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Montebourg: "Il y a beaucoup de gens qui aimeraient que je démissionne" - 19/06 BFMTV
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L'actualité des socialistes du 9 au 16 juin (mise à jour)
A la une
Le Monde - Manuel Valls : « La gauche n'a jamais été aussi faible »
Face aux risques de division de sa majorité avant le vote crucial sur le projet de loi de finances rectificative (PLFR), Manuel Valls n'y est pas allé par quatre chemins. « La gauche peut mourir », a-t-il assené lors du Conseil national du Parti socialiste à la maison de la Chimie à Paris, samedi 14 juin. « Elle n'a jamais été aussi faible dans l'histoire de la Ve République », a-t-il ajouté, en référence à la gifle des européennes.
13, 14 et 15 juin
Le Monde - Benoît Hamon, un ministre entre deux costumes
Rue de Grenelle, chaque jour apporte son lot de turbulences. Benoît Hamon est-il dépassé par les événements ? Lundi 9 juin, le président du Conseil supérieur des programmes (CSP), Alain Boissinot, remet sa démission, laissant le chantier des programmes de la maternelle au collège, l'enseignement de la morale laïque et d'autres pans majeurs de la refondation de l'école.
Libé - Valls au PS: «le risque de voir Marine Le Pen au second tour de la présidentielle existe»
Le Premier ministre, qui s'exprime devant le conseil nationa, a aussi prévenu que «la gauche n'a jamais été aussi faible» depuis 1958 et «peut mourir».
Laurent Baumel - Interview sur LCI après mon rendez-vous avec le Premier ministre
J’étais hier soir l’invité de LCI pour évoquer le rendez-vous que j’ai eu à Matignon avec Manuel Valls et d’autres collègues de l’Appel des 100.
Le Monde - De la City à l'Elysée, le profil de Laurence Boone irrite la gauche
« J'ai des inclinations de gauche », assure au Monde Laurence Boone. La précision est d'importance. Car l'annonce, mercredi 11 juin, de l'arrivée à l'Elysée de celle qui remplacera dans une quinzaine de jours Emmanuel Macron comme conseiller pour les affaires macroéconomiques, a fait jaser dans la majorité. La nouvelle entrante ne procède ni de l'appareil socialiste ni de la haute fonction publique : elle débarquera directement de la City londonienne au cabinet de François Hollande, ce qui suscite, évidemment, le débat.
L'Express - Élysée: "La nomination de Laurence Boone n'est pas un bon signal"
En choisissant pour conseillère une économiste de banque qui a eu des propos très durs sur "l'absence de politique économique du gouvernement", François Hollande a surpris. Mais il a aussi inquiété les députés PS frondeursLe compte à rebours est engagé. A trois mois d'une rentrée scolaire qui doit voir 100 % des écoliers revenir à l'école une matinée supplémentaire, la plupart des villes en sont à ajuster, parfois difficilement, leur futur emploi du temps. Près de 1 400 communes se sont saisies de la possibilité d'« assouplissement » offerte par le ministre de l'éducation, Benoît Hamon, pour regrouper sur une seule après-midi leurs ateliers. Paris, elle, propose des « aménagements ».Comment faire plus avec moins ? C'est, une nouvelle fois, la périlleuse équation à laquelle est confronté le gouvernement à l'occasion de la présentation du projet de loi de finances rectificative (PLFR), mercredi 11 juin en conseil des ministres, qui précède d'une semaine celle du projet de loi de financement rectificative pour la Sécurité sociale (PLFRSS).C'est une des priorités affichées du quinquennat. Un thème majeur servi par deux lois portées par l'ex-ministre du logement Cécile Duflot. Le logement va-t-il devenir un point de fragilité supplémentaire pour François Hollande ?Si la région Midi-Pyrénées se cherche un compagnon, qu'elle se mette en ménage avec l'Aquitaine ! C'est, en substance, le message qu'a envoyé Christian Bourquin, président (ex-PS) de la région Languedoc-Roussillon, à Martin Malvy, son homologue de Midi-Pyrénées.France 3 - Barbara Romagnan: « L’argent public est gaspillé »
Pour Barbara Romagnan, les solutions du gouvernement face à la crise sont « injustes et pas efficaces » (DR)
Elle fait partie de ceux qu’on appelle « les députés frondeurs ». Ceux qui, au groupe PS à l’Assemblée, s’affranchissent plus souvent qu’à leur tour des consignes de vote. Barbara Romagnan n’a voté ni la confiance à Manuel Valls, ni le plan de 50 milliards d’économies du Premier ministre, ni la réforme des retraites ou l’accord sur l’emploi du précédent gouvernement.
12 juin
Direct matin - Cambadélis tend la main à gauche et aux écologistes
Après les récentes claques électorales, le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, veut raffermir les liens avec les autres formations de gauche et les écologistes, sans pour autant ressusciter la défunte "gauche plurielle".
Le Parisien - Budget : Valls va recevoir des députés PS frondeurs
Des députés socialistes frondeurs, auteurs de contre-propositions économiques et sociales, doivent rencontrer le Premier ministre, ce mercredi soir, le jour même de la présentation du budget rectificatif pour 2014.
Le Parisien - Laurence Boone : de Barclays Capital à l'Elysée
Et une femme de plus ! En passe de devenir conseillère économique à l'Elysée, Laurence Boone est la troisième femme du nouveau casting de François Hollande. A cette économiste chevronnée, âgée de 45 ans, d'éclairer à partir de la mi-juillet le président sur, notamment, le « retournement » qu'il avait annoncé.
Metro - Eduardo Rihan Cypel sur le Budget: «Tout peut être discuté, il n'y a pas de tabous»
INTERVIEW - L'ex-porte-parole du PS défend le projet de finances rectificatif du gouvernement mais souhaite que les classes moyennes soient soulagées...
Quelle réforme faut-il pour remettre le service public sur les rails ?
Projet de loi ferroviaireDébat avec Gilbert Garrel, secrétaire général de la fédération CGT des cheminots, Gilles Savary, député PS et rapporteur du projet de loi sur la réforme ferroviaire et André Chassaigne, député PCF.Les Echos - Les frondeurs du PS proposent leur contre-budget
Les députés PS de l’« Appel des 100 » ont publié leur plate-forme budgétaire. Ils veulent cibler les aides aux entreprises et relancer le pouvoir d’achat. Ils passent à nouveau à l’offensive sur le terrain des propositions. A quelques jours de la présentation en Conseil des ministres des collectifs budgétaires pour l’Etat et la Sécurité sociale, les députés frondeurs du PS ont envoyé hier soir un texte aux président, Premier ministre et premier secrétaire du PS.
11 juin
La Tribune - L'appel des "députés frondeurs" reçu avec tiédeur au PS, chaleur au Front de gauche
Les suggestions des "100" députés socialistes en matière budgétaire dévoilées lundi soir ont reçu un accueil mitigé au sein du PS, beaucoup moins au Front de Gauche, tandis qu'à droite, c'est une toute autre proposition que formule l'UMP.
Le Monde - Thomas Thévenoud, nouveau porte-parole des députés PS
Proche d'Arnaud Montebourg, le député de Saône-et-Loire prend la succession de Thierry Mandon, entré au gouvernement.
Metro - Elysée : Hollande lâché par une demi-douzaine de ses conseillers
DEMISSION - Le château a annoncé mardi un vaste remaniement avec les départs de Emmanuel Macron (économie et finances), David Kessler (culture et communication) et Thierry Rey (sport, jeunesse et vie associative). La démission de Claude Sérillon (communication) n'est pas confirmée.
Le Parisien - Elysée : Hollande remanie son cabinet et se sépare de son conseiller économique
.... Emmanuel Macron, l'influent conseiller économique et financier, est ainsi remplacé par Laurence Boone. Chef économiste de Bank of America, elle lui succédera le 15 juillet. Macron ne sera en revanche pas remplacé dans sa fonction de secrétaire général adjoint de l'Elysée.
Reuters - Sapin tient bon sur le pacte malgré l'appel des 100 députés, par Emmanuel Jarry
PARIS (Reuters) - Le ministre des Finances promet de tenir bon sur le pacte de responsabilité, malgré l'appel de députés socialistes à une réorientation vers les ménages d'une partie des aides aux entreprises, a déclaré mardi à Reuters le président de la CGPME.
Le Monde - Les députés demandent à l'Etat de prendre en main la filière nucléaire
A quelques jours de la présentation au conseil des ministres, le 18 juin, du projet de loi sur la transition énergétique, voilà un nouveau document qui va nourrir les débats. Une commission d'enquête parlementaire présidée par François Brottes (PS, Isère), et dont le rapporteur est Denis Baupin (EE-LV), a remis au président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, mardi 10 juin, son rapport sur les coûts de la filière nucléaire.
Le Monde - Faouzi Lamdaoui, conseiller de Hollande, soupçonné de fraude fiscale
Le conseiller de François Hollande, chargé des questions d'égalité et de diversité à l'Elysée, Faouzi Lamdaoui, pourrait être entendu dans le cadre d'une enquête préliminaire, révèle mardi 10 juin L'Express, pour d'éventuels « recel d'abus de biens sociaux » et « fraude fiscale ».
Le Nouvel Obs - Des députés sonnent l'alarme sur le vrai coût du nucléaire
Le rapport de la Commission parlementaire remis ce mardi pointe l'incertitude qui règne quant au chiffrage du devenir de la filière.
10 juinIls sont à l'aube de leur premier combat. La presse les a baptisés les « frondeurs » et ils n'ont pas hésité à reprendre le qualificatif à leur compte. Alors que le gouvernement doit présenter, mercredi 11 juin, son projet de loi de finances rectificatives mettant en oeuvre le « pacte de responsabilité », ces députés socialistes non alignés savent que leur heure est venue. Leurs amendements sont déjà prêts et ils comptent bien mener bataille jusqu'au bout.Le JDD - L'ancien ministre Philippe Martin rejoint la frondeINDISCRET - L'ancien ministre de l'Ecologie Philippe Martin, débarqué lors du dernier remaniement, participe désormais à la réunion du mardi des "41 frondeurs socialistes".
Coup de chaleur en Haute-Saône. Et coup de chaud pour le ministre de l'Économie qui se débat dans les filets de la solidarité gouvernementale. Arnaud Montebourg a fait lundi, sous un soleil de plomb, son ascension annuelle du mont Beuvray. Accompagné comme de coutume du chef de file des «frondeurs», le député PS de la Nièvre Christian Paul, le ministre a fait entendre sa petite musique sur la politique économique voulue par François Hollande.Un autre socialisme est possible. C’est le message qu’ont martelé samedi à Paris les membres d’un tout nouveau club : les «Socialistes affligés». Ses deux fondateurs, l’ex-eurodéputé socialiste Liêm Hoang-Ngoc et le politologue proche du Front de Gauche Philippe Marlière, avaient réuni pour l’occasion plusieurs dirigeants du Front de gauche et d’Europe Ecologie-les Verts ainsi que des figures de l’aile gauche du PS. Tous se sont accordés sur le même constat : l’heure est grave.
Les Echos - La délicate tâche de Manuel Valls pour sauver les festivals
La tâche du gouvernement pour désamorcer la crise des intermittents s’annonce difficile. La nomination, samedi, du député PS Jean-Patrick Gille comme médiateur n’a pas apaisé la colère des protestataires. A Montpellier, les intermittents ont reconduit la grève qui paralyse le 28e Printemps des comédiens depuis le 3 juin et qui se traduit par des annulations de spectacles. « Montpellier en grève aujourd’hui, tous en grève demain », pouvait-on lire sur une banderole apposée sur l’Opéra Bastille, ce week-end, où des intermittents ont retardé le début de la représentation de « La Traviata »
Le Monde - Transition énergétique : Royal maintient l'objectif d'adoption d'une loi dès 2014
Au grand dam de Ségolène Royal, le projet de loi sur la transition énergétique n'est pas encore ficelé. Forte de son poids politique, la ministre de l'écologie pensait en avoir fini avec les arbitrages interministériels pour pouvoir présenter les grandes lignes du texte au conseil des ministres du mercredi 11 juin. Finalement, la présentation aura lieu le 18 juin.
PUNCHLINE - "Il ne faut pas prendre toutes les mouches qui volent pour des idées." C'est par cette formule que le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a conclu l'émission du Grand Rendez-vous Europe1/Le Monde/i>Télé diffusé dimanche 8 juin
Mediaprt, Socialistes affligés - « Le gouvernement prépare un champ de ruines pour la gauche »
Député européen sortant (il n’a pas été reconduit par le PS), l’économiste Liêm Hoang Ngoc ne décolère pas contre le tournant pris par sa famille socialiste depuis plus d’un an.
Avec le politologue Philippe Marlière (ancien blogueur de Rue89), il a fondé un club visant à fédérer la gauche du PS, « Les Socialistes affligés ».
Liêm Hoang Ngoc et Philippe Marlière organisent ce samedi un colloque où sont invités plusieurs personnalités engagées contre l’austérité, qu’il s’agisse d’experts ou de dirigeants du PS, d’EELV ou du Front de gauche.
9 juin
Le Monde - François Hollande diffère l'explication avec la majorité parlementaire
François Hollande ne devrait pas rencontrer l'ensemble des parlementaires socialistes. Du moins, pas pour le moment. Rien de tel, contrairement à d'insistantes rumeurs, n'est pour l'heure l'inscrit à l'agenda du chef de l'Etat. « Je suis plus pour que le président voie un certain nombre de petits groupes de parlementaires, ou des membres des 41, que l'on raccommode bien avec le premier ministre tout le lien avec la majorité, plaide un intime du chef de l'Etat. La dégradation liée aux premières années est assez importante, il y a d'abord un travail de discipline à avoir. »
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Télécommunications - M. Arnaud Montebourg et Mme Axelle Lemaire par Public Sénat
Télécommunications - M. Arnaud Montebourg et... par publicsenat -
L'actualité des socialistes du 2 au 8 juin (mise à jour)
A la une
Le Monde - Intermittents du spectacle : le gouvernement nomme un médiateur
Le gouvernement a nommé un médiateur, le député PS Jean-Patrick Gilles, pour ouvrir le dialogue avec les intermittents du spectacle, opposés à la future convention chômage qui réforme leur statut, a annoncé Matignon samedi.
Le député d'Indre-et-Loire doit conduire un « dialogue avec toutes les parties concernées », dont les intermittents qui ont déposé un préavis de grève pour le mois de juin, et remettre ses propositions au gouvernement « sous 15 jours », selon le communiqué de Matignon.
Le Nouvel Obs - Colère des intermittents du spectacle : le gouvernement nomme un médiateur
Le député PS Jean-Patrick Gilles est chargé de conduire un "dialogue avec toutes les parties concernées", avant de remettre ses propositions au gouvernement "sous 15 jours".
8 juin
Le Monde - Budget : le gouvernement laisse la porte ouverte à des amendements socialistes
Les prochains projets de loi de finances rectificative (PLFR) et de financement de la Sécurité sociale (PLFRSS), présentés en conseil des ministres les 11 et 18 juin et examinés dans la foulée au Parlement, vont révéler, une nouvelle fois, la difficulté de l'exercice qui consiste à concilier une politique de l'offre – que le patronat s'obstine à juger toujours insuffisante – sans étouffer la demande.
Le Monde - Un D-Day pour sauver le soldat Hollande
« L'équivalent d'un sommet du G8 ou du G20 », selon le mot d'un conseiller à l'Elysée : avec 17 chefs d'Etat et de gouvernement, les cérémonies du 70e anniversaire du Débarquement allié en Normandie ont été planifiées autant comme un événement planétaire à grand spectacle que comme un exercice de haute diplomatie mémorielle.
Huffington Post, Henri Weber - Leçons des élections européennes
Comme on pouvait s'y attendre les Européennes ont été une "réplique", en pire, du séisme des municipales.
C'est une loi de la politique : le corps électoral ne se déjuge jamais à quelques semaines d'intervalle. Il a durement sanctionnés les socialistes en mars, il n'allait pas les plébisciter en mai, malgré l'arrivée d'un nouveau Premier Ministre populaire. Les sondages ont d'ailleurs donné de longue date le tiercé dans l'ordre, même s'ils avaient sous-estimé l'ampleur de la déroute du PS.
7 juin
Ça valait bien une nouvelle conférence de presse. C’est avec un soulagement certain qu’Anne Brugnera, adjointe au Maire de Lyon en charge de la réforme des rythmes scolaires, a pu annoncer, ce vendredi 6 juin, que la consultation des conseils d’école de Lyon s’est révélée favorable au projet du maire de Lyon PS Gérard Collomb.
Le Figaro - Écologistes et Front de gauche se réunissent au club des «socialistes affligés»
Le think-tank se lance avec pour objectif d'imaginer une politique alternative à celle de François Hollande et Manuel Valls, permettant de rassembler la gauche.
