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actualité - Page 170

  • Réponse d'Olivier Faure au discours de politique générale d'Edouard Philippe

  • R. Juanico : Ma question sur la mise en oeuvre du compte pénibilité aux organisations patronales auditionnées en commission

    Commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale : audition des organisations représentatives d'employeur en vue du projet de loi d'habilitation des ordonnances loi Travail

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • Paul Alliès - Institutions: Y-a-du bon dans le Macron

    Ces derniers jours ont donné le spectacle d’un monde politique qui semblait découvrir le présidentialisme. Ses coups portés contre le discours au Congrès ont passablement manqué leur cible. Ceux venant de la gauche en particulier: rien n’a été dit anticipant les annonces du président de la République, susceptible de les dépasser. Il a donc aisément pris une longueur d’avance sur ses critiques.....
    On assiste ainsi à un étrange revirement: celui qui veut « retrouver l’esprit de nos institutions » engage leur révision dans les termes mêmes que la gauche a utilisé durant un demi-siècle sans jamais passer à l’acte quand elle en avait pourtant les moyens institutionnels. Il y a une certaine ironie de l’histoire dans ce retour à De Gaulle-Mitterrand pour ce qui est de la conception de la fonction présidentielle, et la paralysie de ceux qui continuent à professer leur admiration pour l’un et l’autre de ces grands ancêtres.
     
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  • Le Point - PS : qui part, qui reste

    Sonné par l'élection de Macron, le Parti socialiste peine à se remettre de sa débâcle aux législatives. Certains ténors, comme Benoît Hamon, plient bagage.

    Le Parti socialiste se trouve à l'heure des choix. Après l'élection d'Emmanuel Macron, c'est un parti amaigri et plus que jamais divisé, notamment sur son positionnement vis-à-vis du gouvernement. Trois camps se dessinent : les déserteurs, ceux qui y croient encore et veulent reconstruire le PS, et ceux qui, dans l'attente que les choses se clarifient, ne se prononcent pas.

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  • L'Express - Parti socialiste: Cambadelis tente un #JeReste après le départ de Hamon

    Au lendemain du départ d'Hamon, entre ceux qui jugent sévèrement sa décision et ceux qui s'inquiètent de l'avenir du parti, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

    "Je crains qu'il ne reste plus grand monde au Parti socialiste", s'inquiète ce dimanche sur Europe 1 Didier Guillaume, président du groupe socialiste au Sénat. "C'est un drame", poursuit-il, décrivant un parti "très malade". Depuis l'annonce du départ de Benoit Hamon, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

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  • Le Monde - Après le départ de Benoît Hamon, le PS encore un peu plus affaibli

    L’ancien candidat à l’élection présidentielle a quitté samedi le Parti socialiste, moins d’une semaine après Manuel Valls.
     
    Le symbole est dérisoire. Et illustre parfaitement le désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui le Parti socialiste. Samedi soir, après l’annonce du départ de Benoît Hamon de la Rue de Solférino, Jean-Christophe Cambadélis a publié sur Twitter un visuel où l’on pouvait lire : « Je suis, je reste au Parti socialiste. » Terrible aveu de solitude pour le premier secrétaire démissionnaire qui a vu partir, en moins d’une semaine, les deux finalistes de la primaire à gauche. Mardi 27 juin, c’était, en effet, l’ancien premier ministre Manuel Valls qui claquait la porte de la « vieille maison ».
     
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  • Le Parti socialiste s’indigne que la France ait cédé dans la bataille contre les perturbateurs endocriniens

    Le Parti socialiste condamne le revirement de la France qui a permis l’adoption par la Commission européenne d’une définition au rabais des perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques omniprésentes dans l’environnement – mais aussi dans l’alimentation, les jouets ou les cosmétiques – qui contribuent au développement de nombreuses maladies : infertilité, cancers, diabète, obésité, problèmes neurologiques, trouble du développement du cerveau,…

    Les quelques timides avancées obtenues par Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique et solidaire, ne sauraient justifier cette volte-face, qui rompt avec la position de la France qui n’a eu de cesse, ces dernières années, aux cotés des pays nordiques, et avec le soutien des ONG et des sociétés savantes, de réclamer un texte plus protecteur de la santé publique et de l’environnement.

    Cette nouvelle mouture est en réalité une capitulation en rase campagne face aux lobbys industriels européens qui, d’une part, ont imposé des « exemptions » pour certains de leurs pesticides et qui, d’autre part, ont exigé un niveau de preuves si élevé qu’il faudra attendre des années avant de retirer certains produits du marché – lesquels, entre-temps, auront affecté la santé de nos concitoyens. Il s’agit d’un renoncement grave à la mise en œuvre principe de précaution.

    Ce recul du gouvernement français est d’autant plus inacceptable, qu’il s’agit d’un enjeu sanitaire majeur qui frappe des milliers de personnes, en particulier les plus fragiles, et coûte d’ores-et-déjà plus de 157 milliards d’euros par an aux systèmes de santé européens.

    Le Parti socialiste appelle les eurodéputés à repousser ce texte pour permettre la reprise des discussions au sein de la Commission européenne, afin de construire une réglementation à la hauteur des défis posés en matière de santé-environnementale.

  • France Info - Départs en série au PS : "On est dans une descente aux enfers et elle n'est pas terminée"

    Après les départ de Benoît Hamon et de Manuel Valls, Patrick Lafarge estime que le PS est "plus proche de rentrer dans l'Histoire que de se projeter dans l'avenir". Il prédit un "choc" aux élections sénatoriales de septembre. 

    Après que Benoît Hamon a quitté le Parti socialiste et lancé samedi le Mouvement du 1er juillet, le politologue Patrick Lafarge a estimé, dimanche 2 juillet sur franceinfo, que le PS est "totalement déserté". Il évoque une "descente aux enfers" du parti et prévoit un "choc" pour les prochaines élections sénatoriales en septembre. "Les partis politiques changent de nom assez souvent. Là, il y a des problèmes de finances, des problèmes de patrimoine, des problèmes de salariés", justifie-t-il. "On est plus proche de rentrer dans l'histoire que de se projeter dans l'avenir", tranche-t-il.

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