Le gouvernement que je dirige a cet honneur de... par Matignon
Actualités socialistes - Page 1966
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Le gouvernement que je dirige a cet honneur de n'avoir jamais influencé la justice
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Bourdin direct: Benoît Hamon - 10/04
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Hollande : ses mesures pour la moralisation de la politique
Hollande : ses mesures pour la moralisation de... par LeNouvelObservateur -
«La transparence doit être la plus forte possible»
«La transparence doit être la plus forte possible» par Matignon -
Annick Le Petit : "Exil fiscal : l'UMP devrait balayer devant sa porte"
Annick LePetit : "Exil fiscal : l'UMP devrait... par GroupeSRC -
Stéphane Le Foll : "Il y a un climat malsain"
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OFCE - Et si l’austérité budgétaire avait mieux réussi en France qu’ailleurs ? [1] par Mathieu Plane
Face à la dégradation rapide et explosive des comptes publics, les pays industrialisés, notamment européens, ont mis en place, pour certains dès 2010, des politiques de rigueur de grande ampleur de façon à réduire rapidement leurs déficits publics. Dans un tel contexte, plusieurs questions concernant la politique budgétaire de la France méritent d’être creusées :
- Premièrement, est-ce que la France a fait plus ou moins d’efforts budgétaires que les autres pays de l’OCDE pour redresser ses comptes publics ?
- Deuxièmement, y-a-t-il une singularité dans l’austérité budgétaire menée en France et a-t-elle eu plus ou moins de répercussion sur la croissance et le niveau du chômage ?
A l’exception notable du Japon, tous les grands pays de l’OCDE ont mis en place des politiques visant à réduire leur déficit structurel primaire[2] entre 2010 et 2013. Selon les derniers chiffres de l’OCDE, ces politiques représentent un effort budgétaire d’environ 5 points de PIB sur trois ans en moyenne dans la zone euro, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.
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BFM STORY: Le sénateur socialiste Gaëtan Gorce dénonce une "dérive clanique" au PS - 09/04
C'est sur que son blog que le sénateur socialiste de la Niève Gaëtan Gorce a dénoncé une "dérive clanique" au PS. Invité de BFM STORY le sénateur Gorce a dénoncé le fonctionnement actuel du PS, estimant par ailleurs que les hommes politiques n'étaient pas là pour "faire de l'argent".
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La Vie des Idées - La république au secours de la démocratie
Pour Philip Pettit, la participation au pouvoir n’est pas par elle-même la condition de la liberté en démocratie. Ce qui importe, c’est le contrôle républicain que le peuple peut exercer sur le gouvernement et qui permet de vérifier que les décisions du pouvoir vont bien dans le sens du bien commun.
Recensé : Philip Pettit, On the People’s Terms. A Republican Theory and Model of Democracy, Cambridge University Press, 2012, 338 p.Dans son dernier ouvrage, On the People’s Terms. A Republican Theory and Model of Democracy, Philip Pettit poursuit l’entreprise de définition d’un républicanisme contemporain entamée quinze ans plus tôt avec Républicanisme [1]. S’il s’agissait surtout dans cet ouvrage de démontrer la supériorité de la conception proprement républicaine de la liberté comme non-domination sur la conception libérale de la liberté, Ph. Pettit s’attache à présent à clarifier l’importance décisive des institutions et procédures démocratiques au sein de la théorie républicaine – qui, au contraire du libéralisme, ne saurait se passer de démocratie. Il s’agit de penser la « légitimité politique » (p. 3) au sein de la république : celle-ci dépend de la définition et de la mise en œuvre d’une politique républicaine « dans des termes fixés par le peuple », autrement dit, d’une démocratie de contrôle que l’ouvrage s’attèle à définir.
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Mariage pour tous : Les moments forts du 8 avril
Mariage pour tous : Les moments forts du 8 avril par publicsenat -
OFCE - « Prêt à taux zéro » : ne prête-t-on qu’aux riches ? par Pierre Madec
Le 1er janvier 2013 est entrée en vigueur une nouvelle version du prêt à taux zéro (PTZ). Cette dernière, plus restrictive que les précédentes, abaisse les plafonds d’éligibilité et renforce son ciblage sur les logements neufs (et l’ancien HLM). Nous revenons ici sur les possibles conséquences de cette mesure.
Compte tenu des fortes tensions présentes sur le marché locatif (Le Bayon, Madec et Rifflart, 2013), l’objectif de faciliter l’accès à la propriété des primo-accédants avec peu d’apport est louable. Pour autant certaines questions méritent d’être posées : les ménages les plus modestes en sont-ils les premiers bénéficiaires ? Le PTZ déclenche-t-il l’achat de la première résidence principale (effet incitatif) ou ne fait-il que l’accompagner (effet d’aubaine) ? La mise en place du PTZ et sa pérennisation ont-ils permis de développer significativement l’offre sur le marché immobilier neuf ? Le coût budgétaire qu’engendre une telle mesure est-il efficace au vu de l’ensemble des résultats ?
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