Ils vont être un certain nombre, de la gauche radicale et des écologistes, à se retrouver ce samedi boulevard Saint-Germain, au bureau d'information en France du Parlement européen, pour le premier colloque des «socialistes affligés». Un petit club fondé mi-mai par l'ex député européen PS Liêm Hoang Ngoc et Philippe Marlière, un professeur de science politique passé au Nouveau parti anticapitaliste en 2009, après 20 ans au PS. Depuis, Marlière a quitté le NPA.
ARGUMENT TECHNO - De sa voix rocailleuse, François Rebsamen vient de corriger sèchement le Premier secrétaire du Parti socialiste. Jean-Christophe Cambadélis qui s'était opposé au projet du ministre du Travail d'ouvrir un débat et consulter les partenaires sociaux sur le dossier sensible des seuils sociaux dans les entreprises.
6 juin
France Info - Gouvernement vs Medef : un clivage politique
"Il ne faut pas jouer au plus fin trop longtemps". Michel Sapin ne mâche pas ses mots, vis-à-vis de "certains" au Medef. Visiblement, le ministre des Finances n’a pas apprécié la tribune de Geoffroy Roux de Bézieux en début de semaine.
Paris Match - François Hollande, Le chef de l’Etat démonétisé
Décrocher dans les sondages après les européennes ? Le chef de l’Etat s’y préparait. « Les 3 %, il a connu, on l’appelait “M. 3 %”, il est devenu le président de la République, rappelle un de ses conseillers, il est en titane. » Ses déplacements, comme celui de Rodez vendredi dernier, sont bousculés, sa popularité dévisse et sa majorité se craquelle, mais François Hollande ne vacille pas. Chez les socialistes, sa candidature en 2017 est désormais loin d’être évidente. «
Les Echos - Christian Paul : «Le gouvernement doit taper du poing sur la table»
Le député de la Nièvre, chef de file des députés PS à la commission des Affaires sociales, Christian Paul est l’un des 41 élus qui s’est abstenu sur le programme de stabilité transmis à Bruxelles. Concernant le pacte de stabilité, il estime que « le gouvernement devrait taper du poing sur la table pour obtenir des contreparties chiffrables et vérifiables ».
Libé - Congrès du PS en 2015 : avancé ou reporté ?
On avance ou on recule ? Au PS, le report des élections régionales et départementales à l’automne 2015 pose un problème de calendrier. En effet, trois ans après celui de Toulouse, le congrès du parti était justement prévu au mois d’octobre de l’année prochaine…
5 juin
FranceTVinfo - Réforme territoriale : Hollande a-t-il vraiment raté son coup ?
Mesure phare de l'acte II du quinquennat, la réforme territoriale suscite de nombreuses incompréhensions. Ses partisans rétorquent qu'elle a au moins le mérite d'exister.
Le JDD - Le pacte de responsabilité dégénère
PETITS CALCULS - Chaque semaine, Nicolas Prissette, journaliste au service politique du JDD, décrypte les politiques économiques et sociales. Cette semaine, il revient sur le pacte de responsabilité.
Le Figaro - Une secrétaire d'Etat va affronter une législative partielle
La majorité à l'Assemblée va de nouveau être confrontée à une législative partielle à la fin du mois, à Saint-Pierre-et-Miquelon.
Le Monde - Petites retraites, impôts : Solférino veut peser sur le budget
Infléchir en partie le futur débat budgétaire. Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a envoyé lundi 2 juin une lettre au premier ministre Manuel Valls et au ministre de l'économie Michel Sapin dans laquelle il présente les « priorités » de la Rue de Solférino à quelques jours de l'examen du collectif budgétaire à l'Assemblée nationale.
4 juin
Libé - Laurent Baumel: «La Ve République arrive à bout de souffle»
Député PS et animateur de la Gauche populaire, Laurent Baumel estime que le réflexe disciplinaire de la majorité évolue.
Alors que débute l’examen de la réforme pénale à l’Assemblée nationale, Laurent Baumel, député PS d’Indre-et-Loire et animateur de la Gauche populaire, se félicite d’un changement de «pratique» selon lui à l’oeuvre au groupe socialiste. Signataire de l’Appel des 100, il plaide pour un rôle renforcé du Parlement.
Le Monde - Valls se dit « ouvert » à réduire encore le nombre de régions
Le premier ministre Manuel Valls est revenu cet après-midi, devant plusieurs journalistes, sur la réforme territoriale dont François Hollande a dessiné les contours lundi soir, devant faire passer la France de 22 régions à 14.
Big Browser, Le Monde - XXX – Le trou dans la tribune de François Hollande
Les tractations qui ont abouti au projet de réforme territoriale ont été longues et compliquées. Au point qu'une demi-heure avant son annonce l'Elysée ne savait toujours pas si les régions françaises passeraient de 22 à 14 (le chiffre finalement retenu) ou à 12, comme le laissait entendre dimanche le Journal du dimanche.
Le Télégramme - Réforme en Bretagne. La fracture socialiste
Rarement les socialistes bretons ne s'étaient autant divisés qu'à l'occasion de cette réforme territoriale. Ni gagnant ni perdant, disent certains, mais à quel prix ! Entre les partisans de la fusion avec les Pays-de-la-Loire (les « universalistes », comme les appelle Bernard Poignant) et ceux qui, emmenés par Jean-Jacques Urvoas et Jean-Yves Le Drian, militaient pour une Bretagne à cinq départements, au nom de la cohérence et de l'identité du territoire - quitte à rester à quatre -, la fracture paraît si grande que l'on voit mal comment elle pourrait être réduite.Le Nouvel Obs - La réforme territoriale sera-t-elle menée à bien ?
A droite, certains estiment que le gouvernement n'aura pas de majorité pour faire voter sa réforme. Manuel Valls assure qu'elle ira à son terme.
Europe 1 - "Peut-être faudra-t-il revoir ce découpage territorial dans 5 ou 6 ans"
François Hollande a annoncé, lundi dans une tribune, que la France aurait désormais 14 régions au lieu de 22. Alain Rousset, président de l’Association des Régions de France, a réagi à ces annonces mardi matin sur Europe 1 :
La Tribune - Valérie Fourneyron démissione, Carole Delga et Thierry Mandon entrent au gouvernement
La secrétaire d'État au Commerce quitte le gouvernement pour raisons de santé. Elle est remplacée par Carole Delga, une députée PS spécialiste des collectivités locales. Thierry Mandon, le député PS de l'Essonne est quant à lui nommé secrétaire d'Etat chargé de la Réforme de l'Etat et de la Simplification.
Interview publiée dans le Figaro du 30 mai 2014. Propos recueillis par François-Xavier Bourmaud.
La résurgence du débat sur la primaire affaiblit-elle François Hollande ?
Nous sommes confrontés à deux réalités. D’abord celle de la cinquième République avec le fait présidentiel qui s’impose. Ensuite celle du terrain, que l’on a encore vu dimanche dernier, avec un mouvement d’en bas extrêmement puissant, qui critique les institutions en général et qui aspire à un contrôle citoyen, a fortiori quand les résultats escomptés ne sont pas là. C’est dans ce contexte que l’idée d’une primaire s’est installée. Je ne crois pas que cela afaiblisse le chef de l’Etat. Ce débat sur la primaire a lieu partout, y compris à l’UMP. Le chef de l’Etat, en politique avisé entend forcément ce mouvement profond de l’opinion qui aspire à une plus grande maîtrise de son propre destin. Du reste, François Hollande a lui-même conditionné sa candidature au succès ou non de sa politique.
3 juin
Le Nouvel Obs - Réforme territoriale : Hollande propose une France à 14 régions
Bretagne, Alsace, Aquitaine... Quelles régions fusionnent ? Quelles régions restent inchangées ? Le Nouvel Observateur fait le point.
Le Monde - Alain Rousset (PS) : «La fusion des régions ne sera pas source d'économies»
Alors que le chef de l'Etat doit annoncer dans une tribune les grandes lignes de sa réforme territoriale, le président socialiste d'Aquitaine et président de l'Association des régions de France présente les difficultés que l'exécutif va selon lui rencontrer.
Libé - La France ? Peut mieux faire
Bruxelles a noté les efforts de Hollande. Qui doit toutefois progresser au prochain semestre.
Rigueur budgétaire et réformes économiques ne riment pas forcément avec populisme. Les élections européennes l’ont démontré : les Etats de la zone euro qui ont subi les plus rudes politiques d’austérité, comme le Portugal, l’Irlande, la Grèce, l’Espagne et Chypre, tout comme ceux qui ont adopté des politiques de rigueur (Italie, Belgique, Pays-Bas, Slovénie, pays baltes), n’ont pas connu une déferlante d’extrême droite équivalente à celle qui a submergé une France qui, elle, commence à peine à s’attaquer à ses déséquilibres.
Le Nouvel Obs - SONDAGE. Hollande stagne, Valls baisse, Le Pen monte et Sarkozy chute
François Hollande a stagné à 21% de bonnes opinions en mai comparé au mois précédent, tandis que Manuel Valls a reculé de trois points à 49%, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange pour L'Express, la presse régionale et France Inter publié lundi 2 juin.
Le Monde - Hollande rencontrera les parlementaires PS d'ici à la fin de juin
Le président du groupe socialiste, républicain et citoyen à L'Asssemblée, Bruno Le Roux, a annoncé dimanche 1er juin sur RTL et LCI avec Le Figaro que François Hollande allait « venir avant la fin de la session parlementaire dialoguer avec la majorité ». D'après M. Le Roux, le président pourra ainsi communiquer à la majorité « le chemin qui est le sien, la persuasion qui est la sienne ».
2 juin
Le Monde - Hollande tranchera lundi sur la fusion des régions françaises
François Hollande avait promis, au lendemain des élections européennes, d'accélérer la réforme territoriale, qui doit conduire à la réduction du nombre de régions. D'après Le Journal du dimanche (JDD) daté du 1er juin, le chef de l'Etat aurait étudié, samedi 31 mai, un scénario d'une France à douze « superrégions », au lieu des 22 actuelles, prélude à un découpage qui sera proposé dans un projet de loi attendu pour la mi-juin.
Libé - Hollande se prépare à annoncer les contours de la réforme territoriale
Ce «big bang» devrait voir naître une douzaine de «super-régions» en métropole, à la place des 22 existantes. Objectif : réaliser des économies.
Une semaine après la gifle des élections européennes, François Hollande entend reprendre l’initiative en dévoilant d’ici à mardi les contours très attendus d’une vaste réforme territoriale qui devrait créer «une douzaine» de super-régions en métropole, contre 22 aujourd’hui. Objectif de ce big bang : alléger le coût du «millefeuille» territorial en cette période de disette budgétaire et de coupes claires dans les dotations de l’Etat aux collectivités locales, selon les deux mots d’ordre fixés par le chef de l’Etat lui-même, «simplification» et «modernisation».
Tribune de Lyon - Nathalie Perrin-Gilbert fait le choix de la majorité
Surprise dans le journal municipal de la Ville de Lyon. Dans le guide des conseillers municipaux, Nathalie Perrin-Gilbert, la maire Gram du 1er, figure dans la rubrique “Majorité”
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L'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juin (mise à jour)
A la une
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Page officielle de l'Appel des 100. Parlementaires et responsables socialistes, engagés pour une politique de gauche juste et efficace.
Laurent Baumel : « Sommes-nous morts pour rien? ou pourquoi les députés socialistes se mobilisent »
Le 30 mars 2014, le socialisme municipal s’est effondré en France dans des proportions inattendues et colossales qu’on peine encore à mesurer. L’attention s’est portée sur l’implacable statistique des «155 villes » de plus de 9 000 habitants tombées dans l’escarcelle de la droite et ses conséquences en chaîne sur la direction des grandes communautés urbaines du pays.
Pouria Amirshahi – « Frondeurs » : qui sommes-nous, que voulons-nous ?
ENTRETIEN À POLITIS
Pouria Amirshahi est l’un des « frondeurs » qui n’ont pas voté le pacte de stabilité défendu par Manuel Valls. Il explique sa démarche. Ils ont été 41 députés socialistes à s’abstenir, le 29 avril à l’Assemblée. Un désaveu pour le nouveau Premier ministre et pour François Hollande. Simple avertissement ou amorce d’une contestation durable ? Pouria Amirshahi penche pour la seconde hypothèse.29, 30, 31 mai et 1er juin
Libé - Duflot et Royal réunies autour de Raoni
Le chef amazonien est l'invité mardi d'une conférence sur le climat organisée par Claude Bartolone à l'Assemblée.
Le Monde - Hollande chez les Bleus, un président en quête d'une France qui gagne
Quoi de mieux qu'une visite présidentielle aux Bleus, en cette période post-déroute électorale et pré-Coupe du monde, pour tenter de se requinquer ? Sans doute faut-il y voir les effets du 4 à 0 sans bavure infligé à la Norvège, mardi soir en match amical, conjugués à ceux des 13,98 % recueillis pas le PS aux européennes, mais force est de constater que François Hollande, ces jours-ci, manifeste un intérêt renouvelé pour la France qui gagne : celle du football.
Le Figaro - François Hollande élude la question de sa candidature en 2017
Le président aurait confié à des proches rester «froid» et «indifférent» face au sondage selon lequel seuls 3% des Français le préféreraient comme candidat socialiste à sa propre succession en 2017.
LCP - "Colère" de Cambadélis contre la presse et "une partie" de la classe politique
La presse et "une partie" de la classe politique sont "irresponsables" en ces temps de "crise politique majeure", a accusé mercredi le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, interrogé sur la désaffection des Français à l'égard de François Hollande.
Le Monde - Hollande et Valls ne fléchissent pas face aux députés PS frondeurs
François Hollande a répondu depuis Bruxelles, mardi 27 mai, aux élus socialistes de l'Assemblée réclamant une inflexion à gauche après la débâcle de la majorité aux Européennes. Plus tôt dans la journée, une partie d'entre eux avaient également eu une discussion avec le premier ministre Manuel Valls, venu s'exprimer devant le groupe de l'Assemblée.
Huffington Post, Laurent Baumel - La gauche sait-elle tirer les leçons de son Histoire?
"Peuples et gouvernements n'ont jamais rien appris de l'Histoire" a écrit Hegel. S'il n'est pas toujours aisé, en effet, de tirer des leçons réelles du passé, chaque génération devrait au moins être capable de tirer les leçons de sa propre histoire.
Alors la gauche au pouvoir vient de subir une nouvelle défaite cuisante, on peut se demander si ce n'est pas précisément cette capacité-là qui lui manque.
Paul Alliès - RompreLe résultat des élections européennes mais surtout les réactions de François Hollande et Manuel Valls qui les ont suivies amènent à une conclusion: l'exécutif n'entend plus rien et n'est plus à même de reconstruire une quelconque histoire de la gauche d'ici 2017. Il faut donc rompre avec une politique comme avec un système politique qui peuvent nous conduire à un "désastre obscur".
28 mai
Le Parisien - Devant Valls, des députés de la majorité évoquent «un problème Hollande»
Rien ne va plus au PS. Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes et l'ont fait savoir au Premier ministre Manuel Valls qui les rencontrait ce matin à l'Assemblée nationale.
Le Monde - Qui est responsable de la montée du FN ?
La première place du Front national aux élections européennes du 25 mai marque une rupture dans la vie politique française. Quelles sont les responsabilités des partis traditionnels dans cette déroute ? Après l'avoir diabolisé dans les années 1980, les médias n'ont-ils pas contribué à banaliser le FN des années 2010 ? L'UMP survivra-t-elle à cette percée frontiste ? Comment le PS peut-il encore éviter la perspective d'un 21 avril 2017 ? Comment réduire la fracture entre les perdants et les gagnants de la mondialisation ?
Le Monde - Rythmes scolaires : le décret Hamon a-t-il ouvert la boîte de Pandore?
Certaines ne cachent pas leur enthousiasme, d'autres se perdent dans les justifications. Dans les villes candidates à un « assouplissement » de la réforme des rythmes scolaires, comme le permet pour trois ans de « décret Hamon », le soulagement se fait entendre, même si l'embarras demeure.
Public Sénat - Les députés socialistes accusent le choc des européennes
Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes avec un FN en tête, exprimant leurs inquiétudes aiguës devant Manuel...Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes avec un FN en tête, exprimant leurs inquiétudes aiguës devant Manuel Valls et allant, pour l'un d'eux, jusqu'à évoquer un "problème" François Hollande.
Le chef de l’Etat ne sera pas en mesure de se représenter en 2017. La gauche doit se mettre en quête du candidat qui pourra résister à la menace Le Pen.
