olivier faure - Page 55
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Olivier Faure, nouveau patron du PS : "Réinventer un projet"
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Olivier Faure, futur patron du Parti socialiste
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"J'ai passé sept ans avec François Hollande" Olivier Faure
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Les 4 Vérités - Olivier Faure (14 mars)
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Libé - Les jeunes soutiens d'Olivier Faure pour la «Renaissance du Parti socialiste»
Dans un appel que Libé s'est procuré, ils sont plus de 200 signataires en «responsabilité ou dans l'opposition dans de nombreuses collectivités locales» à vouloir le «renouvellement des cadres» et des méthodes de fonctionnement. Ils écrivent: «Sur le chemin qu'il nous faut parcourir pour la renaissance du Parti socialiste, nous entendons prendre notre pleine part.»
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Libé - Olivier Faure, rose sans épines
Ce n’était pas vraiment l’idée de départ. Gamin, Olivier Faure avait d’autres perspectives. Un jour médecin, un autre avocat, le lendemain photographe ou dessinateur de BD. Devenu grand, il postule désormais au poste de Premier secrétaire du PS. Un job qui ne fait pas rêver. Le parti traverse une période de turbulences qui remet en cause jusqu’à son existence. La fin d’un cycle entamé au congrès d’Epinay en 1971. Le député de Seine-et-Marne refuse d’y croire. Favori du scrutin, face à Luc Carvounas, Stéphane Le Foll et Emmanuel Maurel, il se dit «en mission», persuadé que le soleil brillera de nouveau au pays de Jean Jaurès et Léon Blum. A condition de dépasser les rancœurs internes.
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L'actualité des socialistes du 23 février au 1er mars
A LA UNE
Le 15 mars prochain, les militants sont invités à se prononcer sur les textes d’orientation du Parti socialiste, avant de déterminer le 29 mars qui de Stéphane Le Foll, Luc Carvounas, Emmanuel Maurel et Olivier Faure en deviendra le premier secrétaire. Un peu moins d’un an après l’échec de Benoît Hamon à l’élection présidentielle, où en est le PS ? Pour en savoir plus, nous avons interrogé Frédéric Sawicki, professeur de science politique à l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, auteur de plusieurs ouvrages de référence sur les socialistes français.
ITALIE
Terra Nova - L'Italie à l'épreuve des élections
Le 4 mars prochain, les Italiens éliront leurs sénateurs et leurs députés. Cette élection viendra ponctuer un long cycle d'échéances politiques décisives en Europe, depuis le referendum sur le Brexit en 2016 aux élections catalanes fin 2017, en passant par les élections législatives en Allemagne. Dans cette longue liste, le rendez-vous italien fait figure de dernier grand « risque politique » au sein de l'Union. Les électeurs italiens vont-ils contribuer au rétablissement de la confiance en Europe ou paralyser leur pays ? Avec cette élection, les Italiens parviendront-ils à s'extraire de leurs débats internes et à revenir sur la scène européenne ? Marc Lazar, spécialiste de la vie politique italienne et professeur d'histoire et de sociologie politique à Sciences Po, a analysé pour Terra Nova les enjeux de ce scrutin à venir.
POPULISME
Le Vent se lève - Íñigo Errejón : « Les peuples ne veulent pas faire la révolution tous les jours »
Le Vent Se Lève a traduit l’intervention d’Íñigo Errejón au forum pour la construction d’une nouvelle majorité populaire qui a eu lieu en Argentine le 26 août 2017. L’intellectuel de Podemos y aborde beaucoup de thèmes : ce qu’est une construction hégémonique ; ce que signifie perdre les élections ; la façon dont les élites s’emparent de l’État ; et le rôle du militant qui doit rester connecté au sens commun. Il s’agit d’une contribution importante à la réflexion politique et stratégique.
LES INNOVATIONS LOCALES
Le Courrier des maires - Vers un nouvel âge du « socialisme municipal » ?
Chargé d'animer le débat d'idées à gauche, la Fondation Jean-Jaurès a mis sur pied un Observatoire de l’expérimentation et de l’innovation locales (OEIL). Objectif : documenter des pratiques territoriales émergentes et pousser les élus socialistes à réfléchir au pouvoir d'agir citoyen ou encore l'expérimentation locale – sujets des deux premières notes publiées par cet Observatoire. Dijon (photo) en tant que smart city fera l'objet d'une prochaine étude.
