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Actualités socialistes - Page 827

  • Doucement mais sûrement, comment Jean-Michel Blanquer se met les profs à dos par Yannick Trigance Conseiller régional d'Ile-de-France, Secrétaire national adjoint à l’éducation du Parti socialiste

    Une vaste consultation annuelle des professionnels de l'éducation révèle des éléments sans appel.

    À l'évidence, la lune de miel entre ministre de l'Éducation nationale et la communauté éducative arrive à son terme.

    Après de multiples "unes" de journaux dithyrambiques, après pléthore de sondages tous plus élogieux les uns que les autres, après des émissions de télévision plébiscites, le ministre fait face à un premier revers significatif.

    Une vaste consultation annuelle - 33 000 réponses- des professionnels de l'éducation réalisée par l'UNSA -syndicat réformiste, progressiste et modéré dans ses positions- révèle des éléments sans appel

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  • Un peu d'histoire - 1950 : Disparition de Léon Blum

    Chef de file du Front populaire, président du Conseil en 1936 puis du gouvernement provisoire de la France dix ans plus tard, Léon Blum succombe à un infarctus le 30 mars 1950, à l’âge de 77 ans.

    Né le 9 avril 1872 à Paris dans une famille de confession juive dont le père tient un commerce d'étoffes, Léon Blum devient, après des études de lettres et de droit, auditeur au Conseil d'État en 1895, à seulement vingt-trois ans.

    Fortement marqué par l'affaire Dreyfus, il adhère au parti socialiste en 1902 puis rejoint deux ans plus tard la rédaction du quotidien L'Humanité, que Jean Jaurès vient tout juste de fonder. À l'aube de la Grande Guerre, il devient le chef du cabinet du ministre des Travaux Publics Marcel Sembat, puis est élu député de la Seine en 1919.

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  • Mediapart - Les Détricoteuses. 68, année politique

    Mai 68 a 50 ans... C'est en tout cas ainsi qu'est présenté l'événement. Pour autant, toute commémoration risquant de figer cet anniversaire dans un passé révolu, les Détricoteuses préfèrent en évaluer le degré d'actualité en revisitant la chronologie, les espaces et les acteurs de ce « moment 68 ».

    Un ouvrage récent de l'historienne Ludivine Bantigny, 1968. De grands soirs en petits matins, redonne la parole à celles et ceux dont on a peu parlé jusqu'à maintenant : qui étaient et comment ont agi les inconnus de 68 ? Quels étaient leurs rêves et qu'en reste-t-il aujourd'hui ?

  • Réforme des institutions : "C'est du populisme light", estime le sénateur PS Rachid Temal

  • La cagnotte - Solidarité avec les cheminots grévistes

    Bienvenue sur cette cagnotte !
    https://www.leetchi.com/fr/Cagnotte/31978353/a8a95db7

    Ici vous pouvez directement et en un clic, participer à cette cagnotte.

    • Chacun participe du montant qu'il souhaite.
    • Tous les paiements sont sécurisés.
  • Non Fiction - Une nouvelle "noblesse d'Etat" ?

    Le poids de la haute fonction publique reste en France un sujet majeur de la science politique, qui touche à la fois à la question de ses rapports avec le pouvoir politique (et, en filigrane, celle de la « technocratie », c’est-à-dire du pouvoir de la « technostructure » administrative au sein de la puissance publique) et de son « endogamie », cet entre-soi à la fois sociologique et idéologique qui lui est souvent reproché et qui tend à contredire le principe républicain de l’égal accès aux hautes fonctions de l’Etat.

    Deux ouvrages récemment parus viennent remettre le sujet au cœur du débat – dans le contexte de l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République en 2017 – et proposent à ce titre des visions fort différentes : Où va l’Etat ? Essai sur les nouvelles élites du pouvoir  de l’universitaire Pierre Birnbaum et Les intouchables d’Etat. Bienvenue en Macronie  du journaliste Vincent Jauvert. Le premier, bref essai de facture classique, est à l’image de son auteur, politiste qui a consacré une grande partie de son travail de recherche aux Sommets de l’Etat (Seuil, 1977) et aux sphères dirigeantes de l’administration française, c’est-à-dire à la fois très documenté et argumenté, mais frisant souvent le conformisme et préservant à tout le moins la haute fonction publique des critiques les plus acerbes qui lui sont adressées, notamment de la part de forces politiques que Pierre Birnbaum range avec une certaine facilité dans la catégorie du « populisme », soit à peu près les deux franges du spectre politique.

