frondeur - Page 6
-
Manuel Valls à l'épreuve des frondeurs du PS
-
Benoit Hamon a répondu aux questions des Indés Radios, metronews et LCI.
-
Laurent Baumel sur i Télé le 8 mai
-
BFMTV - Christian Paul face à Ruth Elkrief
-
L'actualité des socialistes du 20 au 26 avril (mise à jour)
A la une
L'Obs - Macron veut retrouver "l'esprit industriel du capitalisme" ? Ce n'est pas le rôle du PS
Christian Paul a été choisi par l'aile gauche du Parti socialiste pour la représenter au congrès de Poitiers, prévu en juin. Dans une tribune à "L'Obs", le chef de file des frondeurs regrette que Jean-Christophe Cambadélis refuse de débattre avec lui et critique "l'esprit industriel du capitalisme" cher au ministre de l'Économie Emmanuel Macron.
26 avril
Libé - Hollande appelle «au partage du destin» des Arméniens
Le président français, qui s’est rendu aux cérémonies du centenaire du génocide commis par l’Empire ottoman, a également évoqué, depuis Erevan, le sort des chrétiens d’Orient.
Le commissaire européen Pierre Moscovici, ancien député du Doubs, est contraint de répondre à ses détracteurs, qui lui reprochent d’avoir signé une motion appelant à la « réorientation de l’Europe » pour le congrès du Parti socialiste français, tout en reconnaissant qu’il « aurait sans aucun doute formulé certains passages différemment ». Depuis qu’il a signé la motion « Le Renouveau socialiste » présentée par le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis pour le congrès de Poitiers, le commissaire européen aux affaires économiques s’est attiré les foudres de la droite européenne.
Le Monde - Emmanuel Macron veut « retrouver l’esprit industriel du capitalisme »
Le ministre de l'économie défend, dans une tribune au Monde, sa vision de la transformation de l'industrie française grâce à une nouvelle démocratie actionnariale. Le ministre de l'économie justifie ainsi l'attitude de l'Etat face à Renault, après sa décision de monter au capital du constructeur qui lui permettra d'imposer la mise en œuvre de la loi Florange.Huffington Post, François Kalfon - Île-de-France : pourquoi la gauche peut gagner
Samedi 11 avril. Une date "historique" selon les organisateurs d'un rassemblement autour de Valérie Pécresse qui n'avait de populaire que le nom. Autour de midi, c'est le moment que choisit l'ancienne ministre pour entrer en scène. Une communication hyper préparée, des militants surchauffés, usant et abusant de l'art du tweet et du retweet. La promesse d'une marche sans anicroche vers la victoire pour mieux dissimuler des faits pourtant têtus ?
«Ce qui est important, c’est que les militants socialistes peuvent, par leur vote, reprendre en main leur parti. Jean-Christophe Cambadélis a mené le Parti socialiste là où il est, c’est pour cela qu’il veut fermer les portes et les fenêtres, qu’il ne souhaite pas ce débat», a insisté le député.
Le Figaro - Congrès du PS : Martine Aubry et Claude Bartolone en tandem
Deux semaines avant le vote des motions dans le cadre du Congrès de Poitiers (5 au 7 juin), la maire de Lille et le président de l'Assemblée animeront une réunion le 6 mai au Pré-Saint-Gervais, en Seine-Saint-Denis
La réponse du berger à la bergère. Voilà à quoi a ressemblé l’intervention du chef de file des socialistes « frondeurs », vendredi 24 avril sur i-Télé, après que Jean-Chrisophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, a refusé de débattre avec lui avant le congrès du parti prévu à Poitiers du 5 au 7 juin. « Ce n’est pas auprès de lui que je prendrais des leçons de socialisme, a attaqué le député de la Nièvre Christian Paul. Je ne suis pas disposé à entendre en permanence des leçons qui s’adressent à des parlementaires qui veulent faire réussir le quinquennat de François Hollande. »25 avrilMediapart - Faisons de Lampedusa l’Ellis Island de l’Union européenne
« Assumer l'immigration, et changer de regard » : c'est l'appel que lancent plusieurs élus socialistes, dont Christian Paul, Aurélie Filippetti, Benoît Hamon, Pouria Amirshahi, Laurence Dumont, Isabelle Thomas, Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann, après les récents naufrages de bateaux de migrants en Méditerranée. « Qui fera croire que les 507 millions d’Européens ne sont pas capables d’accueillir 100 000 à 200 000 migrants ? », écrivent-ils alors que se tient ce jeudi à Bruxelles un conseil européen extraordinaire consacré au sujet.
