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actualité - Page 158

  • Non Fiction - La politique est-elle une vocation ?

    Depuis l'analyse magistrale de Max Weber dans Le savant et le politique, l'étude des responsables politiques est devenue un classique de la sociologie. Vivant par et pour la politique, selon la formule célèbre de Weber, les hommes (et, bien plus tardivement, les femmes) politiques ont progressivement fait de leur activité une vocation (Beruf en allemand, dans le texte de Weber), sinon une profession ou un métier, alors même que l'exercice des fonctions politiques pour les notables traditionnels était complémentaire de leur activité principale (avocat ou médecin par exemple), comme l'avait expliqué Daniel Halévy dans son célèbre essai La fin des notables.

    Aujourd'hui, alors que la professionalisation du champ politique est volontiers critiquée par les citoyens, qui considèrent souvent que les responsables politiques ne doivent pas vivre uniquement de leurs activités d'élus, et tandis que les récentes élections législatives (les premières depuis la loi sur le non-cumul des mandats) ont témoigné d'un profond renouvellement du personnel parlementaire classique, où en est-on à ce sujet ?

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  • Le Parisien - PS : un dernier tour pour Cambadélis ?

    Le premier secrétaire du parti, en séminaire ce week-end, qui avait annoncé son retrait après les déroutes électorales, doit bientôt tirer sa révérence. Vraiment ?

    Jean-Christophe y es-tu ? Que fais-tu ? Comme le loup de la comptine, le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, joue à cache-cache. Depuis son retrait le 18 juin, au lendemain de la cinglante défaite de son parti aux législatives (dont il avait été lui-même éliminé dès le 1er tour à Paris), les militants socialistes le guettent partout.

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  • Gérard Filoche sur la réforme Travail: «une vraie rupture qui s'aggrave avec Macron»

  • Huffington Post - Ces trois signes qui montrent que le Parti socialiste n'est pas (encore) mort

    La direction organise un séminaire pour refonder le mouvement, qui vient de connaître une double débâcle historique.

    Peut-être changera-t-il de nom (Stéphane Le Foll opterait pour "Les socialistes"), sans doute déménagera-t-il de la rue de Solférino, mais les cadres du Parti socialiste sont persuadés que leur mouvement ne va pas disparaître.

    "Une bataille s'annonce, une scission est désormais inéluctable au PS, expliquait le politologue Rémi Lefebvre juste après l'appel de Manuel Valls à voter Emmanuel Macron plutôt que Benoît Hamon. Cela ne veut pas dire pour autant que la structure va disparaître." C'est pour réfléchir à la refondation de leur parti que les cadres du PS ont été conviés ce samedi 26 août pour un séminaire de deux jours organisé à Paris.

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  • La Tribune - Sapin dénonce une politique budgétaire et fiscale « clairement de droite »

    Dans une interview accordé à La Nouvelle République, l'ancien ministre socialiste de l'Economie et des Finances a dénoncé une politique "parfois même plus à droite que certains à droite".

    Après la mise en garde de François Hollande à Emmanuel Macron sur la réforme du code du travail, Michel Sapin, l'ancien ministre socialiste de l'Economie et des Finances a quant à lui dénoncé la politique budgétaire et fiscale du gouvernement qu'il qualifie de "clairement de droite".

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  • La Dépêche - À La Rochelle, le PS reprend tout à zéro

    Si l'expression ne renvoyait à une époque et des pratiques avec lesquelles elle a pris l'engagement de rompre définitivement, la nouvelle direction collégiale du parti (DCP) pourrait annoncer qu'au PS, le changement c'est maintenant.

    Réunie cette semaine à La Rochelle, la vingtaine de membres de la DCP a rédigé le texte fondateur du Parti socialiste tel qu'il renaîtra probablement après le cataclysme électoral de 2017 qui l'a laissé pour mort, ou presque. Ce document sera soumis aux secrétaires départementaux rassemblés ce week-end dans la ville fortifiée par Vauban, avant d'être envoyé à la consultation militante puis validé au prochain congrès, au printemps 2018.

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  • Le Parisien - PS : à La Rochelle, le come-back de Hollande fait jaser

    .... Les années précédentes à pareille époque, on se faisait piétiner, bousculer et parfois même rabrouer devant l'espace Encan, près du port de La Rochelle, où les socialistes tenaient leurs universités d'été. Cette année, pour cause de vaches maigres et d'électeurs vaches, on respire. Seule la FNESR (Fédération nationale des élus socialistes et républicains), présidée par le maire de Dijon François Rebsamen, est restée fidèle au rendez-vous rochelais. Certes, sur les 600 élus inscrits, 200 à 300 seulement ont fait le voyage.

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  • Le Monde - Au Parti socialiste, Le Foll charge Hamon et plaide pour un (petit) changement de nom

    L’ancien porte-parole de François Hollande appelle à renommer le Parti socialiste « Les Socialistes ». Une appellation qu’il juge « plus simple, plus claire ».

    C’est une énième charge d’un ténor du Parti socialiste contre son candidat malheureux à la présidentielle, Benoît Hamon. L’ancien ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, a demandé, vendredi 25 août, une « discussion claire et transparente » quant au coût de la campagne présidentielle du candidat PS.
     
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  • L'Obs - "Non, le meeting de Benoît Hamon n'a pas été financé avec l'argent du PS"

    Bastien Recher, ex-secrétaire général administratif de la campagne de Benoît Hamon, veut tordre le cou aux accusations de financement douteux.

    Les couteaux sont de sortie au Parti socialiste. Dans "le Parisien" du jour, plusieurs socialistes accusent Benoît Hamon d'avoir financé son meeting du 1er juillet avec l'argent du parti. Une énième boule puante, qui vient s'ajouter à d'autres distillées souvent en off par des ténors hollandais, à l'approche du congrès du PS. Ex-secrétaire général administratif de la campagne de Benoît Hamon, Bastien Recher dément point par point toutes ces accusations.

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  • Le JDD - Avant la rentrée, les jeunes socialistes ont le blues

    Encore déboussolés par les revers électoraux subis par le PS en 2017, les jeunes socialistes s’interrogent sur leur avenir au sein du parti d’Epinay.
     
    "Je ne m’attendais pas à ce qu’on soit au second tour mais pas à un tel échec…" Comme Rémi Marchand, jeune socialiste de 24 ans dans la Sarthe, de nombreux jeunes socialistes se souviendront longtemps de cette soirée du 23 avril 2017. Lorsque les résultats tombent à 20h, c’est l’hécatombe. Leur candidat Benoît Hamon est bas, très bas. Il s’aligne tout juste à la cinquième position avec un très fébrile 6,36% des voix, à des années lumières du quatuor de tête Emmanuel Macron (24,01%), Marine Le Pen (21,3%), François Fillon (20,01%) et Jean-Luc Mélenchon (19,58%).
     
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