiciel et son adaptation aux nouvelles frontières de la haine. A contrario de ses adversaires, il n’a pas su s’adapter à la révolution numérique. Il a tardé à comprendre que l’extrême droite n’avait plus le monopole du racisme et de l’antisémitisme et a laissé le champ libre à l’expression de nouvelles radicalités. Ce retard à l’allumage tient aussi à la mystification, qui s’est présentée à l’opinion sous les traits d’un antiracisme adapté aux identités plurielles - issues de l’immigration, marquées par la mémoire de l’esclavage, la colonisation - et affilié à la gauche. C’est sous ce masque pervers que la haine a, par effraction, trouvé refuge.
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« Belle alliance populaire » du PS : Gaëtan Gorce dénonce un « simulacre » et une « mascarade »
« Belle alliance populaire » du PS : Gaëtan... par publicsenat -
François Patriat sur la "belle alliance populaire"
François Patriat sur la "belle alliance populaire" par publicsenat -
Jean-Christophe Cambadélis sur la nouvelle "belle alliance populaire"
Jean-Christophe Cambadélis sur la nouvelle... par publicsenat -
Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics
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Michel Sapin, Ministre des Finances et des Comptes publics (2)
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Rachid Temal (PS) - 2017 : « François Hollande est l’homme de la situation »
Rachid Temal, Secrétaire national du PS à la Coordination et à l’Organisation, était l’invité de Béatrice Houchard sur le plateau de l’Opinion. En première ligne pour le lancement, ce mercredi, de la « Belle Alliance populaire », Rachid Temal a détaillé cette initiative qu’il présente comme « l’une des réponses aux questions des Français ». Il est ensuite revenu sur la primaire dont il souhaite l’organisation avec une participation de « toute la gauche » et de François Hollande. Après avoir « renforcé le modèle social français » pendant son quinquennat, le président de la République a, selon Rachid Temal, la légitimité pour se représenter en 2017.
Rachid Temal (PS) - 2017 : « François Hollande... par Lopinionfr -
Libé - Stop à l’uberisation de la société ! Par Ariel KYROU, Journaliste , Yann Moulier-Boutang, Essayiste , Bernard Stiegler, philosophe et Bruno Teboul, Directeur de l’innovation, de la recherche et du développement de Keyrus
La guerre des taxis contre la société Uber ne se résume pas au film des méchants archaïques contre les gentils modernes. Si l’économie participative met en danger nos structures sociales, elle peut aussi rendre possible une société plus solidaire.
Depuis les premières joutes sur le projet de loi Thévenoud dès juin 2014, le feuilleton des transports urbains n’en finit plus de multiplier des épisodes à l’intrigue convenue. D’un côté, la corporation des taxis, horde patibulaire de grincheux moyenâgeux et malthusiens dont les fédérations ont réclamé à la société Uber, dès l’ouverture du deuxième acte de son procès pénal le 11 février, la bagatelle de 100 millions d’euros de dommages et intérêt ; de l’autre, les chevaliers blancs d’un nouvel ordre économique, Robin des bois high-tech de la plèbe des usagers, dont le service UberPop a permis à de simples quidams en quête d’emploi d’offrir à prix sacrifiés leurs talents de locomotion automobile de février 2014 à juillet 2015. Ce conte des ringards contre les modernes est d’autant plus séduisant que la société G7, reine rentière à la sorcellerie opaque, ne se transformera pas d’un coup de baguette magique en une Cendrillon des transports parisiens.
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La Vie des Idées - Chiffrer pour évaluer ?
En produisant une analyse des pressions statistiques qui s’exercent sur les décideurs politiques, le sociologue Olivier Martin montre que ce n’est pas tant la quantification en tant que telle qui pose problème que l’usage qu’en font les différents pouvoirs. Les chiffres peuvent être mis au service d’objectifs démocratiques.
« Benchmarker, c’est la santé », disait Laurence Parisot, comme le rappellent Isabelle Bruno et Emmanuel Didier dans les premières lignes de leur introduction (p. 8). Benchmarker c’est pratiquer une évaluation systématique des processus, décisions, choix et stratégies, en assujettissant ce qui est produit, décidé, choisi ou envisagé à des mesures quantitatives. C’est également scruter les méthodes et les résultats de la concurrence pour s’en inspirer et chercher à faire mieux : le benchmarkeur décèle les « meilleures pratiques de la concurrence » afin d’améliorer sa propre performance. Cette pratique du management et de la gestion est née dans le monde de l’industrie nord-américaine dans les années 1980, avant de se diffuser dans la plupart des organisations sociales : commerce, industrie, associations, services publics ou parapublics, administrations d’État, collectivités territoriales... jusqu’au plus haut sommet de l’État.
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