Le Point - Contrôles au faciès : la gauche de la gauche rappelle Hollande à ses promesses
L'idée des récépissés avait été écartée à l'été 2012 par le gouvernement, quelques semaines après l'élection de François Hollande.
23 et 24 avril
L’attaque insidieuse de Pascal Cherki contre les tentations de magouilles au congrès du PS
REMEMBER REIMS - Il y a, au Parti socialiste, une jurisprudence en matière de congrès contestés (Ségolène Royal en sait quelque chose). Mais le PS n’a pas l’apanage de ces arrangements avec la sincérité du scrutin, rappelez-vous le duel Copé-Fillon pour la présidence de l’UMP. Et Pascal Cherki, fort de son expérience de 30 ans, au parti de la rue de Solférino, ne l’oublie pas.
Le Lab - François Hollande veut "réparer les erreurs" libyennes de Nicolas Sarkozy
Intervenir en Libye, en 2011, le Parti socialiste et François Hollande n’étaient pas contre. En revanche, la gestion de l’après-intervention militaire les rend plus dubitatifs. Ce jeudi 23 avril, après la multiplication de naufrages dramatiques de migrants en mer Méditerranée, François Hollande a estimé que pour mettre fin à ces tragédies, il fallait notamment "réparer les erreurs du passé" en Libye, visant implicitement son prédécesseur Nicolas Sarkozy.
Le Figaro - Hamon: burn-out, maladie professionnelle
L'ancien ministre PS Benoît Hamon s'est déclaré déterminé, aujourd'hui sur I-TELE, à obtenir "la reconnaissance comme maladie professionnelle" du burn-out.
Le Figaro - L'agenda secret de François Hollande
Lors d'une réunion de stratégie, qui s'est tenue mardi soir à l'Élysée, le chef de l'État a décidé de multiplier les déplacements de terrain dans les prochaines semaines. Le président, qui pense à 2017, veut tenter de retisser le lien avec les Français.
Ouest-France - Christian Paul, le révolté tranquille du PS
Un frondeur, on penserait que ça vitupère. Christian Paul, le rival de Jean-Christophe Cambadélis au congrès de Poitiers, fronde sans emphase. On peut avoir fait Sciences Po et l’Ena sans se cogner les chevilles.
