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trump - Page 4

  • La Croix - Benjamin Coriat : « Donald Trump ne peut pas diriger le pays contre son business »

    Le commerce mondial peut-il se passer des Etats-Unis ? L’avis de Benjamin Coriat, professeur d’économie à l’université Paris 13 et membre du conseil d’administration du collectif des Économistes atterrés.

    La position des États-Unis est très paradoxale. Ils ont été et continuent d’être les grands bénéficiaires des échanges internationaux. Cela dit, une des causes du déficit commercial américain provient de la délocalisation massive pratiquée par ses firmes dans les pays d’Asie. Les formes de déréglementation pratiquées depuis trois décennies, auxquelles les États-Unis ont contribué, ont causé une perte d’emploi pour de nombreux Américains.

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  • OFCE - Climat : Trump souffle le chaud et l’effroi

    Donald Trump a donc une nouvelle fois respecté une de ses promesses de campagne. Le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris ne semblait pourtant pas acquis.

    Des personnalités centrales du lobby pétrolier américain comme le Secrétaire d’Etat, Rex Tillerson, ancien patron d’Exxon-Mobil, son actuel PDG, Darren Woods, ou encore le gouverneur du Texas, principal Etat producteur de pétrole aux Etats-Unis, conseillaient au président de maintenir les Etats-Unis au sein de l’accord – ne serait-ce que pour en influencer l’application.

    Ce retrait n’est assurément pas une bonne nouvelle. Il n’en constitue pas pour autant la catastrophe que l’on pourrait redouter.

    Sur le plan international, la Chine a tout de suite renouvelé son engagement en remplaçant l’ancien axe sino-américain par une nouvelle alliance climatique sino-européenne.

    Malgré l’importance du charbon dans son mix énergétique, la Chine est en effet devenue la première puissance mondiale en matière d’énergie solaire, tant en puissance installée qu’en capacité de production de cellules photovoltaïques. Les dirigeants chinois n’ont aucune intention de tourner le dos à ce virage technologique, qui place leur pays dans une position enviable de leadership technologique et industriel.

    Par ailleurs, au-delà de la problématique globale du changement climatique, la réduction de la consommation de charbon est d’abord pour la Chine un enjeu majeur de politique locale.

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  • Climat : "La France doit garder le leadership qu'elle a commencé à prendre", juge Laurent Fabius

  • PS - Accords de Paris : rester à la hauteur des enjeux

    02 juin 2017

    Le Parti socialiste partage la stupéfaction du monde sur la décision confirmée jeudi 1er juin par Donald Trump, de sortir les États-Unis des accords de Paris.

    Il salue le discours très ferme du président de la République prononcé, hier soir, s’opposant à toute renégociation à la baisse des engagements arrachés de haute lutte en décembre 2015 sous le quinquennat de François Hollande. Il se félicite aussi des nombreuses réactions, notamment aux États-Unis, appelant à rester fidèle aux ambitions de cet accord universel pour le climat.

    Cette décision du Président américain appelle à une mobilisation supplémentaire de l’ensemble des autres acteurs, et au premier chef de l’Europe pour répondre aux enjeux du changement climatique.

    Il en va notamment du devenir du fonds vert de l’ONU pour le climat lancé en 2011 et dont la COP21 a fixé l’ambition d’une dotation de 100 milliards de dollars par an à partir de 2020.

    Au-delà, il appartient effectivement à la France – en lien avec ses partenaires européens – de prendre sa pleine part dans les initiatives qui permettraient non seulement d’empêcher toute remise en cause des accords de Paris mais aussi de relancer la mobilisation de tous face au défi climatique.

    Ce nouvel élan doit s’appuyer sur la communauté des acteurs de la transition écologique à qui il faudra garantir des moyens massifs pour la recherche comme pour les investissements. Dans cet esprit, l’annonce d’un plan d’accueil des scientifiques et entrepreneurs américains travaillant sur les questions climatiques et environnementales est une première réponse. Il convient aussi de s’assurer de la mise en œuvre de la loi de transition énergétique et d’amplifier les investissements dans les énergies renouvelables.

    Ce nouvel élan doit aussi se fonder sur le dynamisme de la société civile et du réseau des villes qui, aux quatre coins de la planète, partagent la pleine conscience des enjeux du réchauffement climatique et sont déterminés à y apporter les réponses nécessaires.

    Oui, il n’y a pas de plan B, ni de planète B et oui nous devons être à la hauteur, dans nos actes, du moment historique que nous traversons. Le Parti socialiste sera pleinement engagé dans ce combat essentiel.

  • Climat : c'est l'heure de vérité !

    Dany Cohn-Bendit revient évidemment ce matin sur la décision de Donald Trump de sortir les États-Unis de l'accord sur le climat.


    Climat : c'est l'heure de vérité ! par Europe1fr

  • La chanson anti-Trump "Méchant homme" de Joan Baez devient virale

    RTS.ch - A 76 ans la chanteuse et activiste Joan Baez revient avec un titre qui vise "le futur dictateur" Donald Trump et dénonce la construction de "son empire maléfique". En quelques jours, la vidéo compte près de 3 millions de vues.

  • L'Edito de Jean-Christophe Cambadélis #33 - Monsieur Trump n'est pas devenu le chevalier blanc du monde occidental


    L'Edito de Jean-Christophe Cambadélis #33... par PartiSocialiste

    Dans ce nouvel épisode, Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, rappelle que l'élection présidentielle prend place dans un cadre global qui impacte son déroulement, comme c'est le cas aujourd'hui avec la guerre en Syrie. La stabilité qu'un hypothétique chef d'État peut apporter au monde est aussi un critère de choix dans une élection présidentielle.
  • OFCE - Trump peut-il vraiment réindustrialiser les Etats-Unis ?

    20 janvier 2017

    Par Sarah Guillou

    Calliclès à Socrate : « Ce que tu dis ne m’intéresse pas et je continuerai à agir comme j’agissais auparavant, sans me préoccuper des leçons que tu prétends donner. » Le Gorgias , Livre III

    Les Etats-Unis n’ont plus guère que 8% des emplois dans l’industrie. Donald Trump, le nouveau Président des Etats-Unis, veut réindustrialiser l’Amérique et communique contre les ouvertures d’usines à l’étranger ou les fermetures d’usines locales. Existe-t-il une rationalité économique à la communication sans discernement  du nouveau Président des Etats-Unis ?

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  • L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - #22 - "Les déclarations de Donald Trump sont inappropriées et inadmissibles"


    L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - #22... par PartiSocialiste

  • Alter Eco, Guillaume Duval - Comprendre l’élection de Trump : l’illusion du plein emploi américain

    Avec leurs 6,5 millions d'inscrits à Pôle emploi, les Français ont du mal à comprendre pourquoi les Américains ont élu président un personnage aussi improbable que Donald Trump dans un pays où le chômage est passé sous la barre des 5 % depuis plus d'un an déjà. 

    Pour saisir l'ampleur du mécontentement outre Atlantique, il faut en fait s'intéresser plutôt au nombre des emplois dans l'économie américaine, et plus particulièrement à ce qu'on appelle le taux d’emploi, c'est-à-dire à la proportion des Américains d'un âge donné qui occupent un emploi.

    En effet aux Etats-Unis, l'assurance chômage étant peu généreuse et durant nettement moins longtemps qu'en Europe, de nombreux sans-emplois ne se déclarent pas comme chômeurs. 

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