27 mai
Libé - François Hollande : «L’Europe, elle est devenue illisible, j’en suis conscient»
VERBATIM Le Président s'est exprimé ce lundi soir lors d'une brève allocution télévisée.
Libé - Européennes : Hollande admet la claque, mais garde le cap
Le Président s'est exprimé lundi soir, au lendemain des élections européennes qui ont vu la victoire du FN. Sa «ligne de conduite» ne déviera pas.
Le blog de Françoise Fressoz - Le président sans cartouche
En l'écoutant lundi 26 mai faire sa déclaration aux Français dans le cadre du journal de 20 heures, on comprenait pourquoi toute la journée le président de la République avait hésité à parler.
Que pouvait-il annoncer à son peuple qui, dans la foulée des élections municipales, venait de lui infliger une nouvelle gifle électorale ? Rien et c’est tout le problème.
Les Echos - PS : les « hollandais » sonnés, les frondeurs à l'offensive
Les députés PS sont de plus en plus nombreux à appeler le président à ralentir le rythme de réduction du déficit.
C'est un parlementaire proche de François Hollande qui avoue : « Je ne comprends pas ce qu'on fait. A ce train, on va arriver dans la même situation que Chirac en 1997, à devoir dissoudre » l'Assemblée. C'est un autre parlementaire, toujours un fidèle du chef de l'Etat, qui s'inquiète : « Le président peut bien prendre des initiatives, rien ne passera. Le vote FN devient normal pour certains. L'UMP ne va pas bien, mais, pour le moment, ce n'est pas elle qui est disqualifiée pour le second tour de la présidentielle. »
Le Monde - Européennes : pourquoi le 25 mai est plus grave que le 21 avril
Analyse. Mesurons l'ampleur du séisme politique des élections européennes en France : le 25 mai 2014 est bien plus grave que le 21 avril 2002. Pour trois raisons. D'abord parce que la victoire historique du FN dans un scrutin national ne provoque pas de réaction collective, comme si l'encéphalogramme démocratique restait désespérément plat, là où le 21 avril avait conduit une partie de la société française, notamment de sa jeunesse, à sortir dans la rue et la gauche à se battre pour permettre la victoire de Jacques Chirac contre Jean-Marie Le Pen.
Le Monde - Européennes : 5 enseignements du scrutin passés inaperçus
Après les réactions à chaud, les résultats détaillés des élections européennes fournis par le ministère de l'intérieur permettent de tirer de nouveaux enseignements sur le scrutin du 25 mai.
Le Point - Hollande-Valls : le commando fiscal
Au lendemain du séisme électoral, ils ont recours à la bonne vieille ficelle de la baisse des impôts. Au risque de se contredire et de se répéter.
Les Echos - Le doute s'accroît un peu plus au sommet de l'Etat sur la présidentielle de 2017
Après la déroute de dimanche, les soutiens de François Hollande s'interrogent sur ses chances de se succéder à lui-même.
Ce dimanche, le Parti Socialiste a fait le plus mauvais score aux élections européennes de son histoire et n'a pu que constater la vague bleue marine qui a déferlée dans le pays mais aussi en Midi-Pyrénées. Christophe Borgel, député de de Haute-Garonne et secrétaire national chargé des élections du Parti Socialiste, revient sur cet échec électoral et sur l'avenir du PS.
Les Echos - François Hollande ou le quinquennat bloqué
Sur le plan institutionnel, le scrutin européen ne change rien. François Hollande a été élu pour cinq ans et poursuit son mandat. Mais politiquement, la situation devient intenable, ou presque.
Les Echos - Européennes : le PS a été plus boudé par les salariés du privé que par ceux du public
Ce n’est pas le vote fonctionnaire qui a manqué aux socialistes lors des élections européennes mais celui des salariés du privé.
Direct Matin - Cambadélis (PS) : l'Europe doit "se concentrer sur l'essentiel"
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, a vu dans les résultats aux élections européennes un "message clair" qui est que "l'Europe doit de manière urgente se concentrer sur l'essentiel", l'emploi et la croissance verte.
26 mai
Le JDD - La triste victoire d’Edouard Martin
REPORTAGE - C’est avec la rage de voir le FN en pôle position en France comme dans sa circonscription aux élections européennes qu’Edouard Martin obtient son ticket pour Bruxelles. Récit d’une soirée triste et amère pour l’ancien leader syndicaliste de Florange.
Le Nouvel Obs - Européennes: Hollande veut limiter les dégâts au lendemain de la victoire du FN
Sévèrement désavoué dimanche lors des élections européennes qui ont vu le triomphe du Front national, François Hollande va tenter, dès lundi matin, de tirer avec Manuel Valls les leçons d'un choc électoral qui ébranle la France et l'Europe.
La Tribune - "Il faut de nouvelles baisses d'impôts" (Manuel Valls)
Le Premier ministre estime nécessaire de baisser la fiscalité. Il s'exprime au lendemain de la défaite électorale aux élections européennes pour la majorité.
France Info - Européennes : "Des leçons doivent être tirées" (Elysée)
Après le succès du FN et la déroute du PS dimanche soir, François Hollande réunira Manuel Valls et plusieurs ministres lundi à 08h30. "Des leçons doivent être tirées" de cet "événement majeur", a indiqué l'Elysée. Les européennes sont "un choc", "un séisme" a déclaré le Premier ministre qui a décrit un moment "très grave" pour l'Europe et la France.
Choc, séisme... Ce dimanche soir, dans la bouche des socialistes beaucoup de mots rappelaient ceux prononcés le 21 avril 2002 quand Lionel Jospin avait été éliminé du second tour de la présidentielle. A nouveau troisième d'une élection nationale, le PS subit une seconde déconvenue, deux mois après son camouflet des municipales.
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L'actualité des socialistes du 19 au 25 mai (mise à jour)
A la une
Le JDD - Les socialistes veulent croire à une "surprise"
EUROPEENNES – A 48 heures du scrutin européen, les socialistes ont tenu leur dernier meeting vendredi soir à Villeurbanne, près de Lyon. Loin de ce que prédisent tous les sondages, Manuel Valls comme Jean-Christophe Cambadélis disent croire à une "surprise".
25 mai
Lyon Capitale - Schulz et Valls à Lyon : le PS veut tenir sa gauche
Manuel Valls et Martin Schulz concluaient la campagne européenne du PS. Pour remobiliser les électeurs de gauche, le Premier ministre s'en est pris au cours de l'euro, tandis que Martin Schulz a critiqué une "Europe injuste", promettant de lutter contre la fraude fiscale.
24 mai
Le Monde - Le PS relance le débat sur le droit de vote des étrangers
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a annoncé, jeudi après-midi, lors de l'émission « Les Indés Radios Metronews LCI », que « le PS va lancer une campagne à l'automne sur le droit de vote des étrangers ».
M. Cambadelis a ajouté qu'il appellerait « à l'automne tous ceux qui pensent qu'il est nécessaire qu'il y ait le droit de vote des étrangers, en situation régulière évidemment, (pour qu'ils) participent à cette campagne ».
23 mai
Libé - Royal veut redevenir la bonne élève du gouvernement
Dans une interview ce vendredi au «Parisien», la ministre de l'Ecologie ne se permet cette fois aucun écart. La preuve en trois exemples.
Une bonne élève. Pour sa première interview après sa sortie remarquée dans Paris-Match, Ségolène Royal rentre dans le rang du gouvernement. Dans un «Face aux lecteurs» publié ce vendredi dans le Parisien, la ministre de l’Environnement ne se permet aucun écart.
La ministre de l'écologie et de l'énergie, Ségolène Royal, ne ferme pas la porte à l'extraction du gaz de schiste à condition que soient mises au point « de nouvelles technologies non dangereuses », dans un entretien publié par Le Parisien/Aujourd'hui en France, vendredi 23 mai.
Le Monde - La mise en garde de Le Drian à Valls sur le budget militaire
Les nouvelles coupes envisagées dans le budget de la défense suscitent de vives inquiétudes chez les militaires et au sein même du ministère, dans l'attente de l'arbitrage du président de la République. « Le président de la République rendra ses arbitrages dans les prochaines semaines », a indiqué, vendredi, l'entourage de M. Hollande
Libé - Après Juppé, Rocard s'agace contre les «anti-européens»
L'ancien Premier ministre a appelé, à trois jours du scrutin européen, à voter Martin Schulz, «un Allemand hostile à l’austérité».
Libé - Sur France 2, un débat européen très franco-français
Retrouvez le live de l'émission spéciale Des paroles et des actes consacrée aux élections européennes, avec Libération.
Slate, Laurent Bouvet - Européennes: quatre raisons pour lesquelles les électeurs vont bouder le PS
Le Parti socialiste a voté tous les traités européens et applique en France une politique d'austérité et une économie de l'offre. Comment croire qu'il orienterait une autre politique au niveau européen s'il gagnait les élections le 25 mai?
22 mai
La majorité monte au créneau pour dénoncer la commande de 2 000 rames de TER trop larges et, en creux, justifier la réforme ferroviaire en préparation.
Le Figaro - Européennes: "pas de changement" si mauvais score du PS (Valls)
Le Premier ministre Manuel Valls a assuré aujourd'hui à quelques journalistes qu'il n'y aurait "pas de changement de gouvernement" ni de "majorité" ni de "ligne économique" en cas de mauvais résultats du PS aux élections européennes de dimanche.
Capital - Le PS parie sur une victoire sociale-démocrate aux européennes
François Hollande et le Parti socialiste français font le pari d'une victoire sociale-démocrate aux élections européennes pour adoucir l'impact d'une sévère sanction à domicile le 25 mai. Deux mois après la déroute du PS aux municipales, un nouveau revers, annoncé par les sondages, affaiblirait encore le chef de l'Etat, qui bat déjà des records d'impopularité
Alternatives Economiques - Le tour de passe-passe de Michel Sapin
Le gouvernement français a présenté le 23 avril dernier le « Programme de stabilité 2014-2017 » qu’il va soumettre à la Commission européenne. Celui-ci prévoit en particulier un retour du déficit public français sous la barre des 3 % du produit intérieur brut (PIB) dès 2015 alors que ces dernières semaines, le gouvernement semblait avoir l’intention de demander aux autorités européennes un nouveau délai pour atteindre ce niveau. Un pari qui repose cependant sur des hypothèses peu réalistes.
21 mai
Public Sénat - Fiscalité: la lutte contre la fraude financera la baisse d'impôt, dit Valls
La baisse d'impôt sur le revenu pour les revenus modestes annoncée par le gouvernement sera entièrement financée par les gains supérieurs aux attentes...La baisse d'impôt sur le revenu pour les revenus modestes annoncée par le gouvernement sera entièrement financée par les gains supérieurs aux attentes issus de la lutte contre la fraude fiscale, a indiqué mardi le Premier ministre Manuel Valls.
La Tribune - L'Assemblée nationale vote une nouvelle version de la loi "Florange"
Les députés français ont adopté mardi, dans le cadre du projet de loi ESS, plusieurs dispositions de la loi "Florange" sur la reprise des sites industriels qui avaient été censurées par le Conseil constitutionnel.
itélé - Cambadélis - Le Pen : face à face sur l'Europe
A six jours des élections européennes, le Premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis et la Présidente du Front national, Marine Le Pen, ont débattu lundi sur le plateau d'i>TÉLÉ. Visions de l'Europe, immigration ou encore enjeux économiques, autant de thèmes évoqués, qu'itele.fr vous propose de (re)découvrir.
20 mai
Plusieurs anciens membres du gouvernement, démissionnés en avril, disent leur "déception" et dressent un portrait sans concession du chef de l'Etat dans "le Nouvel Observateur".
Les Echos - Edouard Martin, sur les braises
Tête de liste socialiste dans le Grand Est aux élections européennes, le syndicaliste emblématique de Florange fait le dur apprentissage du combat politique. En s’efforçant de préserver sa liberté de parole et d’action.
Le Point - Cambadélis dénonce le "cirque hallucinant" autour de Jérôme Kerviel
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a dénoncé lundi le "cirque hallucinant" autour de Jérôme Kerviel, y voyant un "système médiatique de défense" de l'ex-trader qui, estime-t-il, "doit purger sa peine". "Je trouve que le cirque autour de M. Kerviel est assez hallucinant. Franchement ! C'est un système médiatique de défense contre une décision de justice", s'est exaspéré le responsable socialiste sur i-Télé et Europe 1.
Le Nouvel Obs - Impôts : prendre aux riches pour donner aux pauvres, oui mais...
L'annulation de l'impôt sur le revenu d'un million et demi de ménages sera financée par les exilés fiscaux repentis... La première année. Et ensuite ?
Lyon Mag - Pierre-Alain Muet : “me traiter de keynesien ça n’a pas de sens”
Pierre-Alain Muet n’est pas d’accord pour que Gérard Collomb le qualifie, dans une interview à Acteurs de l’Economie, d’économiste "keynésien classique"...... Ainsi mis ainsi en cause, Pierre Alain Muet réagit : "Je ne plaide pas du tout pour une politique de relance. Je dis juste que les allégements sont trop importants. 41 milliards d’allègement offerts aux entreprises c’est trop. C’est du simple bon sens (…). Le terme keynésien et la façon avec lequel Collomb l’exprime ça n’a pas de sens".
LCP - Laurence Rossignol dénonce "l’obstruction" de l’UMP sur le texte famille
La secrétaire d'Etat chargée de la Famille, Laurence Rossignol, estime qu'"une fois de plus, l'UMP fait de l'obstruction" en multipliant les amendements à la proposition de loi sur la famille devant être débattue à partir de lundi soir à l'Assemblée.
Le Figaro - Montpellier : l'histoire de France en Algérie perd son musée
Un gâchis intellectuel et financier.» La colère gronde après l'annonce faite mercredi par Philippe Saurel. Ce nouveau maire de Montpellier et président de la communauté d'agglomération, qui a fait campagne en dissident PS mais est proche de Manuel Valls, abandonne le Musée de l'histoire de France en Algérie (MHFA). Il réoriente le chantier qui devait aboutir à l'été 2015 en espace d'art contemporain. L'idée du MHFA avait été émise en 2002 par un autre trublion du PS, Georges Frêche. Dès l'origine, elle avait suscité la polémique: élus verts et communistes redoutaient la création d'un sanctuaire colonial, ou du moins d'un instrument de lecture du passé trop en faveur des 42 000 rapatriés ayant fait souche alentour.
Lui président, blog Le Monde - François Hollande, ou comment enterrer ses promesses en 7 leçons
Les critiques adressées à François Hollande au cours de ses deux premières années de mandat se sont souvent concentrées sur le reniement de ses promesses de campagne. Mais alors que certains grands engagements symboliques, comme le combat contre la finance ou l’exemplarité du comportement, ne cessent de revenir dans la bouche de ses détracteurs, d'autres, plus nombreux, sont passés inaperçus.
19 mai
Le Parisien - Sapin : «Le geste fiscal s'appliquera dès maintenant et jusqu'en 2017»
Non, la baisse d'impôts annoncée cette semaine par Manuel Valls n'est pas une mesure électoraliste à quelques jours des Européennes. C'est ce qu'a martelé ce dimanche Michel Sapin,
Le Monde - Les sondages des élections européennes en France
Jusqu'aux élections européennes du 25 mai, Le Monde publie quotidiennement un sondage des intentions de vote, réalisé par Ipsos-Steria, également pour le Cevipof et Terra Nova.
Le Monde - Au fait, c'est quoi ce décret sur les « investissements stratégiques » ?
L'affaire fait grand bruit dans les milieux industriels et financiers : dans le bras de fer qui oppose la France et le géant américain General Electric (GE) pour le rachat d'Alstom, Arnaud Montebourg a poussé son avantage, en obtenant de Manuel Valls le droit de « muscler » un décret soumettant certains investissements étrangers en France à l'autorisation préalable de l'Etat.
Libé - Matignon manie la baguette magique fiscale
En décidant subitement de redistribuer un milliard d’euros aux ménages les moins aisés, l’exécutif a opté pour la fourchette haute. Avec un double objectif : relancer la consommation et apaiser les députés socialistes.
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L'actualité des socialistes du 28 avril au 11 mai (mise à jour)
Jusqu'au 11 mai, pour cause de vacances, l'actualité sera suivie beaucoup plus irrégulièrement. Chaque jour des vidéos ou des documents de réflexion seront toutefois proposés sur ce blog.
_________________________________________________________________9, 10 et 11 mai
Le Figaro - Manuel Valls cajole les députés socialistes et garde un œil sur les frondeurs
Opération «câlinothérapie». Après le vote serré sur le programme de stabilité et à quelques semaines de la présentation des textes très sensibles rectifiant les budgets de l'État et de la Sécurité sociale pour 2014, Manuel Valls souhaite recoller les morceaux avec le groupe PS de l'Assemblée «en déshérence depuis deux ans», selon les mots d'un proche.
