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covid - Page 14

  • Même l'industrie alimentaire n'échappera pas à la tourmente [Alexandre Mirlicourtois]

    Désorganisation de l’offre, affaiblissement de la demande extérieure et bascule de la demande domestique de la restauration vers la consommation à domicile, le Covid-19 met la filière alimentaire (hors boisson j’entends) sous tensions. [...]

  • L'Obs - L’Espagne veut instaurer un revenu universel permanent pour faire face à la crise

    Depuis le 14 mars, l’économie espagnole est à l’arrêt. Le gouvernement réfléchit à l’instauration d’un revenu universel pour aider les familles, qui pourrait bien rester en vigueur après l’épidémie.

    Pour limiter l’impact du coronavirus sur l’économie, le gouvernement espagnol travaille sur une série de mesures, dont la mise en place d’un revenu universel pour aider les familles, a fait savoir dimanche 5 avril Nadia Calvino, la ministre de l’Economie.

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  • COVID-19 | La pandémie à travers le monde | VIRAL #10 | ARTE

    En Espagne, le coeur de l’épidémie frappe Madrid, la capitale. Des citoyens se mobilisent pour soutenir les soignants. Détours également par les Etats-Unis, la Malaise et le Maroc.

  • Terra Nova - Faut-il recourir au numérique pour faciliter la sortie du confinement ?

    Le 1er avril, le Premier ministre lors de son audition devant la mission d’information de l’Assemblée nationale a confirmé que le traçage des données numériques « pourrait peut-être » figurer comme une « question encore ouverte » à l’agenda stratégique du Gouvernement, avec des outils pour suivre le déplacement des malades du coronavirus. Les termes du débat qu’il a esquissé semblent tenir à une distinction sur le caractère obligatoire ou non de tels dispositifs ; il a laissé ouverte, quoiqu’avec une certaine réticence, la piste de dispositifs volontaires, et privilégié comme point d’entrée dans ce débat l’enjeu des dérives et atteintes pour les libertés. Si cette entrée paraît naturelle s’agissant d’un secteur où la conquête des droits est une ligne de force puissante, les termes de ce débat méritent d’être clarifiés et plusieurs critères de jugement peuvent nous y aider. Quels sont les enjeux majeurs à étudier pour qu'ils fonctionnent ? Comment l'adhésion volontaire des individus au "tracking" fera la différence, et quelles hypothèses retient-on pour qu'elle soit efficace ? Quelle réactivité peut-on attendre du système de traçage des contacts, selon qu’il est manuel ou bien adossé au traitement de données numériques ? Quel impact le traitement des données numériques est-il susceptible d’avoir sur la capacité des individus à adopter les comportements requis ? Et quels sont les enseignements que l'on peut attendre, en situation d'urgence sanitaire, d'une production d'informations en temps réel, pour les individus et pour les autorités ? Voici quelques-unes des pistes analysées par Mélanie Heard, co-coordinatrice du pôle Santé de Terra Nova, dans cette note.

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  • France Culture - L’usine bretonne qui alimentait la France en masques : histoire secrète d’un saccage industriel

    Alors que la France manque cruellement de masques face à la pandémie de nouveau coronavirus, une entreprise française, installée en Bretagne, qui pouvait en fabriquer jusqu’à 200 millions par an, a fermé en 2018 après avoir été rachetée par un groupe américain. Qui est responsable de ce fiasco ?

    "Pour eux, on est un peu comme des pions sur un jeu de Monopoly." Antoine* est un "ancien" de l’usine de Plaintel, dans les Côtes-d’Armor. Depuis les années 90, il a vu passer plusieurs repreneurs de l’usine bretonne spécialisée dans la fabrication des masques respiratoires, notamment les fameux masques FFP2 indispensables au personnel médical. Il a connu le boom de l’entreprise au moment de la grippe H1N1, en 2009, lorsque l’usine fonctionnait "vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept" avec "huit machines, dont cinq supplémentaires". Une capacité de production multipliée par cinq et 300 employés pour fabriquer des masques pour la France entière.

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  • Coronavirus : "Il faut porter des max !" - Le Billet de Sophia Aram

    Aujourd'hui c'est Sophia Pénicaud, la ministre du Travail, qui vous parle pour clarifier la politique du gouvernement en ces temps d'épidémie de covid-19 et de confinement.

  • Non Fiction - La chloroquine du Pr. Raoult : ou comment penser une science de crise

    Prescription hétérodoxe de chloroquine, usage détourné de masques de plongée… Les inventions médicales devant l’urgence sanitaire actuelle invitent à penser ce que peut être une science de crise.

    Face à l’épidémie de Covid-19, le professeur Raoult a décidé unilatéralement de procéder à l’usage de la chloroquine, provoquant un tollé chez ses collègues, en raison de doutes pensant sur l’étude publiée par le médecin. Un service de réanimation s’est mis à utiliser des masques Décathlon en guise de respirateur, conduisant l’entreprise à exprimer ses réserves quant à cette utilisation pour le moins inattendue de ses produits. Les crises conduiraient-elles à une sorte de panique, à l’abandon de toute rationalité scientifique ? Au contraire, dans cet article, en nous appuyant sur les travaux de Michel Dobry, de Karl Popper et Thomas Kuhn, nous défendons la nécessité d’une double conception de la science, « normale » et « de crise ».

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  • La Vie des idées - Contagion, une histoire culturelle

    À propos de : Kevin Siena, Rotten Bodies : Class and Contagion in Eighteenth-Century Britain, Yale University Press

    Au XVIIIe siècle, les épidémies récurrentes de typhus chez les pauvres renforcent la croyance selon laquelle les corps de la plèbe sont dans un état de perpétuelle putréfaction. L’historien Kevin Siena propose une étude stimulante des discours médicaux sur les épidémies au cours du long XVIIIe.

    Dans Rotten Bodies : Class and Contagion in Eighteenth-Century Britain, Kevin Siena s’intéresse aux conceptions des maladies épidémiques, et aux attitudes adoptées à leur égard pendant le long XVIIIe siècle, tout en s’autorisant des incursions dans le XVIIe siècle (les premiers chapitres), et, plus brièvement, dans le XIXe siècle (dans les chapitres de conclusion). L’étude de Siena porte sur ce qui sera plus tard appelé typhus, mais que l’on désigne au XVIIIe comme une sorte de « fièvre » généralement accompagnée d’un épithète précisant le contexte d’apparition d’une épidémie donnée – l’usine, l’hôpital, les navires, la prison. C’est surtout cette dernière, connue comme « fièvre des geôles » ou « fièvre des prisons », qui a attiré l’attention du public comme celle du législateur. Plusieurs chapitres du livre sont, nous le verrons, consacrés à cette question. Siena s’inscrit ouvertement dans une démarche d’histoire culturelle, et examine la manière dont le discours médical sur les maladies épidémiques au cours de cette période reflète certaines conceptions du corps humain, et, par-là, des normes culturelles et sociétales plus générales.

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