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JM Ayrault : « La journée de commémoration de l’esclavage devrait être un jour férié en France »
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Jean-Marc Ayrault : "Ceux qui pensent que l'on pouvait s'arranger avec Bachar el-Assad en sont pour leurs frais"
Jean-Marc Ayrault : "Ceux qui pensent que l'on... par franceinter -
Jean-Marc Ayrault sur le conflit syrien : Nous ne voulons pas rentrer dans une logique de guerre"
Jean-Marc Ayrault sur le conflit syrien : Nous... par franceinter -
Jean-Marc Ayrault appelle LafargeHolcim à "réfléchir" à sa participation au mur de Donald Trump
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Le Monde - Présidentielle : Ayrault ne soutiendra pas forcément le vainqueur de la primaire à gauche
Invité de l’émission « Questions d’info », le ministre des affaires étrangères prône le ralliement au candidat de gauche qui aura la plus forte dynamique pour la présidentielle.
Le premier tour de la primaire organisé par le Parti socialiste n’a pas encore eu lieu que Jean-Marc Ayrault prend ses distances et lance un avertissement à ses camarades : « J’espère que le candidat socialiste sera capable de créer la dynamique, sinon il faudra se poser la question de savoir où est la dynamique ? », a déclaré le ministre des affaires étrangères, invité mercredi 18 janvier de l’émission « Questions d’info », sur LCP, en partenariat avec Le Monde, France Info et l’AFP. -
Le Grand Rendez-vous avec Jean-Marc Ayrault
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L'actualité des socialistes du 3 au 9 juin
A LA UNE
Le blog de Thomas Piketty - Loi travail : un effroyable gâchis
Alors que les tensions sociales menacent de bloquer le pays et que le gouvernement s’obstine à refuser le dialogue et le compromis, la loi travail apparaît de plus en plus clairement pour ce qu’elle est : un effroyable gâchis, un de plus au sein d’un quinquennat raté, et peut-être le plus grave. Le gouvernement voudrait nous faire croire qu’il paie le prix d’être réformateur, et qu’il doit se battre seul contre tous les conservatismes. La vérité est toute autre : sur ce sujet comme sur les précédents, le pouvoir en place multiplie les improvisations, les mensonges et les bricolages.
MONTEBOUG
Boursorama - Montebourg (PS): sans primaire, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée"
L'ancien ministre de l'Economie (PS) Arnaud Montebourg a estimé mercredi que sans primaire à gauche, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée", et a admis avoir commis des "erreurs" en soutenant François Hollande en 2011 et en aidant Manuel Valls à succéder à Jean-Marc Ayrault à Matignon.
Le Figaro - Montebourg propose de tirer au sort les sénateurs
Arnaud Montebourg lance une série de propositions pour bouleverser les institutions. Au programme : réforme du Sénat, limitation du pouvoir de nomination du chef de l'État et responsabilité individuelle des ministres devant l'Assemblée.
HOLLANDELe président, qui voulait rassembler à tout prix, a pris acte du fossé qui le sépare désormais des écologistes et des frondeurs du PS. A un an de la présidentielle, il n'a pas d'autre choix que de brandir le drapeau du « réformisme ». Quitte à faire éclater la gauche.MACRONLe ministre de l’Economie accuse une forte baisse de de popularité chez les Français et notamment les sympathisants de gauche, dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ».PSLe premier secrétaire se bat pour préserver l'unité de son parti. Pour cela, il est persuadé de la nécessité d'une candidature présidentielle de François Hollande, l'organisation d'une primaire risquant d'entraîner une dislocation du PS.La recette n’est pas nouvelle, mais le Parti socialiste et le gouvernement ont décidé que le moment était venu de l’utiliser. La défense de la loi Travail, fortement contestée, a fourni le prétexte de cette tentative de contre-feu mise en scène au cours d’un meeting avec quatre protagonistes : Manuel Valls, Myriam El Khomri, Stéphane Le Foll et Jean-Christophe Cambadélis.Lors d’un meeting qui s’est tenu mercredi soir à Paris, les quatre orateurs - Valls, Le Foll, El Khomri et Cambadélis - ont voulu remobiliser leur camp avant l’examen du texte au Sénat et son retour à l’Assemblée nationale en juillet. -
Ayrault : " Ça serait très bien" que la loi Travail soit adoptée sans 49.3
Ayrault : " Ça serait très bien" que la loi... par FranceInfo -
"Je ne crois pas à la fin de l'Europe", affirme Jean-Marc Ayrault
"Je ne crois pas à la fin de l'Europe", affirme... par rtl-fr -
L'actualité des socialistes du 15 au 21 avril
A la une
LE PLUS. La situation se complique sérieusement pour François Hollande et le Parti socialiste. Échecs électoraux à répétition, sondages extrêmement défavorables, fédérations en mal d'adhérents et de cotisations, fractures idéologiques... Les difficultés sont nombreuses. Militante socialiste, Charlotte Picard adresse une lettre ouverte au Premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis.
