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politique - Page 70

  • France Inter - Dans les coulisses de la campagne | Place Publique et le PS : "Il ne faut pas vivre avec des remords"

  • LCI - SONDAGE EXCLUSIF - Européennes : LaREM reste en tête devant le Rassemblement national

    Selon notre sondage Harris Interactive - Agence Epoka pour LCI, la majorité présidentielle gagne un point (23%), devant le Rassemblement national (21.5%). Loin derrière figure la liste LR (13%) et les trois listes de gauche qui se talonnent (LFI, PS-Place publique, EELV).

    ... Quant aux listes de gauche, elles sont désormais au coude-à-coude, la liste LFI (8%, en recule d'un point) étant talonnée par les listes PS-Place publique, désormais incarnée par Raphaël Glucksmann (7%, + 2 points) et EELV (7%, -1). 

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  • Raphaël Glucksmann, le sauveur de la gauche - Le Billet de Charline

  • LCI - Raphaël Glucksmann : la liste PS-Place publique n'est "pas seulement une liste de bobos parisiens"

    Tête de liste Place publique-PS aux élections européennes, Raphaël Glucksmann a défendu son projet dimanche au Grand Jury LCI-RTL-Le Figaro. L'essayiste de gauche a prôné une refondation de son camp qui a, selon lui, "délaissé les classes populaires".

    Il incarne une partie de la gauche aux élections européennes. L'essayiste Raphaël Glucksmann, devenu à 39 ans la tête de liste de son mouvement, Place publique, ainsi que celle du Parti socialiste pour le scrutin de mai 2019, a défendu dimanche sa vision de la refondation de la gauche lors du Grand Jury LCI-RTL-Le Figaro.

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    LCI - Le Grand Jury - replay du dimanche 24 mars 2019

  • PS - Projet de loi Blanquer : de la confiance à la défiance…

    Le Parti socialiste apporte son total soutien au personnel enseignant qui manifeste aujourd’hui contre le projet de loi pour « une école de la confiance ».

    Derrière l’instruction obligatoire dès l’âge de trois ans, se cache en réalité la reprise en main du Ministre, dont l’objectif est de mettre à mal tout ce qui a été porté par la gauche. La suppression du CNESCO en est l’illustration.

    Ce projet de loi confirme que le Ministre n’a pas confiance dans le monde enseignant, qu’il est hermétique à tout dialogue social. il ne fait que régler ses comptes avec le monde enseignant, en imposant la suspicion et en remettant en cause le système éducatif.

    • Le Parti socialiste considère que ce projet de loi est :
      injuste à l’égard des acteurs du monde éducatif,
    • inquiétant quant au sort potentiellement réservé aux directeurs d’école dans les Etablissements Publics des Savoirs Fondamentaux,
    • porteur d’inégalités à l’égard des territoires,
    • dangereux pour l’avenir de nos communes, qui devront prendre en charge le financement des maternelles privées. Des communes qui devront déjà faire face aux dédoublements des CE1 Rep à la rentrée.

    Le Parti socialiste rappelle qu’il a toujours fait de l’éducation sa priorité afin de garantir le droit à la réussite pour tous les élèves. Il renouvelle son total soutien aux enseignants.

  • Affaire Benalla : « Je me sens insulté, humilié » déplore Jean-Pierre Sueur

  • Le Parti socialiste a reçu les signataires des 66 propositions du « pacte pour le pouvoir de vivre »

    Le Parti socialiste est le seul parti à ce jour à avoir rencontré le collectif des 19 ONG et syndicats à l’initiative du « Pacte pour le pouvoir de vivre ». Alors que pour la première fois ces organisations ont mis leur expérience et leur expertise en commun pour apporter des réponses à la crise que le pays traverse, il nous est apparu indispensable de travailler ensemble à des propositions convergentes.

    Les échanges ont été riches autour des 66 propositions de ce pacte écologique et social, portées notamment par le tandem Laurent Berger et Nicolas Hulot.

    Cette crise que notre pays traverse est en réalité double : sur le fond et sur la méthode.

    Pour les socialistes deux exigences sont indissociables à la sortie de crise.

    La première est de porter une rupture : l’écologie et le social ne peuvent plus être pensés de façon distincte. En ce domaine, nos convergences évoquées sont nombreuses : fiscalité verte, solidarité nationale inhérente à l’accompagnement de la transition écologique. Passage du libre-échange au juste échange. Des mesures qui portent une vision de la société plus solidaire. En ce sens, l’action menée par les socialistes dans les territoires – qu’il s’agisse des territoires zéro chômeurs, des territoires à énergies positives – ouvre la voie. Et il s’agit désormais de porter à plus grande échelle cette exemplarité du quotidien.

    La seconde exigence est démocratique : le pouvoir, dans sa verticalité actuelle sous l’hyper présidence d’Emmanuel Macron et dans son rejet des corps intermédiaires ne pourra trouver les bons diagnostics et les bonnes réponses, celles qui sont applicables. Cette réunion a démontré plus que jamais l’importance du dialogue social et l’importance de redonner aux corps intermédiaires toute leur place.

    Le Parti socialiste ouvre sa table de discussion aux acteurs de la société civile, aux ONG, aux syndicats. C’est l’ADN de la social-démocratie, la volonté de définir ensemble le modèle de société de demain.

    C’est pour cela que nous demandons au Président de la République d’organiser une Grande Conférence sociale qui réunirait les partenaires sociaux, ONG, associations, afin d’élaborer et négocier les solutions concrètes nécessaires à une sortie de crise sur la base des revendications portées par les Français. »

  • Olivier Faure égraine quatre propositions pour garantir à chacun l'accès aux soins

  • Olivier Faure propose la création d'un "capital républicain" pour réduire les inégalités

    Une soirée de débat réunit François Bayrou (MoDem), Olivier Faure (PS), Stanislas Guerini (LaREM), Marine Le Pen (RN), Jean-Luc Mélenchon (LFI) , Laurent Wauquiez (LR) sur la plateau de BMTV. La discussion s’articule autour de trois thèmes : « Une France plus juste », « Réponse aux oubliés » et « Comment se réconcilier ».