actualité - Page 253
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Dans la Creuse, Benoît Hamon s'adresse aux "oubliés" tentés par le vote FN
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Pascal Cherki (PS): «On avance bien» vers un accord sur le retrait de la candidature de Yannick Jadot
Pascal Cherki (PS): «On avance bien» vers un... par Lopinionfr -
L'Express - Hamon dans la Creuse à la rencontre du "pays réel"
Guéret - Quatre jours après son investiture par le PS, Benoît Hamon s'est rendu jeudi dans la Creuse, au chevet du "pays réel qui rame, qui souffre" avec, dans sa besace, non pas des solutions "miracles", mais des réponses qu'il veut concrètes et crédibles.
Le vainqueur de la primaire du PS et de ses alliés, parfois caricaturé en candidat des "bobos", et qui avait déjà réservé son premier déplacement de campagne présidentielle aux ouvriers de Moselle, a commencé son périple par une rencontre à La Souterraine avec des salariés de GM&S, un sous-traitant de l'automobile placé en redressement judiciaire.
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L'actualité des socialistes du 3 au 9 février (revue de presse hebdomadaire)
A LA UNE
Paul Alliès - Le «système», c’est la Cinquième
Le mot connaît un succès ravageur. Tous les candidats déclarés à l’élection présidentielle l’utilisent pour mieux s’en extraire: le «système» c’est les autres. Sauf qu’on ne sait plus trop à quoi il correspond. Il est en fait le syndrome d’un mal que personne ne nomme: l’irresponsabilité politique qui est au principe même de la Cinquième République.EN CAMPAGNE
Libé - Dans le programme de Hamon, des promesses oubliées de Hollande
Si certains élus au PS réclament un «droit de retrait», estimant que le projet du candidat socialiste va à l'encontre de l'action gouvernementale qu'ils ont soutenue, le candidat reprend à son compte de nombreuses promesses faites par François Hollande pendant sa campagne.
L'Obs - Quand Hamon bichonne les parlementaires socialistes
Les partisans de Benoît Hamon se félicitent : la fuite redoutée de socialistes, après sa victoire à la primaire de la gauche, n’est toujours pas d’actualité.
Pour éviter une éventuelle contagion de la fronde des 17 "réformateurs" menée par les députés Christophe Caresche et Gilles Savary, qui s’abstiendront de le soutenir, le candidat à la présidentielle s’emploie à choyer les parlementaires.
France 24 - Pourquoi la vague de ralliements socialistes vers Macron n’a pas eu lieu
Seuls quatre parlementaires socialistes ont officiellement rejoint Emmanuel Macron depuis la victoire de Benoît Hamon à la primaire de la gauche. Pour l’aile droite du PS, les raisons de ne pas bouger dans l’immédiat supplantent la tentation Macron.
Libé - Les mots de la campagne : Quand Benoît Hamon pique les mots de Jean-Luc Mélenchon
En critiquant «les importants», le candidat socialiste à la présidentielle a repris, dimanche lors de son investiture, une expression chère au leader de la France insoumise.
Libé - Cécile Duflot: «Si nous ratons le rassemblement, ce sera une faute collective»
L'ancienne ministre souhaite un ralliement rapide de Yannick Jadot, le vainqueur de la primaire EE-LV, à Benoît Hamon, en qui elle voit un candidat capable de porter la transition écologique.
AU PS
Le Monde - Les élus PS qui parraineront Macron seront « bien sûr » exclus, avertit Cambadélis
Le premier secrétaire du PS a de nouveau mis en garde les élus tentés de soutenir Emmanuel Macron au lieu de Benoît Hamon à la présidentielle, visant notamment le maire de Lyon, Gérard Collomb.
LES ECOLOS
Libé - Cécile Duflot: «Si nous ratons le rassemblement, ce sera une faute collective»
L'ancienne ministre souhaite un ralliement rapide de Yannick Jadot, le vainqueur de la primaire EE-LV, à Benoît Hamon, en qui elle voit un candidat capable de porter la transition écologique.