Ses vacheries semblent douces à côté des confuses flamboyances d’Arnaud Montebourg, des injonctions dirigistes de Benoît Hamon ou des boudeuses certitudes de Martine Aubry, dont il coordonna l’ouvrage Pour changer de civilisation. « Je ne dis pas frondeur. Je préfère rassembleur. Ou éclaireur. » Plus judoka que boxeur ? « Ca me va bien. »Le Monde - « La Fabrique » veut créer la surprise au congrès du PS
C’est la petite motion qui entend « créer la surprise ». « La Fabrique socialiste », portée par la députée des Hautes-Alpes Karine Berger, présentait mardi 21 avril son dispositif de campagne en vue du congrès du PS organisé à Poitiers du 5 au 7 juin. Avec pour objectif affiché de terminer dans les deux premiers à l’issue du vote sur les motions, prévu le 21 mai, et donc de pouvoir concourir au poste de premier secrétaire, le 28 mai.En juin les socialistes organisent leur congrès à Poitiers. Tous les fidèles de Montebourg, passés par Frangy se sont rangés derrière la motion du Nivernais Christian Paul.Jean-Christophe Cambadélis a refusé aujourd’hui la demande de Christian Paul, premier signataire de la motion de l’aile gauche et des « frondeurs » du PS, d’un débat public dans le cadre de la campagne pour le congrès de Poitiers en juin.Karine Berger a lancé mardi la campagne de sa motion pour le congrès de Poitiers. « La Fabrique » compte bien exister face aux frondeurs et surtout face à Jean-Christophe Cambadélis qui réunit autour de lui le gouvernement.Après sa défaite aux départementales, le PS doit adapter ses structures à la nouvelle donne, car qui dit moins d’élus dit moins de fonds.En Seine-Maritime, la perte de deux sièges aux départementales et la désaffection d’adhérents ont joué sur le train de vie de la fédération.SI J’AVAIS SU… - Devenu commissaire européen, Pierre Moscovici ne sera pas, pour la première fois, un acteur du prochain congrès du Parti socialiste. Un PS qu’il aurait rêvé, fut un temps, de diriger. A l’instar de Vincent Peillon, également en retrait, l’ancien ministre de l’Economie a finalement signé la motion du Premier secrétaire de Solférino, Jean-Christophe Cambadélis.
En comparant le programme du FN à celui d’un « tract du PCF des années 1970 », le discours anti-immigré en moins, François Hollande commet une faute historique, mais sait très bien où il va politiquement, renouant avec les « transcourants » des années 1980.
22 avril
Mediapart - Ayrault et Montebourg constatent le désastre politique de Florange
Comment le FN a-t-il pris pied dans l'un des plus anciens bastions du syndicalisme ouvrier, le pays de l'acier lorrain ? Diffusé lundi 20 avril à 21 heures sur Canal Plus, le documentaire Danse avec le FN donne la parole à ces syndicalistes et ouvriers d'ArcelorMittal qui ont basculé lorsque le projet de nationalisation de Florange a été abandonné. Extrait et entretiens avec Jean-Marc Ayrault et Arnaud Montebourg.
Le Monde - Qui pourra bénéficier de la « prime d’activité » ?
L’élargissement de la « prime d’activité », annoncé dimanche 19 avril par François Hollande, a encore des contours bien imprécis. Le projet de loi sur le dialogue social, qui doit être présenté mercredi en conseil des ministres et détaillé dans la foulée par le ministre du travail François Rebsamen, prévoit d’instaurer cette nouvelle prime destinée à plus de 5 millions de personnes actives, dont environ 1 million de jeunes âgés de 18 à 25 ans, payées entre 0,8 et 1,2 smic, soit moins de 1 400 euros net mensuels.Le chef de l’Etat a annoncé la saisine du Conseil constitutionnel sur le projet de loi sur le renseignement décrié, se voulant ainsi au-dessus de la mêlée.Le Monde - Régionales en Ile-de-France : le PS se penche sur la candidature de Bartolone
Depuis la vague bleue des départementales, les socialistes écartent de moins en moins la perspective de perdre la région Ile-de-France, sauf à trouver un candidat providentiel. Et si c’était lui, Claude Bartolone, se dit-on au siège du Parti socialiste. Le PS a testé grâce à un sondage la candidature du président de l’Assemblée nationale aux régionales de décembre. Censé rester confidentiel, l’enquête commandée par la rue de Solférino a été révélée par Le Journal du dimanche, samedi 18 avril.Dans le cadre du congrès du Parti socialiste prévu pour juin prochain, le chef de file de la motion des frondeurs voulait débattre avec le premier secrétaire du parti.
21 avril
Rue 89 - Bernard Cazeneuve répond à Rue89 : « Un double mauvais procès »
Le débat sur la loi renseignement est un débat légitime. C’est un débat que le gouvernement s’honore d’avoir suscité, en faisant le choix de lancer un long travail d’élaboration qui l’a conduit avec ce projet de loi devant la représentation nationale.