Le Monde - L’élimination de Hollande au premier tour, en 2017, est « un risque majeur »
Il fut l’un des rares à avoir perçu le risque du 21 avril 2002. Analyste politique, proche du PS, Gérard Le Gall, qui dans la Revue politique et parlementaire a récemment décrit le scrutin régional de décembre comme des « élections de confirmation », décrypte l’opinion à
un an de la présidentielle.Kamel Daoud a reçu jeudi dernier le prix Jean-Luc Lagardère du journaliste de l’année pour ses chroniques parues dans le Point et dans le Quotidien d’Oran. Paradoxe : l’écrivain algérien a été distingué au moment même où il annonçait son retrait du journalisme. Affecté par les polémiques acerbes qui ont suivi la publication de son analyse des événements de la Saint-Sylvestre à Cologne, Kamel Daoud préfère désormais se consarer entièrement à la littérature. Traduit dans de nombreux pays, son roman Meursault Contre-Enquête a remporté plusieurs distinctions après avoir manqué » d’une voix le prix Goncourt.REFLEXIONS
Vincent Présumey - Voile islamique et lutte mondiale des classes.
Dans ce 3° article formant un ensemble avec les deux précédents, on revient sur la lutte des classes en France, dans le monde, et on finit par une défense de la laïcité et de l'autonomie individuelle.
Printemps 2016, France. Nous assistons à un nouveau « spasme à la française », comme écrivait autrefois Alain Minc. Plein de tradition nationale et d'atavisme républicain (atavisme, au bon sens du terme, non au sens de l'hérédité ! ), car depuis la victoire du 10 août 1792 la France connaît des poussées vers la « journée » où le mouvement général des exploités et opprimés, se groupant dans l'aspiration à la démocratie, cherche à affronter le pouvoir.
Slate - Le PS et les Républicains en voie de décomposition avancée
.... Le printemps républicain, c’est la laïcité et l’égalité homme-femme contre la menace islamiste. Ce qui est nouveau à gauche, tant les partis de gauche, à commencer par le PS, ont fui et continuent de fuir cette question, par électoralisme, ambiguïté ou tout simplement désarroi. C’est au fond le premier mouvement politique post-attentats, qui apporte une réponse idéologique –forcément discutable– mais une réponse, aux débats qui ont suivi le tragique mois de janvier 2015, quand les institutions politiques et partisanes se sont concentrés sur les réponses sécuritaires (loi renseignement ou état d’urgence).
Pour Marcel Gauchet, les Français n'acceptent qu'à reculons le modèle néolibéral, mondialisé, individualiste. Le seul moyen de sortir du « malheur français » serait de construire des institutions publiques performantes. Mais les responsables politiques actuels ne sont pas à la hauteur de l'enjeu...
The Conversation - Loi travail : précarité de l’emploi et précarité de l’entreprise
Il faut espérer que la contestation de la loi El Khomri permettra de renouveler en profondeur le débat sur le travail en France. On pourrait attendre ainsi que la sécurisation individuelle des parcours professionnels cède la place à une véritable sécurité sociale industrielle visant à développer les capacités collectives d’innovation que requiert l’urgence climatique, ou la montée de la dépendance liée au vieillissement de la population. En effet, le problème n’est pas de renforcer la négociation d’entreprise au détriment de la loi, il est d’élaborer les conditions légales d’une refondation de l’entreprise en intégrant l’expression de ses salariés. Dans cette démarche, il reste à imaginer des outils nouveaux qui, prolongeant l’action renforcée des comités d’entreprise, permettraient d’envisager la définition de collectivités de travail cohérentes en regard de leurs activités productives. Ce serait l’occasion de revoir les multiples formes prises par une sous-traitance qui marque moins la victoire de l’esprit d’entreprise, que le retour au marchandage du XIXe siècle.