LAICITE
Invitée ce mardi 7 février sur France Inter, la philosophe Badinter a évoqué son malaise quant au traitement de l'affaire Fillon, évoquant sa détestation des "chasses à courre". Interrogée sur les résultats de la primaire socialiste, et la vision différente de la laïcité portée par Manuel Valls et Benoît Hamon, elle a rappelé que, pour elle, "il n'y a pas deux visions de la laïcité, il n'y en a qu'une".
LES DEPENSES PUBLIQUES
8 février 2017 - Comparer le niveau des dépenses publiques selon les pays n’a aucun sens si l’on ne prend pas en compte ce qu’elles financent. Au final, les contribuables français ne paient pas plus que les autres. Un point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Le Monde.
LE REVENU UNIVERSEL
L'Obs - "Le plein emploi ne passera que par la réduction du temps de travail"
TRIBUNE. Accuser Benoît Hamon de renier la valeur travail est stupéfiant sous la plume de socialistes, estime Cédric Philibert, économiste, spécialiste des questions énergétiques et climatiques. L'objectif de la gauche doit rester la dignité du travail pour tous.
Fondation Jean Jaurès - Le revenu d’existence : une nouvelle régulation sociale
Depuis près d’un an, la Fondation Jean-Jaurès se penche sur la question du revenu d’existence, par différents moyens : expérimentation en partenariat avec le conseil départemental de Gironde, simulations chiffrées avec le Cepremap de Daniel Cohen et l’IPP d’Antoine Bozio, publication de travaux sur le sujet. Sans a priori, elle explore ainsi les potentiels mais aussi les limites d’une proposition au cœur du débat d’idées dans notre pays. C’est dans ce cadre que s’inscrit la contribution de David Djaïz et Julien Dourgnon.
La Tribune - Le revenu universel financé par un nouvel impôt sur le patrimoine ?
La Fondation Jean Jaurès considère qu'un revenu universel pourrait être instauré immédiatement. Pour cela, il faudrait qu'il soit de faible montant dans un premier temps, et qu'il s'accompagne d'une réforme de la fiscalité patrimoniale.
Rue 89 - Avec le revenu universel, « Benoît Hamon double tout le monde par la gauche »
Le revenu universel d’existence, dit « de base » ou encore « inconditionnel » selon les contours qu’on lui donne, est pour la première fois entré dans le débat public et politique français, à l’occasion de la primaire de la gauche.L'EUROPEOFCE - L’économie européenne 2017, ou l’UE après le Brexit
L’économie européenne 2017 permet de faire un large tour d’horizon des questions que pose aujourd’hui le projet d’Union européenne. Brexit, migrations, déséquilibres, inégalités, règles économiques rigides et souples à la fois : l’UE reste une énigme. Elle donne aujourd’hui l’impression d’avoir perdu le fil de sa propre histoire et d’aller à rebours de l’Histoire. Celle, récente, de la crise financière internationale. Celle, plus ancienne, de la Grande Dépression.
L'IDENTITE NATIONALE
La Vie des idées - L’identité nationale, une vieille idée
À propos de : Vincent Martigny, Dire la France. Culture(s) et identités nationales, 1981-1995, Presses de Sciences-Po
..... L’identité nationale, inexistante dans les affrontements politiques et les débats jusqu’à la fin des années 1970, est désormais centrale et sa place est bien loin de s’amenuiser. Comprendre son avènement est une nécessité. Vincent Martigny, par ce livre remarquablement documenté, précis et limpide dans ses analyses met à bas nombre d’idées reçues, rafraîchit utilement la mémoire politique et fournit de précieux outils d’analyse de la France d’aujourd’hui. Rédigé avec vivacité et élégance, il offre à ses lecteurs une « autre histoire » des septennats mitterrandiens, à travers les tentatives diverses de « dire la France » en ces années qui font de l’identité, de la nation et de la souveraineté des questions cruciales dans les débats.