Libé - Analogie FN-PCF : une sortie du tac au tract
Les propos tenus par Hollande dimanche ont provoqué l’indignation de l’extrême gauche.On imagine Pierre Laurent, dimanche, à l’heure du déjeuner. Le secrétaire national du PCF est chez lui, installé sur son canapé, un verre de rouge à la main. Tranquille. Il regarde François Hollande sur Canal + et échange des textos avec ses camarades pour commenter l’émission.
Le Monde - Le projet de loi Rebsamen prévoit le maintien des CHSCT
Le but du projet de loi « relatif au dialogue social et au soutien à l’activité des salariés » est de transformer l’échec de la négociation entre les syndicats et le patronat sur le dialogue social, le 22 janvier, en « progrès social majeur », selon la formule du ministre du travail. Le Monde s’est procuré le texte que M. Rebsamen présentera au conseil des ministres, mercredi 22 avril. Il comporte 26 articles dont voici les points essentiels.20 avrilMarianne - Hollande, l’incompréhension face au FN
Le reportage était cruel mais tellement révélateur pour François Hollande et l'ensemble de la gauche. Les équipes du Supplément se sont rendues à Grenay, un bastion historique de la gauche dans le Nord-Pas-De Calais, qui a voté Hollande à 60% en 2012. Aux départementales, ils ont choisi de soutenir les candidats FN. Face aux questionnements de ces déçus de la gauche, François Hollande a montré, laborieusement en peine, que le chemin de la reconquête de cette France là serait long. S'il est seulement possible.
Rue 89 - Hollande ne sait pas parler aux électeurs de gauche passés au FN
Ce fut le moment de vérité de l’émission, et François Hollande n’a pas réellement eu de réponse. Des mots, mais pas les mots justes.
Au cours de ses deux heures d’émission sur Canal+, ce dimanche, le Président a été confronté à plusieurs reportages, dont l’un auprès des électeurs d’une commune populaire du Pas-de-Calais, Grenay, qui avaient voté pour lui en 2012, mais sont aujourd’hui passés au Front national.
C'était l'événement politico-médiatique de ce 19 avril. En s'invitant sur le plateau dominical branché du "Supplément" de Canal+, François Hollande a brièvement fendu l'armure du costume présidentiel en descendant quelques marches de sa tour d'ivoire élyséenne. L'objectif était limpide: prendre les devants d'un bilan de trois ans peu reluisant en donnant au passage un coup de jeune à un quinquennat qui a justement beaucoup promis à la jeunesse.Engagé dans une stratégie de communication tous azimuts pour marquer ses trois ans à l’Élysée, le chef de l’État s’est exprimé dimanche 19 avril durant deux heures à l’émission « Le supplément », sur Canal+.La prime d’activité est élargie à tous les moins de 25 ans qui travaillent. Le président saisit lui-même les Sages sur le projet de loi renseignement.Le JDD - Valls : le troublant autoportrait
LA POLITIQUE EN COULISSES - Dominique de Montvalon, rédacteur en chef au Journal du Dimanche, décrypte l'actualité politique. Cette semaine, il revient sur l'opération com' de Manuel Valls.
L'Express - 79% des Français désapprouvent l'action de François Hollande
Après trois années à la tête de l'Etat, le Président n'a pas du tout la cote. Selon un sondage OpinionWay, plus des trois-quarts des Français se disent "mécontents" de son action.Le JDD - Régionales en Ile-de-France : le sondage confidentiel du PSSelon une enquête d’opinion que s’est procurée le JDD, Valérie Pécresse (UMP) arriverait en tête, suivie de près par Jean-Paul Huchon (PS). Avant la primaire du 28 mai, le président sortant distancerait sa rivale socialiste Marie-Pierre de la Gontrie.