Le Monde - Européennes : la lettre ouverte de Cambadélis à Marine Le Pen
Pour l'instant, ils ne débattent pas physiquement l'un contre l'autre mais par médias interposés. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a envoyé, jeudi 8 mai, une lettre ouverte à la présidente du Front national, Marine Le Pen.
L'Express - France 2: Cambadélis boude des Paroles et des Actes
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du Parti socialiste, a décidé de ne pas participer à l'émission Des Paroles et des Actes consacrée aux élections européennes. Il propose d'être remplacé par Martin Schulz. Une initiative qui fait mauvais effet.
Le Parisien - Européennes: Cambadélis propose à Le Pen un débat «où elle veut, quand elle veut»
«Mais puisque vous y tenez, je vous propose donc un débat Madame, où vous voulez et quand vous voulez». Voilà donc le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis bien décidé à en découdre avec Marine Le Pen, devant les caméras.
Le Monde - Françoise Castex, eurodéputée assidue et débarquée
« Réussir à retourner une majorité électorale, dans une vie d'eurodéputée, ça ne s'oublie pas », sourit Françoise Castex, avec une pointe de nostalgie. L'épisode auquel l'élue fait référence est le rejet par le Parlement européen de l'accord commercial anticontrefaçon (ACTA), en juillet 2012, alors que, « au début, on était une toute petite poignée à s'y opposer ». Confortablement installée dans le Thalys qui la conduit au Parlement de Bruxelles depuis dix ans maintenant, la quinquagénaire égrène les sujets sur lesquels elle a ferraillé durant ses deux mandats. Pêle-mêle : le renforcement de la protection des données personnelles, le vote du Parlement sur la neutralité du Net début avril et le lancement d'une contestation du traité transatlantique. Difficile d'imaginer qu'elle devra faire ses cartons dans quelques semaines. Le 27 juin au plus tard, son bureau devra être libéré.
Le Monde - Réforme territoriale : un président de région PS dénonce le « mépris » de Valls
Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée) de 1977 à 2004, Jacques Auxiette est président socialiste de la région Pays de la Loire. Il ne se présentera pas pour sa propre succession.
Le Nouvel Obs - Européennes : comment Cambadélis force Le Pen à débattre avec Schulz
Le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe a fait savoir son souhait de laisser sa place à Martin Schulz, candidat social-démocrate, dans un débat entre les chefs de parti sur l'Europe.
7 et 8 mai
Le Monde - Régions, vie privée, économie, Alstom : ce qu'a dit Hollande
Deux ans jour pour jour après son élection, François Hollande s'est livré, mardi 6 mai, à un exercice médiatique inédit pour un président de la République : une interview avec un journaliste au style réputé très direct, suivie d'un face-à-face avec les auditeurs de BFM-TV et de RMC pendant plus d'une demi-heure.
Le Nouvel Obs, Laurent Jofrin - Hollande, 2 ans après : le temps des noyaux
Pour Hollande, tout est perdu ? Pas tout à fait. Le scénario du redressement peut encore prendre corps. Mais pour profiter de cette embellie, il ne suffira pas de proclamer qu'on l'avait bien dit.
LE PLUS. François Hollande était l'invité de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC et BFM-TV, mardi 6 mai. Pour notre chroniqueur Bruno Roger-Petit, avec cet exercice, il a pu mesurer le gouffre qui le sépare d'une certaine France, beauf et réac, qui demande au président de résoudre des petits problèmes qui n'ont rien à voir avec la fonction présidentielle. A-t-il fait le bon choix avec cette émission ?
Libé - Comment Hollande embarque Valls dans sa galère
RETOUR SUR L'interview de mardi matin a permis au chef de l'Etat de construire la solidarité du couple exécutif.Comme un petit jeu de la barbichette présidentielle. Avec son engagement de ne pas se représenter en 2017 si le chômage n’a pas baissé à cette date, François Hollande fait peut-être un pari macro-économique risqué.
Le Monde - A Villiers-le-Bel, Hollande tente de raviver ses promesses pour la jeunesse
Le bain de foule n'était pas prévu au programme. Mais lorsqu'il est sorti de l'Institut des métiers et de l'artisanat de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), où il avait passé une partie de la matinée à s'entretenir avec des apprentis et des jeunes créateurs d'entreprises, François Hollande n'a pas résisté à ce qui était encore, il y a un peu plus de deux ans, une joie de candidat en campagne.
Libé - Report des élections régionales : «Se donner un an de plus pour la réflexion»
INTERVIEW Didier Guillaume, président du groupe PS au Sénat, se réjouit de l'annonce de François Hollande, qui permettrait d'éviter «un vote pour rien en 2015».
Le Nouvel Obs - Hollande pour le big bang territorial et retarder les Régionales
François Hollande et son gouvernement envisagent désormais de faire la réforme territoriale -suppression des départements et réduction drastique du nombre des régions- avant les nouvelles élections régionales et cantonales, ce qui implique de reporter ces scrutins de 2015 à 2016.
Huffington Post - François Hollande tient sa permanence de député de la France
On pouvait assister à un spectacle bien étrange ce matin au réveil sur RMC-BFM TV:
François Hollande soumis aux injonctions de l'inquisiteur Bourdin d'expier ses pêchés, de confesser ses fautes devant la nation.Face à un Jean-Jacques Bourdin qui ne voulait rater pour rien au monde l'occasion de dévorer tout cru un président, François Hollande peinait à trouver ses mots, se perdait en bafouillements, tentant vainement de se donner une allure de combattant.
Le Monde - Le chef de l'Etat veut restaurer son lien avec la majorité
Et maintenant, les parlementaires ? Après s'être adressé en direct aux Français au micro de RMC, mardi 6 mai au matin, le président de la République est désormais pressé par les ténors socialistes de venir s'exprimer devant ceux qu'il a en partie contribué à faire élire en juin 2012. Après le remaniement du cabinet à l'Elysée et du gouvernement, « la réinstallation du lien avec la majorité doit être l'épisode suivant », conseille le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone pour qui une rencontre prochaine est « inéluctable ».
Huffington Post - Interview de Hollande: un mea culpa télévisé pour passer "du regret au rebond"
INTERVIEW FRANÇOIS HOLLANDE - Pour son deuxième anniversaire à l'Elysée, François Hollande n'a eu droit à aucun cadeau ce mardi matin sur BFMTV et RMC. Bousculé par Jean-Jacques Bourdin et ses auditeurs qui ne l'ont pas ménagé, le président de la République a fait acte de contrition pendant près d'une heure tout en tachant de relancer un quinquennat à la dérive. "Bien sûr que j'ai des regrets", a-t-il reconnu à plusieurs reprises tout en battant sa coulpe sur le rythme des réformes et la faiblesse des résultats constatés.
Le Figaro - Hollande prié de soigner les députés PS
«Moi, président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l'Élysée.» L'anaphore de François Hollande prononcée le 2 mai 2012 vient de nouveau de recevoir du plomb dans l'aile. Et c'est le député Bruno Le Roux, patron des députés socialistes qui a lancé la salve, à deux jours du deuxième anniversaire de l'arrivée de Hollande à la tête de l'État.
Ouest France - François Hollande le dos au mur
Personne ne sait ce que donnera, dans trois ans, voire dans trois mois, l'opération reconquête que le Président, privé d'un effet Valls, entame ce matin à la radio et à la télévision.
D'abord, pour des raisons politiques. Il n'est pas écrit que la majorité restera majoritaire. Le pacte de stabilité a été voté, la semaine dernière, avec moins de la moitié des députés. Quand les chevènementistes votent contre, quand 41 socialistes s'abstiennent, quand les écologistes prennent leurs distances, on devine que chaque texte sera un combat.
Le Monde - Un « mandat d'éducation » pour faciliter la vie quotidienne
Légiférer sur les beaux-parents n'est pas chose aisée. Beaucoup d'encre a coulé sur le sujet, des projets ont été rédigés… en vain. Dans leur proposition de loi « relative à l'autorité parentale et à l'intérêt de l'enfant », qui doit être débattue par la commission des lois de l'Assemblée nationale mardi 6 mai, les députés PS Erwann Binet (Isère) et Marie-Anne Chapdelaine (Ille-et-Vilaine) ont joué la prudence.
Le Nouvel Obs - Geneviève Fioraso affronte une inquiétante cabale
Une violente fronde anti Geneviève Fioraso a éclaté lors du changement de gouvernement et continue d'empoisonner l'atmosphère universitaire, avec des attaques un peu hystériques.
Retour de courte durée pour Pierre Moscovici. Comme neuf autres de ses anciens collègues au gouvernement, l'ex-ministre de l'Economie est redevenu député samedi 3 mai, un mois après la démission de l'équipe Ayrault.
Mais l'élu du Doubs ne va pas s'attarder au Palais Bourbon. Il vient en effet d'être chargé d'une mission sur l'Europe par le président de la République et le premier ministre. Il en avait lui-même fait l'annonce, lundi ce qui a été confirmé à la lecture du journal officiel du mardi 6 mai.
Le Figaro - Les socialistes angoissent déjà pour la prochaine présidentielle en 2017
«2017 c'est encore loin même si l'heure est au pessimisme», confie Yann Galut au Parisien mardi. Le député PS du Cher n'hésite pourtant pas à évoquer une primaire socialiste en 2017, tant la reconduction de François Hollande lui semble compliquée: «Il n'y a rien de scandaleux à dire que le sortant doit se soumettre à des primaires ça peut être pour Hollande un moyen de renouer avec les français».
Europe 1 - "Plan social" au PS après la gifle des municipales
CRISE - Après la déroute de nombreux maires socialistes, le parti peine à recaser les collaborateurs sur le carreau.
L'envolée du chômage frappe aussi les rangs du PS. Alors que François Hollande annonce pour bientôt un "retournement économique", certains socialistes se voient contraints de pointer à Pôle emploi. Et pour Caroline Roux, éditorialiste d'Europe1, c'est "le sujet tabou au PS, après les élections municipales". Car ce n'est rien de moins qu'un "plan social" qui est en cours.
6 mai
Le Nouvel Obs - Ce qu'il faut retenir de l'interview de François Hollande
Impopularité, retournement, réforme territoriale... Retrouvez tous les grands thèmes sur lesquels le chef de l'Etat s'est exprimé à l'antenne de BFM et RMC.
Le Nouvel Obs - Offensive médiatique de Hollande, élu il y a tout juste deux ans
Deux ans jour pour jour après son élection à l'Elysée, François Hollande sera l'invité mardi matin de BFMTV et RMC Radio, l'occasion pour lui d'en dire plus sur le "retournement économique" qu'il voit venir, sans convaincre à ce stade la classe politique.
BFM - Hidalgo: "Un retournement économique? Non, un frémissement"
La maire PS de Paris s'est exprimée sur BFMTV sur la politique menée par François Hollande et Manuel Valls. Si elle reconnaît un "frémissement" dans l'économie, elle met en garde contre une politique centrée sur la réduction des déficits.
Libé - Des anciens ministres de retour à l'Assemblée nationale
Jean-Marc Ayrault, François Lamy, Cécile Duflot, Alain Vidalies, Michèle Delaunay, Marie-Arlette Carlotti ou encore Guillaume Garot ont retrouvé leur mandat de député, après leur éviction du gouvernement lors du dernier remaniement.
Le Parisien - Déficit : la France ne parviendra pas à passer sous les 3% du PIB
Le retournement , et d'une inflation toujours, la Commission européenne maintient toujours sa pression sur le gouvernement français. «Des fondations solides sont en place pour que la reprise économique se poursuive», s'est félicité Siim Kallas, commissaire européen en charge de ce dossier.
Libé - Des féministes enterrent «le courage du gouvernement» sur la PMA
Une trentaine de militantes d'une association de défense des personnes lesbiennes, bi et trans ont organisé ce lundi devant le ministère de la Famille une action de protestation contre l'abandon de la promesse de rendre accessible la procréation médicalement assistée aux homosexuelles.
3, 4 et 5 mai
Libé - Cambadélis: Hollande «a stoppé le déclin»
Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, a déclaré dimanche que François Hollande «a stoppé le déclin» français.
Le député était interrogé dans le Grand Rendez-vous (Europe 1, i-TELE, Le Monde) à propos d’une formule du chef de l’Etat citée en Une par le Journal du Dimanche: «Le retournement arrive».
SAUVE QUI PEUT - C'est le sujet tabou au sein du Parti Socialiste. Et une des conséquences inattendue de la débâcle aux élections municipales. Selon Caroline Roux, journaliste au service politique d'Europe 1, 1 000 personnes se retrouvent au chômage dans les mairies tenues par le Parti Socialiste après la défaite électorale de mars:
Le Pariisien - Déficit : Michel Sapin à Bruxelles pour convaincre la Commission européenne
Alors que la commission européenne publier ce lundi à 11 heures, ses prévisions économiques (croissance, inflation, chômage) des 28 pays de l'UE, Michel Sapin, le ministre des Finances, se rend à Bruxelles pour tenter de convaincre ses homologues de la zone euro sur la politique économique entreprise pour ramener le déficit de la France à 3% du PIB l'an prochain
Le Monde - Amirshahi (PS) : « L'orientation économique de Hollande et Valls ne marche pas »
Pouria Amirshahi fait partie des 41 députés socialistes qui se sont abstenus lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros défendu par le premier ministre Manuel Valls. Il explique pourquoi il s'est joint aux syndicats lors de la manifestation du 1er mai et ce qu'il attend de François Hollande et Manuel Valls dans les semaines à venir sur les scènes nationale et européenne. La pratique du pouvoir autant que les orientations de l'exécutif posent problème, explique le député des Français de l'étranger.
2 mai
Libé - Quel avenir pour les «abstentionnistes» du PS ?
Les 41 députés socialistes qui n'ont pas voté le plan de relance continueront de se réunir, mais sans se structurer davantage.
Ils sont quarante et un à avoir refusé mardi de voter en faveur du plan d’économies proposé par le gouvernement. Quarante et un à n’avoir pas voté en faveur du programme de stabilité budgétaire. Ce n’est qu’après de longues discussions qu’ils ont su concilier leurs divergences sur la manière d’exprimer leur désaccord. Leur solution: l’abstention. Mais s’ils estiment que l’effort demandé aux Français est trop important, ils ne se sont pas tous abstenus pour les mêmes raisons.
Libé - Défilés anti-austérité dans toute la France pour le 1er mai
Près de 100 000 manifestants se sont rassemblés à travers le pays, selon le ministère de l'Intérieur. Comme l'an dernier, les syndicats sont partis divisés.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans toute la France jeudi à l’occasion du 1er mai pour dire leur colère contre l'«austérité» mise en oeuvre par le gouvernement et exprimer leur mécontentement face au bilan de François Hollande, deux ans après son élection.
Le Figaro - 1er Mai : Jean-Christophe Cambadélis en appelle à Léon Blum
«Léon Blum? C'est lui qui a fait la révolution du travail…» Alexandre, 8 ans, a retenu une leçon entendue à l'école, mais aussi celle de sa mère, Sandrine Mazetier. La députée PS de Paris l'a emmené mercredi à l'hommage à Léon Blum voulu par Jean-Christophe Cambadélis…
BFM - Exclusif-Baromètre BVA-BFM: Valls redonne plus confiance à droite qu'à gauche
Le dernier baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys, publié ce mercredi 30 avril, montre une légère amélioration de la confiance des Français proches de l'opposition dans l'économie depuis l'arrivée de Manuel Valls à Matignon. Mais sept sondés sur dix se déclarent toujours pessimistes.
1er mai
Un mois après le séisme des élections municipales, le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste publie le 30 avril L'Europe sous la menace national-populiste. Un cri d'alarme : Jean-Christophe Cambadélis décrit la France comme « le maillon faible » et pronostique une course à trois PS-UMP-FN pour le second tour de la présidentielle de 2017.
Le Nouvel Obs - Plan de stabilité : qui sont les 41 députés PS abstentionnistes ?
Une quarantaine de députés de la majorité n'a pas voté mardi le programme de stabilité présenté par le gouvernement. Décryptage.
L'Express - Le jour d'après à l'Assemblée, les projets des 41 abstentionnistes PS
Paris - Les 41 députés PS qui se sont abstenus mardi sur le plan d'économies refusent la pilule "social-démocrate" prescrite par le duo Hollande-Valls et se retrouvent en position de force pour peser dans les débats à venir, avec le soutien d'autres membres du groupe socialiste.
L'Express - PS: 41 abstentions et puis s'en vont?
L'abstention de 41 députés socialistes lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros mardi a frappé les esprits. Ces parlementaires veulent maintenant transformer l'essai.
Le Point - PS : qui sont les 41 lâcheurs ?