L'EDUCATION
Le Monde - Education prioritaire et classe bilangues : les approximations de Najat Vallaud-Belkacem
Venue défendre son bilan sur France Inter lundi, la ministre de l’éducation nationale a commis des erreurs et imprécisions.
« Le quinquennat va s’achever sur un bilan en matière d’éducation dont je suis éminemment fière ! », affiche sereinement la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem. Pourtant, lors de son passage à la matinale de France Inter, lundi 6 février, la secrétaire d’une association de parents d’élèves et un professeur membre du collectif Touche pas ma ZEP ont soulevé des problèmes auxquels la ministre n’a pu répondre avec justesse. -
L'Express - Piketty, Hulot, Montebourg... Les bonnes fées d'Hamon
C'est par centaines que les experts et personnalités se pressent autour de Benoît Hamon pour lui proposer leurs services.
Le candidat du Parti socialiste, Benoît Hamon, va s'appuyer sur l'économiste Thomas Piketty pour les questions européennes. Depuis la fin de la primaire, 400 experts et intellectuels ont discrètement proposé leurs services. Côté personnalités, Nicolas Hulot, qui s'est rapproché de Benoît Hamon (un coup dur pour Jean-Luc Mélenchon, dont l'animateur télé était proche), va être mis en avant.
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Jean-Christophe Cambadélis : "François Hollande va être obligé de s'exprimer" avant la présidentielle
Sur Europe 1, le premier secrétaire du Parti socialiste a estimé que François Hollande allait devoir "s’exprimer" publiquement, jugeant que "la présidentielle part dans tous les sens".
INTERVIEW"La présidentielle est introuvable". C’est le constat dressé mercredi sur Europe 1 par Jean-Christophe Cambadélis, qui s’inquiète d’une possible victoire de Marine Le Pen en avril-mai prochain. "François Hollande va être obligé de s’exprimer", estime le premier secrétaire du Parti socialiste.
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Faire battre le coeur de la France avec Benoît Hamon
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Lyon Capitale - David Kimelfeld : “Si la sanction doit tomber, ça tombera”
Jean-Christophe Cambadélis a annoncé ce mardi que ceux qui parraineraient Emmanuel Macron “ne seraient plus au Parti socialiste”. Le premier secrétaire du PS a aussi dit qu’il sanctionnerait “sans problème” Gérard Collomb, car “on ne peut pas être à la fois dans l’équipe du Parti socialiste et parrainer l’équipe adverse”. Comme le maire de Lyon, David Kimelfeld, premier secrétaire de la fédération PS du Rhône, est pleinement concerné par cette situation puisqu’il milite activement pour le candidat En Marche. Il a répondu aux questions de Lyon Capitale.
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Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis dénonce les affaires qui sont en train de « pourrir la présidentielle »
Sur LCP, le premier secrétaire du Parti socialiste déclare redouter « le même climat qu’aux Etats-Unis, avec Marine Le Pen dans le rôle de Donald Trump ».Jean-Christophe Cambadélis a poursuivi, mercredi 8 février, ses attaques contre François Fillon en s’exclamant : « Je ne voudrais pas être cruel mais imagine-t-on le général de Gaulle conseiller rémunéré des multinationales ? » Le premier secrétaire du Parti socialiste, invité de l’émission « Questions d’info » sur LCP en partenariat avec Le Monde, France Info et l’AFP faisait allusion au travail de conseil effectué par l’ancien premier ministre entre 2012 et 2016 pour différentes entreprises, notamment Axa ou Fimalac. -
L'actualité des socialistes du 27 janvier au 2 février (revue de presse hebdomadaire)
A LA UNE : L'INVESTITURE
Libé - Investi par le PS, Hamon ne change pas de ligne
Le vainqueur de la primaire a prononcé ce dimanche à Paris son premier discours de candidat. S’il a fait applaudir François Hollande et donné quitus à une partie du bilan du quinquennat, il n’a rien changé à ses propositions de campagne.