-
Christian Paul sur LCI le 24 avril
-
Pascal Cherki : «Valls au congrès, c'est un jeu de dupe»
Pascal Cherki : «Valls au congrès, c'est un jeu... par lefigaro -
Ça Vous Regarde - L’Info : Invité : Christian Paul (PS) le 20 avril
-
Pour le frondeur Christian Paul, le congrès du PS oeuvre à "faire gagner la gauche en 2017"
-
L'actualité des socialistes du 30 mars au 5 avril (mise à jour)
A la une
Le JDD - L'aile gauche partira groupée au congrès du PS
Malgré la rivalité entre Emmanuel Maurel et Benoît Hamon, un dirigeant assure que les "frondeurs" iraient unis au congrès du PS en juin.
Libé - Congrès PS: vers un rassemblement des plus à gauche
A une semaine du dépôt des motions pour le congrès de Poitiers, les sensibilités socialistes en désaccord avec la politique économique du gouvernement se rapprochent.
5 avril
Challenges - Les Français soutiennent la ligne social-libérale de Valls !
Le Premier ministre peut se féliciter du sondage publié par Le Journal du Dimanche, mais il démontre toute la difficulté du moment: rassembler la gauche sans changer de cap économique ...
Le Point - Hamon (PS): une "parole collective" monte à gauche
L'ex-ministre PS Benoît Hamon a affirmé jeudi qu'une "parole collective" montait à gauche, à l'approche du Congrès du PS, pour réclamer des "changements" dans la politique du gouvernement.
"Il y a beaucoup de gens qui disent la même chose. Quand on écoute aujourd'hui le diagnostic posé par Martine Aubry, Arnaud Montebourg, Aurélie Filippetti, Christiane Taubira dans un autre registre (...) il y a des constats qui sont les mêmes et qui sont assez simples, sauf à être totalement dans le déni et à vouloir plonger bien profond la tête dans le sable", a déclaré Benoît Hamon sur LCI et Radio Classique.
Le Monde - PS : première motion déposée avant le congrès de Poitiers
La compétition au PS est déjà sur les rails. Le courant « cohérence socialiste », mené par les quatre députés Karine Berger, Valérie Rabault, Yann Galut et Alexis Bachelay, a décidé de déposer sa propre motion pour le congrès de Poitiers du 5 au 7 juin. Ils font alliance pour l'occasion avec trois autres premiers signataires de contributions générales, Dominique Bertinotti, l'ancienne ministre de la famille, Nicolas Brien et Madeleine Ngombet.4 avril
Libé - François Hollande fait un petit pas vers sa gauche dans l'Oise
Ce vendredi, le Président a annoncé la création d'un compte personnel d'activité. Une mesure sociale censée rassurer sa majorité avant le congrès du PS en juin, sans toutefois toucher à ses mesures phares.
Le Point - Le "compte personnel d'activité" : le geste de Hollande sur sa gauche
Le Parti socialiste a salué "une avancée importante dans le processus de sécurisation des parcours professionnels", demandé par les fidèles de Martine Aubry.
Le Monde - Hollande annonce des mesures pour favoriser l’investissement dans les PME
Après l’usine PSA de Trémery (Moselle) la semaine précédente, le président continuait inlassablement son tour de « la France qui gagne », vendredi 3 avril, dans une forge de Trie-Château (Oise). Mais en plus des traditionnelles assurances sur l’imminence d’une reprise, égrenées avec insistance depuis un mois, François Hollande y a apporté dans sa besace des annonces : des mesures destinées à favoriser l’investissement industriel dans les PME.Le gouvernement préfère ne pas mettre sur la table les questions de simplification du contrat de travail et de la durée du travail. Et ce pour ne pas attiser les frictions au sein du parti socialiste en pleine préparation de son congrès.