PRIMAIRE
Libé - A gauche, une irresponsabilité primaire
«Unité !» qu’ils disaient… En l’espace d’un week-end, une partie des responsables politiques de gauche vient d’apporter la preuve de son irresponsabilité. C’est d’abord le Parti communiste qui explique être d’accord pour participer à une primaire, mais pas pour soutenir François Hollande s’il la gagne. C’est ensuite la direction du Parti socialiste, et en tête son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, qui prend prétexte de cette position du voisin de la place du Colonel-Fabien pour affirmer que le PCF «prend la responsabilité de la division», alors que jamais il n’a accepté le principe d’un «socle» de propositions communes censé «rassembler» une famille de gauche aujourd’hui fâchée.
Le Figaro - Cambadélis : «La primaire de la gauche a du plomb dans l'aile»
«Là, je dois avouer que ce matin, la primaire a du plomb dans l'aile.» Sur le plateau de LCI, le patron du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a jeté lundi la première pelletée de terre socialiste sur le projet de primaire à gauche, réclamé par les déçus du hollandisme. Pourtant, le député de Paris l'assure, le PS - partisans du chef de l'Etat compris - a mis toute la bonne volonté du monde dans l'organisation de cette primaire: «On a commencé en disant: “C'est la primaire de toute la gauche”. Jean-Luc Mélenchon est parti, on nous a dit: “C'est pas grave, on va faire avec les autres.” On s'est dit: “Pourquoi pas, si ça permet de sélectionner un candidat”. (…)Tout le monde au Parti socialiste était d'accord, y compris les frondeurs, pour une fois nous avons voté une résolution à l'unanimité.»
Libé - Primaire à gauche : «C’est possible que ce soit impossible mais dites-le nous!»
Pour le dernier débat du Forum organisé par «Libération», la question désormais vitale de cette initiative de primaire a gauche a été posée : comment avancer si les partis politiques se sont engagés dans l’opération pour mieux la torpiller ?
LAICITE
Le Temps - «Pour une certaine gauche, les musulmans sont les nouveaux damnés de la terre»
L’extrême gauche genevoise se déchire sur l’islam et la laïcité? Un phénomène qui traverse l’ensemble de la gauche, explique le politologue français Laurent Bouvet
Professeur de théorie politique à l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, Laurent Bouvet est un des leaders de la Gauche populaire, un mouvement proche du Parti socialiste français, qui plaide pour la reconquête des couches populaires. Pour Le Temps, il analyse le divorce, à gauche, entre multiculturalistes et républicains laïcs.
Libé - Gilles Kepel: «Il faut écouter les prêches du vendredi»
La controverse qui m’oppose ainsi que bien d’autres chercheurs arabisants (1) à Olivier Roy et ses épigones n’est pas personnelle : elle interroge la validité épistémologique de la recherche, qui en retour détermine l’interprétation la plus exacte possible d’enjeux cruciaux pour notre société. Face à l’effondrement de la crédibilité de la caste médiatico-politicienne, à la papardelle d’experts instantanés qui envahissent les plateaux télé et aux gesticulations électoralistes dans la perspective des échéances de 2017, l’université redevient une référence car elle rationalise des questions anxiogènes, propices à tous les dérapages. Ce débat doit être mené publiquement, il en va de la responsabilité sociale des universitaires. L’invective («Kepel est un Rastignac»), outre que tout ce qui est excessif est insignifiant, et que le sexagénaire que je suis est flatté par pareille cure de jouvence balzacienne, ne fait que trivialiser les enjeux pour mieux les occulter.
Depuis des années, tout le monde parle du voile, de plus en plus de personnes portent le voile, pas seulement à Bamako ou au Caire, mais aussi à Londres, Paris ou New York. Symbole religieux ou signe religieux? Que signifie ce carré de tissus qui met la planète en émoi? Intrigué par autant de questions, j'ai décidé de consacrer quelques semaines de mes vacances à compulser les livres d'histoire religieuse pour remonter aux racines du signe, pour ne pas dire du mal.Et là, en remontant au plus loin des traces écrites des civilisations antiques, en fouillant dans les annales des histoires sumériennes, j'ai découvert avec stupéfaction que le voile découle à l'origine d'une illusion optique.
En effet, une croyance sémitique très ancienne attestée en Mésopotamie, considérait la chevelure de la femme comme le reflet de la toison pubienne!