Derrière les abstentionnistes socialistes qui ont refusé de voter le pacte de stabilité de Manuel Valls, il ne semble pas y avoir de tête de réseau. Analyse.
Le Monde - Le coup de semonce du PS à Valls et à Hollande
Quelle majorité, aujourd'hui, pour Manuel Valls et François Hollande ? Pendant les deux premières années du quinquennat, nombre de socialistes estimaient que le chef de l'Etat n'avait pas tout à fait la majorité pour mener sa politique. Le vote de l'Assemblée sur le « programme de stabilité budgétaire », mardi 29 avril, le souligne avec une lumière crue : depuis le départ de Jean-Marc Ayrault, l'équation politique s'avère plus délicate que jamais.
Le Figaro - Européennes : Peillon reconnaît que «la campagne sera très difficile»
À moins d'un mois des élections européennes, trois têtes de listes pour la région Sud-Est, l'ancien ministre PS Vincent Peillon, l'ex-secrétaire d'Etat UMP aux Affaires étrangères Renaud Muselier et le président d'honneur du FN Jean-Marie Le Pen ont croisé le fer mercredi lors d'un débat organisé par Europe 1, LCI et Le Figaro. L'enquête Ifop publiée la veille sonne comme un avertissement pour le PS: l'UMP arrive en tête des intentions de vote dans cette région (28%), devant le FN (23%) et loin devant la liste conduite par Vincent Peillon (13 %).
Le Lab - Arnaud Montebourg et Laurent Fabius s’écharpent en plein conseil des ministres
D’après Arnaud Montebourg, le conseil des ministres version Manuel Valls, "ça a de la gueule". Ça tire la gueule également, à en croire une information publiée ce mardi 29 avril par Le Canard Enchaîné.
30 avril
L'Expansion - Paul (PS): "On n'est pas condamnés au bras de fer" avec le gouvernement
Paris - Christian Paul, un des députés socialistes frondeurs, a estimé que le nombre important d'abstentionnistes au PS sur le programme de stabilité ne condamnait pas à un "bras de fer" avec le gouvernement.
Le Nouvel Obs- Plan d'économies : "Manuel Valls a gagné sur le fil"
Les éditorialistes estiment que le Premier ministre a franchi de justesse une première étape à l'Assemblée nationale lors du vote du plan de stabilité.
Le blog de Françoise Fressoz - La majorité rétrécie de Manuel Valls
41 députés socialistes ont fait le choix de s'abstenir, mardi 29 avril, lors du vote sur le programme de stabilité budgétaire. Pour Manuel Valls, ce n'est pas un désastre : le premier ministre dispose d'une majorité pour gouverner. Mais c'est un sérieux avertissement. Pour mener le redressement, phase cruciale du quinquennat, il ne dispose d'aucun blanc-seing. Sa majorité est rétrécie, sa majorité est rebelle. Sa majorité va lui donner du fil à retordre.
Libé - A l'Assemblée, Valls décroche un vote sans passion... et des abstentions
Le Premier ministre a obtenu la majorité à l'Assemblée sur le plan d'économies mais 41 députés socialistes de sont abstenus.
A l'issue d'une journée de débat dans l'hémicyle et de petites phrases dans les couloirs de l'Assemblée, Manuel Valls a obtenu un vote favorable sur son plan d'économies (265 pour et 232 contre), mais avec 41 abstentions dans les rangs socialistes.
Le Parisien - Plan d'économies : 41 députés PS se sont abstenus
Dans quelle mesure Manuel Valls allait-il être suivi par sa majorité ? C'était le principal enjeu du vote consultatif sur le plan d'économies du gouvernement organisé à l'Assemblée. La réponse est tombée ce mardi soir, en même temps que les résultats de ce scrutin à haut risque pour l'exécutif.
Le Nouvel Obs - Manuel Valls, ses 50 milliards, et les 41 "frondeurs" socialistes
Le plan d'économies de Manuel Valls a bien été adopté, mais sans les voix d'une quarantaine de députés socialistes. Récit d'un vote électrique pour la gauche à l'Assemblée.
Le Figaro - Manuel Valls sous surveillance de la gauche
Jusqu'au bout, Manuel Valls aura tenté de convaincre la majorité de se rassembler autour du programme de stabilité. Les députés ont voté. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le résultat n'est pas à la hauteur de l'énergie déployée et de ce «dialogue nourri, exigeant et fructueux avec les groupes de la majorité» que vantait le premier ministre, mardi après-midi, dans l'hémicycle.
Regards - Vote du Pacte de stabilité : les prémisses d’un bouleversement politique
Le "Pacte de stabilité" a été adopté par l’Assemblée ce mardi 29 avril. Si l’issue du vote ne faisait aucun doute, la composition de la majorité pour entériner ce pacte était, elle, très attendue. La décomposition du PS l’est-elle désormais ?
Le Monde - Comment Valls fait accepter la rigueur au PS
L'épisode aura été rugueux mais, au bout du compte, il pourrait constituer l'acte fondateur de l'ère Valls. Confronté à une contestation dans les rangs d'un PS traumatisé par la déroute des municipales, qui dépassait largement l'aile gauche du parti, Manuel Valls a étrenné ses habits de chef de la majorité et rodé sa « méthode » avant le vote sur le plan de rigueur par l'Assemblée nationale, mardi 29 avril.
Le Figaro - Européennes : sanction en vue pour le PS dans le Sud-Est
UMP 28 %, FN 23 %, PS/PRG 13 %. Ce sondage réalisé dans le Sud-Est annonce-t-il une nouvelle sanction électorale pour le Parti socialiste aux européennes? À vingt-six jours du scrutin, l'enquête Ifop pour Le Figaro, Europe 1 et LCI est alarmante pour la majorité. La liste régionale conduite par Vincent Peillon ne recueillerait que 13 % des voix sur une circonscription de plus 6,2 millions d'électeurs couvrant Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse et Rhône-Alpes.
29 avril
Le Parisien - Un bureau national du PS divisé adopte le plan d'économies de Valls
A la veille d'un vote à l'Assemblée sur le programme de stabilité, le bureau national du Parti socialiste a adopté à 31 voix pour, contre 15 «contre» et une «abstention», une résolution de soutien au dispositif, a annoncé lundi le porte-parole du parti, Olivier Faure. Alors que, dans une lettre aux députés PS, Manuel Valls a demandé la voix de tous, le bureau national du parti apparaît divisé.
Le Figaro - Malgré la grogne, le PS apporte son soutien au plan Valls
Les propositions de Manuel Valls répondent aux attentes du PS… Jean-Christophe Cambadélis l'a affirmé en substance lundi en fin de journée, lors d'un bureau national (BN) extraordinaire du PS consacré au vote à l'Assemblée, mardi, du programme de stabilité du gouvernement. Ce BN «conclusif» a voté le plan de 50 milliards d'économies présenté par le premier ministre par 31 voix pour, 15 voix contre et une abstention. «Un vote extrêmement clair de soutien à Manuel Valls», selon le porte-parole du parti Olivier Faure.
RTL - Le bureau national du PS adopte la résolution "de soutien" du programme de stabilité
Le bureau national du Parti socialiste a adopté à 31 voix pour, contre 15 "contre" et une "abstention", une résolution de soutien au programme de stabilité, à la veille d'un vote crucial au Parlement sur ce sujet, a annoncé lundi 28 avril le porte-parole du parti, Olivier Faure.
Le Figaro - Manuel Valls à l'épreuve de sa majorité
Montrer que l'on est à l'offensive, que l'on mène un combat. Alors que le pacte de responsabilité, sur lequel mise François Hollande pour redonner de la compétitivité aux entreprises et créer de l'emploi, reste contesté par une partie de la majorité, les deux têtes de l'exécutif ont sonné la «mobilisation générale» pour la «bataille de l'emploi». Lundi, à l'occasion d'une «grand-messe» à la Maison de la chimie (sur le modèle de celles qu'organisait jadis Nicolas Sarkozy), où étaient convoqués préfets, sous-préfets, directeurs d'administrations, Valls et Hollande ont défendu pied à pied le pacte et mis en scène le volontarisme du gouvernement dans la lutte contre le chômage.
Le Monde - Parti par parti, qui votera le pacte de stabilité présenté par Manuel Valls ?
Le nouveau premier ministre Manuel Valls a obtenu – plutôt confortablement – la confiance des députés après son discours de politique générale à l'Assemblée nationale. Mais qu'en sera-t-il le 29 avril quand ces mêmes députés devront se prononcer sur le pacte de stabilité ?
Libé - Retraites, pauvreté, fonctionnaires : les annonces du gouvernement
Pour convaincre sa majorité de voter les mesures d'austérité budgétaire qu'il a présentées, le Premier ministre a fait quelques concessions.
Pressé par sa majorité, le Premier ministre Manuel Valls a lâché du lest lundi sur plusieurs mesures du plan de rigueur, dont le gel des retraites, la revalorisation du RSA et confirmé la hausse des salaires des fonctionnaires les moins bien rémunérés. Voici le détails des annonces.
Le Monde - Manuel Valls mobilisé pour défendre le pacte de responsabilité
A la veille du vote sur le programme de stabilité à l'Assemblée nationale, Manuel Valls a défendu, lundi 28 avril, le « pacte » de responsabilité, « nécessaire et indispensable » selon lui. Devant un parterre de préfets, sous-préfets et de directeurs d'administrations, il a tenu à afficher sa vigilance sur l'usage que feront les entreprises des allégements de cotisations, prévues dans le cadre du plan d'économies de 50 milliards d'euros.
Libé - Démission de l'une des nouvelles porte-parole du PS
Rafika Rezgui, arrivée dans les instances du parti avec le nouveau premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, se voit reprocher une situation de conflit d'intérêts.
28 avril
EDITORIAL Avec des amis comme ça pas besoin d’ennemis… A quelques heures d’un vote au Parlement, voici donc Manuel Valls dans l’inconfortable position de devoir compter les voix… parmi les siens. Rarement fronde aura été plus médiatisée que celle qui agite les socialistes sur le programme de stabilité présenté par le Premier ministre. Depuis début avril, les mécontents sont montés au créneau pour dire leur refus d’un plan d’économies de 50 milliards sans contreparties sociales plus affirmées. Personne n’a encore publiquement assumé un vote «contre» le texte, mais la menace de plusieurs dizaines d’abstentions est réelle. Et la majorité du nouveau Premier ministre n’est pas garantie.
Le Nouvel Obs - Pacte de stabilité : 36h pour convaincre les députés PS frondeurs
Hollande et Valls vont défendre leurs grandes orientations économiques lors d'une réunion avec tous les acteurs de l'Etat ce lundi.
Libé - Valls «confiant» sur le vote du programme de stabilité mardi
Le premier ministre veut être optimiste en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.
Le Premier ministre Manuel Valls s’est déclaré «confiant» dimanche sur le vote du programme de stabilité mardi à l’Assemblée, en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.
Le Monde - Plan d'économies : Manuel Valls aux prises avec sa majorité
Existe-t-il une majorité alternative pour appuyer le plan d'économies et le pacte de responsabilité et de solidarité mis en oeuvre par le gouvernement de Manuel Valls, qui sera soumis au vote consultatif des députés mardi 29 avril ? Le premier ministre devra-t-il aller chercher dans l'opposition les voix qui lui feront défaut dans la majorité ? A-t-il fait le choix d'aller à l'épreuve de force avec une partie, même, des députés socialistes ?
Le Nouvel Obs - Programme de stabilité : Hollande et Valls, 36h pour convaincre
Les tractations se poursuivent pour tenter d'amadouer les députés PS qui menacent de ne pas voter mardi le programme de stabilité.
Le Nouvel Obs - Cambadelis : "Il faut savoir terminer une fronde"
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis s'adressait aux députés de son camp qui refusent de voter le programme de stabilité mardi.
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis a déclaré dimanche 27 avril qu'il fallait savoir "terminer une fronde", à l'adresse des députés socialistes qui refusent de voter le programme de stabilité mardi à l'Assemblée. "Si c'est une fronde il faut savoir terminer une fronde", a déclaré sur Radio J Jean-Christophe Cambadelis.
Le Figaro - Au PS, l'agacement des députés «légitimistes» contre les «frondeurs»
Christophe Caresche dénonce «l'immaturité politique» des primo-députés qui s'opposent au plan de Manuel Valls. Son collègue Jean-Louis Gagnaire demande la démission de Laurence Dumont, députée frondeuse, de son potse de vice-présidente de l'Assemblée.
Le Monde - Alstom : Arnaud Montebourg exprime sa « vigilance patriotique »
Le dossier s'annonce ravageur pour le jeune gouvernement Valls. L'américain General Electric (GE) s'intéresse bien à Alstom, le spécialiste tricolore des infrastructures d'énergie et de transport, comme l'a révélé l'agence Bloomberg, jeudi 24 avril. Il convoite ses activités dans l'énergie, soit plus de 73 % de l'activité d'Alstom. Un prix autour de 10 milliards d'euros pour ces actifs est évoqué, non compris les 2 milliards d'euros de trésorerie logée dans Alstom Power.
Le Monde (blog) - Manuel Valls: petites leçons d’Italie
Le premier ministre français n'est pas venu à Rome pour assister seulement, en costume et cravate noirs de rigueur, à la messe de canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II. Arrivé samedi, il en a profité pour dîner en compagnie de Matteo Renzi, le nouveau président du conseil auquel on le compare volontiers.
Libé - Le gouvernement souhaite créer «une douzaine de régions», selon Vallini
Le secrétaire d’Etat en charge de la réforme territoriale précise que l'objectif est que ces nouvelles grandes régions soient «mieux armées, en visibilité aussi, dans la compétition économique internationale».
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Alstom, union pour un "fleuron"
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L'actualité des socialistes du 22 au 27 avril (mise à jour)
A la une
L'Humanité - Extension du domaine du doute au Parti socialiste
Pacte de responsabilité, plan d’économies… Les raisons de se méfier du cap suivi par François Hollande s’allongent chez les militants. Reportage à Lyon, chez les adhérents de la Croix-Rousse, où l’on débriefait après les municipales.
27 avril
Slate - La première courbe à infléchir pour Manuel Valls est celle de la défiance
Pour Manuel Valls, le principal danger n'est pas la fronde des députés socialistes, mais le risque de voir échouer son plan de relance de l'économie. Dans ce domaine, il va devoir affronter trois écueils: la finance, la macroéconomie et la confiance.
Le JDD - Les soutiens de Valls s'organisent
TRIBUNE - Après l'"Appel des 100" frondeurs socialistes paru dans le JDD début avril, voici l'"Appel des 20" députés soutenant le plan d'économies de Manuel Valls.
« Pourquoi nous ne voterons pas le programme de stabilité » Tribune publiée dans Libération
Par Laurence Dumont, Jean-Marc Germain et Christian Paul, députés PS Le 29 avril, nous ne voterons pas le pacte de stabilité de François Hollande. Pour la première fois depuis juin 2012, nous n’apporterons pas notre suffrage au gouvernement issu de la majorité à laquelle nous appartenons. Le redressement dans la justice, l’engagement clé du Président et de chacun d’entre nous, n’a pas été abandonné après 2012. Mais notre conviction s’est faite, et rien n’est venu la démentir : le nouveau plan qui nous est soumis n’atteindra pas ces deux objectifs majeurs.
26 avril
Le Nouvel Obs - Valls au Vatican : la gauche n'en rajoute pas
Le Premier ministre sera présent dimanche pour la canonisation de Jean-Paul II. Après avoir critiqué la présence de François Fillon en 2011 pour la béatification, le camp du gouvernement se fait beaucoup plus discret.
Le Parisien - Laurent Fabius : «Nous avons besoin de l'Europe»
Élections. A un mois d'un scrutin où le PS risque encore une mémorable claque, Laurent Fabius défend l'Union européenne, mais l'exhorte à changer.
Le Nouvel Obs - François Hollande "pas assez à gauche"?
Une majorité de sympathisants de gauche juge que François Hollande n'est "pas assez à gauche" (56%), soit 16 points de plus qu'en novembre 2012, selon un sondage BVA pour iTélé, CQFD et "Le Parisien/Aujourd'hui" en France publié samedi.
Le Parisien - Plan d'économies : plusieurs députés PS ne voteront pas le texte
Bras de fer au sein de la majorité. Alors que les grandes manoeuvres se poursuivent en vue du vote du programme de stabilité à l'Assemblée mardi prochain, plusieurs députés PS clament haut et fort qu'ils ne voteront pas le texte du gouvernement
Le Monde - Plan Valls : Cambadélis annonce une séance extraordinaire du bureau national du PS
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, se dit « confiant » en « l'issue » du débat qui agite les socialistes sur le plan de réduction des dépenses publiques présenté par le premier ministre, Manuel Valls. Cette confiance, M. Cambadelis l'a justifiée, jeudi 24 avril, dans un propos liminaire lors d'une conférence de presse consacrée aux élections européennes, en estimant que ce débat interne est mené sur « une idée simple : amender sans détricoter » le projet du gouvernement.