France Bleu - Régionales : Jean-Jack Queyranne annonce sa candidature
L'actuel président de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne, a annoncé officiellement sa candidature à l'investiture PS pour la présidence de la future région Rhône-Alpes Auvergne. Le président en a également profité pour répondre aux attaques de la droite, concernant notamment le financement de l'autoroute A45.
Le Monde - Pour Sapin, la reprise dépend désormais des entrepreneurs
Le ministre de l’économie Michel Sapin a déclaré, vendredi 3 avril sur RTL, qu’il est désormais de la « responsabilité du monde économique » de transformer en « décisions » et en « investissements » les « marges » qu’elles ont dégagées dans un contexte de « petite reprise » de la croissance. Jeudi, l’Insee a légèrement revu à la hausse ses prévisions et s’attend à une progression de 0,4 % du PIB au premier trimestre puis 0,3 % au deuxième.S'il n'est pas tout à fait frondeur, Jean-Marc Germain, député socialiste des Hauts-de-Seine, ne désavoue pas, pour autant, le courant hostile à Manuel Valls. Sans dévoiler les intentions de celle pour qui il roule, ce proche de Martine Aubry et époux, à la ville, d'Anne Hidalgo, tire les conséquences de la déroute des socialistes.Après Arnaud Montebourg, Cécile Duflot et même la garde des sceaux Christiane Taubira, Benoît Hamon a apporté sa contribution, jeudi 2 avril, au flot de critiques venues de gauche qui accablent le gouvernement après sa cuisante défaite aux élections départementales. « Il est temps que le quinquennat soit associé à une amélioration de la vie des Français », a déclaré sur Radio Classique et LCI l’ex-ministre de l’éducation, membre de l’aile gauche du Parti socialiste, qui a quitté le gouvernement en août 2014 sur un désaccord avec la politique menée par Manuel Valls.Après la défaite de la gauche aux départementales, l’ex-ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique sort de son silence dans «Les Echos».3 avrilSeulement huit femmes figurent parmi les 98 présidents de conseils départementaux élus jeudi. Elles n'étaient que quatre auparavant.L'Humanité - Face à la ligne Valls, Martine Aubry passe à l’offensive
Deux jours après la déroute du PS aux élections départementales, la maire de Lille passe à la vitesse supérieure.
Les Echos - Le dilemme de Martine Aubry
La maire de Lille a huit jours pour décider si elle dépose ou non une motion au congrès du PS. En clair, si elle compose ou entre en guerre avec François Hollande.
La claque des départementales à peine digérée, le coup de sifflet du sprint du congrès est sifflé. Le calendrier est serré puisque le 11 avril, le Conseil national du PS entérinera les différentes motions qui feront l’objet d’un vote des militants. Un congrès prévu pour début juin qui pourrait, en cas de victoire de la ligne critique au gouvernement, obliger François Hollande à infléchir sa politique économique.LCP - Baumel (PS) demande à Hollande des "inflexions politiques" sans "se renier"
Le député frondeur espère que le chef de l’État acceptera d’apporter des "équilibres un peu différents" après la défaite socialiste lors des élections départementales."Il y a un petit paradoxe à nationaliser une élection locale et ensuite, en l’ayant perdue, à dire ’je continue la même politique, je ne change pas de cap’." Laurent Baumel, le député socialiste frondeur d’Indre-et-Loire, a demandé à l’exécutif, mercredi sur le plateau de Politique Matin, "d’apporter des inflexions" à sa politique afin de la rendre plus "équilibrée", après la défaite de la gauche aux élections départementales.
Le JDD - Martine Aubry attend "des signes forts et non des vaguelettes"
Lors d'une réunion avec ses soutiens,à laquelle se sont joints une partie des frondeurs, mardi soir, la maire socialiste de Lille Martine Aubry a fortement critiqué la ligne Valls. Avec le prochain congrès du PS en ligne de mire.