L'Obs - Investi par le PS : le petit diviseur Hamon se fait grand rassembleur
Officiellement investi ce dimanche à Paris, l'éternel minoritaire du PS a voulu démontrer qu'il était désormais en capacité de constituer une majorité.
Le Figaro - Hamon espère surfer sur une dynamique positive
Porté par des sondages à sa faveur, Benoît Hamon se garde d'incarner « l'homme providentiel ». Figure qu'il laisse à ses deux concurrents, Jean-Luc Mélenchon à sa gauche et Emmanuel Macron à sa droite.
«Avec lui, la gauche est de retour!» Au micro, le jeune militant qui introduit Benoît Hamon pour son discours d'investiture, dimanche matin, s'emballe un peu. Il hurle presque. Les drapeaux volent dans les premiers rangs et les 2500 militants annoncés sont debout.
Le Monde - Benoît Hamon insiste sur l’indispensable rassemblement d’une gauche éclatée
Une semaine après sa nette victoire à la primaire à gauche, l’ancien ministre de l’éducation a été officiellement investi dimanche à la Mutualité, à Paris.
Il se lève, front plissé, inimitables sourcils circonflexes et long sourire amusé, alors que les 2 000 militants socialistes rassemblés à la maison de la Mutualité, à Paris, agitent des drapeaux multicolores et s’époumonent : « Benoît président, Benoît président ! » Le président de la haute autorité de la primaire, Thomas Clay, vient d’annoncer sans rire (mais il fait rire la salle) les « résultats définitifs » du scrutin des 22 et 29 janvier, avant de déclarer « officiellement » lancée la campagne du candidat de la Belle Alliance populaire à l’élection présidentielle.France Inter - Benoît Hamon officiellement investi, le PS commence à y croire
Benoît Hamon a prononcé ce dimanche son discours d'investiture en vue de la présidentielle, s'adressant tour à tour aux ténors duPS, à Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon.
Sud Ouest - Benoît Hamon, un candidat qui bouscule les codes ?
Parti avec l’intention de donner un coup de pied à "la vieille politique", Benoît Hamon cherche à sortir de l’institutionnel, quitte à donner dans l’autodérision
Investi candidat dimanche par le PS, Benoît Hamon a adopté depuis son entrée en campagne un style décontracté mâtiné d’autodérision qu’il entend bien imposer comme sa vision – frondeuse – de la présidentialité.
Le Monde - Benoît Hamon investi par le PS après sa victoire à la primaire à gauche
Une semaine après sa nette victoire à la primaire PS élargie, Benoît Hamon a été officiellement investi dimanche à la Mutualité.
Une semaine après sa nette victoire à la primaire PS élargie, Benoît Hamon a été officiellement investi dimanche 5 février à la Mutualité par le Parti socialiste (PS) qui se prend à rêver d’accéder au second tour de la présidentielle, sans toutefois être totalement rassemblé.Sept jours après sa victoire triomphante à la primaire de la Belle Alliance populaire, Benoît Hamon entre dans le vif du sujet. Pour lui, tout démarre réellement ce dimanche 5 février, jour de son investiture par le Parti socialiste. Le député des Yvelines, qui a placé le curseur à gauche pendant la primaire, contrastant ainsi avec la politique sociale-libérale de l'ancien premier ministre Manuel Valls, est dans une position loin d'être confortable. Le succès électoral du quadragénaire n'a pas suffi à rassembler les Éléphants, qui marchent en ordre dispersé.
L'Obs - Convention d'investiture : le rite de passage de Benoît Hamon
A la Mutualité, le vainqueur de la primaire de la "Belle alliance populaire" sera officiellement investi candidat à l'élection présidentielle. Devant les caciques du parti mais en l'absence des ténors du gouvernement...