25 avril
Libé - Plan d'économies : Laurent Baumel accuse le gouvernement de «despotisme éclairé»
Le député socialiste d'Indre-et-Loire ne votera pas en faveur du plan d'économies annoncé par le gouvernement.
Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics, présentait ce mercredi en conseil des ministres le programme de stabilité 2014-2017. Ce plan, dont le but est d’économiser 50 milliards d’euros d’ici à 2017, fait l’objet d’un rejet de la part de nombreux députés de la majorité. Laurent Baumel, député PS d’Indre-et-Loire, dénonce le manque de flexibilité du gouvernement.
Le Monde - Matignon peine à calmer la grogne des députés PS
Une valse à deux temps. Premier temps. Mercredi 23 avril, 12 heures, salle Lamartine, à l'Assemblée nationale, les députés membres de la commission des finances attendent le ministre des finances, Michel Sapin, et le secrétaire d'Etat chargé du budget, Christian Eckert, qui vont présenter le programme de stabilité 2014-2017. Au moment où les deux ministres entrent dans la salle, les députés découvrent sur leurs tablettes ou leurs smartphones la « une » du Monde : « Sapin douche les attentes du PS ».
BFM - Pacte de stabilité: la fronde des députés PS
Réunis à l’Assemblée nationale mercredi, plus de 40 députés socialistes ont élaboré des alternatives au plan d’économie de 50 milliards d’euros présenté par le gouvernement.
Le Nouvel Obs - Valls confirme une prochaine "mesure forte" en faveur des retraités modestes
Manuel Valls a confirmé jeudi, lors d'une visite d'usine à Saint-Lubin-des-Joncherets (Eure-et-Loir), qu'une "mesure forte" serait prochainement prise en faveur des retraités modestes, en dépit du plan d'économies gouvernemental de 50 milliards d'euros.
Libé - Le PS souhaite un «coup de tonnerre» progressiste pour «réorienter l’Europe»
Le Parti socialiste a présenté jeudi son argumentaire de la campagne des européennes du 25 mai pour «réorienter l’Europe» vers une «nouvelle croissance», Jean-Christophe Cambadélis considérant que l’arrivée d’une majorité «progressiste» au Parlement de Strasbourg serait un «coup de tonnerre».
Libé - Sapin : un geste en faveur des petites retraites est «sur la table»
Le ministre des Finances a reconnu que la non-revalorisation des retraites, prévue par le plan d'économies, pourrait mettre en difficulté les bénéficiaires de petites pensions.
Le Monde - Juppé et Rocard refusent de travailler sous la tutelle de Montebourg
Alain Juppé et Michel Rocard ont décidé de démissionner de leur rôle de supervision du programme d'investissements d'avenir (PIA) après que ce dernier a été placé sous l'autorité du nouveau ministre de l'économie, Arnaud Montebourg
Politis - Ils ont quitté le secrétariat national du PS et s’expliquent…
Leur prise de distance a fait moins de bruit que le départ de Caroline de Haas ou de l’eurodéputée Françoise Castex, qui ont toutes deux récemment quitté le PS (voir ici et là).
Reste que la démission du secrétariat national du PS d’une petite dizaine de socialistes du courant Un monde d’avance (« l’aile gauche » du PS) en dit long sur le malaise qui grandit au sein de la majorité. « Nous avons pris collectivement la décision de quitter la direction du PS et de sortir du Secrétariat national, alors que nos représentants étaient parmi les plus actifs et les plus utiles », ont-ils écrit à l’intention des militants de leur courant au lendemain du conseil national qui a entériné l’arrivée de Jean-Christophe Cambadélis à la tête du Parti.24 avril
Le Nouvel Obs - Laurent Baumel : "Pourquoi je ne voterai pas le plan de 50 milliards"
Laurent Baumel ne cache pas son amertume. Ce mercredi 23 avril, alors que Michel Sapin, ministre des Finances, et Christian Eckert, secrétaire d'Etat au Budget, étaient auditionnés par la Commission des Finances pour présenter le pacte de stabilité, le député socialiste d'Indre-et-Loire a tweeté qu'il ne voterait pas le plan d'économies de 50 milliards en l'état
Le Monde - Hollande hué dans la ville de Jaurès
Voilà deux ans que François Hollande n'avait pas mis les pieds à Carmaux. C'était le 16 avril 2012, six jours avant le premier tour de l'élection présidentielle. Ce soir-là, une estrade avait été installée sur la place Jean-Jaurès, au pied de la statue du grand homme, et celui qui n'était encore que le candidat du PS y avait prononcé un discours vibrant, devant une foule chaleureuse qui souhaitait ardemment sa victoire.
Ambiance au parti socialiste. Alors que la commission des Finances de l'Assemblée nationale auditionnait Michel Sapin sur le pacte de stabilité, des voix se sont élevées à gauche pour dénoncer les décisions du gouvernement. "Les grands équilibres ne seront pas modifiés", a résumé dans Le Monde, le ministre des Finances.
Le Monde - Michel Sapin : « Les grands équilibres ne seront pas modifiés »
Le ministre des finances et des comptes publics, Michel Sapin, présentait en conseil des ministres, mercredi 23 avril, le programme de stabilité 2014-2017. Ce document fixe la trajectoire des finances publiques de la France pour les trois ans à venir. Il sera débattu et voté à l'Assemblée nationale le 29 avril, avant d'être transmis à la Commission européenne le 7 mai.
Politis - Austérité : les surprises du programme de stabilité 2014-2017
La présentation en conseil des ministres, le 23 avril, du programme de stabilité pour 2014-2017, a donné lieu à quelques mises au point et surprises.
Le Nouvel Obs - Croissance : Hollande est-il trop... optimiste?
Réduire les déficits publics, relancer la croissance et créer des centaines de milliers d'emplois. La feuille de route du gouvernement serait-elle un peu "optimiste" ?
Politis - Thomas Piketty : l’économiste "frenchie" nouvelle star aux Etats-Unis ?
Parti faire une « tournée » américaine de présentation de son dernier livre, Le capital au XXIe siècle, l’économiste Thomas Piketty est en train de devenir une quasi star outre-Atlantique. Ironie du sort, ce proche du parti socialiste en France mais qui trouve François Hollande « assez nul », a séduit les démocrates et a été reçu en grande pompe à la Maison Blanche par les conseillers d’Obama et le secrétaire américain au Trésor
Le Monde - Un nouvel homme à la communication de l'Elysée
L'Elysée a annoncé, mercredi 23 avril au soir, la nomination de Gaspard Gantzer au poste de « chargé des relations presses, chef du pôle communication ». Un poste qu'occupait, entre autres, jusqu'à vendredi dernier, Aquilino Morelle, démissionnaire après les révélations de soupçons de conflit d'intérêts pesant sur lui.
Libé - Plan d'économies : «Nous ne sommes pas des députés godillots»
INTERVIEW Le député PS Yann Galut explique pourquoi plusieurs de ses collègues proposent des scénarios alternatifs à celui du gouvernement pour réaliser 50 milliards d'euros d'économies d'ici 2017.
23 avril
Libé - Plan d'économies : les députés PS «pensent avoir été entendus»
Plusieurs d'entre eux ont été reçus à Matignon ce mardi, où ils ont présenté une alternative au plan d'économies de 50 milliards d'euros, qui modifie la répartition de l'effort.
Le Monde - Plan d'économies : les 3 scénarios alternatifs des élus PS
Le Parti socialiste, après la débâcle des élections municipales, le remaniement précipité à tous les étages du pouvoir et la désastreuse affaire Aquilino Morelle, est à bout de nerfs. Nul, aujourd'hui, n'est en mesure de garantir que le programme de stabilité, qui fixe les prévisions financières de la France et doit être voté le 29 avril à l'Assemblée nationale, recueille une majorité.
Le Monde - Des députés PS attendent les « bons signaux » de Manuel Valls
Alors que Manuel Valls doit recevoir mardi 22 avril après-midi des députés socialistes qui souhaitent voir modifié le pacte de responsabilité, le député Alexis Bachelay attend du premier ministre « les bons signaux » susceptibles de « protéger le pouvoir d'achat » des plus modestes et de « ressouder la majorité ».
Huffington Post - Les petites retraites préservées du plan d'économies de 50 milliards?
Dans quelle mesure, le plan de 50 milliards d'euros d'économies annoncé le 16 avril par Manuel Valls peut-il être amendé? Alors que l'aile gauche du PS aimerait le limiter à 35 milliards, une partie des députés socialistes présente au gouvernement un plan alternatif.
Ce mardi 22 avril, Manuel Valls s'entretient avec une douzaine d'entre eux, dont leur président Bruno Le Roux et la rapporteur générale du Budget, Valérie Rabault pour recevoir leurs propositions.
France Culture - Invité du journal, le député social Laurent Baumel. Il répond aux questions d'Antoine Mercier, dont la première : les députés socialistes qui rencontrent manuel Valls cet après midi ne sont-il pas en "service commandé" Autrement dit l'opération adoucissante est-elle gérée en accord avec Matignon ?
Le Nouvel Obs - Les députés PS "pensent avoir été entendus" par Valls
Aucune décision n'a été prise lors de leur réunion à Matignon, mais les députés PS à l'origine du scénario alternatif indiquent que "le dialogue se poursuit" sur les 50 milliards d'économies.
Le Nouvel Obs - Députés frondeurs : "La politique, c'est aussi l'art du compromis"
Les scénarios "alternatifs" imaginés par la députée PS Karine Berger sont défendus cet après-midi face à Manuel Valls. Le "frondeur" Pierre-Alain Muet y voit l'occasion d'un compromis.
23 avril
Mediapart - Sommes-nous « morts pour rien » ? Ou pourquoi les députés socialistes se mobilisent
Laurent Baumel, député socialiste d’Indre-et-Loire, co-animateur de la Gauche populaire et signataire de l’Appel des 100 députés pour une inflexion de la politique économique du gouvernement, s'explique sur le refus de « s’accommoder à l’idée que nous serions définitivement condamnés à vivre nos vies de députés majoritaires dans une sorte de monarchie républicaine »
Le Monde - 50 milliards d'économies : les trois scénarios alternatifs des députés PS
Le Parti socialiste, après la débâcle des élections municipales, le remaniement précipité à tous les étages du pouvoir et la désastreuse affaire Aquilino Morelle, est à bout de nerfs. Nul, aujourd'hui, n'est en mesure de garantir que le programme de stabilité, qui fixe les prévisions financières de la France et doit être voté le 29 avril à l'Assemblée nationale, recueille une majorité.
Le Monde - Des députés PS proposent un autre plan d'économies que celui de Valls
« Je sais les attentes, je sais les doutes », avait commenté Manuel Valls, le 16 avril, en présentant son plan pour réduire les dépenses publiques de 50 milliards d'euros entre 2015 et 2017. Probablement ne mesurait-il pas encore l'ampleur des doutes dans les rangs de sa majorité.
22 avril
Le Nouvel Obs - Des députés PS proposent des plans d'économies alternatifs
PARIS (Reuters) - Plusieurs députés PS ont élaboré au cours du week-end trois scénarios alternatifs au plan d'économies de 50 milliards d'euros de Manuel Valls pour tenter de rassembler la majorité avant le vote du programme de stabilité à l'Assemblée nationale.
Le Nouvel Obs - 50 milliards d'euros d'économies : les 3 alternatives de députés PS
Sous l'impulsion de Karine Berger, ils proposent à Manuel Valls trois scénarios permettant de tenir les objectifs sans geler les prestations sociales.
Le Nouvel Obs - Comment Hollande et Royal ont enterré la hache de guerre
Ils se sont aimés, séparés et déchirés sous le regard des Français. Valérie partie, revoilà Ségolène : histoire secrète d'un retour qui est aussi un grand pardon.
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L'actualité des socialistes du 14 au 21 avril (mise à jour)
A la une
Le Parisien - Jean-Christophe Cambadélis : « Le PS revendique le droit à l'insolence »
Il est aux manettes du PS jusqu'au congrès du parti en octobre 2015. Une peinture d'un artiste grec -- ses origines --, une affiche à la gloire de Jean Jaurès et même une biographie de Trostki, le « maître à penser » du jeune « Camba » des années 1970... qu'il cache rapidement dans la bibliothèque.
Le Monde - Laurent Baumel (PS) : « Le plan de Valls est dans une logique d'austérité »
Avec une centaine d'autres députés socialistes, Laurent Baumel (Indre-et-Loire), membre de la gauche populaire, a adressé une lettre à Manuel Valls pour lui demander de changer de ligne économique.
20 avril
Le Nouvel Obs - Le Parti socialiste "touché mais pas coulé"
C'est ce qu'estime son nouveau Premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, qui veut lancer un "audit" sur l'état du parti.
Huffington Post - Le vent de l'euroscepticisme souffle sur le PS
Le PS et l'Europe, c'est Docteur Jekyll et Mr Hyde. Un visage très pro-européenne et un autre eurosceptique. Ah pardon, au Parti socialiste on appelle cela être "eurocritique". Telle est la difficile équation que va devoir résoudre Jean-Christophe Cambadélis, nouveau patron du parti depuis mardi, pour les élections européennes.
BFMTV - Et si Hollande et Valls reculaient sur le gel des retraites?
Face à la désapprobation d'une très grande majorité de Français et à l'hostilité d'une partie du PS face au gel des pensions annoncé par Manuel Valls, l'exécutif va-t-il faire machine arrière?
Le Nouvel Obs - Pacte de responsabilité : "On ne peut pas raboter à l'infini"
La nouvelle rapporteure générale du Budget à l'Assemblée veut croire à "un point d'équilibre" entre le gouvernement et sa majorité.
Le Nouvel Obs - Les 5 députés socialistes qui donnent du fil à retordre à Valls et Hollande
Issus de l'aile gauche ou proches de Martine Aubry, ils ont derrière eux une centaine de députés, et sont bien décidés à inverser le rapport de force en faveur du Parlement.
Le Nouvel Obs - Aubry place un sans étiquette à la tête de la Communauté urbaine
La maire de Lille soutenait la candidature de Damien Castelain, 46 ans, et maire d'une petit village de 900 âmes.
19 avril
Interview de Benoît Hamon, Ministre de l’Education Nationale, au Progrès
Nommé la semaine dernière au ministère le plus sensible, Benoît Hamon livre sa vision sur les sujets sensibles : formation des enseignants, rythmes scolaires, recrutement…
Quel premier bilan tirez-vous sur la formation des maîtres ?Le fait que soient réunis sous un même ministère l’Éducation nationale, l’Enseignement supérieur et la Recherche, va me permettre un suivi très attentif des Espé, rattachées à l’Université. Il faut que les futurs enseignants accèdent non seulement aux savoirs disciplinaires dispensés par l’Université, mais qu’ils bénéficient également de l’expérience de terrain de professeurs détachés à temps partiel.
Le Nouvel Obs - Hollande: "Aucune raison d'être candidat" si le chômage ne baisse pas d'ici à 2017
Clermont-Ferrand (AFP) - François Hollande a déclaré vendredi n'avoir "aucune raison d'être candidat" à un deuxième mandat si le chômage ne baisse pas d'ici à 2017, lors d'une visite de Michelin à Clermont-Ferrand.
Libé - Des députés socialistes au bord de la révolte
Certains parlementaires sont hérissés par le plan de 50 milliards d’économies de Manuel Valls.
Des «députés dentifrice». C’est la dernière image inventée par un pilier de l’Assemblée nationale pour décrire l’état de la majorité, après l’annonce du vaste plan d’économies par Manuel Valls. Des députés comparés à un tube mentholé parce «tu appuies un tout petit peu au bout et t’as tout qui sort», explicite le même, citant tout à trac la colère contre le coup de rabot général, le ras-le-bol du mépris des parlementaires et la «haine qui monte, monte, monte contre Hollande».
18 avril
Le Nouvel Obs - Cambadélis sur Morelle : "Je ne vois pas comment il peut rester"
Le premier secrétaire du PS estime que le conseiller de François Hollande doit partir si les accusations de Mediapart à son encontre sont vérifiées.
Le Monde - Le patron du PS réclame la démission de Morelle en cas de conflit d'intérêts avéré
La pression monte sur Aquilino Morelle, proche conseiller de François Hollande. Accusé par Mediapart d'avoir « travaillé en cachette pour des laboratoires pharmaceutiques » quand il était inspecteur général des affaires sociales, Aquilino Morelle s'est défendu jeudi de tout « conflit d'intérêts », mais l'affaire sème le trouble jusque dans l'entourage du président.