SECRET DES AFFAIRES
.... Une directive très critiquée, notamment par les journalistes et les lanceurs d’alerte, qui y voient une menace sérieuse contre la liberté d’informer. Mais malgré une pétition signée par plus de 500 000 personnes, les députés européens ont voté à une très large majorité (77 %) le texte proposé par la Commission européenne.NUIT DEBOUT
La commission Démocratie s’est donné rendez-vous à 16 heures, place de la République à Paris, mercredi 20 avril. Sous un grand soleil, les militants se retrouvent pour discuter de la construction des « outils démocratiques » de Nuit debout. Et ce n’est pas tâche aisée : avant même de lancer la réunion, le rappel de l’ordre du jour provoque déjà des débats. Doit-on prendre le temps de tout réexpliquer aux « nouveaux » qui n’étaient pas là la veille ? « Cela me paraît très compliqué, cette discussion… », soupire déjà un participant.Libé - Nuit debout : à la Bourse du travail, l'étape d'après reste en suspens
Réunis mercredi soir dans le Xe arrondissement de Paris, les initiateurs de la contestation populaire ne sont pas parvenus à donner une perspective au mouvement.
Slate - En expulsant Finkielkraut, Nuit Debout tombe dans le piège du déjà vu
Quoiqu'on pense de ses prises de position, ce qui est arrivé au philosophe place de la République samedi soir rappelle la violence politique exercée par les maos après Mai 68.
Telos - Nuit debout, gouvernement couché? Monique Dagnaud Olivier Galland 13 avril 2016
Merci, François Ruffin, pour ce moment ! Que l’on soit sensible à la musique de l’extrême-gauche ou pas, le documentaire Merci, patron, de François Ruffin, fondateur en 1999 du journal alternatif Fakir, « le journal fâché avec tout le monde, l’oligarchie, la finance, les médias », restera dans les mémoires comme une performance, dans les deux sens.SONDAGEFrançois Hollande serait talonné par Jean-Luc Mélenchon au 1er tour de la présidentielle de 2017, selon un sondage TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL. Emmanuel Macron serait de son côté le candidat préféré des Français pour représenter le PS.ACTUALITESLe sort du premier secrétaire du PS est lié à celui de l'actuel locataire de l'Elysée. Une défaite de ce dernier en 2017 et la direction du parti serait quasi mécaniquement remise en cause.Le Monde - Emmanuel Macron dit ne pas être « l’obligé » du président
Le ministre de l’économie marque une nouvelle fois son émancipation vis-à-vis du gouvernement. Porté par des sondages flatteurs, Emmanuel Macron multiplie les initiatives médiatiques, alimentant les doutes quant à ses intentions pour 2017. Dernière sortie en date, dans une interview au Dauphiné libéré, à paraître vendredi 22 avril, Emmanuel Macron se dit « loyal sur le plan personnel » au président de la République, mais il estime que sa nomination par François Hollande n’en fait pas « son obligé ».Le nombre de militants au Parti socialiste ? "Encore une courbe que l'on n'est pas prêts d'inverser", souffle un élu socialiste dépité. La formation politique fait face à une véritable hémorragie des adhésions depuis le début du quinquennat de François Hollande. En 2014 pourtant, le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, s'était fixé l'ambitieux objectif de multiplier leur nombre par trois pour atteindre les 500.000 militants en 2017.Le Monde - Nucléaire : François Hollande refuse de remettre en cause le projet Hinkley Point
L’Etat a du mal à régler le très délicat dossier EDF. La réunion interministérielle, mercredi 20 avril, à l’Elysée, sous la présidence de François Hollande, n’a pas permis de rendre les arbitrages attendus. Avant d’arrêter ses décisions sur l’avenir de la compagnie électrique publique, dont la situation financière est tendue, le président de la République a souhaité bénéficier d’éclairages complémentaires. « L’équation n’est pas encore résolue, on se donne un peu plus de temps que prévu », dit un proche du dossier à l’Elysée.Le président du mouvement des Jeunes Socialistes était, ce lundi 18 avril, l’invité de la matinale des Echos.Benjamin Lucas revient sur l'échange, la semaine dernière, entre le Président de la République et les citoyens sur France 2 concernant, notamment, la situation de la jeunesse en France.
Si Manuel Valls irrite une partie des parlementaires socialistes, il en va de même avec les eurodéputés du parti de la rue de Solférino. Le 12 avril, le Premier ministre s’est rendu au Parlement européen et est intervenu devant la délégation française du groupe socialiste. Une intervention restée en travers de la gorge de l’eurodéputée PS Pervenche Berès, également présidente de la délégation socialiste française à Strasbourg. -
Législative partielle : le PS garde la main sur la circonscription de Jean-Marc Ayrault