FABIEN ESCALONA
Le Monde - Fabien Escalona : « Le défi de Hamon, asseoir sa domination sur le Parti socialiste »
Politiste et spécialiste de la social-démocratie, Fabien Escalona analyse les enjeux de la victoire de Benoît Hamon à la primaire socialiste.
Politiste et chercheur à Sciences Po Grenoble, spécialiste de la social-démocratie, Fabien Escalona analyse la percée de Benoît Hamon à la primaire socialiste, dimanche 29 janvier, et ses enjeux pour le Parti socialiste (PS) et pour la gauche. Il estime notamment que « Hamon a réussi à incarner une forme de réhabilitation des valeurs de la gauche ».LYONTout le monde n’a pas succombé à la Macron- mania à Lyon. Deux camps s’affrontent désormais chez les socialistes.Le maire de Lyon, soutien historique d’Emmanuel Macron, a embarqué dans l’aventure bon nombre de ses amis politiques lyonnais. Il y a là trois députés investis par le Parti socialiste (Anne Brugnera, Jean-Louis Touraine, Hubert Julien-Laferrière), le premier adjoint Georges Képénékian, ou encore David Kimelfeld, maire du 4e arrondissement et, surtout, premier secrétaire fédéral du parti à la rose. Autre prise, quelques jours plus tard, Jean-Yves Sécheresse, président du groupe socialiste au conseil municipal de Lyon.Malgré un appel au boycott lancé par une partie des socialistes lyonnais, la gauche s'est rendue aux urnes. Et a offert une large victoire à Benoît Hamon.À Lyon, fief macroniste, les électeurs ont retrouvé le chemin des urnes dimanche. De longues et patientes files se sont étirées devant les bureaux de vote, améliorant de près d'un quart la participation du 22 janvier. Le député socialiste Yves Blein, organisateur de la primaire dans le Rhône, depuis que le secrétaire fédéral du PS, David Kimelfeld, a pris fait et cause pour Emmanuel Macron, n'a pas caché sa satisfaction devant les chiffres de la mobilisation. « Sur Lyon, la participation est en hausse de 23 % et 24 % par rapport au premier tour », se félicite-t-il. « J'ai toujours pensé qu'il y avait des appels qui n'étaient pas utiles. Quand les gens ont envie d'aller voter, eh bien, ils votent. »Le meeting d'Emmanuel Macron à Lyon va résonner comme un coup de clairon pour tous les membres du PS du Rhône qui soutiennent déjà le candidat En Marche. Pourtant, d'irréductibles socialistes résistent toujours à l'appel de l'ancien ministre de l'Économie et des Finances et soutiennent encore le candidat du PS, Benoît Hamon. Hamon ou Macron ? Qui soutient qui ? Petit tour d'horizon des candidats investis par le PS dans le Rhône.Nathalie Perrin-Gilbert a lancé ce jeudi sa campagne dans la 2e circonscription du Rhône. Etaient présentes Isabelle Attard, une députée citoyenne du Calvados, et la candidate à la présidentielle Charlotte Marchandise, mais l’occasion a surtout permis d’écouter les propositions des militants.Plusieurs élus PS de la région Auvergne-Rhône-Alpes qui avaient soutenu Valls à la primaire de la gauche ont apporté leur soutien officiel à Benoît Hamon. Parmi eux, Olivier Bianchi, le maire de Clermont-Ferrand, Jean-Paul Bret, celui de Villeurbanne, et Jean-François Debat, maire de Bourg-en-Bresse et président du groupe socialiste au conseil régional.SONDAGES.... L’enseignement le plus spectaculaire c’est le décollage de Benoît Hamon dans les sondages. Le candidat victorieux de la primaire de gauche connaît un inattendu état de grâce. En un mois, il multiplie par trois son score passant de 6 à 18% ! Un score inimaginable encore il y a quelques jours. Confronté