METIERS
Tous les deux ans, aux États-Unis, le BLS (Bureau of Labor Statistics) fournit des projections d’emplois à dix ans selon les métiers. Je m’y intéresse depuis les années 1990 et elles se sont révélées assez fiables, au moins pour leurs prévisions sur ceux des métiers (« occupations » en anglais) qui sont appelés à croître le plus et le moins. Il y a d’ailleurs des tendances lourdes assez semblables depuis une trentaine d’années. Pour les personnes très courageuses qui s’interrogeraient sur la méthode, les hypothèses (certaines sont discutables mais pas déraisonnables) et les sources, voir cet article très complet.
FISCALITE
Libé - La progressivité de l’impôt, sujet secondaire,
Une lutte efficace contre les inégalités croissantes dans nos sociétés ne passe pas uniquement par une fiscalité progressive mais aussi par la fourniture de prestations sociales et de services publics de qualité.
L’augmentation des inégalités est devenue un thème central de la réflexion des économistes et une préoccupation importante des populations concernées. La question de la réduction des inégalités est souvent posée en lien avec celle de la redistribution des revenus, que celle-ci prenne la forme de transferts directs vers certaines catégories de population, ou la fourniture de services publics. Cette question est elle-même liée à celle de la fiscalité, à la fois en ce qui concerne le montant des recettes fiscales, qui indique ce qu’il est possible de redistribuer, et le profil de l’imposition, qui détermine les contributions relatives, positives ou négatives, de chacun à la redistribution en fonction de ses revenus.
BUDGET 2018
OFCE - BUDGET 2018 : PAS D'AUSTÉRITÉ MAIS DES INÉGALITÉS
L’objectif de cette étude est de fournir un panorama exhaustif du budget 2018, tant en analysant le détail des mesures votées, leur montée en charge et leur impact macroéconomique sur la croissance et le pouvoir d’achat des ménages en 2018 et 2019 qu’en évaluant leurs effets redistributifs selon le niveau de vie des ménages.Les évaluations portent à la fois sur les nouvelles mesures fiscales et budgétaires issues de la Loi de finance mais aussi celles décidées par la précédente majorité ayant unim pact en 2018-2019. À cela s’ajoutent les mesures entrées en application avant 2018 mais dont les effets économiques peuvent être différés ou évoluer au cours du temps.
SONDAGES
Centre d'Observation de la Société - Le sondage, un mauvais outil pour comprendre la société
Depuis leur introduction à la fin des années 1930 en France, et surtout leur application à partir du milieu des années 1960 au cas électoral, les sondages ont pris une place croissante dans le débat public. Pas un jour ne passe sans qu’un média ne rende compte d’une enquête. Les sondages partent d’un principe d’économie : observer une partie d’un ensemble permet, en extrapolant, de porter un regard global. La plupart des enquêtes d’opinion sont réalisées par des entreprises privées à des fins commerciales pour anticiper les ventes d’un produit et ne sont pas connues du grand public. De plus en plus d’enquêtes sont rendues publiques et commandées pour leur médiatisation par un groupe de pression, un « think-tank », une institution ou un média lui-même. Que valent ces sondages? Pas grand-chose sur le fond. La question qui se pose est surtout la croyance collective dans la valeur de l’outil.
INEGALITES
Observatoire des inégalités - Les classes sociales : permanence et renouveau
Les classes sociales n’ont pas disparu. Elles se sont recomposées et restent une clé de lecture essentielle des inégalités. Une analyse de Julien Damon, sociologue, extraite du site Telos.
La communauté des sciences sociales s’agite régulièrement autour des classes sociales. Au tournant de ce siècle, des experts ont publié leur acte de décès. D’autres ont signalé leur retour.
Le concept a été élaboré et discuté par des auteurs aussi éminents que Karl Marx et Max Weber, dans une société industrielle alors clivée entre groupes sociaux relativement homogènes, conscients de leurs différences et de leurs intérêts respectifs. La fin de ces classes sociales est en réalité annoncée ou prophétisée depuis des décennies, voire depuis que leur existence a été attestée en ces termes. Une fin annoncée, car elles n’existeraient plus vraiment dans des structures sociales plus centrées autour d’une vaste classe moyenne. Une fin prophétisée, car la lutte des classes aboutirait à leur disparition.
