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trump - Page 3

  • Le Monde - Donald Trump et le racisme : une arme politique dangereuse

    Un an avant la prochaine présidentielle américaine, Donald Trump multiplie les sorties racistes. D’abord, une série de Tweet, dans lesquels le président américain attaque plusieurs élues démocrates issues de minorités, comme Alexandria Ocasio-Cortez, de New York, Ilhan Omar, du Minnesota, Ayanna Pressley, du Massachusetts, ou encore Rashida Tlaib, du Michigan.

    Tollé dans l’opposition démocrate, qui vote alors dans la foulée une résolution symbolique condamnant « les commentaires racistes » du président. Ce qui n’empêche pas Donald Trump de poursuivre ses outrances lors d’un meeting, faisant huer ses adversaires par le public.

    Mais que cherche exactement à faire le président américain avec ces saillies ? Cela dit-il quelque chose de l’atmosphère qui règne aujourd’hui aux Etats-Unis ? Et si ces déclarations peuvent éventuellement plaire à une partie de son électorat, est-ce réellement un bon calcul en vue de la présidentielle de 2020, sachant que Donald Trump reste l’un des présidents les plus impopulaires qu’a connus le pays ? Eléments de réponse avec Corentin Sellin, historien spécialiste des Etats-Unis.

  • Pourquoi Trump, ça marche ? [Olivier Passet]

    La trumponomics ça marche sur le papier. C’est une job machine qui continue à tourner de façon soutenue. Un taux de chômage à un minimum historique et une croissance sur une orbite de 3%, sans inflation ni tension financière alarmantes. Avec des marchés boursiers à leur zénith. Le président américain, avec son sens de la nuance habituel, parle de miracle, de performance historique. [...]

  • Le Vent se lève - Trump et le RussiaGate : l’énorme raté de l’opposition néolibérale

    Au terme d’une enquête tentaculaire de 22 mois, le procureur spécial Robert Mueller vient d’exonérer Donald Trump de tout soupçon de collusion avec la Russie. Un fiasco monumental pour les médias américains ayant agité le spectre d’un RussiaGate depuis près de deux ans et demi, et un camouflet inquiétant pour l’aile droite démocrate qui avait préféré s’accrocher à ces délires conspirationnistes plutôt que de se livrer à une introspection salutaire suite à la défaite d’Hillary Clinton. Par Politicoboy.

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  • Contre-Temps - Quand le nationalisme US saborde la mondialisation

    Alors que chaque jour nous apporte son lot de nouvelles déconcertantes sur la politique étrangère de Donald Trump, qu’en est-il de la réalité de mesures commerciales qui ont fait du protectionnisme états-unien l’alpha et l’oméga de l’orientation de la Maison-Blanche ? Dans une situation économique mondiale instable, où la Chine apparait désormais comme un concurrent direct de la puissance états-unienne et que se négocient de nouveaux accords transnationaux de libéralisation des marchés, la politique de Trump met-elle un frein à la mondialisation ? Cédric Durand éclaire dans cet entretien la réalité des guerres commerciales actuelles et l’étape présente de la globalisation

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  • La Vie des idées - Trump ou la diplomatie du choc Les enjeux de Jérusalem capitale

    La reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël marque un revirement historique. Si ses effets juridiques sont nuls, le statut de la ville restant le même au regard du droit international, elle traduit toutefois une recomposition des alliances au Moyen-Orient, et pourrait avoir des conséquences politiques profondes.

    Le président des États-Unis D. Trump a déclaré le 6 décembre 2017 qu’il reconnaissait Jérusalem comme la capitale de l’État d’Israël. Aussi surprenante qu’elle ait pu paraître, cette annonce est le résultat d’un projet ancien de la diplomatie américaine de déplacer l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. Mettant fin à un consensus ancien de la communauté internationale sur le statut de Jérusalem, D. Trump rompt ainsi avec tous ses prédécesseurs.

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  • Le JDD - Macron, Trump, PS… DSK parle enfin à Marrakech

    Dominique Strauss-Kahn a fait une apparition surprise samedi à Marrakech pour assister aux débats de la World Policy Conference. Et il a pris la parole dans le studio de télévision de la manifestation.

  • La Croix - Benjamin Coriat : « Donald Trump ne peut pas diriger le pays contre son business »

    Le commerce mondial peut-il se passer des Etats-Unis ? L’avis de Benjamin Coriat, professeur d’économie à l’université Paris 13 et membre du conseil d’administration du collectif des Économistes atterrés.

