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uberisation

  • PS - Olivier Jacquin nous présente sa proposition de loi sur l'ubérisation

    La proposition de loi d'Olivier Jacquin sur l’#uberisation est examinée aujourd'hui au #Sénat. Il propose 3 solutions pour réguler et assainir la situation : ✅ Permettre des requalifications en salarié par action de groupe ✅ Présumer salariés les travailleurs des plateformes ✅ Transparence de l’algorithme

  • L'Humanité - Économie sociale et solidaire. Des alternatives en germe contre l’ubérisation du travail

    Une étude du ministère du Travail dénonce les dangers du travail ubérisé et enjoint au gouvernement d’agir. Sans attendre, des citoyens proposent des pratiques plus humaines que celles des grandes plateformes.

    Voyager grâce à un service de chauffeurs qui reverse une partie de ses gains à une association ou se faire livrer à manger par un coursier à vélo salarié d’une société coopérative seront bientôt possible. C’est ce qu’ont imaginé Jérémie Girault et Kevin Poperl, respectivement fondateurs de Rox et Coopcycle, deux initiatives citoyennes et solidaires, parmi d’autres, de plus en plus nombreuses, contre les grandes plateformes privées comme Uber ou Deliveroo.

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    CoopCycle est une plateforme de livraison de repas à vélo open-source, gratuite pour les coopératives.
    Organisez-vous, nous fournissons la technologie.

  • Le Monde - Il faut « refonder les institutions de sécurité sociale » Par Dana Filipova, cofondatrice de OuiShare, doctorante à TelecomParisTech et écrivain

    L’« ubérisation » contraint à revoir les instruments de la solidarité et de la protection sociale. La réforme n’aura pas lieu sans débat idéologique, selon l’économiste Dana Filipova.

    On pouvait espérer de l’irruption du concept d’« ubérisation » – c’est-à-dire le basculement de la création de valeur vers les utilisateurs non salariés d’une plate-forme – qu’il provoque une prise de conscience de la nécessité d’une véritable politique du travail adaptée aux enjeux du XXIe siècle.

    L’inadaptation des institutions à ces nouveaux paradigmes a été largement soulevée par maints rapports, dont celui du député Pascal Terrasse (PS) et de l’Inspection générale des affaires sociales. Mais à l’exception notable de la création du compte professionnel d’activité (CPA), le gouvernement a choisi de mobiliser les vieilles recettes (« flexisécurité ») et la réglementation répressive, comme en témoignent la loi El Khomri et la récente proposition de loi Grandguillaume concernant les taxis et les VTC.

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  • Libé - Stop à l’uberisation de la société ! Par Ariel KYROU, Journaliste , Yann Moulier-Boutang, Essayiste , Bernard Stiegler, philosophe et Bruno Teboul, Directeur de l’innovation, de la recherche et du développement de Keyrus

    La guerre des taxis contre la société Uber ne se résume pas au film des méchants archaïques contre les gentils modernes. Si l’économie participative met en danger nos structures sociales, elle peut aussi rendre possible une société plus solidaire.

    Depuis les premières joutes sur le projet de loi Thévenoud dès juin 2014, le feuilleton des transports urbains n’en finit plus de multiplier des épisodes à l’intrigue convenue. D’un côté, la corporation des taxis, horde patibulaire de grincheux moyenâgeux et malthusiens dont les fédérations ont réclamé à la société Uber, dès l’ouverture du deuxième acte de son procès pénal le 11 février, la bagatelle de 100 millions d’euros de dommages et intérêt ; de l’autre, les chevaliers blancs d’un nouvel ordre économique, Robin des bois high-tech de la plèbe des usagers, dont le service UberPop a permis à de simples quidams en quête d’emploi d’offrir à prix sacrifiés leurs talents de locomotion automobile de février 2014 à juillet 2015. Ce conte des ringards contre les modernes est d’autant plus séduisant que la société G7, reine rentière à la sorcellerie opaque, ne se transformera pas d’un coup de baguette magique en une Cendrillon des transports parisiens.

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