La Vie des Idées - Pourquoi rejeter les inégalités ?
À propos de : T. M. Scanlon, Why Does Inequality Matter ? Oxford UP
Pour Thomas Scanlon, l’égalité n’est pas une valeur politique en soi. C’est bien plutôt parce que nous souffrons des inégalités économiques que nous lui sommes attachés. Mais peut-on fonder un idéal politique uniquement sur des objections ?
Pour Thomas Scanlon, nos raisons de nous soucier des inégalités économiques ne relèvent pas d’une volonté de défendre une valeur politique intrinsèque, l’égalité : elles correspondent plutôt à nos objections contre les inégalités dont nous souffrons. Mais peut-on fonder un idéal politique uniquement sur des objections ?
Observatoire des inégalités - Inégalités : comment expliquer l’hypocrisie de la gauche ?
« Faites ce que je dis, pas ce que je fais ». La bourgeoisie culturelle s’enflamme de façon aussi ardente qu’hypocrite contre les inégalités. Au fond, elle n’a pas grand-chose à faire des catégories populaires. Comment expliquer cette situation ? Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.
Le débat sur les inégalités en France est marqué par une profonde hypocrisie. Les grandes envolées lyriques, souvent à gauche de l’échiquier politique, cachent mal une indifférence au sort des catégories populaires [1]. Il ne suffit pas de dénoncer ce grand écart entre les discours et les actes, il faut aussi essayer d’en comprendre les raisons.
« Voulons-nous vraiment l’égalité ? » s’interrogeait en 2015 le philosophe – et président de l’Observatoire des inégalités – Patrick Savidan [2]. Qui est ce « nous » ? Certainement pas les « libéraux-conservateurs » qui, fidèles à leur idéologie, estiment que la liberté prime sur tout et que l’égalité est au fond un sous-produit. Bien davantage les « progressistes » qui affirment que, sans l’égalité, la liberté ne peut se construire.
KEYNES
Avec son sens habituel de la provocation, Patrick Artus, l’économiste en chef de Natixis, vient de publier une petite note intitulée « Que faudra-t-il pour que les keynésiens abandonnent ? ». Suivent trois séries d’arguments, censés démontrer que la France est une économie où la demande ne peut plus jouer aucun rôle positif. Mais ils sont loin d’être convaincants.
L’argument du taux de chômage naturel
Premier argument, la France est proche du taux de chômage structurel, celui à partir duquel toute demande supplémentaire de main-d’œuvre n’aboutit pas, faute de gens formés, et se traduit par des hausses des salaires et des prix. Mettez plus de demande, nous dit Patrick Artus, et vous aurez plus d’inflation et pas moins de chômage.
FONCTIONNAIRES
Jean-Marie Harribey - 120 000 fonctionnaires priés de partir… où ?
Le 1er février 2018, le gouvernement a annoncé son intention de réformer de fond en comble la fonction publique, notamment en supprimant 120 000 emplois publics d’ici la fin du quinquennat. Au nom de la baisse des dépenses publiques de 3 points de PIB, d’une « gestion contemporaine » de l’action publique et d’une réorganisation « comme le font les entreprises », dixit le président.
CHRISTOPHE GUILLUY
Telos - Le mythe des « deux France »
L’idée que la France est coupée en deux et que le clivage social se superpose à un clivage géographique, opposant la France des métropoles à la « France périphérique », est solidement ancrée dans l’opinion. C’est pourtant, à ce degré de généralité, une idée fausse.
Je l’avais déjà écrit dans Telos en rendant compte des ouvrages de Christophe Guilluy qui a popularisé ces thèses. Pour le faire je m’étais appuyé sur une série de travaux de géographes et d’économistes publiés dans la très bonne revue de l’Insee Economie et statistique, notamment un numéro consacré en 2008 aux « disparités territoriales ». Il se trouve que cette revue récidive, presque dix ans après, en publiant un numéro spécial consacré aux « Régions et territoires »
LA CROISSANCE
Alors que l’INSEE vient de publier la première version des comptes du quatrième trimestre 2017 et donc une première estimation de la croissance annuelle, nous nous interrogeons sur les perspectives 2018 et 2019 à travers une analyse comparative des prévisions réalisées sur la France par 18 instituts (publics et privés, dont l’OFCE), entre septembre et décembre 2017. Ce billet de blog présente les points saillants de cette analyse, détaillée dans le Policy brief de l’OFCE (n° 32 du 8 février 2018), intitulé « Une comparaison des prévisions macroéconomiques sur la France », et le document de travail (n° 06-2018) associé (où figurent les tableaux des prévisions par institut).