au défi du rassemblement des socialistes, l’ancien ministre de François Hollande est en train de réussir la synthèse de la « vieille gauche », celle qui va des communistes aux écolos et aux socialistes purs et durs. Le député des Yvelines ringardise Jean-Luc Mélenchon. Le candidat de « la France insoumise » décroche passant de 14 à 9%. A la veille de sa rencontre avec François Hollande, Benoît Hamon a l’occasion de rassurer les socialistes et retenir les députés tentés par l’aventure Macron.Depuis notre dernier point sondage, la victoire de Benoît Hamon à la primaire de la gauche et l’affaire Penelope à droite ont totalement rebattu les cartes… y compris auprès de l'électorat jeune.A deux mois et demi du premier tour de l’élection présidentielle, la nouvelle étude Elabe(*) pour Les Echos, publiée ce 1er février, jette un pavé dans la marre. A droite François Fillon dégringole, de même que Jean-Luc Mélenchon, qui trouve en Benoît Hamon un sérieux concurrent sur ces terres…
La primaire de gauche est en revanche fatale à Manuel Valls qui intègre le flop 5. François Hollande perd, quant à lui, deux points.
L'enquête a été réalisée avant le second tour de la primaire de la gauche. Mais même avant sa très nette victoire, Benoît Hamon avait séduit au-delà de son camp, si l'on regarde la vague de février du baromètre YouGov pour Le HuffPost et iTélé. Le député des Yvelines est ainsi devenu la personnalité politique préférée des Français.
HAMONLe Monde - Benoît Hamon, un candidat encore en rodage
Le candidat du Parti socialiste s’est rendu, vendredi 3 février, en Moselle. Après sa victoire à la primaire à gauche, le 29 janvier, il doit désormais passer du rêve à la réalité.
A peine débarqué en gare de Metz, vendredi matin, Benoît Hamon est pris au pied de la lettre par les passants qui le reconnaissent. « Monsieur Hamon, si vous donnez les 750 euros, je dis chapeau ! », le hèle un homme dans le hall du bâtiment. « Monsieur Hamon, j’ai voté pour vous », lui lance un autre sur le parvis. « Merci, c’est cool », lui répond le candidat. « Oui, mais tenez vos promesses, hein ? », le presse son interlocuteur.Benjamin des candidats PS à la présidentielle sous la Ve République, le vainqueur de la primaire de gauche reste perçu, à 49 ans, comme un jeune en politique. Une idée renforcée par sa volonté de mettre les nouvelles générations au centre de son projet.
Le Lab - Investitures PS : Benoît Hamon refuse d'"offrir des têtes" à Jean-Luc Mélenchon
Benoît Hamon saura-t-il rassembler la gauche du PS derrière lui pour former un "accord de majorité" ? Si l’affaire ne devrait pas poser de problème pour Yannick Jadot (EELV), elle semble plus compliquée pour Jean-Luc Mélenchon.
Le candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon a affirmé jeudi 2 février ne pas vouloir "offrir des têtes", après que le candidat de La France insoumise lui a réclamé de retirer des investitures aux législatives, notamment celles de Myriam El Khomri et Manuel Valls.
Libé - Le projet de Hamon testé par la génération système D
Depuis la victoire de Benoît Hamon, certains observateurs et responsables politiques disent ne pas comprendre ce qui a bien pu se passer pour que des «hommes et des femmes de gauche» fassent «le choix du passé», de «l’utopie», plutôt que celui du «réalisme» de la gauche qui gouverne, incarné par Manuel Valls. Alors, comme dans l’entre-deux-tours, les voilà qui pilonnent les propositions de Hamon, et les disqualifient parce qu’«utopistes».
