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  • OFCE : Une compétitivité durable grâce à la fiscalité écologique par Jacques Le Cacheux

    5 novembre 2012

    « Choc » ou « Pacte » ? Le débat sur la perte de compétitivité française s’est récemment focalisé sur le rythme de mise en œuvre d’un basculement de cotisations sociales patronales vers un autre financement, laissant entendre que le principe en était acquis. Face à la situation dégradée de l’emploi et du solde commercial de la France, alors que les éléments étayant la thèse d’une perte de compétitivité des entreprises françaises par rapport à celles de la plupart de nos partenaires s’accumulent[1], et que le taux de marge des entreprises affiche une faiblesse alarmante pour l’avenir, la nécessité d’une baisse du coût du travail semble s’imposer. Mais le rythme et les modalités font débat. Faut-il augmenter la CSG, la TVA, ou un autre prélèvement, au risque d’amputer le pouvoir d’achat des ménages dans un contexte conjoncturel déjà plus que morose ?

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  • Libé - Henri Sterdyniak «Ces choix ont été catastrophiques pour une partie de l’Europe»

    Henri Sterdyniak, de l’Observatoire français des conjonctures économiques, s’inquiète de l’impact de mesures similaires dans toute la zone euro : Recueilli par Vittorio de filippis

    Pour Henri Sterdyniak, de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), le «Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi» provoquera plus de mal que de bien.

    En quoi le gouvernement fait-il fausse route lorsqu’il décide d’améliorer la compétitivité des entreprises ?

    Faut-il rappeler que nous sommes dans une zone euro en récession ? Depuis 2011, tous les pays qui ont adopté la monnaie unique ont mis en place des politiques restrictives. On en connaît les conséquences : une demande atone, des entreprises qui ont des capacités de production inemployées et qui n’ont absolument pas besoin de faire le moindre investissement, et des profits en baisse. Ce sont essentiellement ces enchaînements-là qui expliquent la chute du taux de marge des entreprises en France et ce depuis le début de la crise, en 2007.

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  • Aubry en examen : "Je crois que la justice fait fausse route"


    Aubry en examen : "Je crois que la justice fait... par LeNouvelObservateur

  • Conférence de Presse de Jean-Marc Ayrault


    EVENEMENT,Conférence de Presse de Jean-Marc... par publicsenat

  • Libé - Plan Ayrault: «Le vrai risque, c'est la déflation généralisée»

    Interview Directeur adjoint au département analyse et prévision de l’Observatoire français de conjoncture économique (OFCE), Eric Heyer analyse les annonces de Jean-Marc Ayrault à l’aune des préconisations du rapport Gallois sur la compétitivité.

    Directeur adjoint au département analyse et prévision de l’Observatoire français de conjoncture économique (OFCE), Eric Heyer analyse les annonces de Jean-Marc Ayrault à l’aune des préconisations du rapport Gallois sur la compétitivité. Et affirme que la situation de la France n’a pas grand chose à voir avec celle de l’Allemagne sous Gerhard Schröder.

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  • OFCE : Faut-il faire payer par les ménages un choc de compétitivité ? par Henri Sterdyniak

    5 novembre 2012

    La France souffre d’un problème industriel. Sa balance courante est passée d’un excédent de 2,6 % du PIB en 1997 à un déficit de 1 en 2007, puis de 2 % en 2012 alors que l’Allemagne passait d’un déficit de 0,4% de son PIB en 1997 à un excédent de 5,7. La question du redressement productif de la France est posée. Faut-il organiser un transfert important des ménages aux entreprises pour un choc de compétitivité ou pour redresser le taux de marge des entreprises ? Nombreux sont ceux qui préconisent un tel choc (dont le MEDEF, mais aussi la CFDT). Il s’agirait de réduire les cotisations sociales employeurs (d’au moins 30 milliards d’euros) et d’augmenter en contrepartie les prélèvements portant sur les ménages. Cette question est analysée de façon détaillée dans la dernière Note de l’OFCE (n°24 du 30 octobre 2012).

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  • La Tribune : Pacte Ayrault: un vrai choc de compétitivité... avant des réformes structurelles?

    Les économistes qui défendaient auprès de François Hollande l'idée d'un "choc d'offre" estiment avoir été entendus. Mais la question de la compétitivité n'est pas réglée pour autant. Des réformes structurelles, tant en ce qui concerne le marché du travail que celui des biens, seront nécessaires....

    Les économistes pro "choc d'offre" approuvent
    Ce n'est pas l'avis d'économistes qui, comme Philippe Aghion, ont conseillé François Hollande pendant sa campagne électorale, et défendaient cette politique de l'offre depuis des mois auprès du candidat socialiste.
    Contrairement à ce que laissait entendre la petite musique distillée par le gouvernement depuis la mi octobre, récusant toute idée de «choc» -avec la brutalité qui l'accompagnerait-, «c'est un choc d'offre, c'est que nous avons préconisé» tranche Gilbert Cette, professeur à l'université d'Aix Marseille, qui a travaillé sur ces questions avec ses collègues Philippe Aghion et Elie Cohen. Il accueille favorablement l'annonce d'une baisse des charges des entreprises, même indirecte, à hauteur de 20 milliards d'euros.

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  • La Gauche populaire a reçu Alain Laurent pour parler d’Ayn Rand

    « What’s the matter with Ayn Rand ? », c’est la question que s’est posée la Gauche populaire mercredi 24 octobre 2012 en invitant Alain Laurent, spécialiste du libéralisme et biographe de la philosophe américaine (1905-1982) qui règne aujourd’hui en maître à penser du camp conservateur anti-Obama. Tel était l’objectif de la soirée : comprendre qui était Ayn Rand, quelles sont ses idées et surtout pourquoi celles-ci inspirent, 30 ans après la mort de Rand, des mouvements populistes et radicaux tels le Tea Party ou des hommes comme Paul Ryan, le colistier de Mitt Romney ?

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  • Telos, Gérard Grunberg : L’aggiornamento socialiste, une nécessité absolue

    François Hollande, au cours de sa campagne présidentielle, avait insisté à juste titre sur la priorité à donner à la question de la compétitivité de l’économie française. Les décisions en demi-teinte qui devraient être annoncées aujourd’hui posent un certain nombre de questions. Pourquoi le président n’a-t-il pas traité ce problème dès le début de son septennat en en faisant la priorité absolue ? Pourquoi n’a-t-il pas accepté, comme le regrettent à juste titre Philippe Aghion, Gilbert Cette et Elie Cohen dans les Echos, de rompre avec la stratégie keynésienne de la demande et d’opter clairement pour une stratégie de l’offre que les social-démocraties de l’Europe du nord ont adoptée et appliqué avec un certain succès ? La réponse à cette question ne doit pas être recherchée dans le manque de lucidité ou de courage du président mais dans l’idéologie  du Parti socialiste.

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  • Ce que Ayrault retient du rapport Gallois


    Ce que Ayrault retient du rapport Gallois par LeNouvelObservateur

    Crédit d'impôt de 20 milliards d'euros pour les entreprises, hausse de la TVA, fiscalité écologique : le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a annoncé mardi 06 novembre les mesures retenues préconisées par le rapport Gallois sur la compétitivité française. (Images : Public Sénat)