Le Nouvel Obs - François Hollande en visite chez Michelin, à Clermont-Ferrand
Le chef de l'Etat y est attendu ce matin avec Arnaud Montebourg. "Il s'agit pour le président de renouer le contact avec les Français", explique-t-on dans son entourage.
Libé - Douze parlementaires socialistes demandent une ristourne sur les 50 milliards d'économies
Dans une lettre à Manuel Valls, ces parlementaires plaident pour une limitation des économies à 35 milliards d'euros, au lieu des 50 annoncés par le Premier ministre.
Le Nouvel Obs - Des députés PS rompent avec fracas avec la ligne de Manuel Valls
Au nom de "l'appel des cent", les frondeurs du groupe socialiste ont écrit au Premier ministre pour dénoncer la "dangerosité" de sa politique économique.
Les Echos - Arnaud Montebourg : «Déficit : l’Europe doit changer de cap »
INTERVIEW - Le ministre de l’Economie et du Redressement, Arnaud Montebourg, productif déclare aux « Echos » que « la croissance ne doit pas être entravée par la réduction des déficits » .
Le Nouvel Obs - "50 milliards d'économies, c'est trop !"
Pierre-Alain Muet, député PS et vice-président de la Commission des finances à l'Assemblée, s'en prend au plan d'économies qu'a détaillé Manuel Valls. Interview.
Le Monde - Cambadélis, rénovateur du PS ou syndic de faillite ?
Editorial du Monde. Jean-Christophe Cambadélis a hérité, mardi 15 avril, d’un poste que Pôle emploi n’aurait pas osé lui proposer s’il avait été mis sur le marché : un CDD de dix-huit mois de premier secrétaire du Parti socialiste, jusqu’au congrès d’octobre 2015. Autrement dit, une mission de sauvetage d’un parti en détresse, qu’Henri Emmanuelli qualifiait récemment de « parc à moutons » en « coma dépassé ».
Libé - Aquilino Morelle, la face cachée du conseiller de François Hollande
Conseiller du président de la République, ce médecin aurait travaillé en cachette pour l'industrie pharmaceutique, selon une enquête de Mediapart.
Les Echos - Rythmes scolaires : un nouveau texte "sous une dizaine de jours", promet Benoît Hamon
Benoît Hamon a annoncé jeudi qu'il publiera "sous une dizaine de jours" "un autre texte" en complément du décret de son prédécesseur sur la réforme des rythmes scolaires. Mais le décret de Vincent Peillon ne sera pas caduc
Le Monde - Ségolène Royal rallume la guerre de l'écotaxe
L'écotaxe poids lourds est-elle morte ? Après deux reports, au 1er juillet puis au 1er octobre 2013, puis une suspension sine die par le premier ministre fin octobre à la suite des violentes manifestations des « bonnets rouges » en Bretagne, les propositions de Ségolène Royal, mardi 15 avril, sont tombées comme un couperet.
Libé - Valls : l’effort de 50 milliards n’est «pas un plan d’austérité»
Les économies sur la dépense publique seront supportées à hauteur de 18 milliards d’euros par l’Etat, 11 milliards les collectivités locales, 10 milliards l’assurance maladie et 11 milliards par d’autres dépenses sociales.
Les Echos - Le PS fait campagne contre l'austérité pour les européennes
Le PS lance ce soir à 19h30 sa campagne européenne au Cirque d'Hiver en présence de Martin Schulz, ex-président du Parlement européen. Le mot d'ordre : "l'austérité en Europe est une erreur".
Libé - Valls détaille (un peu) le plan d'économies budgétaires
Alors que le gel des salaires des fonctionnaires risque de faire polémique, Valls a assuré qu'il ne comptait toucher ni au Smic, ni au minimum vieillesse.
17 avril
Le Monde - Plan d'économies : Manuel Valls fâche à peu près tout le monde
Une semaine après son discours de politique générale, le nouveau premier ministre a livré quelques détails sur son plan de 50 milliards d'euros d'économies, et a réussi l'exploit de mettre toute la classe politique d'accord… contre lui.
LE PLUS. Plusieurs députés socialistes dénoncent la façon dont Manuel Valls a annoncé les pistes d‘économies pour financer le pacte de responsabilité. Un étonnant spectacle alors que l'électorat de gauche plébiscite Valls dans les sondages. Le retour de la gauche maso ? L'analyse de notre contributeur Bruno Roger-Petit, chroniqueur politique.
Le Monde - Comment Manuel Valls compte appliquer le pacte de responsabilité
Une semaine après son discours de politique générale, le premier ministre Manuel Valls a dévoilé, mercredi 16 avril, le détail du plan de 50 milliards d'euros d'économies d'ici 2017, pendant du pacte de responsabilité et de solidarité voulu par François Hollande. « Ces efforts seront justes car ils seront collectifs (…), et équitablemement répartis », a-t-il promis.
Libé - De nombreux députés PS «atterrés» par les annonces de Valls
De nombreux députés PS sont «atterrés» par les annonces de Manuel Valls qui sont «inacceptables en l’état sur le fond comme sur la forme», a déclaré mercredi à l’AFP Christian Paul, l’un des députés frondeurs qui avaient fait entendre leur voix avant le vote de confiance.
Le Lab - Fronde de députés PS contre les annonces de Manuel Valls
Des députés socialistes jugent "inacceptables" les détails du plan d'économies présenté ce mercredi 16 avril par Manuel Valls, à la sortie du conseil des ministres, se disant même "atterrés", ainsi que le rapporte l'AFP.
C'est Christian Paul, député proche de Martine Aubry qui mène la fronde.
Sur twitter, il raconte ainsi comment le groupe socialiste a suivi l'annonce, "dans un silence total", qualifiant les mesures présentées d'"inacceptables"
Lyon Capitale - Gérard Collomb réélu président du Grand Lyon au 1er tour
L'élection à la présidence du conseil communautaire vient de s'achever : Gérard Collomb est réélu au premier tour avec 92 voix.
Le blog de Françoise Fressoz - L’impossible combat de Camba
La « troisième gauche », c'est lui. Jean-Christophe Cambadélis rêve d'être le premier secrétaire qui remettra du carburant dans la machine socialiste. Dans un livre paru en 2012 (éditions du Moment), il décrivait par le menu son projet de « société décente », articulée autour de « l'égalité réelle », de « la liberté ordonnée » et de « la fraternité laïque ».
Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis élu à la tête du PS
Désigné nouveau patron des socialistes, mardi 15 avril, avec 67,12 % des voix, selon son entourage, « Camba » va enfin occuper le bureau du premier étage de la Rue de Solférino. Mais que la route fut longue pour celui entré au PS en 1986 après un passage par le trotskisme et l'Unef !
Libé - Jean-Christophe Cambadélis élu premier secrétaire du PS
Elu avec 67% des voix, e député du XIXe arrondissement de Paris a présenté une équipe dirigeante paritaire de 30 personnes.
Le Nouvel Obs - Cambadélis, élu à la tête du PS, veut des "Etats généraux"
Le député de Paris obtient 67, 12% des voix du conseil national, le parlement du parti, face à Sylvain Mathieu, candidat de l'aile gauche, qui récolte 32,88%.
16 avril
Reuters - Jean-Christophe Cambadélis prend les rênes d'un PS en crise par Elizabeth Pineau
PARIS (Reuters) - Le député de Paris Jean-Christophe Cambadélis a été porté mardi à la tête d'un Parti socialiste en crise, où il succède à Harlem Désir, nommé secrétaire d'Etat aux Affaires européennes.
Huffington Post - Cambadélis premier secrétaire du PS: vers des Etats généraux du Parti socialiste
Une ligne médiane pour relancer la machine socialiste. Jean-Christophe Cambadélis, qui a succédé dans la soirée à Harlem Désir comme premier secrétaire du PS, a écarté ce mardi 15 avril le principe d'un congrès anticipé que réclamait l'aile gauche du parti mais a tout de même annoncé la tenue d'"Etats généraux des socialistes" pour "reformuler le projet".
Les Echos - Cambadélis élu premier secrétaire du PS
L’ancien bras droit de DSK a pris mardi soir les rênes du PS. Sa tâche : aider l’exécutif à traverser une période de gros temps.
FranceTVinfo - Jean-Christophe Cambadélis officiellement désigné premier secrétaire du PS
Le conseil national du PS a donné son aval à la nomination de Jean-Christophe Cambadélis, mardi, en remplacement d'Harlem Désir, nommé au gouvernement.
Le Parisien - Jean-Christophe Cambadélis : «Je veux une équipe de combat»
JUSQU'AU BOUT, Jean Christophe Cambadélis aura tenu à préserver les apparences : le député de Paris ne s'est toujours pas installé dans le bureau de premier secrétaire au siège du PS rue de Solferino (Paris VII e). Et hier, il a pris soin de participer au pot de départ de Harlem Désir, son ancien rival.
Huffington Post- Cambadélis au PS: une élection courue d'avance malgré les critiques
Promu par le président de la République, désigné par Harlem Désir et adopté par le bureau national de son parti, Jean-Christophe Cambadélis a toutes les chances d'être élu premier secrétaire par le parlement du PS qui se réunit ce mardi 15 avril.
David Assouline ayant dit "au revoir" au porte-parolat du Parti socialiste, il faut maintenant lui trouver un remplaçant. Selon les informations de Public Sénat, Olivier Faure et Carlos da Silva doivent nommés nouveaux porte-parole.
LCP - Assemblée : Valérie Rabault (PS) bientôt rapporteure générale du Budget
Valérie Rabault, députée de la jeune garde socialiste et ancienne cadre de BNP Paribas, a été choisie mardi pour devenir rapporteur général du Budget, première femme à accéder à ce poste stratégique à l'Assemblée nationale.
Lyon 1ère - Didier Guillaume élu à la tête des sénateurs PS
Didier Guillaume, sénateur de la Drôme, a été élu mardi à la tête des sénateurs socialistes face à Gaëtan Gorce (Nièvre). Didier Guillaume, 54 ans, succède à François Rebsamen, entré au gouvernement comme ministre du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social.
15 avril
Huffington Post - Valls défend Désir, violemment attaqué à l'Assemblée nationale
La nomination d'Harlem Désir au ministère des Affaires européennes ne passe décidément toujours pas. Alors que les cadres socialistes s'apprêtaient ce mardi 15 avril à élire son successeur, l'ancien premier secrétaire du PS fraîchement nommé au gouvernement a été violemment pris à partie par un député de l'opposition, obligeant Manuel Valls à monter au créneau pour le défendre
Le JDD - Après le "gouvernement de combat", un PS de Camba?
Les socialistes changent de chef, mardi. Jean-Christophe Cambadélis doit relancer un parti en miettes.
.... Dans un livre publié lorsque Désir prenait la tête du PS, Cambadélis alertait : "Nous sommes dans une époque de crises […] et le PS se réfugie idéologiquement au mieux dans le "républicanisme à la papa", au pire dans un pragmatisme qui fait perdre à chaque militant le sens de son combat." Et de poursuivre sur la nécessité d'un "grand récit" pour le peuple de gauche. "Le taux de croissance, la réduction des déficits, pour nécessaires qu'ils soient, n'ont jamais enthousiasmé un peuple, encore moins lorsqu'il est de gauche."
14 avril
Le JDD - Popularité : 40 points d'écart entre Hollande et Valls
SONDAGE - C’est un record absolu dans l’histoire de la Vème République. Selon le baromètre Ifop/JDD, seul outil mesurant l’opinion des Français sur le président de la République et le Premier ministre depuis 1958, quarante points séparent François Hollande (qui chute à 18%) de son nouveau chef de gouvernement (qui démarre à 58%).
La Croix - « Avec François Hollande, le président de la République est devenu un paratonnerre »
La cote de popularité de François Hollande a chuté de 5 points en avril, à 18 %, tandis que celle de Manuel Valls, tout nouveau premier ministre, s’affiche à 58 %, selon l’institut Ifop (1).
Le Parisien - Stéphane Le Foll n'a «aucun doute sur la loyauté» de Manuel Valls
L'arrivée de Manuel Valls à Matignon et le nouveau gouvernement, le tournant social-démocrate du quinquennat, sa nouvelle fonction, les 50 milliards d'économies à trouver, la nomination d'Harlem Désir au gouvernement... Invité de «Tous Politiques» France 24/France Inter/Le Parisien-Aujourd'hui en France, le nouveau porte-parole du gouvernement et toujours ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, a tantôt répondu avec franchise, tantôt botté en touche.
Le JDD - "Le début du quinquennat n'a pas été glorieux"
INTERVIEW - Jean Glavany, député PS des Hautes-Pyrénées, ancien collaborateur de François Mitterrand et ex-ministre de Lionel Jospin, analyse la relation entre François Hollande et Manuel Valls.
Libé - Rocard «assez ébloui» par le discours de Valls devant les députés
L'ancien Premier ministre avoue avoir apprécié le discours de politique générale du nouveau chef de gouvernement.
Le Monde - La colère des sénateurs contre la suppression des départements
Les sénateurs n'apprécient pas d'être bousculés. Et c'est peu dire que Manuel Valls en a laissé un certain nombre « sonnés » – selon leur propre expression – après son discours devant le Sénat, mercredi 9 avril, et ses annonces sur un vaste projet de réforme territoriale.
Le Monde - Incertitudes sur les modalités du « big bang » territorial
Un brin provocateur face à un aréopage d'élus socialistes, Alain Juppé, maire UMP de Bordeaux, donnait, en septembre 2012, lors de la 12e Conférence des villes, sa vision d'une nécessaire réforme territoriale : « Le bon sens est de réaliser un millefeuille à deux couches : les régions et les intercommunalités. Je ferais volontiers le sacrifice du département… Mais rassurez-vous, la résistance des départements et des maires est telle que cela ne se fera pas. »
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 avril (mise à jour)
A la une
FranceTVinfo - Manuel Valls veut-il mettre la France au smic ?
Le Premier ministre a promis de supprimer les charges des entreprises pour chaque salarié payé au salaire minimum.
"Voilà le changement", a annoncé le Premier ministre. Manuel Valls a promis la suppression des charges pour l'employeur d'un salarié payé au smic, à partir du 1er janvier 2015. C'est l'une des principales mesures du pacte de responsabilité, détaillé lors de la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, mardi 8 avril.
11, 12 et 13 avril
Le Monde - « Hollande n'a rien compris à la raclée qui a été infligée au PS »
Beaucoup de militants socialistes sont « déçus » par le remaniement ministériel finalisé le 9 avril avec la nomination de quatorze secrétaires d'Etat. Parmi ceux qui ont répondu à l'appel à témoignages lancé jeudi 10 avril par Le Monde.fr, une grande majorité ont voulu exprimer leur désaprobation et leur inquiétude.
Europe 1 - Comment Hollande veut (ré)occuper le terrain
IL VA PARLER - Le chef de l’État veut être davantage présent sur la scène nationale et s'exprimera prochainement.
Le changement de com', c'est bientôt. François Hollande ne compte pas laisser Manuel Valls occuper seul le terrain. À la tête d'un exécutif renouvelé, le chef de l'Etat a l'intention de s'exprimer prochainement et d'être davantage présent sur la scène nationale, confie sa garde rapprochée en marge de la visite présidentielle au Mexique. Le président de la République a été beaucoup accaparé par les voyages à l’étranger ces derniers mois, reconnaît-on dans son entourage auprès d'Europe1. Mais, y assure-t-on, la communication changera dès les prochains jours.
Le Monde - « Camba », l'homme qui rêvait d'être chef du parti
Certains responsables politiques rêvent d'être président de la République depuis qu'ils sont tout petits. Jean-Christophe Cambadélis, lui, a toujours poursuivi un autre dessein : devenir premier secrétaire du Parti socialiste. A 62 ans, son souhait s'est enfin réalisé mercredi 9 avril, avec la promotion-sanction d'Harlem Désir au gouvernement comme secrétaire d'Etat aux affaires européennes.
RTL - Européennes 2014 : "Peillon n'a rien demandé pour l’Ile-de-France", assure Cambadélis
Le futur premier secrétaire du PS "ne croit pas" que l'ancien ministre de l'Education veuille mener la liste socialiste en Ile-de-France pour les prochaines européennes.
"Nous verrons qui va diriger la liste socialiste aux prochaines élections européennes", a déclaré Jean-Christophe Cambadélis. "Nous avons un meeting avec Martin Schulz, nous allons décider ensemble", a expliqué celui qui devrait succéder à Harlem Désir à la tête du parti socialiste.