Boursorama - Investitures PS: Hamon contre l'idée d'"offrir des têtes" à Mélenchon
Le candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon a affirmé jeudi soir ne pas vouloir "offrir des têtes", après que Jean-Luc Mélenchon lui a réclamé de retirer des investitures aux législatives, notamment celles de Myriam El Khomri et Manuel Valls.
A un internaute qui lui demandait s'il était toujours favorable à la candidature de la ministre du Travail aux législatives, Benoît Hamon, qui se livrait à un direct sur Facebook, s'est refusé à la remettre en cause, en tant que "garant et architecte de l'unité de la gauche".
Le candidat du Parti socialiste à l’élection présidentielle s’est entretenu pendant environ une heure mercredi 1er février, à l’Elysée, avec le président de la République.
Benoît Hamon a expliqué, jeudi 2 février, qu’il entendait se « tourner vers l’avenir », à l’issue de sa rencontre à l’Elysée avec François Hollande. Le candidat du Parti socialiste a assuré que celle-ci ne constituait pas un « passage de témoin ». M. Hollande a reçu son ancien ministre pendant environ une heure en tête à tête dans son bureau, selon l’Elysée.Libé - De Hollande à Mélenchon, Hamon doit rassembler sans ressembler
Le candidat socialiste tout juste désigné a rendez-vous jeudi à l'Elysée. Il peut s'appuyer sur de bons sondages pour réunir toutes les tendances de la gauche sans trahir ses promesses.
D’un côté, François Hollande, de l’autre Jean-Luc Mélenchon : Benoît Hamon se pose au centre du jeu. Quelques jours après sa large victoire à la primaire de la Belle Alliance populaire (58,7 %) et boosté par de premières intentions de vote très favorables – qui le placent au coude à coude avec Fillon et Macron pour la deuxième place en 2017 – il poursuit son petit tour des gauches avant son discours d’investiture de dimanche matin. Au programme : «rassembler» son camp et donner la parole à des intervenants extérieurs au PS.
Lyon Capitale - Région : des élus “vallsistes” apportent leur soutien à Benoît Hamon
Plusieurs élus PS de la région Auvergne-Rhône-Alpes qui avaient soutenu Valls à la primaire de la gauche ont apporté leur soutien officiel à Benoît Hamon. Parmi eux, Olivier Bianchi, le maire de Clermont-Ferrand, Jean-Paul Bret, celui de Villeurbanne, et Jean-François Debat, maire de Bourg-en-Bresse et président du groupe socialiste au conseil régional.
Libé - A gauche, Benoît Hamon et Yannick Jadot toujours plus proches
Si aucune décision de ralliement à Benoît Hamon n'a été prise pour l'heure chez les Verts, ce dernier et le candidat EE-LV, dont les programmes convergent, se sont rencontrés ce mardi.
Mediapart - Benoit Hamon: chronique d’un renoncement annoncé Par Olivier Tonneau
Puisque de toute évidence il n'y aura pas d'union "Hamon, Jadot, Mélenchon", nous revoilà face à la question déprimante: quel est le vote utile? Je ne crois pas que Hamon soit celui-là, pour trois raisons. L’une a trait à sa stratégie européenne, la seconde à sa stratégie parlementaire et la dernière à ses agissements de "frondeur".
CHEVENEMENT
Libé - Jean-Pierre Chevènement : il faut «mener une lutte culturelle» contre le salafisme
Légiférer contre la mouvance rigoriste n’est pas la bonne méthode, selon le président de la Fondation pour l’islam de France, confiant sur la pérennité de son institution.
En fonction depuis deux mois, le président de la Fondation pour l’islam de France, Jean-Pierre Chevènement, sait déjà où il va. «Il faut distinguer l’islam traditionnel et le salafisme», a plaidé Jean-Pierre Chevènement, intervenant jeudi devant une cinquantaine de décideurs, à l’Institut Diderot, un cercle de réflexion.