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  • Slate, Gaël Brustier - Twitter n'est plus simplement un exutoire, il est devenu un espace hors civilisation

    En se débarrassant des convenances habituelles des relations sociales et de leur contextualisation, le réseau social a permis un déferlement de haine inédit.

    Lucien Bouchard, ancien Premier ministre du Québec, considéré à Montréal comme à Ottawa comme un homme d’État, déclarait voici quelques années qu’il lui semblerait difficile d’agir en politique soumis à la pression constante de Twitter.

    Selon lui, Twitter charrie «des centaines de personnes qui éructent leur frustration», «colorant ainsi l’atmosphère» et soumettant les équipes politiques –dont celle du Premier ministre de son pays– à cet air du temps produit par quelques poignées d’individus au potentiel destructeur.

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  • Konbini - "Écrivez partout !" : Mai 1968, c’était aussi le printemps des slogans

    Le mouvement de Mai 1968 a débuté le 22 mars, au sein de la faculté de Nanterre. À cette occasion, petit retour sur ses slogans les plus marquants.

    "Il est interdit d’interdire", "Sous les pavés la plage", "Jouissez sans entraves" : provocateurs, drôles ou poétiques, les slogans qui ont fleuri sur les murs parisiens en mai 1968 ont contribué à forger le mythe de ce moment historique.

    "On a pris la parole comme on a pris la Bastille en 1789", analysait l’intellectuel Michel de Certeau dès juin 1968. "Écrivez partout", lit-on sur les murs du centre universitaire Censier. Très tôt, les acteurs du mouvement ont conscience de la valeur de ces inscriptions. "Brûlons la Sorbonne. Mais avant sauvons les graffitis, c’est un trésor à ne pas perdre", écrivent des étudiants dans un hall de la faculté au printemps 1968.

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  • Terra Nova - Etat d'urgence, terrorisme et sécurité intérieure Comment trouver la sortie ?

    Ce rapport de Terra Nova, élaboré conjointement par des professionnels du droit et des experts en stratégie, dresse un bilan de l'état d'urgence et de ses conséquences sur l'organisation de nos institutions et de notre justice. Devant l'importance des enjeux liés aux libertés publiques, et la menace que le terrorisme fait peser sur notre société, c'est en effet l'ensemble de notre débat politique sur la lutte contre le terrorisme qui doit être mieux informé et mieux conduit, pour une plus grande garantie de l'Etat de droit.

    Synthèse

    Alors que la menace terroriste se rappelle à nous, il est légitime de s'interroger sur les réponses qui lui ont été opposées ces dernières années, dans un souci à la fois de lutter plus efficacement contre ce fléau et de préserver au maximum nos libertés publiques et l'Etat de droit. Au coeur de ces interrogations figure naturellement l'état d'urgence.  Quelles sont les inquiétudes que sa transposition partielle dans le droit commun depuis novembre 2017 suscitent aujourd'hui ? Pourquoi le prix politique de la sortie de l'état d'urgence est-il apparu si élevé aux décideurs publics? Quelles sont les modalités de contrôle des mesures anti-terroristes  et comment pourraient-elles être améliorées ?

    Ce rapport de Terra Nova, élaboré conjointement par des professionnels du droit et des experts en stratégie, dresse un bilan de l'état d'urgence et de ses conséquences sur l'organisation de nos institutions et de notre justice. Devant l'importance des enjeux liés aux libertés publiques, et la menace que le terrorisme fait peser sur notre société, c'est en effet l'ensemble de notre débat politique sur la lutte contre le terrorisme qui doit être mieux informé et mieux conduit, pour une plus grande garantie de l'Etat de droit. 

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