    La position des États-Unis est très paradoxale. Ils ont été et continuent d’être les grands bénéficiaires des échanges internationaux. Cela dit, une des causes du déficit commercial américain provient de la délocalisation massive pratiquée par ses firmes dans les pays d’Asie. Les formes de déréglementation pratiquées depuis trois décennies, auxquelles les États-Unis ont contribué, ont causé une perte d’emploi pour de nombreux Américains.

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  • OFCE - Climat : Trump souffle le chaud et l’effroi

    Donald Trump a donc une nouvelle fois respecté une de ses promesses de campagne. Le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris ne semblait pourtant pas acquis.

    Des personnalités centrales du lobby pétrolier américain comme le Secrétaire d’Etat, Rex Tillerson, ancien patron d’Exxon-Mobil, son actuel PDG, Darren Woods, ou encore le gouverneur du Texas, principal Etat producteur de pétrole aux Etats-Unis, conseillaient au président de maintenir les Etats-Unis au sein de l’accord – ne serait-ce que pour en influencer l’application.

    Ce retrait n’est assurément pas une bonne nouvelle. Il n’en constitue pas pour autant la catastrophe que l’on pourrait redouter.

    Sur le plan international, la Chine a tout de suite renouvelé son engagement en remplaçant l’ancien axe sino-américain par une nouvelle alliance climatique sino-européenne.

    Malgré l’importance du charbon dans son mix énergétique, la Chine est en effet devenue la première puissance mondiale en matière d’énergie solaire, tant en puissance installée qu’en capacité de production de cellules photovoltaïques. Les dirigeants chinois n’ont aucune intention de tourner le dos à ce virage technologique, qui place leur pays dans une position enviable de leadership technologique et industriel.

    Par ailleurs, au-delà de la problématique globale du changement climatique, la réduction de la consommation de charbon est d’abord pour la Chine un enjeu majeur de politique locale.

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  • Climat : "La France doit garder le leadership qu'elle a commencé à prendre", juge Laurent Fabius

  • PS - Accords de Paris : rester à la hauteur des enjeux

    02 juin 2017

    Le Parti socialiste partage la stupéfaction du monde sur la décision confirmée jeudi 1er juin par Donald Trump, de sortir les États-Unis des accords de Paris.

    Il salue le discours très ferme du président de la République prononcé, hier soir, s’opposant à toute renégociation à la baisse des engagements arrachés de haute lutte en décembre 2015 sous le quinquennat de François Hollande. Il se félicite aussi des nombreuses réactions, notamment aux États-Unis, appelant à rester fidèle aux ambitions de cet accord universel pour le climat.

    Cette décision du Président américain appelle à une mobilisation supplémentaire de l’ensemble des autres acteurs, et au premier chef de l’Europe pour répondre aux enjeux du changement climatique.

    Il en va notamment du devenir du fonds vert de l’ONU pour le climat lancé en 2011 et dont la COP21 a fixé l’ambition d’une dotation de 100 milliards de dollars par an à partir de 2020.

    Au-delà, il appartient effectivement à la France – en lien avec ses partenaires européens – de prendre sa pleine part dans les initiatives qui permettraient non seulement d’empêcher toute remise en cause des accords de Paris mais aussi de relancer la mobilisation de tous face au défi climatique.

    Ce nouvel élan doit s’appuyer sur la communauté des acteurs de la transition écologique à qui il faudra garantir des moyens massifs pour la recherche comme pour les investissements. Dans cet esprit, l’annonce d’un plan d’accueil des scientifiques et entrepreneurs américains travaillant sur les questions climatiques et environnementales est une première réponse. Il convient aussi de s’assurer de la mise en œuvre de la loi de transition énergétique et d’amplifier les investissements dans les énergies renouvelables.

    Ce nouvel élan doit aussi se fonder sur le dynamisme de la société civile et du réseau des villes qui, aux quatre coins de la planète, partagent la pleine conscience des enjeux du réchauffement climatique et sont déterminés à y apporter les réponses nécessaires.

    Oui, il n’y a pas de plan B, ni de planète B et oui nous devons être à la hauteur, dans nos actes, du moment historique que nous traversons. Le Parti socialiste sera pleinement engagé dans ce combat essentiel.