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Après le renoncement de Najat Vallaud-Belkacem, les yeux se tournent au PS vers le président du groupe à l'Assemblée Olivier Faure, qui semble le mieux placé pour emporter la tête du parti et pourrait rapidement se déclarer "disponible".
Après le renoncement de Najat Vallaud-Belkacem, les yeux se tournent au PS vers le président du groupe à l'Assemblée Olivier Faure, qui semble le mieux placé pour emporter la tête du parti et pourrait rapidement se déclarer "disponible".
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Dans un entretien à "L'Obs", l'ex-ministre de l'Education nationale dit vouloir se concentrer sur les enjeux intellectuels via ses nouvelles activités de directrice de collection chez Fayard.
Elle "ne [veut] pas d'une vie réduite à la politique". Najat Vallaud-Belkacem annonce dans un entretien à paraître jeudi 4 janvier, dans L'Obs, qu'elle renonce à briguer la direction du Parti socialiste. Et ce en dépit des exhortations de certains cadres du parti, décimé par les revers électoraux de 2017 et les défections qui ont suivi.
Le sénateur de 44 ans, qui a pris provisoirement la tête du PS en septembre, peine à exister et surtout à faire exister son parti.
Ce pourrait être une des nouvelles questions du Trivial Pursuit : « Qui a succédé à Jean-Christophe Cambadélis à la tête du PS en 2017 ? ». Et en dehors des quelque 42.000 militants socialistes (à jour de cotisation), rares seraient les joueurs qui pourraient espérer obtenir leur camembert jaune.
Guerres intestines, ralliement à En marche, éloignement de la base, hémorragie de militants… Autrefois place forte du parti et fief de figures tutélaires comme Pierre Mauroy, le département ne compte plus aucun député socialiste.
«Le PS à Tourcoing ? Mais il est mort !» C’est un ancien ouvrier qui parle, un socialiste de cœur, même s’il n’a jamais été encarté. «Et ce n’est pas du mal que je dis», soupire-t-il. Non, juste un constat. Au local de la section PS, la rose fleurit encore au fronton, mais les volets roulants baissés lui donnent un air de tristesse.
INFO JDD - En vue de l'élection du futur patron du parti, Najat Vallaud-Belkacem, Stéphane Le Foll et quelques autres jouent le rapprochement. Reste à trouver un candidat commun…
Un an et demi après le scandale des Panama Papers, deux députés européens évaluent les mesures votées cette semaine par le Parlement européen. Avec Emmanuel Maurel (S et D) et Miguel Viegas (GUE-GVN). Débat animé par Jean-Jacques Régibier, journaliste.
Deuxième partie d'un documentaire retraçant la vie et la carrière politique de Lionel JOSPIN, ancien premier ministre, de l'élection présidentielle de 1988 à l'échec de l'élection présidentielle de 2002. Au début du deuxième septennat de François MITTERRAND, Lionel JOSPIN abandonne en 1988 la direction du PS et devient ministre de l'Education nationale. Il raconte les relations Mitterrand-Rocard, la première guerre du Golfe et la chute du mur de Berlin, les affrontements avec Laurent FABIUS au Congrès de Rennes (1990). Il évoque avec émotion son éloignement de François MITTERRAND et sa disgrâce, le passage à vide après son échec aux législatives de 1993 et sa rencontre avec Sylviane AGACINSKI. Il raconte la campagne présidentielle de 1995, la reconstruction de la gauche plurielle, la victoire aux législatives de 1997, sa nomination comme premier ministre, les coulisses et les chausse-trappes de la cohabitation avec Jacques CHIRAC. Il tire le bilan de ses cinq années à Matignon, avant de relater et analyser l'échec à l'élection présidentielle de 2002 et sa décision d'abandonner la vie politique.En guise de conclusion, il estime avoir toujours agi selon ses convictions personnelles, s'être efforcé de servir l'intérêt général et pense être respecté en tant qu'homme politique. Mené sur le ton du récit et de la confidence, l'entretien alterne avec des images d'archives des événements évoqués et des plans de Lionel JOSPIN au siège du PS ou sur l'île de Ré.
François Kalfon, membre de la direction collégiale du Parti socialiste, a annoncé mardi "qu'en 2018", il y aurait de nouveaux "leaderships" au PS, en crise depuis l'élection présidentielle, citant les noms de Luc Carvounas et Najat Vallaud-Belkacem.
Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la culture et ex-députée PS de Moselle règle ses comptes avec sa fédération et le maire de Metz, à l'heure du bilan de l'année politique 2017 en Moselle.
La politique mosellane a fait le plein de surprises, défaites, victoires, divisions en 2017. Elle a été marquée par la victoire d'Emmanuel Macron à la Présidentielle et par la vague de députés en Marche qui a suivi. Une vague qui a balayé entre autre la députée socialiste sortante de la 1er circonscription de Moselle, Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la culture.
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