HAMON/MONTEBOURGLes deux candidats ont été concurrents lors de la primaire de la gauche, mais pas seulement. Ils entretiennent aussi une amitié longue de quinze ans.
Ils ont beau s'être affrontés pendant la primaire de la gauche, l'amitié ne semble pas entachée. Benoît Hamon et Arnaud Montebourg mettent tous les deux en avant leur amitié dans leurs discours. Avant l'officialisation des résultats du second tour de la primaire de la gauche, le candidat du "made in France" a affirmé qu'il était "disponible" et qu'il ferait ce que Benoît Hamon lui demande.
VALLS
Le finaliste de la primaire à gauche a mis en garde ses proches.Après la victoire de Benoît Hamon à la primaire à gauche, le Parti socialiste se doit d'éviter l'implosion. C'est en résumé ce qu'a soufflé Manuel Valls à ses soutiens réunis à Paris ce mardi 31 janvier. Le finaliste de la primaire à gauche les a appelé à rester "ensemble" et à ne pas aller "ailleurs", dans un appel transparent à rester au Parti socialiste plutôt que de rejoindre Emmanuel Macron.
TAUBIRA
Le JDD - Taubira : "La voix de Hamon est un vrai renouvellement"
Dans une interview aux Inrocks à paraître mercredi, Christiane Taubira revient en quelques mots sur la campagne présidentielle. L'ancienne ministre évoque Benoît Hamon et l'importance "de dire que la droite et la gauche, c'est différent".
PAUL ALLIES
Mediapart - Contre le pouvoir présidentiel, une nouvelle République, Par Edwy Plenel
Contributeur du Club de Mediapart depuis l'origine, Paul Alliès, président de la Convention pour la Sixième République (C6R), publie aux éditions Don Quichotte un livre issu de ses chroniques. Ce "rêve d'autre chose" est l'outil indispensable pour accompagner la refondation démocratique qu'appelle l'actuelle crise de régime. C'est pourquoi j'ai accepté de le préfacer. Préface que voici.REVENU UNIVERSELCynthia Fleury est philosophe. Accorder à chaque citoyen majeur sans condition, un revenu mensuel avoisinant les 700 euros, c’est la mesure que défendrait Cynthia Fleury si elle était présidente.
Pour elle, il s’agit de "repenser un nouvel acte de l’Etat Providence, comme il y a eu la Sécurité Sociale en son temps". "Cet acte, poursuit-elle, doit se fonder sur un rapport tout à fait différent au travail sachant qu’il y aura toujours du travail mais il n’y aura pas toujours d’emploi…"
Le blog de T.Piketty - Notre revenu universel est-il vraiment universel?
Suite à l’appel « Pour un revenu universel crédible et audacieux » lancé la semaine dernière par une dizaine de chercheurs (Antoine Bozio, Thomas Breda, Julia Cagé, Lucas Chancel, Elise Huillery, Camille Landais, Dominique Méda, Emmanuel Saez, Tancrède Voituriez), nous avons reçu de très nombreux encouragements, et aussi bien sûr des questions et des demandes d’éclaircissements. A commencer par celle-ci : le système de revenu universel que nous proposons est-il vraiment universel, dans la mesure où nous ne défendons pas l’idée d’une allocation mensuelle identique versée à chacun ? La question est légitime et je voudrais y répondre ici le plus clairement possible.
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France Info - Benoît Hamon veut "un conseil parlementaire" pour remonter "les préoccupations du terrain" pendant sa campagne
Le vainqueur de la primaire de la gauche, investi dimanche candidat socialiste à la présidentielle, s'est adressé mardi aux députés PS à l'Assemblée nationale, afin de les impliquer dans la campagne.
Deux jours après son investiture, c’est comme candidat du Parti socialiste et de ses alliés que Benoît Hamon, l’ancien frondeur, s’est présenté mardi 7 février devant le groupe socialiste à l’Assemblée nationale. Son message continue de se décliner sur le rassemblement.
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