Regards - Emmanuel Maurel : « Notre électorat est plus unitaire que nous »
Le frondeur Emmanuel Maurel s’attriste de voir l’exécutif mener le Parti socialiste de revers électoral en revers électoral. Mais espère lui faire changer son cap social-libéral grâce à une entente entre les différentes forces de gauche... rangées derrière le PS.
2 avril
INFO RTL - La maire de Lille a réuni une centaine de ses proches, au lendemain de la défaite socialiste aux départementales et a obtenu des garanties de la part du Président.Le Figaro - Devant ses troupes, Martine Aubry lâche ses coups contre Manuel Valls
Lors d'une réunion avec ses soutiens mardi soir à l'Assemblée, la maire de Lille a fustigé la stratégie du premier ministre pour les départementales. Elle pourrait déposer sa propre motion pour le congrès du parti.
Le lab - Martine Aubry laisse planer le doute quant à sa candidature au congrès du PS
LA GRANDE INCONNUE - Ce n'est pas encore aujourd'hui que l'on connaîtra avec précision les intentions de Martine Aubry. Mais à défaut de dévoiler son jeu, la maire de Lille entretient savamment le doute. Devant ses soutiens à l'Assemblée nationale, mardi 31 mars, l'ancienne Première secrétaire du PS a en tous cas laissé planer l'éventualité d'une candidature de sa part au congrès du parti, qui se tiendra à Poitiers début juin.
France 3 - Réunion d'une centaine de parlementaires et d'élus locaux autour de Martine Aubry
La maire de Lille, Martine Aubry, a réuni mardi soir à l'Assemblée nationale ses soutiens parlementaires, ainsi que des élus locaux, pour faire le point après les départementales et avant le dépôt des motions en vue du congrès du PS, en juin à Poitiers.
Le JDD - Comment Valls a tenté de remobiliser les socialistes
Manuel Valls, qui considère avoir le soutien des Français pour rester à son poste de Premier ministre un an pile après sa nomination, s'est adressé mardi aux députés socialistes pour les convaincre d'"approfondir les réformes" sans changement de cap vers la gauche.
Le Monde - Scrutin après scrutin, Hollande perd ce qu’il a gagné
Le premier secrétaire avait tout gagné. Le président est en passe de tout perdre. Après des municipales dévastatrices, qui avaient laissé la gauche délestée de quelque 150 villes de plus de 9 000 habitants en mars 2014, le second tour des élections départementales, avec 28 départements perdus, dimanche 29 mars, a aggravé la saignée, annonçant un scrutin régional du même acabit. En décembre, François Hollande pourrait bien avoir liquidé la majeure partie des positions de pouvoir tenues par la gauche dans les collectivités territoriales. C’est sur la conquête de celles-ci qu’il avait édifié onze ans durant, à la tête du PS, la rampe de lancement de ses ambitions présidentielles.1er avrilAlors que le Front national se targuait d'être « le premier parti de France » après les élections municipales et les européennes de 2014, la droite républicaine et ses alliés sont sortis largement victorieux des élections départementales, dont le second tour se déroulait dimanche 29 mars. A l'issue de ce scrutin local, qui peut revendiquer le titre de premier parti de France ?
Trois jours après la défaite du Parti socialiste aux élections départementales, Manuel Valls ne dévie pas de sa ligne politique : il faut rassembler la gauche, mais pas question de revenir sur les grandes orientations économiques décidées par son gouvernement.Libé - Valls s'essaye à la manière pas forte
S'exprimant devant le groupe PS de l'Assemblée, deux jours après la défaite départementale, le Premier ministre n'a rien concédé sur le fond mais sans en rajouter sur la forme.