"La nomination d’Harlem Désir est une insulte à l’Europe." La charge de Nathalie Kosciusko-Morizet, ce jeudi 10 avril, sur France 2, résume le sentiment donné jusque dans son propre parti par l’exfiltration d’Harlem Désir de la direction du PS, nommé secrétaire d’Etat aux Affaires européennes du gouvernement Valls – un portefeuille rétrogradé avec le changement de gouvernement de ministre délégué à secrétaire d’Etat-. Une nomination qui met fin, de facto, à son mandat de député européen.
Libé - Qui sont les nouveaux secrétaires d'Etat ?
Au nombre de quatorze, ils complètent le gouvernement de Manuel Valls. Neuf d'entre eux n'étaient pas membres du précédent gouvernement.
Les Echos - Cambadélis, la voix sociale du PS, enfin aux manettes ?
Candidat malheureux à la succession de Martine Aubry en 2012, Jean-Christophe Cambadélis devrait remplacer Harlem Désir à la la tête du PS. L'ancien militant trotskyste a multiplié au cours des derniers mois les prises de position acérées.
10 avril
Le Nouvel Obs - Pourquoi Cambadélis à la tête du PS ?
Harlem Désir, c'est fini ! Avant même l'exfiltration du premier secrétaire, l'ex-lieutenant de DSK a reçu les soutiens nécessaires pour lui succéder.
Libé - La Gauche Forte veut un vote des militants socialistes pour désigner le chef de Solférino
Devenu secrétaire d'Etat, le patron de Solférino Harlem Désir a proposé que Jean-Christophe Cambadélis le remplace. Déclenchant la fureur d'au moins un courant du PS, qui y voit un déni de démocratie interne.
Europe 1 - Tête du PS : Désir a proposé Cambadélis
REMANIEMENT, LA SUITE - Le patron du PS a été nommé secrétaire d’Etat aux affaires européennes.
Harlem Désir, qui a été nommé mercredi secrétaire d’Etat aux Affaires européennes dans le gouvernement Valls a "proposé", devant l'exécutif du Parti socialiste, le nom de Jean-Christophe Cambadélis pour lui succéder à la tête du PS.
Europe 1 - Cambadélis, "un homme de coups" à la tête du PS ?
PORTRAIT - Ancien trotskiste et ex-lieutenant de DSK, le théoricien de la "gauche plurielle" devrait succéder à Harlem Désir.
C'est l'histoire d'un homme né à Neuilly, devenu militant trotskiste avant de s'imposer comme un cadre du parti socialiste… et de le diriger ? Sauf surprise de dernière minute, Jean-Christophe Cambadélis remplacera en effet Harlem désir à la tête du principal parti de gauche. L'ancien patron de SOS Racisme, qui a été nommé secrétaire d’État aux Affaires européennes, a "proposé" son nom devant l'exécutif du Parti socialiste, en accord avec le numéro 2 du parti, Guillaume Bachelay. "Camba" devrait ainsi être officiellement désigné mardi prochain.
Le Monde - Ce qu'il faut retenir des nouvelles nominations au gouvernement Valls
On en attendait une douzaine. Ce sont finalement quatorze secrétaires d'Etat qui rejoignent le gouvernement de Manuel Valls. Leurs noms ont été dévoilés un peu avant 17 heures, mercredi 9 avril, par Pierre-René Lemas, le secrétaire général de la présidence de la République, dans des circonstances quelque peu particulières dans la mesure où le départ de celui-ci de l'Elysée avait été annoncé quelques heures plus tôt.
Libé - Gouvernement, PS, Elysée : Hollande et Valls font bon ménage
Proches et poids lourds à tous les étages du dispositif : le Président et son Premier ministre ont fait table rase de l’organisation des débuts du quinquennat.
Le Figaro - Élysée, PS : Hollande remanie tout
Au nom du professionnalisme, le président renforce son dispositif en nommant Jean-Pierre Jouyet au secrétariat général de l'Élysée et en plaçant Jean-Christophe Cambadélis à la tête du PS
Libé - Grand Lyon : Collomb va-t-il résister à la vague bleue ?
Alors que l'élection pour la présidence de la communauté urbaine aura lieu mercredi prochain, le candidat UMP François-Noël Buffet veut croire à sa victoire contre le socialiste.
Le Monde - Nos portraits des 14 secrétaires d'Etat
Au lendemain du discours de politique générale de Manuel Valls devant l'Assemblée nationale et une semaine après la nomination des ministres, le gouvernement est au complet. Pierre-André Lemas, qui sera remplacé par Jean-Pierre Jouyet au poste de secrétaire général de l'Elysée, a donné, mercredi 9 avril, la liste des 14 secrétaires d'Etat qui vont compléter le gouvernement resserré et paritaire de 16 ministres.
Le Nouvel Obs - Secrétaires d'Etat : des nouveaux, des revenants
Frédéric Cuvillier garde les Transports et Geneviève Fioraso, l'Université. Fleur Pellerin passe au Commerce extérieur. Harlem Désir arrive aux Affaires européennes...
Libé - Désir et Le Guen rejoignent le gouvernement Valls
Quatorze secrétaires d'Etat ont rejoint l'équipe Valls ce mercredi.
Une semaine après la nomination de seize ministres, le gouvernement de Manuel Valls s'étoffe aujourd'hui de quatorze secrétaires d'Etat, au lendemain du discours de politique générale du Premier ministre. La perspective de ces nominations agitait la classe politique depuis plusieurs jours, et notamment les jeunes socialistes dont certains espéraient intégrer l'équipe Valls.
Le Monde - Jean-Pierre Jouyet nommé secrétaire général de l'Elysée
Contacté par Le Monde, François Hollande justifie ce choix, mercredi 9 avril : « L'idée est de faire un changement qui s'inscrit dans le changement. Dès lors qu'une nouvelle équipe s'installait à Matignon, je souhaitais qu'il y ait une nouvelle équipe à l'Elysée », explique le chef de l'Etat. Pour lui, Matignon et l'Elysée doivent désormais travailler de façon « totalement imbriquée ». Il faut, précise-t-il, « une cohérence absolue, une équipe quasiment fusionnelle, une véritable unité de commandement ».
Le Monde - Fusionner des régions, une si vieille idée
Vingt-sept régions, 101 départements, 4 055 cantons, 2 456 établissements publics de coopération intercommunale (communautés d'agglomération, de commune...) et 36 680 communes, sans oublier les districts de sous-préfectures, tel est, en 2014, le portrait administratif des territoires français. Après quelques annonces de François Hollande en janvier, c'est au tour de Manuel Valls de promettre de réduire la taille du millefeuille administratif français. Il n'est pas le premier, loin de là.
Europe 1 - Désir remplacé par Cambadélis rue de Solférino ?
REMANIEMENT, LA SUITE - Le patron du PS pourrait devenir secrétaire d’Etat aux affaires européennes.
Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a salué dans un communiqué mardi les "réformes audacieuses, courageuses et justes" exposées par Manuel Valls dans sa déclaration de politique générale et qui "transformeront profondément notre pays". Sa dernière prise de parole en tant que patron des socialistes ? Selon les informations recueillies par Caroline Roux, l’éditorialiste politique d’Europe 1, Harlem Désir pourrait être nommé mercredi secrétaire d’Etat aux affaires européennes pour "libérer la rue de Solférino". Pour le remplacer, le nom de Jean-Christophe Cambadélis est cité.
Le Monde - Harlem Désir menacé à la tête du Parti socialiste
Après le gouvernement et le cabinet de l'Elysée, le remaniement au PS ? Après avoir nommé Manuel Valls premier ministre, remanié le gouvernement, et remplacé Pierre-René Lemas par Jean-Pierre Jouyet au secrétariat général de l'Elysée, François Hollande pourrait également changer la direction du Parti socialiste.
Libé - Les principaux extraits de la déclaration de politique générale de Manuel Valls
..... La confiance a finalement été votée à 306 voix pour et 239 contre. Au PS, onze députés de l'aile gauche se sont finalement abstenus, dont Pouria Amirshahi, Jérôme Guedj, Henri Emmanuelli ou Barbara Romagnan. Côté écologistes, 10 ont voté la confiance, six se sont abstenue et une a voté contre (Isabelle Attard, qui a quitté EE-LV). 14 radicaux sur 17 ont voté pour (3 abstentions). Comme annoncé, les députés Front de gauche ont voté contre.
Assemblée Nationale - Analyse du scrutin n° 785 Première séance du 08/04/2014
Scrutin public sur la déclaration de politique générale du Gouvernement de M. Manuel Valls (en application de l'article 49, alinéa premier, de la Constitution).
9 avril
Manuel Valls a proposé mardi 8 avril, lors de sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, une vaste réforme territoriale.
Dans le viseur du premier ministre: la suppression des conseils départementaux et de la clause générale de compétences mais aussi dessiner une nouvelle carte du pays en se penchant sur les intercommunalités et en réduisant par deux le nombre de régions.
Le Blog de Françoise Fressoz - Manuel Valls, l’homme de la rupture fiscale
Après avoir écouté Manuel Valls prononcer sa déclaration de politique générale, on comprend mieux pourquoi François Hollande avait tellement besoin de nommer un nouveau premier ministre après le désastre électoral de mars.
Peut mieux faire - Le décret sur les rythmes scolaires est maintenu
"Le décret sur les rythmes est maintenu"... Il aura fallu que l'entourage du ministre de l'éducation nationale, Benoît Hamon, explicite la formule ambiguë utilisée par le chef du gouvernement lors de son discours de politique générale. Manuel Valls venait de jeter un doute en déclarant qu'il proposait un "assouplissement du cadre des rythmes". En dépit de son habillage simple, la formule n'était pas immédiatement lisible. Elle est restée ambiguë jusqu'aux précisions de la rue de Grenelle.
Le Monde - L'ambitieuse feuille de route de Manuel Valls
« Trop de souffrances, pas assez d'espérance, telle est la situation de la France », c'est par ces mots que le nouveau premier ministre, Manuel Valls, a ouvert sa déclaration de politique générale, mardi 8 avril, à l'Assemblée nationale. Prévue par l'article 49-1 de la Constitution, mais pas obligatoire, cette déclaration est un rituel fondateur qui engage durablement son auteur.
Libé - Suppression des conseils départementaux : «Un discours jacobin, pas décentralisateur»
Claudy Lebreton, président de l’Assemblée des départements de France, dénonce la volonté de Manuel Valls de supprimer cette collectivité d'ici 2021.
Libé - Valls veut réduire de moitié le nombre de régions
Le Premier ministre a également annoncé, lors de son discours de politique général, vouloir supprimer les conseils départementaux.
Libé - Secrétaires d'Etat : «Il faut faire émerger la génération Hollande 2017»
A la veille de l'annonce des noms de la douzaine de secrétaires d'Etat du gouvernement Valls, certains plaident pour une valorisation de la jeune génération. Résultat : les jeunes pousses socialistes sont fébriles.
Com'c'est bizarre - La com’ trop soignée du discours de Valls
Il était difficile de le rater durant sa première semaine comme Premier ministre : magazines, presse, télés, Manuel Valls a soigné sa communication auprès du grand public. Objectif ? Faire vite oublier Jean-Marc Ayrault et préparer l’opinion à son discours de politique générale censé ouvrir une « nouvelle étape » du quinquennat. Mais le professionnalisme du Premier ministre, au demeurant très classique dans la méthode, ne saurait suffire à renouer la confiance avec les Français. Le teasing trop appuyé du premier grand discours de chef de gouvernement pourrait provoquer un sentiment de déception dans l’opinion.
Le Monde - Valls aura-t-il la confiance de l'Assemblée ?
Le premier ministre, Manuel Valls, a prononcé un discours de politique général, mardi 8 avril, à l'Assemblée nationale. Après la défaite du Parti socialiste lors des municipales, il devrait préciser la politique économique du gouvernement (dont les détails du pacte de responsabilité) et rassurer les députés qui auront, à l'issue de ce disours, à voter la confiance au gouvernement.
Le Nouvel Obs - Discours de Valls : "Je ne pense pas qu'il y aura d'abstentions au PS"
Pour Bruno Le Roux, chef du groupe PS à l'Assemblée, Manuel Valls s'est montré suffisamment rassurant et rassembleur devant les socialistes, avant son discours de politique générale.
Le Nouvel Obs - 10 questions que Manuel Valls va devoir trancher
Réforme pénale, Roms, économies budgétaires, coup de pouce pour les ménages… Les dossiers brûlants ne manquent pas pour le Premier ministre, qui prononce à 15 heures son discours de politique générale.
Le blog de Françoise Fressoz - François Hollande face à la fracture européenne
Le scrutin municipal de mars a réveillé les vieilles fractures de la gauche. Dominé par la déroute du parti socialiste et la municipalisation du Front national, il a eu pour effet de pousser les écologistes en dehors du gouvernement et de réveiller la contestation qui couvait depuis le début du quinquennat Hollande au sein du parti socialiste: près d’un tiers de ses députés réclament la fin de «la politique d’austérité » et une réorientation de l’Europe .
8 avril
Le Nouvel Obs - EXCLUSIF. Sondage : Valls démarre fort, avec 56% de satisfaits
56% des Français ont une image positive du nouveau Premier ministre, selon un sondage LH2 pour "le Nouvel Observateur". C'est le double de la popularité de François Hollande (27%).
Le Monde - Claude Bartolone : « Ne pas sacrifier la France à l’Europe libérale
A la veille du discours de politique générale de Manuel Valls, mardi 8 avril, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, veut rester vigilant sur le « changement de scénario » qui suivra, après la déroute des élections municipales.
DOCUMENTAIRES - Nouveau cap, nouveau premier ministre, nouveau gouvernement. Oui mais pour quoi faire? Avant même de fêter sa deuxième année à l'Elysée, voilà donc François Hollande contraint d'entamer à marche forcée la seconde mi-temps de son quinquennat. Le coup d'envoi est attendu ce mardi 8 avril avec le discours de politique générale de son tout nouveau chef de gouvernement Manuel Valls.
LE PLUS. Après la déroute des municipales, les députés PS attendent Manuel Valls au tournant. Alors que le Premier ministre doit prononcer son discours de politique générale mardi 8 avril, une centaine d’entre eux ont signé une lettre réclamant un changement de cap politique. Le député du Finistère Richard Ferrand fait parti des signataires "frondeurs". Il revient sur les objectifs de cette démarche.
Libé - Le Roux : «Quand on est député de la majorité, il y a un devoir de solidarité»
Dans une lettre à ses troupes, le président des députés PS Bruno Le Roux plaide pour un «nouvel équilibre» dans la politique du gouvernement. Tout en mettant en garde les éventuels frondeurs.
Le JDD - Le texte et la liste des 89 frondeurs du PS
INFO JDD - Avant le discours de politique générale de Manuel Valls et le vote de confiance à son gouvernement mardi, 89 responsables socialistes, dont des députés issus de l'aile gauche du parti, des amis de Martine Aubry et d'autres sensibilités du PS réclament, dans un texte que publie le JDD, un nouveau "contrat de majorité".
7 avril
Le Monde - Municipales : comment la gauche a perdu Limoges
Pour les uns, ce fut un « séisme », pour les autres un « coup de tonnerre » ou un « tsunami ». Comme si seul un déchaînement des éléments avait pu provoquer un tel événement. Limoges la rouge, « la Rome du socialisme », Limoges « terre de gauche », de Résistance et de luttes ouvrières a tremblé, dimanche 30 mars. La capitale limousine, socialiste depuis 1912, sauf pendant quatre années de collaboration et deux années de communisme entre 1940 et 1947, a basculé à droite.
Dans une interview au «JDD», le nouveau Premier ministre évoque aussi les «ravages» de la hausse des impôts.
Manuel Valls assure dans le JDD que les Verts seront «associés» à la politique du gouvernement qu’il dirige, s’ils lui votent la confiance mardi après son discours de politique générale.
Le Monde, Florence Aubenas - « Ici, faut être contremaître pour voter PS »
Pour certains, c’est la première fois, ils ont en même temps peur et envie. Ils viennent de partout dans le Pas-de-Calais, ils sont très jeunes, très socialistes, leur chef a tout juste 22 ans. Peu avant les élections municipales, la fédération PS avait confié à sa section juniors une distribution de tracts à Hénin-Beaumont. Hénin-Beaumont ? Depuis des années, la France entière a le regard fixé sur ce gros village où le Front national dévore des voix à gauche, de scrutin en scrutin.
Les Echos - Manuel Valls, version douce
Le Premier ministre prend très au sérieux la fronde des 88 parlementaires socialistes. Les discussions sont ouvertes pour infléchir la politique économique.
Les Echos - 88 députés socialistes menacent de ne pas voter la confiance au gouvernement Valls
Le « JDD » publie la liste des « 88 frondeurs du PS », qui réclament un nouveau « contrat de majorité » et posent leurs conditions pour voter la confiance au gouvernement. La liste pourrait s’allonger.