OFCE - L’indicateur avancé : l’amarre est haute
La publication ce jour des enquêtes de conjoncture dans les différentes branches confirme l’optimisme des chefs d’entreprise interrogés par l’INSEE en février (graphique 1). Le climat général des affaires reste dans une zone comprise entre son niveau de la fin 2007 et son pic de rebond de début 2011. Depuis deux mois consécutifs, le climat est toutefois en repli, sous l’effet en particulier d’un optimisme moindre dans les services.
CAMBADELIS
Jean-Christophe Cambadélis, dans un long entretien accordé au journal Le Monde paru le 6 février, livre sa vision de la stratégie que devrait adopter le Parti socialiste pour revenir dans le jeu : une ligne d’autonomie au sein d’une gauche non alignée (Le Monde précise « sur Macron ou sur Mélenchon »). Il estime que « le socialisme, dans les conditions politiques actuelles, n’est qu’une partie de la gauche et qu’il doit impérativement se renouveler dans un ensemble plus large ». L’adversaire commun des « progressistes » n’est-il pas d’abord, en effet, « le marché libéral parce qu’il ne fait pas société ? » et celui qui l’incarne, Emmanuel Macron ? Il propose au niveau européen la création d’un « rassemblement large allant de Schulz à Tsipras ».
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Le JDD - Olivier Faure, favori pour la tête du PS : "Il faut tout changer ou mourir"
Avant le premier tour du scrutin, le 15 mars prochain, Olivier Faure, le favori pour prendre la tête du Parti socialiste, poursuit son tour de France des fédérations. Sans faire de vagues.
Est-ce parce qu'il est le favori dans la course pour prendre la tête du PS, ou est-ce sa nature flegmatique qui pousse Olivier Faure à ne pas s'abîmer en ne répliquant pas directement aux reproches que lui adressent ses concurrents? Mieux, il aime les citer. Dire que sur tel point, comme l'agroécologie par exemple, il peut être d'accord avec Stéphane Le Foll, sur tel autre – la laïcité – avec Emmanuel Maurel, et sur les services publics avec Luc Carvounas. A 49 ans, avec une campagne placée sous le signe du rassemblement, Faure fait figure de recolleur de morceaux dans un parti en miettes.
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Organisation du parti : le texte d’Olivier Faure
Le Parti de notre renaissance
Le congrès d’Aubervilliers sera historique : il déterminera si notre parti doit renaitre ou disparaitre. En rassemblant toutes les générations, toutes les histoires et tous les territoires de notre parti, Olivier Faure, 1er signataire de la Motion 3, est candidat pour conduire la renaissance des socialistes. Ce dépassement de tous les vieux clivages est la prémisse d’une nouvelle aventure collective.
Nous voulons bâtir une nouvelle maison commune : un parti-plateforme, parti des solutions
Si nous voulons donner une suite à notre histoire, nous devons profondément changer et construire une nouvelle maison commune.
Fraternel. Le respect doit prévaloir : respect des règles collectives, du débat, du vote. La camaraderie doit revenir et cela dès notre congrès. Le travail doit primer : être un élu ou un responsable du PS est un engagement, pas un privilège. Le premier des changements, c’est celui des comportements et l’exemple doit venir d’en haut.
Décentralisé. Avec une plus grande liberté d’organisation et d’initiative pour les sections et fédérations. Avec une valorisation de notre ancrage local et des expériences menées dans les territoires, socles de notre renaissance. Avec une prise en compte des enjeux spécifiques des territoires ultramarins et des Français de l’étranger. Avec des camarades tirés au sort pour être associés aux instances nationales débattant d’une thématique. Avec la mobilisation du Parti en vue des européennes de 2019 et des municipales de 2020.