Le Monde - Départementales : la coûteuse défaite du PS
La sévère défaite de la gauche aux élections départementales risque de coûter cher au Parti socialiste. Un an après l'échec aux municipales, ce nouveau revers, dimanche 29 mars, est une nouvelle fois synonyme pour le parti au pouvoir d'un recul sur le plan local.Au Parti socialiste, la défaite n'est pas seulement politique. Elle est aussi financière et humaine. Tous les conseillers départementaux du PS sont tenus de reverser à la fédération de leur département entre 5 % et 10 % de leur indemnité. «Entre 1400 et 2000 euros de cotisation annuelle par conseiller départemental», indique le trésorier de la Rue de Solferino, Jean-François Debat. Face au reflux, celui-ci envisage la fermeture de certaines permanences locales.Candidat malheureux à la réélection dans son canton de Lons-Le-Saunier, l'ancien président socialiste du département du Jura a annoncé son retrait de la vie politique. Invité sur l’antenne de France info, Christophe Perny n’a pas mâché ses mots pour critiquer la politique de Manuel Vall
31 marsDans une société travaillée par les aspirations individualistes et les pulsions de repli identitaire, le vote FN ouvre une nouvelle ère politique.
Au lendemain du second tour des élections départementales, c’est Benoit Hamon qui a été l’un des premiers appelés à poser des mots sur les plaies, dans les différentes émissions matinales du lundi 30 mars. « C’est une défaite » a sobrement estimé l’ancien porte-parole du parti socialiste lundi matin sur RTL. « Pas besoin », pour lui, d’aller puiser dans un vocabulaire plus chargé en superlatifs. « C’est une défaite, incontestable », a juste répété Benoit Hamon, préférant sans tarder en analyser les raisons. Pour le député des Yvelines, l’explication tient dans « la division de la gauche » d’un côté, et de l’autre dans « des résultats qui se font attendre sur les questions essentielles, le pouvoir d’achat, la situation des petits retraités, l’emploi évidemment… ».
Emmanuel Maurel, député européen et conseiller régional d’Ile-de-France, réagit vivement aux résultats du second tour des élections départementales et à la déclaration de Manuel Valls. Pour lui, « il faut faire preuve de lucidité et avoir l’intelligence de changer de politique ».30 marsLes socialistes subissent une lourde défaite, ne conservant qu’une trentaine de départements. Face à la vague bleue, le Premier ministre promet de garder le cap.
L’alternance politique n’est pas qu’une abstraction. Parfois, elle se ressent physiquement. Il est 23 heures, dimanche 29 mars, dans le hall de la préfecture d’Evry. Le président sortant du conseil général, le socialiste Jérôme Guedj, arrive avec quelques proches, tandis que Georges Tron et les nouveaux élus UMP répondent aux médias et profitent du buffet. Perdants et gagnants se frôlent et se toisent. Sans un mot. « Voilà le nouveau visage de l’Essonne… », lâche un conseiller de M. Guedj en observant les nouvelles têtes et leurs sourires.Mardi, à l'Assemblée nationale les proches de l'ex-première secrétaire du PS, doivent se retrouver pour faire un bilan du scrutin de dimanche et préparer le congrès PS.Le Monde - Suivez en direct les résultats du second tour des départementalesLa droite pourrait conquérir 20 à 40 départements à l'issue du second tour, tandis que le score du FN sera guetté. A 17 heures, la participation s'élevait à 41,94 %.
Libé - Canton par canton, retrouvez tous les résultats à partir de 20 heuresL'aile gauche du PS profite de la déroute de son parti aux élections départementales pour lancer un nouvel appel. Les frondeurs veulent un "contrat de rassemblement" avec l'ensemble de la gauche. Une manière de mettre la pression sur le gouvernement de Manuel Valls.Ce dimanche soir, chaque parti pourra peut-être avancer, avec plus ou moins de bonne foi, des motifs de satisfaction.... Le PS a «gagné» si…Il sauve plus de vingt-cinq départementsDans ce département à gauche depuis 1976, le second tour s'annonce très serré entre les socialistes et l'UMP. -
L'Opinion - Christian Paul (PS) : « Martine Aubry a une vision utile et précise de ce qu'est une politique économique efficace »
Christian Paul (PS) : « Martine Aubry a une... par Lopinionfr