Digital. Une plateforme numérique dynamisera les échanges entre socialistes, mais aussi avec les citoyens, les intellectuels, les acteurs du mouvement social, les partenaires sociaux, les autres forces de gauche réformiste. Le vote numérique et les consultations en ligne seront développés.
Au travail. Engageons plusieurs dizaines de chantiers sur des questions précises, animés par des équipes paritaires, ouverts à la société, collaboratifs, conclus par un vote des adhérents.
Ouvert. Aux adhérents, militants, citoyens qui ne se reconnaissent pas dans les offres politiques actuelles et qui attendent une alternative. Une campagne nationale d’adhésion et de participation citoyenne sera lancée. Renouvellement des équipes, féminisation et diversité sont des enjeux cruciaux.
Féministe. Un secrétariat national à l’égalité femmes-hommes sera placé auprès du Premier secrétaire. Des actions de formation et de sensibilisation seront engagées pour lutter contre le sexisme et les violences faites aux femmes. L’accès des femmes aux fonctions internes les plus stratégiques du parti sera concrétisé.
Un congrès statutaire fixera les principes d’un nouvel agir ensemble, d’une nouvelle démocratie : conditions d’adhésion (militants et sympathisants), non cumul dans le temps des responsabilités, référendum d’initiative militante, nouvelles modalités de la primaire (avec un corps électoral composé des adhérents et citoyens ayant accompagné pendant trois ans la reconstruction par leurs idées et leurs votes).
Nous voulons un congrès d’affirmation de l’identité et de l’utilité des socialistes
Nous n’avons pas été remplacés, le socialisme n’a pas été remplacé. Ni en France ni ailleurs, aucune des visions du monde qui prétendent lui succéder – libéralisme autoritaire, populisme protestataire, nationalisme identitaire – ne constitue un substitut aux objectifs et aux réponses socialistes. Nos valeurs, celles de la République et du socialisme, n’ont jamais été aussi actuelles, réaffirmons-les : liberté, égalité, fraternité, laïcité ; émancipation des individus, lutte contre les inégalités, combat pour l’écologie et pour la démocratie, engagement européen et internationaliste.
Pour renaître, il faut tirer les leçons de notre expérience au pouvoir. Avant fin 2018, une Convention nationale traitera de notre bilan. Rigoureuse, la démarche permettra un débat serein et utile à la refondation du PS.
Dans ce quinquennat, et face à ce pouvoir, nous sommes l’opposition de gauche responsable. En France, il y a un gouvernement qui n’est pas de gauche et une gauche qui n’est pas de gouvernement : socialistes, nous sommes la gauche de gouvernement.
Le clivage gauche-droite est essentiel à notre démocratie. Prétendre qu’une politique puisse être « et de droite et de gauche » crée de la résignation et nourrit les populismes. De même, substituer au clivage gauche-droite l’opposition peuples-élites comme le fait J-L. Mélenchon est dangereux : cette approche divise la nation et affaiblit le mouvement social. Notre devoir est de le dire.
Nous voulons construire la gauche de demain. Parlons aux Français déçus, partis marcher ou déclarer leur insoumission, mais aussi devenus abstentionnistes. Partageons des projets avec les forces en mouvement dans la société. Réconcilions et rassemblons des gauches que certains voudraient séparer. Affirmons en toute autonomie qui nous sommes – l’opposition de gauche responsable – et ce que nous voulons – incarner l’alternative au pouvoir.
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Orange - Parti socialiste : les quatre candidats à la direction du PS débattront le 7 mars
Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel ont tous accepté le principe du débat télévisé, après de longues négociations. Il aura lieu le 7 mars.
Les quatre candidats au poste de premier secrétaire du PS - Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel - débattront le 7 mars, a annoncé vendredi 23 février le PS dans un communiqué.
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PS: Vallaud apporte son soutien à Faure pour le poste de premier secrétaire
Boris Vallaud, porte-parole du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée, a apporté son soutien à Olivier Faure pour le poste de premier secrétaire du PS. Il a notamment salué sa capacité à rassembler et à "tisser des compromis".
Le porte-parole du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée nationale, Boris Vallaud, a apporté ce mercredi son soutien à Olivier Faure dans la course au poste de Premier secrétaire du Parti socialiste.
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